INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Article source : nationalgeographic.fr publié par Laurent Ballesta
Personne n’avait jamais plongé aussi profondément sous les glaces de l’Antarctique. Notre photographe révèle un univers coloré et plein de vie.
Au matin, nous arrivons à pied depuis la base scientifique française Dumont-d’Urville, en terre Adélie, dans l’Antarctique de l’Est. Puis nous brisons la fine couche de glace qui s’est formée sur le trou foré la veille. L’ouverture traverse la banquise épaisse de 3 m avant d’atteindre la mer. Elle est juste assez large pour un homme. Jamais nous n’avons plongé par un orifice si étroit. Je m’y faufile le premier.
Alors que je pénètre enfin dans l’eau glacée, je regarde en arrière. Vision d’angoisse : l’orifice commence déjà à se refermer. La surface inférieure de la banquise est formée d’une épaisse boue de cristaux de glace flottants, que ma descente a mise en mouvement et qui afflue vers le trou. Lorsque j’enfonce un bras dans la bouillie de glace, celle-ci fait presque 1 m d’épaisseur. Je saisis la corde de sécurité pour ressortir au plus vite. Je dois me hisser centimètre par centimètre, mais mes épaules se coincent. Soudain, je reçois un coup violent sur la tête. La pelle de Cédric Gentil, un camarade de plongée qui tente de m’aider en cassant la glace, a heurté mon crâne. Enfin, une main attrape la mienne et me tire à l’air libre. Cette plongée est terminée – mais nous en avons réalisé trente-deux.
Vidéo en bonus afin d’agrémenter cet article dont la suite est à lire à la source même.
AusAntarctic
Ajoutée le 20 déc. 2016 sur Youtube
Cette vidéo filmée par un drone du gouvernement australien montre la diversité et l’abondance de la vie au fond de l’océan à 30 mètres sous la couche protectrice de glace de la banquise dans l’Antarctique.
Un robot sous-marin du gouvernement australien a filmé un rare aperçu sous la banquise antarctique, révélant un monde coloré et prospère rempli d’éponges en forme de noix de coco, de vers ressemblant à des pissenlits, d’algues roses incrustées et d’étoiles de mer araignées. Les images ont été enregistrées sur une caméra reliée à un véhicule télécommandé (ROV) déployé par des scientifiques de la division antarctique australienne sous la glace de mer dans la baie O’Brien, près de la station de recherche Casey dans l’Antarctique oriental.
La température de l’eau recouverte par plus d’1 m 50 de glace ne dépasse pas 1,5° durant l’année sur une période de 10 mois environ .
On pourrait croire que l’eau n’a plus de secret pour nous, habitants de la Planète bleue. Et pourtant, des chercheurs viennent de mettre en évidence un nouvel état de la matière, prédit depuis plus de 20 ans par la théorie : l’eau superionique. Cette glace aux propriétés étranges est introuvable sur Terre.
L’eau n’aura décidément pas fini de nous surprendre. La voilà qui s’invite dans les laboratoires sous forme de glace d’eau superionique. Il s’agit d’un état de la matièreparticulier obtenu dans des conditions de très hautes température et pression, où la glace d’eau est à la fois solide et liquide : en l’occurrence 5.000 K et 190 GPa, soit deux millions de fois la pression atmosphérique ! Ce sont les conditions qui règnent au centre de la Terre.
L’eau superionique n’existe pas naturellement sur notre planète, mais elle pourrait se trouver dans cet état dans le manteau des planètes géantes de glace, telles Uranus et Neptune. Son existence, prévue depuis les années 1980 par la théorie, corroborée ensuite par des simulations numériquesen 1999, a enfin été confirmée expérimentalement par des physiciens américains : Marius Millot et ses collègues du Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL), de l’université de Californie, à Berkeley, et de l’université de Rochester, dans l’État de New York.
Au terme de quatre années de mesure et d’analyse de données, les chercheurs ont publié la découverte dans Nature Physics. « Notre travail fournit une preuve expérimentale de l’existence de l’eau superionique et montre que ces prédictions n’étaient pas dues à des artefacts dans les simulations », rapporte Marius Millot dans un communiqué du LLNL.
