INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Répondant ici même sur un commentaire, leTriangle des Bermudes est connu pour ces cas étranges.d’ailleurs il est surnommé le Triangle du diable.
Le Triangle des Bermudes se situe entre les Bermudes, Miami et San Juan, Puerto Rico.
Le mystère du Triangle des Bermudes a commencé en 1950. Un petit article paru décrivant les étranges disparitions de navires et d’avions. La zone a été nommée : Sea The Devil’s.
Une des disparitions des plus célèbres s’est produit en 1945. Vol 19 est une escadre de cinq bombardiers navales. Cinq avions prétendument disparus alors qu’ils survolaient le Triangle des Bermudes.Les deux avions qui ont entrepris de sauver le vol 19 ont également disparus et n’ont jamais été retrouvés. Les navires de guerre tels que le Cyclope USSet de la marine Sulpher Queen ont eux aussi disparus sans laisser de trace.
Comme pour toutes investigations, il convient d’exploiter d’abord les éléments rationnels en rassemblant les études géologiques, climatiques…
Les phénomènes naturels sont nombreux alors nous serons prudents à toutes interprétations hâtives…
Pouvons nous penser que les Bermudes révèlent autre chose que du conventionnel ?
Ce n’est pas interdit d’imaginer d’autres hypothèses, paradoxalement il faut faire attention aux amalgames directs, qui ne sont que des impressions ou de l’intuition.
Se fier à son instinct est bien , à condition de le soumettre à rude épreuve, par la suite les avancées peuvent s’envisagées.
Nous vous proposons un article ci-dessous. et un reportage vidéo ( youtube )
Le mystère du triangle des Bermudes commence en 1945, le 5 décembre avec la mystérieuse disparition d’une escadrille de 5 avions. En début d’après-midi, l’escadrille décolle pour une mission de routine. Les avions ont tous fait le plein de carburant et leurs instruments (compas, radios, …) fonctionnent parfaitement. Au retour de la missions, les transmissions radio des pilotes font états de problèmes et de phénomènes étranges, on perd ensuite le contact radio et l’escadrille ne reviendra jamais, on ne retrouvera pas les épaves. image source:abastrologie.com
Environnement Le triangle des Bermudes vu depuis Tioumenhttp://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59430.htmDes chercheurs de la région de Tioumen ont leur propre explication du mystère entourant le triangle des Bermudes. C’est ce qui a été révélé lors d’une conférence au thème pourtant bien éloigné, de prime abord, du sujet, puisqu’elle s’intitulait « Géologie et richesse en pétrole et en gaz du méga-bassin de Sibérie occidentale ». Selon Anatoli Nesterov, directeur adjoint de l’Institut de la cryosphère de la Terre, dépendant de la Section sibérienne de l’Académie des sciences russe, le phénomène observé dans les Bermudes est lié à l’accumulation d’hydrates de gaz dans les eaux de l’Atlantique.Dans le fond de l’Atlantique, dans la région des Bahamas, de la Floride et des îles Bermudes, sont concentrées d’énormes quantités d’hydrates de gaz, d’après Anatoli Nesterov. Lorsqu’il s’y produit des mouvements de terrain, il se forme des fractures tectoniques et des hydrates de gaz commencent à se décomposer. Il se dégage alors du gaz ». Si un navire tombe dans ce milieu, poursuit le chercheur, en raison de la brusque baisse de la densité de l’eau, il est attiré vers le fond. Le même effet destructeur s’observe lorsqu’un avion est pris dans un nuage de méthane, formé par le dégagement de ce gaz dans l’atmosphère ; en conséquence, l’avion s’écrase.Cette hypothèse, convient Anatoli Nesterov, n’est pas prouvée scientifiquement, pour l’instant. Mais la présence d’amas d’hydrates de gaz dans les eaux de l’Atlantique a été confirmée lors du programme américain de forage à de grandes profondeurs réalisé au milieu des années 80. Les hydrates sont, rappelons-le des combinaisons solides, qui se constituent à partir du méthane et de l’eau, dans certaines conditions de température et de pression. Ils se rencontrent principalement dans les océans et les régions septentrionales de merzlota [1].Les hydrates naturels, qui contiennent du méthane, ont été découverts en URSS. En 1965, Youri Magakon, un jeune chercheur de l’Université Goubine, avait fait état de la possibilité de l’existence de gisements d’hydrates de gaz à l’état naturel. Un an et demi après, était découvert le gisement de Messoyarskoyé, au-delà du Cercle polaire. Jusqu’au milieu des années 80, un programme d’étude des hydrates de gaz a été conduit en URSS. Les spécialistes estiment aujourd’hui que les réserves de gaz se trouvant dans les hydrates de gaz naturels sont supérieures d’au moins une centaine de fois à celles prospectées dans les gisements de gaz traditionnel. Plus de 220 gisements d’hydrates de gaz ont été découverts. Ils pourraient suppléer demain les réserves de gaz naturel.Replacée dans ce contexte de l’existence à l’état naturel, dans les océans, d’énormes quantités d’hydrates de gaz, l’hypothèse d’Anatoli Nesterov mérite pleinement d’être prise en considération.
