Archives de juin 2012

Northrop Grumman dévoile le nouveau drone de l’US Navy

Un RQ-4 Global Hawk testé par l’US Navy
crédits : NORTHROP GRUMMAN

Article source:http://www.meretmarine.com/

MQ-4C Triton. C’est le nom du futur drone de surveillance maritime de la marine américaine, qui sera réalisé dans le cadre du programme Broad Area Maritime Surveillance (BAMS). Conçu à partir du RQ-4 Global Hawk, mis en service en 1999 dans l‘US Air Force, le Triton a été officiellement dévoilé par Northrop Grumman au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée le 14 juin à Palmdale, en Californie. Ayant nécessité quatre ans de développement, ce drone à grand rayon d’action complètera la flotte d’avions de patrouille maritime (P-8A Poseidon, P-3C Orion), permettant de concentrer ces appareils sur leurs missions prioritaires, à commencer par la lutte anti-navire et anti-sous-marine.

(© : US NAVY)

Le MQ-4C Triton est donc dérivé du RQ-4 Global Hawk Block 20, un drone de 39.9 mètres d’envergure et plus de 14.6 tonnes de masse maximale au décollage, pouvant voler à la vitesse de310 noeuds et à une altitude maximale de 60.000 pieds. Propulsé comme son aîné par un turboréacteur, le futur UAS (Unmanned Aircraft System) de la Navy sera capable de couvrir une distance de 2000 milles, l’autonomie du Global Hawk étant de 36 heures. Le Triton sera équipé du radar multifonctions AN/ZPY-3, spécialement conçu pour les opérations maritimes. Ce senseur a été testé pour la première fois en vol en décembre dernier à bord d’un Gulfstream. 

(© : US NAVY)

Cinq RQ-4 Global Hawk ont été cédés par l’Air Force à la Navy afin de tester les capacités du système dans un environnement et des opérations navales. L’un d’eux s’est accidentellement crashé le 12 juin près de la base aéronavale de Patuxent River. Les expérimentations vont se poursuivre afin de déterminer les spécifications exactes du premier démonstrateur, qui sera suivi par un deuxième engin. Les trois premiers systèmes devraient être commandés en 2014, 13 autres suivant entre 2015 et 2017. En tout, l’US Navy compte se doter de 68 MQ-4C Triton.

LA VIE : ORIGINE ET DISTRIBUTION POSSIBLE DANS L’UNIVERS

Source image:http://archives-lepost.huffingtonpost.fr

Article source:http://www.canal-u.tv/

Il y a environ 4 milliards d’années, se développèrent dans l’eau terrestre des structures capables de se reproduire et d’évoluer. L’omniprésence de la cellule dans tous les systèmes vivants suggère un ancêtre commun de type cellulaire. Dans la mesure où la formation des ARN/ADN porteurs de la mémoire cellulaire apparaît comme peu probable dans l’eau de la Terre primitive, on peut penser que la vie primitive émergea de structures plus simples que la cellule et l’ARN.

Suite

Liens externe:

un précurseur d’un acide aminé découvert dans l’espace

LA VIE DANS DES CONDITIONS EXTRÊMES 

Nouveau record de plongée: la Chine veut explorer les grands fonds

Un sous-marin chinois
Pool/AFPArchives – Guang Niu

 

Article source: http://www.tv5.org/

PEKIN (AFP) – 15.06.2012 15:48 – Par Bill SAVADOVE

Un submersible chinois avec équipage a plongé pour la première fois vendredi à plus de 6.000 mètres et va tenter un nouveau record à 7.000 mètres, preuve que la Chine, en dehors de l’exploration de l’espace, nourrit des ambitions dans celle des profondeurs marines

 

Un submersible chinois avec équipage a plongé pour la première fois vendredi à plus de 6.000 mètres et va tenter un nouveau record à 7.000 mètres, preuve que la Chine, en dehors de l’exploration de l’espace, nourrit des ambitions dans celle des profondeurs marines.

L’exploit sous-marin rapporté par l’agence Chine nouvelle a été réalisé par le Jiaolong, qui porte le nom d’un dragon mythique, dans la Fosse des Mariannes — la plus profonde du monde — dans l’océan Pacifique, près de l’île de Guam et des Philippines.

