INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
illustration de l’Atlantide Crédit : lewebpedagogique.com/
Lundi 27 août 2018:
Comme je l’indique dans mon premier livre ou certains de mes écrits, le problème lié à l’archéologie et à certains mystères commence par la datation afin d’obtenir une juste analyse et de surcroît une interprétation conforme à la réalité supposée.
Les chercheurs, les archéologues, les scientifiques pensaient avoir fait le tour de la question concernant la légende du philosophe grec Platon, mais voilà que de récentes découvertes remettent en cause un détail de l’histoire .
Cet article ci-dessous prouve, que plus nous remontons le temps plus l’exercice est difficile pour affirmer quoi que ce soit, car une découverte importante peut remettre en cause certains événements attribués un peu trop hâtivement à une époque et qui étaient pris pour acquis. Ceci a mené alors les recherches dans une certaine direction, sur une piste plus ou moins faussée à cause d’ interprétations hâtives.
Alors le mythe de l’Atlantide n’est pas près d’être résolu et surtout il continuera d’exister encore longtemps .
Il est indéniable que les recherches doivent continuer même si un doute existera toujours, comme c’est trop souvent le cas pour plusieurs sujets .
Ceci étant cet article ci-dessous est excellent.
Éruption de Santorin et Atlantide : nouveau rebondissement dans la datation.
Article source : futura-sciences.com/
Publié le 20/08/2018 par Laurent Sacco journaliste.
Longue saga, la datation de l’éruption de Santorin, il y a environ 3.500 ans, vient de connaître un nouvel épisode. En s’aidant de l’étude des cernes des arbres jusqu’en Californie, des chercheurs ont affiné les conclusions de la méthode au carbone 14. Leur estimation colle mieux avec les données archéologiques suggérant un lien avec le début de la chute de la civilisation minoenne.
Depuis des décennies, le mythique monde de l’Atlantide, dont parle le philosophe grec Platon dans deux de ses ouvrages, est considéré comme étant en fait la brillante civilisation minoenne, présente sur les îles de Crète et de Santorin, au sud de la Grèce, de 2700 à 1200 av. J.-C. environ. Elle a décliné vers 1500 av. J.-C. et il est tentant d’attribuer l’amorce de ce déclin à une éruption volcanique colossale effectivement survenue vers cette époque, qui nous a laissé l’archipel de Santorin et sa caldera, paradis des touristes en mer Égée, dans les Cyclades, à 186 kilomètres au sud-est de la Grèce continentale.
Cette éruption, presque de la classe de celle d’un supervolcan, a causé un énorme raz-de-marée dont les traces sont retrouvées en Crète et dans les îles environnantes, comme l’avait montré une des expéditions du commandant Cousteau, et bien plus loin encore. Mais il reste une grande imprécision sur la datation de cet évènement qui a certainement bouleversé l’histoire des peuples de la partie est des rivages de cette région, comme Futura l’expliquait dans le précédent article ci-dessous. Pire, jusqu’à présent, les dates estimées avec la méthode du carbone 14 combinée à la dendrochronologie n’étaient pas très compatibles avec les dates estimées par les archéologues. Ce hiatus remettait même en question le lien de causalité entre l’éruption de Santorin et le début de la chute de la civilisation minoenne.
L’éruption de Santorin aurait affecté le climat jusqu’en Californie
La situation vient peut-être de changer après la parution d’un article dans Science Advances par une équipe internationale de chercheurs menée par Charlotte Pearson, une dendrochronologiste de l’université d’Arizona. La méthode de datation au radiocarbone a des limites, notamment parce que la concentration de l’isotope 14 du carbone dans l’atmosphère varie légèrement selon l’activité du Soleil. Ses noyaux, en effet, sont produits par le flux de protons solaires frappant la haute atmosphère. La quantité initiale de carbone 14, brutalement fixée à la mort d’un organisme vivant, n’est donc pas toujours identique. En quelque sorte, nous avons des sabliers dont la quantité de sable du compartiment supérieur varie un peu de l’un à l’autre.