Sir Richard Branson passe à l’étape suivante avec sous-marin baptisé Virgin Oceanic. Il vient d’annoncer, la création d’une entreprise à part entière du même nom, qui promet de faire de la plongée dans les plus profonds des cinq océans de la Terre, le tout dans les deux prochaines années. Le sous-marin a été conçu par Graham Hawkes et sera piloté par Chris gallois sur sa première plongée au fond de la fosse des Mariannes cette année. Ils sont tous deux des partenaires de Branson, et Branson lui-même ira visiter la fosse de Porto Rico lors de la seconde mission. Sans surprises, l’un des objectifs de l’équipe est d’établir un record du monde, mais ils ont également l’intention de mener des recherches scientifiques en cours de route, et sont déjà en train de réfléchir à la prochaine génération de véhicules qui pourraient recueillir des échantillons et permettre des recherches plus étendues.
Le sous-marin de la classe Kilo destiné au Vietnam impressionne l’OTAN
Le concept de trous noirs dans l’Univers nous est familier. Des générations entières de chercheurs se consacrent à l’étude de la nature physique de ce phénomène. Et les experts militaires se sont mis récemment à évoqué un nouveau phénomène : celui «des trous noirs dans l’océan».
A la différence des trous dans l’Univers, il s’agit d’une métaphore. C’est ainsi que les spécialistes de l’OTAN ont surnommé les sous-marins diesel-électriques du projet 636 et de la classe Kilo. Leur navigation silencieuse, qui les rend difficiles à détecter, leur a valu ce surnom, explique Viktor Litovkine, expert militaire et rédacteur en chef adjoint deNezavisimoïe voiennoïe obozrenie (Revue militaire indépendante).
«Ce sont de très bons sous-marins avec un bon équipement militaire à bord : des torpilles, des mines et des missiles. Ils sont équipés de systèmes de missiles antinavire supersoniquesClub, qui ont déjà fait leurs preuves sur les sous-marins fournis à la marine indienne par la Russie».
Les sous-marins de la classe Kilo sont une modification duVarchavianka que l’URSS a commencé à construire pour l’exportation il y a 30 ans. Les sous-marins de la classe Kilo conservent les principales caractéristiques et l’architecture des sous-marinsVarchavianka, mais leur équipement électronique est tout à fait moderne. En immersion, ces navires peuvent atteindre une vitesse de 37 km/h, descendre à 300 mètres de profondeur avec une autonomie maximale de 45 jours.
Deux de ces sous-marins seront expédiés au Vietnam courant 2013. Construits à Saint-Pétersbourg, ils ont été mis à l’eau pour des tests en mer Baltique. Au total, en vertu du contrat russo-vietnamien, le pays devrait recevoir six sous-marins de la classe Kilo. Ce contrat dont d’un montant de deux milliards de dollars, devrait être finalisé d’ici à 2016.