Le Jiaolong, sous-marin destiné à la recherche scientifique et à l’exploration des richesses naturelles des fonds marins, a atteint avec ses trois hommes d’équipage la profondeur de 6.000 mètres, près de trois heures après le début de sa plongée, a précisé Chine nouvelle.

Il s’agit du premier des six essais prévus pour tenter d’atteindre les 7.000 mètres, a ajouté l’agence officielle alors que Pékin accentue ses efforts pour exploiter les ressources des fonds océaniques.

Cette série d’essais qui devrait donner lieu à la glorification des progrès technologiques de la Chine par ses médias, a lieu alors que Pékin s’apprête à lancer samedi, dans le désert de Gobi, son prochain vol spatial habité, Shenzhou IX, avec sa première femme astronaute à bord, autre grand sujet de fierté nationale.

Et d’ailleurs, du fond des océans, les trois membres de l’équipage du Jiaolong ont envoyé leurs « meilleurs voeux » de réussite aux spationautes chinois pour leur mission, selon Chine nouvelle.

Shenzhou IX effectuera en effet son premier rendez-vous spatial avec des spationautes à bord. La maîtrise des rendez-vous spatiaux est une étape cruciale dans la conquête de l’espace, dans laquelle la Chine, devenue en 2003 le troisième pays du monde à envoyer un homme en orbite, a de fortes ambitions.

Comme pour l’espace, la Chine a mis les bouchées doubles pour l’exploration marine et comblé ces dernières décennies une partie de son retard sur les pays développés.

Dans les profondeurs, la Chine avait été le cinquième pays à franchir le seuil des 3.500 mètres pour des missions habitées.

Puis en juillet 2011, un submersible chinois avait plongé pour la première fois à 5.057 mètres, dans la même fosse des Mariannes. Déjà à cette profondeur, le vaisseau chinois était apparemment capable d’atteindre 70% des fonds océaniques de la planète.

D’après les experts, le Jiaolong doit collecter des échantillons de vie sous-marine et étudier les structures géologiques et minières.

Mais Zhou Huaiyang, enseignant à l’Ecole des sciencess des océans et de la terre de l’Université de Tongji (Shanghai), est sceptique.

« Même après avoir atteint 7.000 mètres, il n’est pas certain que le sous-marin pourra remplir des missions scientifiques », dit-il à l’AFP, invoquant « la stabilité et la résistance du vaisseau », le niveau de compétence de l’équipage et « les capacités des deux à opérer dans des milieux sous-marins très variés ».

La Chine a accentué ces dernières années ses efforts de prospection pour trouver des hydrocarbures et d’autres ressources naturelles, afin d’alimenter sa rapide croissance économique.

L’appétit des Chinois pour les matières premières et le renforcement des capacités militaires de Pékin sont aussi une source d’inquiétude au niveau international, particulièrement chez les voisins de la Chine en Asie.

L’an dernier, le Jiaolong avait symboliquement planté un drapeau sur un fond marin en mer de Chine du Sud, dont la souveraineté est disputée entre plusieurs Etats, un geste considéré par certains comme une provocation.

Vendredi, remontés à la surface, les plongeurs du Jialong ont « agité le drapeau chinois et envoyé leurs voeux à la mère-patrie », selon Chine nouvelle.

La descente la plus profonde jamais effectuée par un sous-marin remonte à 1960 lorsqu’un vaisseau de la marine américaine avait atteint le fond de la Fosse des Mariannes, à environ 11.000 mètres sous la surface.

En mars dernier, le cinéaste américain James Cameron, réalisateur du « Titanic », avait fait une descente en solitaire à près de 11.000 mètres dans la même fosse.


© 2012 AFP

 

NEEMO : la NASA lance sa 16e mission sous-marine

Info rédaction, publiée le 13 juin 2012

La 16e mission NEEMO de la NASA a débuté. Elle est emmenée par une équipe internationale de spécialistes des expéditions sous-marines et vise à passer 12 jours sous l’océan Atlantique afin de tester les concepts destinés à réaliser une mission vers un astéroïde à l’horizon de 2025.