Pour rendre plus fiables ces horloges au carbone 14, les chercheurs mesurent aussi les quantités de radiocarbone dans les cernes des arbres, qui témoignent de leur croissance à un rythme annuel. Là aussi, des limites ont été trouvées, rendant imprécises les estimations de la datation de l’éruption de Santorin à partir des fragments de troncs d’arbres retrouvés dans les cendres du volcan.
Les anciennes sentinelles et les secrets enfermés dans leurs cernes.
L’éruption explosive du volcan Thera à Santorin, il ya plus de 3 400 ans, a enseveli la colonie minoenne de l’île dans une couche de cendre et de pierre ponce de plus de 40 mètres de profondeur. Les effets de l’éruption ont été ressentis aussi loin qu’en Egypte et dans l’actuelle Istanbul en Turquie.
Selon une nouvelle étude menée par l’Université de l’Arizona, de nouvelles analyses utilisant des anneaux d’arbre pourraient résoudre le débat de longue date sur le moment où Thera a éclaté en résolvant les divergences entre les méthodes archéologiques et les méthodes au radiocarbone.
« Il s’agit de lier une chronologie de l’Égypte ancienne, de la Grèce, de la Turquie et du reste de la Méditerranée à ce point critique du monde antique – ce que Thera peut faire », a déclaré l’auteur principale, Charlotte Pearson, professeure adjointe de dendrochronologie à Laboratoire UA de recherche sur les cernes.
Charlotte Pearson et ses collègues pensent avoir trouvé une nouvelle méthode pour réduire les imprécisions. Ils ont étudié les cernes de croissance des pins de Bristlecone (Pinus longaeva), des arbres d’Amérique du Nord et dont la longévité est de l’ordre de 5.000 ans, ainsi que des cernes de vieux chênes irlandais, donc à des milliers de kilomètres de Santorin. Deux cents échantillons de pins de Bristlecone trouvés en Californie et 85 échantillons de chênes au Nevada ont servi à l’étude. L’idée était de mettre en évidence un refroidissement important et transitoire du climatplanétaire, qui a dû se produire puisque cette éruption fut dix fois plus puissante que celle du Pinatubo en 1991, laquelle avait sensiblement abaissé les températures à l’échelle du Globe.
Les pins et les chênes étudiés montrent effectivement les signes d’un tel refroidissement, sous la forme de cernes plus étroits. L’observation conduit une nouvelle estimation de la date de l’éruption de Santorin. Elle se serait produite entre 1600 et 1525 av. J.-C, une période qui chevauche celle de 1570-1500 av. J.-C estimée à partir des preuves archéologiques.
CE QU’IL FAUT RETENIR
Le mythe de l’Atlantide est classiquement associé à l’éruption de Santorin il y a environ 3.500 ans, très violente et qui pourrait avoir entraîné le déclin de la civilisation minoenne, identifiée à celle des légendaires Atlantes.
Cependant, les datations basées sur le radiocarbone 14 ne coïncidaient pas avec les estimations des archéologues.
Une nouvelle approche, exploitant la dendochronologie, fait mieux correspondre les dates : entre 1600 et 1525 av. J.-C. pour l’éruption, et 1570-1500 av. J.-C. pour les archéologues.
Cette information ci-dessous aura certainement une réponse oridnaire au final.
Pour autant cela exclu-t-il autre chose pas encore examiné de près ?
Attendons de voir la suite.
Creuse : le mystère du poisson du lac de Vassivière reste entier
Source : france3-regions.francetvinfo.
Lundi 20 août 2018, une petite fille aurait été happée par un poisson dans le lac de Vassivière. Les réseaux sociaux se sont emballés mais l’incident aurait été amplifié par les parents de la victime. Le mystère reste néanmoins entier.