« Il est difficile de surestimer l’importance de ces sous-marins pour le Vietnam »,commente Viktor Litovkine. « Grâce à ces navires, ce pays pourra défendre efficacement ses eaux territoriales, sa zone économique maritime, ses îles et ses plateformes pétrolières. La flotte classique et la flotte sous-marine doivent agir ensemble. Les navires de surface doivent être protégés par les forces sous-marines. Et vice-versa : la sortie des sous-marins en mer doit être protégée par les navires en surface, surtout s’il s’agit d’une sortie dans des eaux éloignées».
Le Vietnam est un partenaire traditionnel de la Russie dans le domaine de la coopération militaro-technique. La part de la Russie sur le marché des armements du Vietnam s’est montée à 90% au cours de la dernière décennie. Les armuriers russes ont un carnet de commandes étrangères chargé. Mais le problème de l’approvisionnement de l’armée russe et de la marine reste primordial.
Le cas de la livraison de sous-marins au Vietnam est un cas exceptionnel, en principe les commandes nationales passent devant les commandes étrangères. T
Mise à jour investigationocéanographique et oanis, le : 27/02/2013, 18h10.
Nous vous proposons un projet de type nouveau concernant la classe des submersibles.
Un extrait de l’article de Le point . fr publié Par JEAN GUISNEL le 18 mai 2010, pour le SMX 24 la suite sera à lire sur le site de cette même source.
De même pour la présentation du SMX 25, artilce du télégramme.com.(du 27 octobre 2010).
D’ après DCNS, Au sein d’une force navale, le SMX-25 est plutôt vu comme un éclaireur, chargé par exemple de recueillir des renseignements, ou bien, grâce à ses moyens d’action vers la terre (nettoyage de plages par des commandos ou frappes contre des cibles terrestre via ses missiles de croisière) de préparer une zone à l’arrivée d’une force de projection. Il n’est, en revanche, pas optimisé pour le combat sous-marin, sa dotation, défensive, se limitant à quatre torpilles prêtes à tirer dans quatre tubes situés à la proue.
source:lepoint.fr/
Dans sa revue Naval Experts, la société DCNS revient sur son concept de sous-marin du futur, le SMX 24, dont nous publions ci-dessous quelques images conçues sur ordinateur. Ce « gros » sous-marin (3.500 tonnes), qui n’existe pour l’instant qu’au stade de projet et cherche encore son premier client, présente la particularité d’être modulaire et adaptable à toutes sortes de missions. Suite
Mi-bateau, mi-submersible, le SMX-25, imaginé par le bureau d’ingénierie de DCNS Lorient, a été présenté en avant-première au salon Euronaval du Bourget. (crédit DCNS)
DCNS-Lorient (56). Un sous-marin de surface présenté à Euronaval
C’est le dernier né des bureaux d’ingénierie de DCNS Lorient: SMX-25 a été présenté en avant-première au salon Euronaval du Bourget. Le concept? Un sous-marin de surface.
SMX-25. Un nom futuriste pour un projet qui ne l’est pas moins: un sous-marin de surface aussi rapide sur l’eau qu’efficace en plongée. Mi-bateau, mi-submersible, SMX-25, sorti tout droit de l’imagination des ingénieurs de DCNS Lorient, veut marquer les esprits. «On s’impose tous les deux ans un projet un peu provocateur. Ce salon est le moment idéal pour sortir des sentiers battus», affirme Xavier Itard, le directeur de la ligne de produit sous-marins de DCNS, en marge du rendez-vous international.Une vitesse record La première tôle de ce bâtiment, de 109 mètres de long pour un déplacement de 2.800 tonnes en surface (4.700 en plongée), n’est sans doute pas prête d’être découpée. «Mais ce concept peut exprimer un besoin du marché et l’intérêt de futurs clients».SMX-25, c’est d’abord un monstre de rapidité. Le bâtiment, avec sa carène profilée (en perce-vagues) et spécialement adaptée à la navigation de surface, est capable d’atteindre des vitesses de 38 noeuds. Un record pour un sous-marin conventionnel qui atteint en général péniblement 8à 10 noeuds. Puissant, le sous-marin, manoeuvré par 27 hommes d’équipage, revendique aussi une autonomie de 2.000 milles nautiques. «Avec ce bâtiment, doté d’une propulsion de trois hydrojets et de trois turbines à gaz, on veut changer l’ordre des choses». Dans l’esprit des ingénieurs, SMX-25 devient l’avant-garde d’une force navale, capable de se déployer rapidement sur une zone de conflit. Discret et d’une réelle furtivité (sa signature radar ne dépasse pas celle d’un bateau de pêche en surface), le bâtiment se révèle redoutable pour faire du renseignement ou utiliser ses 16 missiles de croisière antiaériens, terrestres ou contre des navires. Sa plateforme d’ascenseur de 7 mètres peut servir de force de projection à des commandos ou de rampe de lancement à des drones aériens et sous-marins.