La NASA compte bien pousser l’exploration spatiale toujours plus loin et elle le prouve encore. Hier, elle a ainsi lancé sa 16e mission sous-marine NEEMO (NASA Extreme Environment Mission Operations ) dont l’équipage est composé notamment de quatre spécialistes des expéditions sous-marines baptisés « aquanautes ». Leur séjour sous l’océan Atlantique, dans le laboratoire Aquarius de l’Administration américaine océanique et atmosphérique, doit durer 12 jours et devrait leur permettre d’évaluer les concepts d’une mission habitée potentielle vers un astéroïde.

Situé au large des côtes de Key Largo en Floride par 19 mètres de fond, l’Aquarius Lab permet aux membres de l’équipage de NEEMO de se confronter à des conditions comparables à celles qu’on rencontre dans l’espace. L’agence spatiale américaine envoie ainsi régulièrement des astronautes, des ingénieurs et des chercheurs y passer un petit séjour. L’isolement et la microgravité qui règnent au fond de l’océan permettent en effet aux aquanautes d’étudier et de tester des techniques en vue des futures explorations d’astéroïdes, souligne la NASA. « L’eau est une bonne manière de libérer son corps et de se mettre à explorer une autre façon de bouger. Alors que nous sommes si coincés en marchant sur Terre, c’est agréable de flotter et de tournoyer comme dans l’espace« , témoigne ainsi Dottie Metcalf-Lindenburger qui commande la mission.

Cette 16e expédition se concentre sur trois aspects des futurs vols vers un astéroïde : les délais dans la transmission des communications, les techniques d’attache et la taille optimale d’un équipage. Toutefois, la première mission avec des astronautes vers un astéroïde n’est prévue que pour 2025. L’équipage de la mission NEEMO 16 commandée par Dottie Metcalf-Lindenburger est complétée par une astronaute de la NASA accompagnée de Timothy Peake, de l’Agence spatiale européenne (ESA), de Kimiya Yui de la Japan Aerospace Exploration Agency et de Steven Squyres, professeur d’astronomie à l’Université Cornell de New York.

Les astéroïdes, ces corps rocheux menaçants

Cela fait longtemps que la NASA nourrit le projet d’envoyer un jour des hommes visiter un astéroïde. En effet, ces corps irréguliers composés de roches et de métaux sont considérés par certains comme une menace pour la Terre dans la mesure où plusieurs l’ont déjà frappée par le passé, « causant des extinctions massives« , souligne Steven Squyres qui évoque notamment le cas des dinosaures. Mais les astéroïdes pourraient aussi receler de précieuses informations sur l’histoire du système solaire et la manière de le protéger. Autant de raisons qui poussent la NASA à s’intéresser à ces corps.

Néanmoins, envoyer des robots pourraient ne pas suffire pour en apprendre davantage. D’où le projet de mener des missions d’exploration d’astéroïdes afin notamment de réaliser des prélèvements bien plus efficacement qu’un robot pourrait le faire. Selon Dottie Metcalf-Lindenburger, dès que la NASA aura trouvé le moyen d’atteindre et d’explorer ces corps, les volontaires seront donc nombreux à vouloir y aller. « L’homme est un explorateur par nature. Et nous faisons cela depuis très, très longtemps« , relève t-elle dans une interview accordée à npr.org.

Vidéo youtube, complémentaire à l’article investigations océanographique et oanis

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Anomalie sous la Baltique : « Ce n’est pas un jeu  » selon l’équipe Ocean X

Info envoyée par Lt Lafayette – Source : http://truthfall.com/- Traduction Era pour Area51blog

Aujourd’hui, le chef de l’équipe OceanX  Dennis Aasberg a donné une autre déclaration courte mais très intéressante sur les efforts de l’équipage pour faire la lumière sur l’objet de la mer Baltique mystérieux qui a échappé à toutes les tentatives raisonnables de l’identification jusqu’à présent.

 « Tout est top secret maintenant… en raison des risques … espérons que vous comprenez tous que ce n’est pas un jeu. Mais la vérité sera rapportée dans peu de temps « -. Dennis Aasberg

Un OANI accélère sous les vagues – Images fixes du documentaire de History Channel

Il n’est pas indispensable de croire que cette hypothèse sur le point d’être partagée est l’explication définitive, mais elle devrait au moins être prise en compte avec toutes les autres.