Paraexperience 2 : au cœur du paranormal Affiche salon du paranormal de Dijon .
Le samedi 08 septembre 2018 à 12h30 – salle 2 conférence OANI / OVNI , Enquête,méthode,réflexion.( première conférence du week-end) . Matisse sylvain.
Le dimanche 09 septembre 2018 à 15h30 – salle 3 conférence OANI : compléments d’investigation ( deuxième conférence du week-end qui présentera une petite partie de mon second livre qui devrait sortir cet automne). Matisse sylvain.
Mystère du triangle des Bermudes : l’hypothèse des vagues scélérates.
Article source : futura-sciences.com/
Par Jean Luc Goudet mis à jour le 17/08/2018
Et voilà une nouvelle explication au mystère du triangle des Bermudes. Même si cette région n’est pas plus dangereuse que n’importe quelle autre zone similaire de l’océan, la légende perdure. Cette fois, un océanographe accuse les vagues scélérates, ces murs d’eau mal expliqués qui ont effectivement coulé des navires et abîmé des plateformes pétrolières.
Dans un documentaire télévisé, dont il est coutumier, l’océanographe britannique Simon Boxall, de l’université de Southampton, a lancé une nouvelle hypothèse pour expliquer des disparitions de navires dans cette zone de l’océan Atlantique formant un triangle entre les îles Bermudes, la pointe de la Floride et l’île de Porto Rico. Depuis les années 1960, le « mystère du triangle des Bermudes » agrémente les conversations, fait vendre des livres et des articles de journaux, assure le succès d’émissions de télévision et attire des internautes sur des vidéos ou vers des illuminés. À chaque nouvelle hypothèse, il est de bon ton d’affirmer que « le mystère du triangle des Bermudes est (ou est peut-être) résolu ». Nous allons donc nous aussi affirmer que le mystère du triangle des Bermudes est peut-être résolu après la désignation d’un nouveau suspect.
Accusé par Simon Boxall, le mis en examen n’est pas extraterrestre et n’a pas commis ses crimes avec une arme réalisée grâce à une physique inconnue. La météorologie particulière de la région engendrerait un nombre élevé de vagues scélérates, explique le scientifique. Ces « murs d’eau », comme ils sont souvent décrits, se rencontrant au large, peuvent atteindre 30 mètres. Pour simplifier, ce sont des vagues abruptes et bien plus hautes que toutes les autres, au sein d’un mouvement de surface apparemment normal. Leurs dimensions les rendent capables de détruire ou de faire chavirer des navires de grandes tailles.
Le triangle des Bermudes attend d’autres hypothèses
Longtemps, les témoignages de marins sont restés trop imprécis pour que le phénomène, très rare et inexplicable, puisse être étudié sérieusement. La physique les considérait comme quasiment impossibles. Mais le premier janvier 1995, une vague de ce genre, de 20 mètres, a frappé une plateforme pétrolière, Draupner, en mer du Nord, et a pu être précisément mesurée. Des études ont fait progresser la compréhension de ce phénomène exceptionnel, grâce aux mathématiques ou par simulation à l’aide de la lumière ou de l’hélium liquide. Une vague plus haute que les autres peut apparaître au sein d’une ondulation. La question est de savoir s’il est possible de prévoir un tel événement isolé ou, au moins, le risque d’en rencontrer un. Leur fréquence pourrait être plus élevée que ce qui était supposé, d’après une étude publiée en mars 2017, basée sur l’observation de la vague Andrea, qui avait touché la plateforme Ekofisk, en mer du Nord.
Le saviez-vous ?
Une vague est dite scélérate si sa hauteur (du creux à la crête) dépasse 2,1 fois la hauteur spécifique (en gros la hauteur moyenne) des vagues aux alentours.
