INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Ce topique comporte deux articles. Le premier je l’ai écrit , le second appartient au média Science-Post. J’ai ajouté un documentaire ( vidéo) de la chaîne TV Arte. Cette vidéo explique les minéraux , les roches et le rapport avec l’eau.
Reportage instructif autant que le second article celui de science -post.
Bonne journée à vous .
Les pierres précieuses pourraient-elles abriter la vie ?
Lundi 17/12/2018 à 12h45.
Lorsque j’ai ouvert cette rubrique un peu spéciale la raison était simple.
En quête de recherches d’êtres vivants ailleurs que sur notre planète faut-il encore avoir été en mesure de dénicher et répertorier les formes de vie pas encore découvertes au sein même de notre propre planète terre.
Nous ne pouvons pas en effet nous projeter précisément sur un portrait robot type si nous nous référons à la vie sur notre planète pour la simple et bonne raison que sur terre elle existe sur différentes formes et de sur croit dans des milieux variés plus ou moins arides .
Alors nous avons quelques pistes puisque la vie existe au niveau microscopique, puis végétal et animal.
Mais cet article ci-dessous vient compléter en théorie que le vivant dans la matière minérale n’est pas à…
Rebord de carbonate sur le côté du monticule en Z. Du liquide s’écoule hors du bord et s’accumule en dessous. Le fluide est à 290 °C et est en contact sur quelques millimètres avec de l’eau de mer à 2 °C. Cette interface entre deux fluides ayant des indices de réfraction différents produit une sorte de miroir réfléchissant semblable au miroitement de la surface. Crédits : Schmidt Ocean Institute
Un nouvel écosystème océanique unique découvert parmi des cheminées hydrothermales.
Article source: trustmyscience.com
Thomas Boisson
Les profondeurs océaniques restent le milieu le moins exploré et connu sur Terre. Certaines parties du Système solaire étant elles-mêmes mieux documentées que les fonds marins. Au fond des océans, les sources hydrothermales sont des milieux extrêmement propices à la vie. Et c’est un de ces milieux qu’une équipe américano-mexicaine a récemment découvert. Sa particularité ? Il abrite un écosystème tout à fait unique.
Au plus profond de l’océan, dans l’obscurité, les scientifiques ont découvert un nouveau champ de sources hydrothermales, qui héberge un écosystème unique en son genre, avec une pléthore d’espèces encore jamais observées. Il porte le nom de Jaich Maa et se trouve dans le bassin de Pescadero, à l’extrémité sud du golfe de Californie, à 3800 m de profondeur. Il a été découvert et exploré par des scientifiques d’un certain nombre d’institutions des États-Unis et du Mexique.
Jaich Maa : un milieu océanique hydrothermal unique
Les cheminées hydrothermales sont des fissures ou des cheminées dans le fond de la mer qui dégagent de la chaleur en raison d’une activité souterraine, généralement de type volcanique. Ce sont également des oasis riches en nutriments pour la vie des fonds marins. De nombreuses bactéries s’y nourrissent de l’énergie chimique produite par le sulfure d’hydrogène qui s’échappe de ces cheminées, un processus appelé chimiosynthèse.
Parmi les champs hydrothermaux, le Jaich Maa, récemment découvert, semble être unique. Plusieurs monticules de calcite, s’élevant à 25 m du fond marin, ventilent des fluides dont la température peut atteindre 287 °C. Le plus important d’entre eux s’appelle Tay Ujaa, et verse des fluides hydrothermaux dans un bassin à l’envers.
Cette vidéo présente les fonds hydrothermaux et les cheminées du bassin du Pescadero .
« Tay Ujaa nous a enchantés avec sa caverne construite par précipitation hydrothermale de calcite » explique Bekah Shepard, océanologue au Schmidt Ocean Institute. « Une véritable caverne qui contenait un bassin d’eau scintillante avant de s’échapper du rebord dans une chute d’eau à l’envers ».
