Archives de décembre 2012
bonne année 2013
Un monstre marin dans la nuit
Source image: nepthtys.centerblog.net
Article source: garytomysteres.skyrock.com
Volontaires pour une opération de survie, deux parachutistes britanniques, le capitaine John Ridgway et le sergent Chay Blyth, mirent 92 jours pour traverser l’Atlantique à la rame dans un bateau de 6 m, en 1966.
Avant l’aube du 25 juillet, le sergent étant endormi, Ridgway, lui-même somnolent, pesait machinalement sur les rames, quand quelque chose troubla la paix nocturne.Ridgway en fit le récit suivant :
« Je sursautai, brusquement alerté par une sorte de glissement à tribord. Je regardai dans l’eau et vis soudain la forme ondulante et sinueuse d’un grand animal marin.
Ses contours se trouvaient soulignés par la phosphorescence de l’océan et comme cernés d’une guirlande de lumières au néon.
Il était d’une taille énorme, quelques 10 m ou plus de long, et se dirigeait vers moi à vive allure.
J’ai dû l’observer environ 10 secondes. Il fonça droit sur moi puis disparut sous le bateau. »
Paralysé par l’apparition, le capitaine cessa de ramer. Il chercha des yeux l’animal mais ne vit rien. Puis, quelques secondes après, il entendit le bruit d’un « gigantesque plongeon ». Il pensa que le monstre marin avait refait surface pour à nouveau s’immerger.Les deux militaires avaient rencontré des requins, des dauphins, des tortues de mer, des poissons volants et toutes sortes d’animaux marins au cours de leur périple. Mais, Ridgway affirma que cette créature ne ressemblait à aucun de ces animaux.
A son retour, il conclut son aventure ainsi :
« Je peux dire, que j’ai vu un « serpent de mer » de mes propres yeux et que, désormais, je ne suis plus sceptique. »
Un robot solaire pour mieux comprendre le réchauffement climatique
Article source: http://jack35.wordpress.com
La tendance actuelle est au remplacement des hommes par des robots dans le travail sous-marin de longue haleine. Fonctionnant entièrement à l’énergie solaire, l’une de ces machines a dessiné une carte en 3D de la glace de l’Antarctique, d’où une meilleure estimation du volume total de glace dans la région et plus largement une meilleure compréhension des impacts du réchauffement climatique.
Afin d’aller au delà des mesures satellitaires classiques, les chercheurs australiens ont utilisé un appareil autonome sous-marin (AUV) pour cartographier les dessous de la glace, pendant qu’un hélicoptère s’occupait de la cartographie 3D de la surface. « Dans le passé, nous avons pris des mesures en ligne en perçant l’épaisseur de la glace ou en l’observant depuis un bateau, mais avec l’AUV, nous pouvons maintenant utiliser un sonar multi-faisceaux pour mesurer la banquise en détail », a commenté Guy Williams, chef du projet Antarctic Climate and Ecosystems Cooperative Research Center, cité par Treehugger.com.
Mieux comprendre et mesurer plus précisément les effets du réchauffementclimatique
« L’épaisseur de la glace est considérée par les climatologues comme l’un desindicateurs essentiels du réchauffement climatique », a de son côté rappelé le chercheur Jan Lieser dans un communiqué. Et de renchérir : « Quand on sait comment l’épaisseur de la couverture de glace se transforme au fil du temps, on peut estimer l’influence du réchauffement climatique mondial sur l’environnementen Antarctique. »
Pour rappel, la banquise arctique s’est littéralement effondrée cette année, rendant très plausible la perspective de sa disparition pure et simple en période estivale à moyen terme. La biodiversité de la région apparaît plus menacée que jamais. Il serait intéressant que le robot se penche aussi sur le cas de l’autre Pôle…
(Source : Knowtex)
Bilan 2012 de investigations océanographique et OANIS
Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2012 de ce blog.
En voici un extrait :
19.000 personnes étaient présentes au nouveau Barclays Center pour voir Jay-Z. Ce blog a été vu 130 000 fois en 2012. S’il était un concert au Barclays Center, il faudrait 7 spectacles pour que tous puissent y assister.
Cliquez ici pour voir le rapport complet.
Revivez les temps forts de la septième semaine de course du Vendée Globe 2012-2013. Alors que François Gabart sur Macif et Armel le Cleac’h sur banque Populaire naviguent à vue dans le Pacifique Sud, Bernard Stamm sur Cheminée Poujoulat doit faire escale dans la Baie de Dunedin pour réparer son hydrogénérateur.