Une glace d’eau mi-solide mi-liquide dans le manteau des planètes glacées
Les simulations numériques de 1999 constituaient déjà un exploit pour l’époque, où la puissance de calcul était beaucoup plus faible. Par ailleurs, des limitations technologiques empêchaient les expériences en laboratoire. Aujourd’hui, de telles barrières sont tombées : Marius Millot et ses collègues sont parvenus à créer de l’eau superionique en comprimant un échantillon d’eau entre deux pointes de diamants.
Le procédé, appelé cellule à enclumes de diamants, a permis d’augmenter la pression jusqu’à 2,5 GPa, soit 25.000 atmosphères, et de créer une glace d’eau, dite glace VII, un type de glace parmi une quinzaine connus, qui est 60 % plus dense que l’eau. Ensuite, la glace VII a été bombardée par un laser. Une fraction de seconde a suffi pour que la température atteigne 5.000 K et la pression 190 GPa. L’eau superionique s’est formée avant de fondre, à peine 10 à 20 nanosecondes plus tard.
Soumise à ces conditions extrêmes, l’eau, de formule brute H2O (deux atomes d’hydrogène liés à un atome d’oxygène), voit ses propriétés changer et elle devient « superionique ». La chaleuraffaiblit les liaisons entre hydrogène et oxygène au sein des molécules d’eau, tandis que la pression maintient les atomes d’oxygène figés dans un alignement cristallin, c’est-à-dire solide. Les ions hydrogène (rien d’autre que des protons) se mettent donc à circuler librement dans le réseau cristallin d’oxygène, comme un liquide.
Grâce au déplacement des particules chargées, l’eau superionique est conductrice, sauf que contrairement à un métal, l’électricité circule par l’intermédiaire des particules chargées positivement, ici les protons, au lieu des électrons. Si l’on parvient à obtenir de l’eau à l’état superionique dans des conditions moins contraignantes, une application sera donc envisageable en électronique, notamment pour faire des batteries.
Cette découverte expérimentale intéresse également l’astronomie. Elle pourrait alimenter les modèles sur la dynamique et la structure interne des géantes glacées de notre système solaire, ainsi que des exoplanètes similaires, car les conditions extrêmes reproduites en laboratoire par Marius Millot et son équipe sont celles qui règnent au sein d’Uranus et de Neptune. Les résultats tendent à montrer que l’eau serait présente dans le manteau de ces planètes à l’état superionique, ce qui permettrait d’ailleurs d’expliquer leur champ magnétique étrange.
En outre, cette preuve expérimentale confirme la fiabilité des modélisations numériques et leur capacité prédictive : d’autres états exotiques de la matière et d’autres voies de recherche pourraient être envisagés grâce à des simulations.
Le saviez-vous ?
D’autres substances peuvent exister à l’état superionique. Les physiciens prévoient d’ailleurs de poursuivre leurs recherches sur d’autres composés, comme l’hélium, afin de mieux comprendre ce qu’il se passe à l’intérieur des géantes gazeuses, telles Jupiter et Saturne.
CE QU’IL FAUT RETENIR
L’existence de l’eau superionique est prédite par la théorie et les simulations numériques depuis plus de vingt ans. Des physiciens américains ont apporté pour la première fois la preuve expérimentale que cet état de la matière, entre solide et liquide, existe bel et bien.
Au ralenti, l’eau percute du sable comme une météoriteMunis d’une caméra à haute vitesse, des chimistes ont filmé la chute de gouttes d’eau sur du sable. Découvrez en vidéo comment l’eau tombant à différentes vitesses forme des impacts à la morphologie surprenante. Les traces ressemblent en effet énormément à celles laissées par des météorites sur la surface terrestre.
La sonde Cassini a surpris les panaches d’hydrogène qui s’échappent d’Encelade lune de Saturne. La croûte supérieure gelée mesure, environ 20 km d’épaisseur. -credit: JPL/ NASA
Les océans de glace empêcheraient les extraterrestres de communiquer avec nous.
Article source : MSN
C’est la dernière hypothèse en date qui tente d’expliquer le paradoxe de Fermi.
«Mais où sont-ils?» La question se pose depuis des dizaines d’années. Le physicien Enrico Fermi a même donné son nom à une théorie scientifique, ou plus précisément à un «paradoxe»: il y a forcément d’autres formes de vie intelligente dans notre univers, alors pourquoi ne les avons-nous jamais vues? L’astrophysicien Alan Stern croit avoir trouvé une – énième – réponse, rapporte le magazine Science: selon lui, les extraterrestres ne peuvent pas communiquer avec nous car ils vivent enfouis sous des «couches épaisses de glace et de roches».