Il existe beaucoup de rapports d’oanis à propos d’objets voyageant à grande vitesse sous l’eau avec des lumières visibles, incluant un rapport qui date d’aussi loin que Christophe Colomb. Ces objets sous-marins ont été signalés comme étant capables de glisser dans effort sous l’eau à grande vitesse.

Si vous avez un esprit ouvert au point de croire l’hypothèse extraterrestre, alors il y a une autre possibilité comme la façon dont les objets sont venus à être là où ils reposent maintenant. Mais d’abord, vous devez réaliser qu’il y a un troisième objet, qui n’est presque jamais mentionné dans les discussions et il se trouve à environ 5000 pieds plus loin des 2 anomalies.

Les possibles pistes de dérapage commencent à 1500 mètres (4,921 pieds) au sud et voyagent vers le nord où elles se terminent à chacune des deux   anomalies les plus connues. Au point de convergence de 1500 mètres il y a effectivement une autre anomalie qui ressemble à un énorme rocher d’environ 90 pieds de haut et 900 pieds de diamètre avec une grande fissure qui le traverse d’environ 120-180 pieds de large et 60 pieds de profondeur. Et oui, la direction de la fissure est la même  que les «pistes».

Et si l’objet était DÉJÀ sous l’eau ? Il a accéléré  dans l’eau et peut-être touché la  structure rocheuse sous-marine de 90 pieds de  haut  décrite ci-dessus – l’a frappée avec une telle force qu’elle a taillé la fissure profonde, puis devenu hors de contrôle avant de se séparer en 2 morceaux à 5000 pieds au nord du point d’impact (les deux pièces seraient les deux principales anomalies visibles que nous voyons dans les images sonar).

Plus de nouvelles de l’équipe sur leur page Facebook  : https://www.facebook.com/groups/178384865554985/

Découverte d’un calamar géant

Source:http://jack35.wordpress.com/

Al McGlashan est un habitué des grosses prises. Mais vendredi dernier, ce pêcheur australien a fait une rencontre qu’il n’imaginait probablement jamais faire: celle d’un calamar géant.

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Ces spécimens sont très rares et se font généralement très discrets, restant au plus profond des océans, suscitant depuis toujours divers mythes et légendes. On peut imaginer le choc qu’a dû ressentir McGlashan en découvrant la carcasse de ce monstre des mers flottant à la surface de l’eau à 50 km au large de Jervies dans le New South Wales !

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“Depuis que je fais ce métier -et j’ai passé plus de 200 jours à cet endroit de la mer- je n’ai jamais vu quelque chose comme ça !” a-t-il expliqué au Daily Telegraph. Glissant une caméra sous l’eau, les pêcheurs ont eu une autre surprise, celle d’un requin en train de manger la carcasse du calamar ! Le pêcheur, plus habitué à attraper le thon et l’espadon, a précisé que le calamar devait être mort depuis peu: “car quand nous l’avons trouvé, il ne sentait pas du tout fort et ses couleurs étaient encore vives. D’habitudes les calamars échoués sentent mauvais et deviennent tout blanc”.
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Un calamar géant peut atteindre une taille de 15 mètres de long mais celui-ci n’était probablement pas un adulte, il ne mesurait que 4 mètres sans ses tentacules, rapporte GrindTV. Les spécialistes supposent que ce calamar est mort suite à une attaque d’un cachalot, qui est son seul prédateur dans les mers car il est rare que les calamars remportent la partie face à ces autres géants des profondeurs. “Les cachalots sont beaucoup plus imposants, lourds et plus rapides dans l’eau, alors que les calamars sont lents”, affirme Mandy Reid de l’Australian Museum.
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La dernière fois qu’un calamar géant a été saisi, c’était en 2004, au sud de Tokyo, il mesurait 8 mètres de long ! Al McGlashan et ses amis n’ont pas pu ramener le calamar entier, mais ont prélevé des échantillons de sa carcasse et sa tête, afin de l’exposer dans un musée.
(Source : Libération)
 
vidéo reportage France 3 sur:  YOUTUBE
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Le requin-baleine par BBC Earth