Les géologues ont découvert les restes d’un micro-continent préhistorique baptisé Mauritia sous une épaisse couche de lave à plusieurs milliers de mètres sous l’Océan indien et l’île Maurice.
Ce fragment de continent s’est détaché voici quelque 60 millions d’années de l’actuelle Madagascar, au moment où cette grande île dérivait en s’éloignant de l’Inde. Il a été recouvert depuis lors par d’énormes quantités de lave remontée du coeur de la Terre, suggère cette étude publiée dans la revue scientifique britannique Nature Geoscience.
L’île Maurice quant à elle s’est formée récemment, il y a 8 millions d’années suite à une activité volcanique.
Source :
Mise à jour Investigation Oceanographique et Oanis 25-2-2013 A 12:45
Ce documentaire Arté voir( résumé en texte ci-dessous) est à visionner , surtout pour les passionnés de la mer.
Vidéo youtube
Publiée le 22 déc. 2012
Les mers froides regorgent de vie et de diversité. Les coraux, que les scientifiques ne pensaient pouvoir observer que dans les eaux chaudes, baignées de soleil, peuvent également se développer en eaux froide comme le montre ce documentaire animal. Certains coraux se retrouvent même à plusieurs centaines de mètres sous la mer, privés de lumière. Cette diversité surprenante a entrainé une équipe d’exploration dans le cercle arctique, afin de découvrir de nouvelles espèces de coraux jusqu’ici encore inconnues. Les scientifiques devront plonger parmi les iceberg lors du documentaire, et se méfier des ours blancs mais aussi des morses, qui en imposent avec leurs défenses. Plus profondément sous l’océan arctique, la mer grouille de krill et d’autres espèces qui composent le plancton. Les coraux d’eau froide vivent à des profondeurs comprises entre 100 et plusieurs milliers de mètres, dans des eaux comprises entre 4°C et 10°C. La nourriture n’est pas abondante toute l’année bien que, contrairement à nos croyances, la biodiversité soit beaucoup plus riche en eaux froides que dans les mers chaudes. En 2002, au large de la Norvège, on a découvert le « Rost Riff », qui a une superficie de plusieurs centaine de mètres carrés, c’est dans cette zone que les plongeurs vont se mettre à l’eau pour vous faire découvrir de superbes images de leurs plongées sous marines. C’est au large des « îles Lofoten » que les explorateurs vont réaliser des prises de vues sous marines d’une beauté exceptionnelle, d’autant plus qu’on ne s’attend pas à trouver une telle diversité de coraux dans cet environnement hostile pour l’Homme, c’est d’ailleurs l’objet de ce documentaire animalier que de nous faire découvrir les animaux des mers froides. Le récif de Rost est situé à une profondeur de 300m, ce qui n’est pas accessible par des plongeurs, c’est donc un robot qui va filmer cette myriade d’animaux et de végétaux qui se développent dans les profondeurs des mers froides. Ce sont de vraies chimères que vous pourrez admirer, tout comme les gorgones et les méduses et autres animaux rares.
Une créature, ressemblant à une Lamproie marine, fut capturée et tuée par deux pêcheurs dans une rivière du New Jersey.
La chose étonnante est la taille. En général, la taille moyenne est de 50 à 70 cm de long, 90 pour les plus beaux spécimens.
