INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
J’ai l’immense plaisir de vous informer que le prochain repas ufologique/LaPorteduTemps aura lieu le samedi 1er avril 2017
En cette occasion nous recevons
Matisse Sylvain qui nous parlera des observations aquatiques
Présentation :
Je présenterai les OVNI et le milieu marin ainsi que les OANI car il convient de différencier les choses qui sont observées que dans l’eau et celles qui sont capables de se mouvoir aussi bien dans l’espace marin que aérien, ou interstellaire.
Peut-on accorder « systématiquement « la même provenance à ces différentes manifestations ?
Certaines zones sous-marines abritent-elles des choses non conventionnelles? Si oui viennent elles d’ailleurs?
Mes recherches sont axées principalement sur ces interrogations. Mon premier ouvrage intitulé O.A.N.I / O.V.N.I, enquête méthode réflexion édité par les éditions Saint – Martin, synthétise la base de mes recherches. Un second ouvrage (la suite) est en cours.
Je serais accompagné d’Emmanuelle connue sous le pseudo Era du blog AREA 51.
Après mon temps de parole, les gens présents au repas pourront également s’exprimer. ( témoins, enquêteurs, passionnés ou curieux) tout le monde pourra à son gré participer. Nous aurons ainsi un échange d’informations.
Voici nos références ci-dessous:
.Les sites web en ligne liés à l’ufologie et à la recherche.
Le mythe de l’Atlantide renaîtrait-il de ses cendres?
Une découverte publiée en février 2015 remettait l’atlantide au goût du jour. A ce jour, un article publié par GENTSIDE (avec une petite vidéo) ci dessous relance cette information qui remonte à deux ans. Pourquoi cet intérêt soudain de la part de ce site scientifique? Voilà une bonne question. En tout cas l’honnêteté de ce site web fait « peur! » Je l’ai remarqué plusieurs fois et ils se permettent de mettre un copyright en s’appropriant l’article, gonflée quand même cette Émeline Ferard!
Beaucoup de choses ont été dites ou écrites concernant les écrits de Platon, attendons patiemment la suite.
article source :Gentside
Publié par Émeline Ferard, le 20 février 2017
Selon un quotidien italien, une équipe d’archéologues a découvert au large de la ville de Gela en Sicile, 47 lingots composés d’orichalque, le métal légendaire associé à l’Atlantide. Deux casques et des amphores ont également été mis au jour. Plus de 2.000 ans après, le mythe de l’Atlantide continue d’intriguer à travers le monde. Et il suffit d’une simple découverte pour remettre la légende sur le devant de la scène. C’est ce que vient de révéler le quotidien italien Corriere del Mezzogiorno. Début février, des plongeurs de la police financière de Palerme ont en effet réalisé une remarquable trouvaille archéologique au large de la Sicile.
le o5 février dèja Maxime Lambert avait publié, (voir lien ci-dessous)
Jean-Yves Le Drian à Ollioules – ANNE-CHRISTINE POUJOULAT crédit photo: 20minutes.fr
Article source:20minutes.fr
DEFENSE –Le ministre de la Défense est venu inaugurer l’immense site d’Ollioules du géant de l’industrie navale militaire …
Mathilde Ceilles
Publié le 23.02.2017 à 17:55
Mis à jour le 23.02.2017 à 17:55
Bienvenue dans la guerre 2.0 ! Depuis maintenant plus d’un an, la commune d’Ollioules dans le Var accueille l’entreprise de défense DCNS. A l’intérieur, un décor digne des films de science-fiction : ordinateurs, écrans tactiles et logiciels dernier cri. Ce concentré de technologie a été officiellement inauguré ce mercredi par Jean-Yves Le Drian. Mise au point.
C’est quoi ?
L’entreprise DCNS est le leader européen du naval de défense. Le groupe français est notamment connu pour concevoir et réaliser des sous-marins. Mais le site d’Ollioules a pour vocation d’abriter l’ensemble des activités de recherche et développement du groupe, notamment en matière de numérique. Plus précisément, ce nouveau centre est consacré à la conception et l’intégration des systèmes de mission, en particulier toute l’informatique embarquée à bord des navires et sous-marins produits par DCNS.
Airbus veut créer des drones taxis dès 2017 crédit: bilan.ch/
Document ONERA cliquez sur l’image pour accéder au document
Ce document au format PDF de l‘ONERA afin d’avoir une base sérieuse concernant l’historique des drones ainsi que leurs performances suivant les spécimens.
Ce support peut s’avérer fort utile pour nos recherches et pour les ufologues afin de distinguer les appareils existants, plus ou moins connus et performants pour avoir éventuellement un avis adéquat suivant les cas.
Mise à jour investigations ufoetscience, le : 16/02/2017 à :19h05.
PUBLIÉ LE 10/02/2017 À 06H56, MIS À JOUR LE 10/02/2017 À 12H53
Deux bombardiers russes de type Tu-160 Blackjack ont été interceptés aux larges des côtes françaises jeudi 9 février. Ils ont notamment été escortés par deux Mirage 2000-5. Les bombardiers russes n’en sont pas à leur coup d’essai.
Nos capacités de défense ne sont -elles pas mises à l’épreuve ? La Russie n’espionne-t-elle pas nos installations et notre capacité de réaction par la même occasion?
Alors vu le contexte actuel, une guerre froide qui a repris de plus belle même si celle-ci n’ a jamais réellement cessée, nous pouvons légitimement nous interroger sur les réelles intentions de la Russie.
Je vais pousser le bouchon plus loin.
Les drones survolant nos sites nucléaires civils et militaires ne sont -ils pas aussi concernés?