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Revivez les temps forts du jeudi 27 décembre, 48ème jour de course sur le Vendée Globe 2012-2013.
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La vie est-elle apparue dans les fumeurs noirs ?
Edito:
sylv1 adm:
La face cachée de l’iceberg
26/12/2012, 20h50:
Si certaines personnes se demandent encore pourquoi j’ ai inclus le milieu marin dans mes recherches ufologiques, mieux encore , concernant l’éventualité d’une vie ailleurs que sur Terre sachant que je ne suis pas scientifique, la collecte d’informations fiables recueillies dans cette filière via ce genre d’article ci dessous, apporte de l’eau à mon moulin.
Toutes ces données qui se confirment de fil en aiguille, déboucheront , j’en suis convaincu à des recherches réorientées côté missions spatiales à caractère biochimique et biologique…
Sans être scientifique ou professionnel, cette collecte spécifique suffit à mon sens à ouvrir les yeux des plus sceptiques sur des thèmes rationnels, ainsi par la suite , nous pourrons les amener à accepter l’existence possible des O.V.N.I. s , pouvant être d’origine extraterrestre. C’est dans cet ordre et par cette méthode que je m’inscris pour divulguer le possible !
Connaître son environnement pour mieux appréhender ce qui se trame à l’extérieur.
La vie est apparue dans les océans, mais comment ? Une nouvelle étude suggère qu’elle aurait émergé des cheminées hydrothermales en profondeur, ces mystérieux fumeurs noirs, d’où elle se serait ensuite échappée…
Les profondeurs des océans cachent bien des mystères. Il se pourrait même que ce qui se passe à plus de 4.000 m de profondeur soit à l’origine de la vie ! À proximité des dorsales océaniques, sous l’effet de la tectonique des plaques, se forment des sources hydrothermales, souvent nommées fumeurs. Ce sont des sortes de cheminées qui éjectent un fluide très chaud, porté à plus de 350 °C. Deux types de fumeurs existent, les noirs et les blancs : une distinction due à la nature du fluide qu’ils éjectent. Un fumeur noir émet un fluide sulfureux, ferreux et riche en manganèse. À une telle profondeur, il n’y a pas de lumière, donc pas de photosynthèse. Pourtant, en 1977, le submersible américain Alvin découvrait que la vie abonde autour de ces fumerolles.
Cette découverte avait à l’époque profondément chamboulé les connaissances de la biologie. Il était alors difficile d’envisager que la vie macroscopique puisse se développer sans lumière. Depuis, la recherche a avancé et ces fumeurs sont désormais au centre des recherches sur l’origine de la vie. De la roche, de l’eau, un fluide basique (d’un pH supérieur à 7) et riche en hydrogène : c’est une excellente recette pour que la vie puisse apparaître, d’après quelques laboratoires de recherche. Nick Lanede l’University College London (Londres, Royaume-Uni) et William F. Martinde l’université de Düsseldorf (Allemagne) avancent que les premières cellules vivantes sont apparues autour des fumerolles et se sont échappées par la suite pour se développer dans le reste de l’océan.
L’étude, publiée dans le journal Cell, se base sur l’analyse de bactéries et d’archées qui vivent dans des conditions extrêmes. « Leur biochimie semble émerger des conditions de vie au niveau des fumeurs », explique Nick Lane. Les deux chercheurs pensent que la vie est apparue grâce aux pompes ioniques des cellules, des protéines qui régulent le flux d’ions à travers la membrane de la cellule.
Un mécanisme naturel de variation ionique
L’énergie dont a besoin un organisme pour vivre est issue de l’adénosine-5′-triphosphate (ATP). Cette molécule centrale du métabolisme cellulaire représente un vecteur d’énergie. Pour la produire et la stocker, il existe dans les cellules une enzyme, l’ATP synthase, que l’on trouve chez les bactéries, les archées, ainsi que dans les mitochondries des cellules d’eucaryotes et des chloroplastes des végétaux. Elle catalyse la synthèse d’ATP en se servant de l’énergie tirée de la différence de concentration d’ions de part et d’autre d’une membrane. Mais pour qu’il y ait un flux, il faut qu’il y ait un gradient, une différence de concentration, entre le milieu extérieur et la cellule. La présence d’un gradient de concentration nécessite des protéines capables de pomper activement les ions dans la cellule, faute de quoi l’équilibre ionique entre le milieu extérieur et l’intérieur de la cellule serait vite atteint.