Le fluide hydrothermal a une température d’environ 290 °C et l’eau de mer avec laquelle il est en contact n’est que de 2 °C. Étant donné que ces deux températures entraînent des indices de réfraction différents, répartis sur une couche mince, l’eau semble miroiter. C’est cette caractéristique qui a donné son nom au champ. Jaich Maa signifie « métal liquide » dans la langue de l’ancien peuple autochtone qui vivait à proximité du Mexique.
Jaich Maa n’est pas loin de la terre, mais ce n’est pas vraiment un environnement hospitalier. Les humains doivent faire face au manque d’oxygène, à la pression océanique et aux températures extrêmes. Ce n’est que depuis quelques années que les progrès de la technologie robotique ont permis une exploration détaillée de tels environnements sous-marins. Un certain nombre de véhicules télécommandés ont été déployés pour examiner de plus près le terrain.
« Nouvelles espèces, nouveaux comportements, microbes bleus ?! Nous étions encore en train de découvrir de nouvelles espèces sur le terrain lors de la dernière plongée et, comme vous pouvez l’imaginer, nous sommes tout à fait convaincus qu’il y a encore de nouvelles choses à découvrir » affirme Shepard. « Ces sites hydrothermaux accueillent diverses communautés, mais une poignée d’animaux semblent dominer : les vers tubicoles Oasisia, les anémones et les vers bleus brillants ».
L’un des comportements, une interaction jamais vue auparavant entre deux vers à grande échelle, a été qualifié de « passionnant », et il reste encore beaucoup à faire pour répertorier toutes les nouvelles espèces, ainsi que pour comprendre ce que signifient ces nouveaux comportements et pourquoi les microbes découverts possèdent ces teintes bleutées.
Une cartographie intense, y compris une cartographie thermique, a révélé la présence d’un flux de magma complexe sous le plancher du bassin de Pescadero, qui nécessite également des investigations supplémentaires.
« L’océan profond est toujours l’une des frontières les moins explorées du système solaire. Les cartes de notre planète ne sont pas aussi détaillées que celles de Mercure, Vénus, Mars ou la Lune, car il est difficile de cartographier les fonds marins. C’est une véritable frontière » conclut Robert Zierenberg, géologue à l’Université de Californie.
Alors que mon second ouvrage arrive pour le début de l’an prochain, en janvier 2019 si tout se passe comme prévu, je glisse ici un article que j’ai réalisé pour le site web Terra-Humais de mon ami Laurent Forelli .
Li’idée parmi la somme d’informations recueillies ça et là est de mûrir la réflexion concernant certaines facettes plus ou moins connues et dont la réalité des faits n’est pas toujours évidente à percevoir.
Il y a matière à explorer tant que nous sommes attentifs et clairvoyants d’une certaine manière. En dépit de cela, c’est notre motivation propre qui permet de travailler sereinement et avec détermination.
C’est comme tout le monde j’ai des gens qui me suivent et apprécient mes travaux, d’autres non,mais personne ne peut me reprocher la sincérité qui me joue parfois des tours, la franchise et l’honnêteté ont aussi leur revers de la médaille.
Ce n’est pas un problème puisque l’objectif de mon investissement personnel est double. D’abord,celui d’aviser le plus grand nombre de personnes possible concernant certains mystères cachés sciemment par ceux qui savent , ceux qui dirigent ce monde. Egalement, je ne perd jamais de vue l’autre objectif , celui qui conduit à des résultats. ô combien même que les résultats soient négatifs, prenons le bon côté en nous disant qu’au moins nous avançons dans notre petit périple , notre exploration ainsi que nos investigations au sens le plus large du terme.
Le plus difficile sans doute dans ce genre d’exercice est de garder la tête froide en ne nous laissant pas embarquer par nos émotions ou nos seules intuitions tout en étant conscient que cela fait également parti des règles , au moins dans une certaine mesure.
Un indice concernant mon prochain ouvrage qui est la suite logique du premier( Tome2). J’ai volontairement laissé la parole à travers mes tribunes libre à d’autres personnes que dans le premier opus car c’est important que d’autres s’expriment . Ceci est l’une de mes petites touches personnelles.
Un tome 3 est prévu vous en saurez un petit peu plus en lisant le tome 2.