Pour le scientifique, cette hypothèse est d’autant plus vraisemblable qu’au moins quatre des planètes de notre système solaire, à savoir Jupiter, Neptune, Saturne et Pluton, sont recouvertes d’un tel environnement. Sous ces amas de glace, l’eau liquide est un milieu extrêmement fertile au développement de la vie, rappelle Alan Stern. Peut-être même encore plus qu’à la surface, observe le magazine Astronomy:
«[Les organismes vivants] seraient ainsi mieux protégés des aléas extérieurs comme les fortes radiations, les impacts ou encore les changements climatiques. De tels océans intérieurs apporteraient un environnement plus stable où toute forme de vie pourrait se développer de manière moins risquée.»
Petit «inconvénient» cependant: sous ces énormes roches de glace, ces organismes vivants seraient très isolés. D’où leur impossibilité de nous envoyer un quelconque signe. Dans l’hypothèse, d’ailleurs, qu’ils n’auraient «ne serait-ce que conscience de l’existence d’un monde au-dessus d’eux», et ailleurs dans l’univers, souligne Astronomy.
Cette nouvelle théorie vient s’ajouter aux nombreuses autres qui tentent d’expliquer le paradoxe de Fermi: les extraterrestres n’existeraient simplement pas; ils dorment; ils utilisent une technologie trop avancée pour que nous la percevions; leurs signaux ont été envoyés récemment et ne nous sont pas encore parvenus… ou encore une dernière: ils sont déjà parmi nous.
« Je vous suggère ce petit documentaire car il propose l’aventure humaine d’exploratrices et explorateurs sous la houlette de Ghislain Bardout et Emmanuelle Périé des plongeurs expérimentés tous deux anciens co-équipiers du célèbre médecin et explorateur français Jean -Louis Etienne, partis plonger sous la face cachée du pôle, la banquise canadienne. Outre les aptitudes en plongée il fallait tenir physiquement pour de longues heures de marche en étant capable de tirer un traîneau fabriqué « maison » chargé d’un poids de 140 kg. Avant cela tout un processus, en effet, il fallait trouver un financement afin d’avoir le matériel requis.
Ce type de projet demande une préparation pointue tant sportive que logistique et technique afin de ne rien laisser au hasard car le froid extrême de-20° C à -40°C et la glace ne pardonnent pas en cas d’accident et aussi pour réussir l’expédition.
Le livre on a marché sous le pôle m’a été offert par Emmanuelle ( Era) ma compagne ( co-administratrice de ce site web) car elle connaît mes goûts qui ne sont pas limités aux mystères de ce monde ( ufologie et autres ) pour la science, le sport, l’aventure, le voyage, la convivialité et la solidarité humaine. J’ai aimé cet ouvrage tant pour son contenu qui est riche de beauté ( belles photos) voir ci-dessus l’une d’entre elles, puis la couverture du livre ( éditions chêne) , d’enseignement et d’instruction.
Alors pour commencer l’année 2017 dans le registre découvertes, ce thème me paraît très bien, étant ludique à la fois pour les plus jeunes et les anciens aussi.
Une initiation à travers un périple peu ordinaire. Notre site web reste dans sa lignée qui permet un voyage entre le palpable, l’insolite et l’inconnu . Ainsi, il n’est pas limité à la seule filière ufologique.
Bon visionnage. »
Under The Pole, la préparation de l’expédition- Thalassa (reportage complet)
crédit image: Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
Un article de Ken Pfeifer – TraductionEra pour Investigation Océanographique et Oanis
Un mécanicien de bord, sergent retraité de la marine américaine qui m’a demandé de l’appeler seulement « Brian. » Il a vécu des expériences de la plus haute étrangeté alors qu’il participait à des opérations de fret et de sauvetage en Antarctique durant la période de 1983 à 1997, incluant plusieurs observations de disques volants argentés étincelants au dessus des montagnes Transantarctiques. Lui et son équipage ont vu aussi un grand trou dans la glace à environ cinq à dix miles seulement du pôle Sud géographique (cercle rose sur la carte) qui était censé être une zone d’exclusion aérienne. Mais lors d’une situation d’évacuation sanitaire d’urgence, ils sont entrés dans la zone d’exclusion aérienne et ont vu ce qu’ils n’ étaient pas censés voir: l’entrée présumée d’une base de recherche scientifique humaine et extraterrestre créée sous la glace. Puis, dans un camp près de la Terre Marie Byrd, une douzaine de scientifiques disparurent pendant deux semaines et quand ils reparurent, l’équipage de vol de Brian reçut l’assignation d’aller les récupérer. Brian dit qu’ils ne voulaient pas parler et que «leurs visages étaient effrayés. » Brian et son équipage reçurent à plusieurs reprises l’ordre de ne pas parler et on leur dit sévèrement qu’ils n’avaient pas vu ce qu’ils avaient vu. Mais on ne lui a jamais demandé de signer une déclaration de non-divulgation officielle. Alors maintenant qu’il est à la retraite, il a décidé de partager ce qu’il a vu et vécu parce qu’il sait que des êtres qui ne sont pas humains travaillent sur cette planète.