L’origine même de ces survols intempestifs et échappant à en croire certains à notre contrôle sont-ils militaires d’origine russes , chinoises ou américaines ?
Les ufologues y voient une toute autre origine, ils pensent grandement à une intervention de type exogène.
Alors si nous restons attentifs à l’actualité de cet acabit, nous pourrions peut-être avoir des éléments de réponse . Si d’aventure, après cette énième incursion russe, dans quelques jours nos installations stratégiques étaient encore survolées par des « drones ».
Je remarque que peu de temps après, le survol d’avions russes près de nos côtes, au maximum sur une période d’un trimestre, suit des intrusions de » drones » indésirables sur notre territoire.
Je vous laisse messieurs et mes dames à votre propre analyse et réflexion.
Traduction à l’aide traducteurs en ligne Sylvain Matisse pour
La NASA découvre un organisme qui peut survivre 16 mois dans l’espace extra-atmosphérique. Des algues prouvent que leur capacité d’adaptation est exceptionnelle car elles sont capables de survivre 16 mois dans l’espace en dehors de la Station spatiale internationale. Les scientifiques à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ont récemment mené une expérience où ils ont laissé des algues libres dans le vide spatial pendant 16 mois complets. Et, étonnamment, ces simples plantes ont survécu à ce terrible voyage . Malgré les variations extrêmes de température, les rayons UV, le rayonnement cosmique et la durée incroyable de l’expérience, les algues ont été ramenées à bord encore en vie.
Les chercheurs à bord de l’ISS réalisent actuellement des expériences dans le cadre du projet Biomex (Biology and Mars Experiment). Au sein de cette expérience, des algues ont fait partie du projet. les savants ont testé la durabilité d’une catégorie d’algues qui sont connues pour aimer des températures négatives. Étant donné que le mélange des conditions extrêmes dans l’espace est impossible à reproduire exactement dans un environnement de laboratoire, l’équipage de l’ISS a utilisé leur emplacement pour mettre à l’épreuve ces espèces froides. Les scientifiques ont été étonnés des résultats.
Après l’expérience, les chercheurs à bord de l’ISS enverront ces échantillons d’algues sur Terre. Là, elles seront rigoureusement testées pour mesurer l’ampleur réelle que les températures et les rayons combinés ont eu comme impact sur elles. Cette information pourrait être cruciale pour les futures missions humaines en direction de la planète Mars. Cela pourrait contribuer et assurer la sécurité des astronautes et des aliments végétaux pouvant être consommés.
Cependant, au-delà des avantages positifs que cette recherche pourrait avoir sur les missions futures de l’homme dans l’espace, ceci pourrait également nous en dire un peu plus sur la vie extraterrestre. Selon beaucoup de gens, y compris le célèbre astrophysicien Neil Degrasse Tyson, pensant que nous sommes en quelque sorte les seules créatures vivantes dans l’univers ce serait « inexcusablement égocentrique. » Alors qu’auparavant, peu de gens auraient pensé que les plantes pourraient survivre à un séjour prolongé dans l’espace. Nous savons maintenant que c’est possible. Tandis que certains environnements dans l’espace peuvent paraître inhospitaliers, nous savons à présent, que la vie pourrait exister dans des endroits que nous n’aurions jamais soupçonné auparavant.
Depuis ce matin, les auditeurs nous parlent d’une lumière blanche aperçue hier aux alentours de 21 h dans l’est et le nord de l’île. Une lumière « étrange » qui se déplace d’avant en arrière, « non-identifiable » qui ne semble pas être un avion, ni un drone, ni un hélicoptère, et ni une étoile…
Photo de Dye-2 : Une base américaine désaffectée au Groenland crédit : misterzou74vtt.blogspot.fr/
Article source : fr.sputniknews.com
à 13h09 -le 03.02.2017 (mis à jour 13:17 03.02.2017)
À en juger d’après la carte de fonte des glaciers du Groenland publiée par la Nasa, le Camp Century, une des bases américaines les plus secrètes, dissimulée sous la banquise, abandonnée mais abritant toujours des déchets nucléaires et des armes biologiques et chimiques, menacerait d’émerger à cause du réchauffement climatique.
À la fin des années 1950, les États-Unis ont lancé le projet Iceworm (Ver de glace), destiné à stocker sous la banquise 600 missiles balistiques nucléaires à portée de tir de l’URSS. Pour ce faire, un gigantesque réseau de galeries (4 000 km) devait être creusé.
En 1958, environ 200 hommes étaient à pied d’œuvre. Mais après avoir creusé 3000 km de galeries et construit une base, les ingénieurs ont appris que les glaciers se déplaçaient de façon plus intense que prévu et qu’une menace de destruction imminente pesait sur le site.
En 1966, le projet Iceworm a été fermé, mais l’infrastructure et les équipements fournis sont restés sous la glace. Les archives déclassifiées du Pentagone témoignent que les Américains ont laissé sur place 200 000 litres de fuel et 240 000 litres d’eaux usées du réacteur nucléaire qui devait alimenter la base mais a été extrait.
Selon des chercheurs canadiens, la banquise dissimulant la base fond à une vitesse de 3 mètres par an. À ce rythme, le Camp Century devrait être mis au jour à partir de 2090 et tous les déchets pourraient être déversés dans l’océan.
Des voix s’élèvent exigeant une opération de nettoyage. La question est de savoir qui réalisera ce nettoyage et qui le financera, car tout porte à croire que le coût de creusage de la banquise et de récupération des déchets à plus de 30 mètres de profondeurs sera exorbitant.