Source image:http://shopping.requins.free.fr/

Article source: http://jack35.wordpress.com/

Au large des côtes du Venezuela, nous rencontrons le requin-baleine – le plus grand de tous les poissons dans l’océan. Dans cette vidéo, un banc de poissons sert d’appâts que va utiliser le requin-baleine comme un bouclier protecteur. Cependant, des développements inattendus sont sur le point d’avoir lieu lorsqu’il rencontre un thon jaune …

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Publié 10 juin 2012 par Sylv1 dans océanographie, time laps / vidéos

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Une floraison d’algues découverte sous les glaces de l’Arctique

Article source:http://jack35.wordpress.com/

Une mission de la Nasa a permis de découvrir une quantité énorme de phytoplancton, une algue vitale pour la chaîne alimentaire des océans, là où les scientifiques s’y attendaient le moins: sous les glaces de l’Arctique, révèle une étude publiée jeudi dans la revue Science.

Cette recherche s’est fondée sur des données recueillies à la fois par satellite et des relevés sur le terrain afin d’analyser cette source essentielle de nourriture pour de nombreuses créatures marines. 

La Nasa a envoyé une équipe de chercheurs prélever des échantillons des glaces recouvrant la mer des Tchouktches, qui borde la pointe nord-ouest du continent américain (Alaska). Ils ont ainsi découvert que les quantités de phytoplancton y étaient “extrêmement élevées, environ quatre fois plus grandes que dans les eaux ouvertes”. Il s’agit d’une “floraison massive sous la glace” qui semble s’étendre sur 100 kilomètres, selon l’étude.

Le phytoplancton apparaît en quantité plus rare et davantage en profondeur dans les eaux ouvertes, selon les dernières données de cette mission de la Nasa connue sous le nom d’Icescape. “En comparaison, le phytoplancton des eaux ouvertes était en quantité nettement plus faible que sous la glace, et meilleur à des profondeurs de 20 à 50 mètres en raison d’une réduction des nutriments à la surface”, précise l’étude. Cette recherche laisse penser que l’océan Arctique est plus productif que ce que l’on croyait, même si d’autres analyses seront nécessaires pour déterminer de quelle manière ce phytoplancton des glaces affecte les écosystèmes locaux.

(Source : Belga)

 

 

Rencontre Rapprochée à Seaside Heights dans le New Jersey

Cette image est une illustration

Un  article de KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS

Traduction Era pour Investigation Océanographique

2-7-04 SEASIDE HEIGHTS NEW JERSEY

Nous étions au bord de la promenade à Seaside Heights,  aussi loin dans l’océan, au bord de la jetée. C’était assez étrange. C’était juste une couverture nuageuse importante roulée en provenance de  l’océan, venant vers nous. En se rapprochant c’était juste différent. L’énorme nuage s’est approché de la digue et il s’est tourné vers notre droite, et a continué en direction du sud le long de la plage mais hors de l’eau. Nous pouvions facilement distinguer 6 à 8 émissions comme celles de turbines à l’arrière mais il n’y avait pas de son. Nous étions très proches mais le bruit de tous  les manèges et de la promenade était fort, avec les vagues de l’océan.

 Ce véhicule était le plus étonnant que j’ai jamais vu. A cause de la lourde couverture nuageuse qui en entourait la majeure partie. L’arrière avec ses émissions de type flammes était la seule partie claire. Il a plané de 3 à 4 bons mètres hors de l’eau. Il n’y avait pas d’autres nuages dans le ciel. C’était une nuit claire. Quand je dis qu’elle avait  6 à 8 émissions comme des  turbines  à l’arrière, la chose la plus proche pour comparer ces émissions serait comme l’extrémité d’un chalumeau au propane. Il s’agissait d’un véhicule assez grand. Il a plané sans effort, sans déplacer l’eau en dessous.