Pour Simon Boxall, des conditions orageuses particulières conduiraient à la formation plus fréquente qu’ailleurs de vagues scélérates. Cependant, la répartition de ces vagues géantes à l’échelle du Globe reste mal connue. Apparemment, il n’est pas fait mention dans la littérature scientifique sur la question d’un nombre plus important de tels phénomènes dans cette région de l’Atlantique. Rappelons (comme cela a été dit des milliers de fois depuis les années 1960) que cette zone n’est pas considérée comme particulièrement dangereuse pour la navigation maritime. Les assureurs ne réclament pas de primes plus importantes pour des navires qui la traversent. Par ailleurs, l’explication de l’océanographe de Southampton ne vaut pas pour les avions, dont la légende dit qu’ils disparaissent aussi. La porte reste donc ouverte pour de nouvelles hypothèses. Rendez-vous à la prochaine…
CE QU’IL FAUT RETENIR
Un océanographe émet l’hypothèse que des vagues scélérates pourraient expliquer la disparition de navires dans le triangle des Bermudes.
L’idée, intéressante, manque de soutien observationnel.
Le photographe japonais de la vie marine, Ryo Minemizu, concentre son objectif sur certaines des formes de vie les plus petites et les plus abondantes de nos océans.
Sa série Phénomènes explore la diversité des couleurs extravagantes du plancton et qui est filmée dans les eaux sombres de la mer d’Osezaki, près du mont Fuji et d’autres côtes du Japon, des Philippines et des Maldives.
Pour capturer les petites créatures, Minemizu fixe sa vitesse d’obturation à une fraction de seconde tout en s’assurant que ses propres mouvements ne perturbent pas les organismes environnants.
« Le plancton symbolise combien la vie est précieuse par leur petite existence », explique-t-il. « Je voulais que d’autres personnes les voient comme ils sont dans la mer, c’était donc ma motivation depuis le début de photographier le plancton sous l’eau, ce qui est tout un défi. La plupart des planctons sont petits et leurs mouvements sont difficiles à prévoir. «
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
Encore une chose que j’avais prévu, c’est à dire outre les drones, les robots ,les hologrammes prennent une place de plus en plus importante dans les observations insolites. Ceci n’arrange pas nos affaires soit dit en passant. Des méprises en perspective à venir avec ces nouveaux gadgets qui seront noyés dans la masse avec les véritables OANIS et OVNIS !
Les robots qui se transforment vont à leur tour arriver, ce n’est qu’une simple question de temps , une formalité dans l’univers que l’homme construit à tort ou à raison, pour le spectacle, le commerce ou la guerre !
Nous franchissons un cap technologique, alors il serait de bon augure de franchir un cap dans la conscience et l’intelligence à l’opposé de la capacité intellectuelle qui se résume bien souvent au profit et ne s’encombre pas de sentiments ou de valeurs humaines. Tant que cela rapporte !
Vidéo phenotiks Evolution Ajoutée le 24 juil. 2017 sur Youtube
Le Sphyrna est équipé de nombreux capteurs pour étudier la faune marine. (Photo: AFP)
Depuis la mi-juillet, le Sphyrna navigue au large des côtes de Toulon (sud de la France).
Un drone à l’allure de pirogue polynésienne est équipé de micros sous-marins pour enregistrer les sons émis par les cachalots. Grâce au Sphyrna, les scientifiques espèrent décrypter leurs déplacements pour mieux protéger ces espèces menacées.
Des cliquetis résonnent à intervalles réguliers puis s’accélèrent: derrière les oscillations qui s’affichent sur son ordinateur, Hervé Glotin, chercheur en bioacoustique à l’université de Toulon, ne cache pas sa surprise d’entendre aussi distinctement grâce au drone le passage d’un cachalot enregistré au large de la rade.
Le mammifère, quasi invisible, passe plus de 95% de son temps sous l’eau à plus de 1000 mètres de profondeur dans la plus totale obscurité et l’étude acoustique reste encore le meilleur moyen de connaître ce cétacé, qui se…