Tant d’éléments inexplorés et insoupçonnés par une partie de la population doit émerger et je m’attache particulièrement à cela.
J’ai donné le ton lors de ma dernière intervention publique au repas ufologique parisien ( en viso-conférence) en livrant un certain nombre d’indices concernant mes recherches , mon second livre et quelques principes de base qu’il convient d’intégrer si nous voulons avant tout être efficace et crédible.
Je vous laisse le soin de lire mon fameux article publié au mois de septembre 2018 sur Terra-Humanis en cliquant sur Lire.
Article source : nationalgeographic.fr publié par Laurent Ballesta
Personne n’avait jamais plongé aussi profondément sous les glaces de l’Antarctique. Notre photographe révèle un univers coloré et plein de vie.
Au matin, nous arrivons à pied depuis la base scientifique française Dumont-d’Urville, en terre Adélie, dans l’Antarctique de l’Est. Puis nous brisons la fine couche de glace qui s’est formée sur le trou foré la veille. L’ouverture traverse la banquise épaisse de 3 m avant d’atteindre la mer. Elle est juste assez large pour un homme. Jamais nous n’avons plongé par un orifice si étroit. Je m’y faufile le premier.
Alors que je pénètre enfin dans l’eau glacée, je regarde en arrière. Vision d’angoisse : l’orifice commence déjà à se refermer. La surface inférieure de la banquise est formée d’une épaisse boue de cristaux de glace flottants, que ma descente a mise en mouvement et qui afflue vers le trou. Lorsque j’enfonce un bras dans la bouillie de glace, celle-ci fait presque 1 m d’épaisseur. Je saisis la corde de sécurité pour ressortir au plus vite. Je dois me hisser centimètre par centimètre, mais mes épaules se coincent. Soudain, je reçois un coup violent sur la tête. La pelle de Cédric Gentil, un camarade de plongée qui tente de m’aider en cassant la glace, a heurté mon crâne. Enfin, une main attrape la mienne et me tire à l’air libre. Cette plongée est terminée – mais nous en avons réalisé trente-deux.
Vidéo en bonus afin d’agrémenter cet article dont la suite est à lire à la source même.
AusAntarctic
Ajoutée le 20 déc. 2016 sur Youtube
Cette vidéo filmée par un drone du gouvernement australien montre la diversité et l’abondance de la vie au fond de l’océan à 30 mètres sous la couche protectrice de glace de la banquise dans l’Antarctique.
Un robot sous-marin du gouvernement australien a filmé un rare aperçu sous la banquise antarctique, révélant un monde coloré et prospère rempli d’éponges en forme de noix de coco, de vers ressemblant à des pissenlits, d’algues roses incrustées et d’étoiles de mer araignées. Les images ont été enregistrées sur une caméra reliée à un véhicule télécommandé (ROV) déployé par des scientifiques de la division antarctique australienne sous la glace de mer dans la baie O’Brien, près de la station de recherche Casey dans l’Antarctique oriental.
La température de l’eau recouverte par plus d’1 m 50 de glace ne dépasse pas 1,5° durant l’année sur une période de 10 mois environ .
Article source : futura-sciences.com par Marc Zaffagni – Publié le 02/12/2018
Journaliste
La Chine prévoit de construire une base sous-marine robotisée Selon un article du South China Morning Post, des scientifiques de l’Académie chinoise des sciences prévoient de construire une base sous-marine de recherche et de défense en mer de Chine méridionale. Et ils veulent qu’elle soit entièrement pilotée par des robots. L’idée serait venue à l’instigation du président chinois Xi Jinping qui aurait lancé un défi aux scientifiques en leur demandant d’accomplir quelque chose qui n’a encore jamais été fait. Située entre 6.000 et 11.000 mètres de profondeur, la base aura des plates-formes d’amarrage à partir desquelles des sous-marins robotiques partiront pour des missions exploratoires afin de recueillir des données sur les formes de vie marines. Ils prélèveront également des échantillons de minéraux que la base sera capable d’analyser de façon autonome. Le coût de cette base est estimé à 160 millions de dollars.