Il a continué lentement le long du rivage planant au-dessus de l’eau, de 22 à 30 bons mètres, depuis l’endroit où l’eau rencontre le sable, toujours en direction du Sud. Alors qu’il s’éloignait, l’échappement comme du feu était finalement couvert par les nuages. Nous l’avons observé avec étonnement jusqu’à ce qu’il soit hors de vue. Nous nous sommes regardés et nous avons demandé à l’autre  s’il avait vu ça. Nous avons tous deux acquiescé et nous n’en avons plus jamais parlé depuis. J’étais en admiration après l’avoir vu. Je sais que nous avons vu quelque chose de très étrange cette nuit-là. Je n’avais jamais rien vu de tel avant ou depuis.  Pour vous les gens de ce milieu vous auriez aimé ça. Je ne suis pas du milieu (ufologique) et j’étais reconnaissant et étonné de le  voir. Je ne suis pas sûr de comment je me serais senti s’il n’y avait pas eu quelqu’un d’autre qui a vu exactement ce que j’ai vu.

  REMARQUE : pas de photo remise par le témoin. L’image ci-dessus est une illustration.

Ce cas fait l’objet d’une enquête de Ken Pfeifer du  MUFON N.J.      

KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS

WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG

WWW.WORLDUFOPHOTOSANDNEWS.ORG

WWW.MUFONNJNEWS.COM

Bioluminescence: quand les vagues produisent une belle lumière bleue

Article source:http://ufoetnature.over-blog.com/

Comme nous l’expliquait Taki Bibelas, les vagues sont avant tout de l’énergie qui se transforme. Parfois, l’énergie des vagues peut se transformer en lumière par le phénomène de bioluminescence. C’est ce qu’illustre parfaitement cette magnifique image du photographe spécialiste de la vie marine Doug Perrine.

Cette photo a été prise en 2010 à Vaadhoo, une île de l’Atoll de Raa aux Maldives. Elle illustre la réaction chimique naturelle de bioluminescence qui est une luminosité naturelle, qui n’a donc rien à voir avec une lumière artificielle comme celle des planches de surf à diodes électroluminescentes.


Certains microorganismes du phytoplancton équivalents à des algues unicellulaires – les dinoflagellés de type Noctiluca – sont capables de bioluminescence quand leur membrane cellulaire est stimulée mécaniquement. Quand ils sont remués par les vagues ou par les courants marins, ils réagissent avec l’oxygène et produisent cette réaction bioluminescente.

La réaction consiste en l’oxydation de la luciférine catalysée par une enzyme: la luciférase qui aboutit à la création d’oxyluciférine et de photons lumineux. L’effet lumieux est d’autant plus spectaculaire que la concentration de dinoflagellés bioluminescents est importante.

C’est le même phénomène que nous avions pu admirer dans la magnifique vidéo de surf «Red Tide – Surfing Bioluminescence» postée sur Facebook.

Vidéo youtube:

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Ce phénomène rare au bord de l’eau survient pendant «les marées rouges» provoquées par l’accumulation de dinoflagellés «Noctiluca miliaris» et «Noctiluca scintillans» au cours d’épisodes d’efflorescence algale. D’aspect rougeâtre ou trouble en plein jour, ces «marées» rouges peuvent entraîner des phénomènes de bioluminescence la nuit. On peut observer des marées rouges en Californie, en Floride par exemple. Elles s’accompagnent généralement d’une forte odeur désagréable et d’une mortalité des poissons et autres animaux marins à cause de la déprivation en oxygène qu’elles entraînent et de leur toxicité. Pour le surfeur ou le baigneur, le contact avec la peau peut entraîner des irritations et l’inhalation d’air marin contaminé par certaines espèces de dinoflagellés peut entraîner des troubles respiratoires. Si certaines marées rouges sont d’origine naturelle, leur augmentation est probablement liée à la pollution côtière et aux rejets de l’agriculture notamment (tout comme pour les algues vertes) et au réchauffement de l’eau.

D’autres organismes marins brillent sous l’eau, notamment ceux qui vivent à des grandes profondeurs où la lumière pénètre moins. Pour en savoir plus sur la bioluminescence dans le milieu marin, je vous recommande cet excellent TEDx de la grande spécialiste de la bioluminescence Edith Widder qui nous explique comment la bioluminescence aide certaines créatures marines à se défendre, à communiquer, à attirer ou à repousser.

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Sources surf-prevention , zone nautique