Nick Lane et Bill Martin pensent que lorsque l’eau à pH basique à proximité des cheminées entre en contact avec l’eau plus acide de l’océan, une variation naturelle de la concentration en protons se produit. Sur les parois des fumeurs, on trouve de fines couches minérales poreuses riches ensulfures de fer et aux propriétés catalytiques. Cette multitude de cavités microscopiques fournirait de bonnes conditions pour convertir du dioxyde de carbone et de l’hydrogène en molécules organiques. Ces dernières peuvent réagir entre elles pour former des molécules clés de la vie, comme lesnucléotides ou les acides aminés. Les cavités favoriseraient des variations du taux de protons et concentreraient les molécules organiques simples, permettant ainsi la synthèse de structures organiques plus complexes.
Ces protocellules, minérales, auraient donc abrité les premiers signes de vie sur Terre. Elles auraient conduit à la mise en place des réactions biochimiques de base exploitant un gradient de concentration ionique pour la formation de l’ATP. Ce mécanisme aurait ensuite pu fonctionner de part et d’autre d’une membrane, ces protocellules pouvant alors se passer des fumeurs. Les bactéries et les archées vivant en conditions extrêmes utilisent justement des protéines qui contiennent du sulfure de fer pour convertir l’hydrogène et le dioxyde de carbone en molécules organiques.
« Académicien Trechnikov » : le premier voyage vers l’Antarctique
Article source:http://french.ruvr.ru
Grigori Milenine
24.12.2012, 15:04, heure de Moscou
L’Antarctique va faire connaissance avec un nouveau navire de recherche russe, l’« Académicien Trechnikov ». C’est le premier grand voyage de celui-ci : il durera cent onze jours pendant lesquels l’équipage va tester la tenue à la mer du bateau et les chercheurs la performance des équipements.L’« Académicien Trechnikov » est un « soldat universel » de l’Expédition antarctique russe qui est présente toute l’année en Antarctique. Outre onze laboratoires de recherche à bord du navire, celui-ci transporte des tonnes et de charges de toute sorte et peut même servir de porte-hélicoptère capable d’accueillir deux KA-32.Ces caractéristiques hors du commun offrent de nouvelles opportunités aux chercheurs russes spécialistes de l’Arctique et de l’Antarctique, est convaincu le directeur du département de la région d’Ivanovo de la Société géographique russe, Oleg Volynkine.« Auparavant il fallait prendre l’avion pour se rendre dans les stations polaires, utiliser les navires pour y livrer du gasoil ou des matériaux de construction. Il fallait y envoyer un navire de recherche avec les chercheurs. Désormais tout cela est à bord d’un seul navire mais avant on pouvait seulement y rêver. L’Antarctique est un continent exceptionnel de notre planète et il y reste beaucoup à explorer. Et voici que ce navire offre de belles perspectives pour la recherche dans cette région »Au début de l’année en cours les chercheurs russes ont achevé le forage des glaces antarctiques après avoir atteint les eaux du lac Vostok qui se trouve sous la couche de glaces. Le lac est aujourd’hui au cœur de toutes les attentions. Cette réussite des chercheurs russes pourra avoir un rôle fondamental dans l’étude du climat de notre planète, est convaincu le directeur de l’Institut océanographique d’Etat, Alexandre Postnov.« Le lac Vostok est aujourd’hui tel qu’il était il y a quelques millions d’années. En l’étudiant on pourra faire plusieurs conclusions et avoir de nouvelles informations quant au climat de notre planète et plus globalement de l’environnement que celle-ci avait il y a des centaines de milliers d’années. Cela est important pour la paléoclimatologie et permettra éventuellement de faire les prévisions climatiques »Les laboratoires de l’« Académicien Trechnikov » permettent de réaliser des études complexes. Les chercheurs espèrent plusieurs découvertes grâce à l’équipement scientifique du bateau. Lesquelles ? On le saura peut-être dès avril prochain lorsque l’« Académicien Trechnikov » sera de retour à Saint-Pétersbourg. |
Joyeuses Fêtes
Note adm:
24/12/2012, 11h10:
Nous sommes embarqués dans cette aventure depuis le 21 Janvier 2012.
Le moment est venu de conclure cette année en vous souhaitant nos voeux.
Merci de votre fidélité . De notre côté , nous levons le pied en cette période de fêtes, avant de mettre le cap pour de nouvelles destinations l’an prochain , avec les O.A.N.I.s d’une part, et l’avancée scientifique d’autre-part.
Revivez les temps forts du samedi 22 décembre, 43ème jour de course sur le Vendée Globe 2012-2013.
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