Anguilliforme, brun ou gris sur le dos et blanc ou en gris sur le dessous, ce poisson atteint jusqu’à 90 cm (et autrefois 1m selon les témoignages du xixe ou début xxe siècle). Les Lamproies adultes s’attaquent à une grande variété de poissons en utilisant leur ventouse buccale pour se coller à la peau d’un poisson. Leurs dents peuvent râper la peau et les écailles et pénétrer la chair du poisson. La lamproie peut ensuite aspirer les fluides de la chair du poisson parasité, sa salive contenant des anticoagulants.
Les victimes peuvent mourir d’une perte excessive de sang ou d’infection.
S’ agit t’ il d’ une exception, d’ une nouvelle espèce, ou bien, comme certains l’ évoquent, un mutant ?
Depuis plusieurs semaines, des animaux morts avaient étés découverts sur les rives.
Information à prendre avec beaucoup de pincettes, source non vérifiée.
(crédits photo : Julian Gutt, Alfred Wegener Institute)
Article source: maxisciences.com
Publié le 20 février 2013 par Emmanuel Perrin
Des chercheurs de Institut Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine, en Allemagne, viennent de finaliser une base de données répertoriant les étranges créatures vivant dans les profondeurs de l’océan Antarctique.
Quel genre de créatures peuvent se permettre de peupler des zones aussi hostiles que les profondeurs de l’océan Antarctique ? Pour le savoir, une équipe de chercheurs de Institut Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine, en Allemagne, se sont attelés à créer une base de données en ligne recensant toutes les espèces répertoriées dans la région. La collection se limite pour le moment à la faune macrobenthique, à savoir tous les organismes vivant sur les fonds marins, à près de 800 mètres de profondeur, et assez grands pour être visibles à l’œil nu.
Le catalogue, présenté dans la revue Nature, décrit en détail des spécimens étranges appartenant à la famille des échinodermes, des éponges, des crustacés et même de certains poissons. Ces derniers sont spécifiquement adaptés à la vie en eaux glaciales grâce à des protéines antigel présentes dans leur sang et des fluides corporels. La base de données s’appuie sur des informations récoltées au cours de 90 expéditions différentes depuis 1956. Les photographies sous-marines remontent quant à elles au milieu des années 1980.
Chaque espèce est géoréférencée en fonction de la zone précise où elle a été observée. « Le plus grand intérêt de cette archivage, est que les données ont été recueillies sur plusieurs années et par diverses institutions. Elles sont maintenant non seulement disponibles gratuitement pour quiconque souhaite les télécharger et les utiliser, mais également bien documentées pour faciliter leurs réutilisation dans de futures études » explique dans un communiqué Julian Gutt, directeur du projet.
Un outil précieux pour définir des aires protégées en Antarctique
La collection, au premier abord à destination des chercheurs et des professionnels de la biodiversité, devrait s’avérer également un outil précieux pour aider les autorités à définir des aires marines protégée et notamment en mer de Ross. L’an dernier, les Etats-Unis avaient présenté une proposition visant à préserver la région couvrant près d’1,8 millions de kilomètres carrés. Celle-ci prévoit notamment de limiter la pêche à certaines zones de la baie afin de préserver l’habitat d’espèces emblématiques comme les baleines et les manchots empereurs tout en maintenant des stocks viables de poissons ayant une valeur commerciale.
La proposition, appuyée par la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni, a été mise de côté lors de la réunion de la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l’Antarctique qui s’est tenue à Hobart, en Australie. Toutefois, la question devrait être abordée de nouveau lors d’une session spéciale en Allemagne.
Retrouvez nous sur http://france3brest2012.fr/ : les ambiances, les instantanés, les coulisses, l’équipe de France 3 Bretagne vous fait vivre les temps forts du festival Brest 2012, comme si vous y étiez. Dans le sillage des grands voiliers qui rallient Douarnenez depuis Brest, s’achèvent les tonnerres de Brest 2012. Un spectacle haut en couleur et en émotion pour les marins, mais pas seulement.