Date : 2 janvier 2015
Déclaration du témoin
J’étais mécanicien à bord d’un Lockheed LC-130 de la marine américaine. J’ai pris ma retraite après 20 années de service en 1997. Pendant longtemps j’ai eu envie de vous écrire à propos de mon expérience sur le continent antarctique avec des véhicules volants dont on m’a dit de ne pas parler. J’ai servi une partie de mes 20 années dans la marine dans un escadron appelé Escadron de Développement Antarctique Six aussi connu comme VXE-6. J’ai servi dans cet escadron de 1983 jusqu’à ce que je prenne ma retraire en mars 1997. Etant mécanicien de bord avec plus de 4000 heures de vol à ce titre, j’ai vu des choses que la plupart des des gens n’ont même pas imaginé sur le continent de l’Antarctique. La terre là-bas semble plus extraterrestre que terrienne. Nos déploiements sur cette terre ont commencé à la fin Septembre et se sont terminés à la fin de Février de chaque année jusqu’à ce que l’escadron soit dissout en 1999. Cette période de l’année est propice aux expériences scientifiques en raison des températures plus clémentes et des journées de 24 heures de lumière du jour. Pendant mon séjour dans l’escadron je me suis envolé vers presque toutes les parties du continent de l’antarctique, y compris le pôle Sud plus de 300 fois. La station Mc Murdo, qui est à 3,5 heures de vol de la station du pôle Sud a été le point névralgique de l’escadron lors de nos déploiements annuels. Entre ces deux stations se trouve une chaîne de montagnes appelée TransAntarctique et avec ce que nous appelions Temps clair sévère, de McMurdo au Pôle Sud, les Transantarctiques sont visibles depuis les altitudes où l’avion a volé entre 25 000 à 35 000 pieds (entre 7620 mètres et 10.668 mètres) . Lors de plusieurs vols vers et à partir du Pôle Sud, notre équipage a observé des véhicules aériens virevoltant autour de la cime des TransAntarctiques presque exactement au même endroit à chaque fois où nous volions et les visualisions. Ceci est très inhabituel pour le trafic aérien là-bas parce que les seuls avions qui survolaient le continent étaient ceux de notre escadron. Chaque aéronef savait où se trouvaient les autres à cause du suivi des horaires de vol. Une autre question unique avec la station du pôle Sud est que notre avion n’était pas autorisé à survoler une zone désignée à 5 miles de la station. On nous a déclaré que c’était en raison d’un camp d’échantillonnage de l’air dans cette région. Cela n’avait aucun sens pour aucun de nous dans l’équipage parce qu’en deux occasions nous avions du survoler cette zone. Une fois en raison d’une évacuation médicale du camp australien appelé Camp Davis. Il était sur le côté opposé du continent et nous avons dû faire le plein à Pôle Sud et le trajet direct vers Camp Davis passait juste au-dessus de la station d’échantillonnage de l’air. La seule chose que nous avons vu en survolant ce camp était un très grand trou qui entrait dans la glace. Vous auriez pu faire voler un de nos LC130 dans cette chose.
crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
C’est après cette mission d’évacuation sanitaire que nous avons été brieffés par quelques « fantômes » (agents de renseignements je suppose) de Washington DC et on nous dit de ne pas parler de cette zone que nous avions survolée. L’autre fois où nous avons approché « Le Camp d’échantillonnage de l’air » nous avions eu des pannes de navigation et des pannes électriques à bord de l’avion et on nous a dit de quitter immédiatement la zone et de faire un rapport à notre chef d’escadron dès notre retour à McMurdo. Pas la peine de vous dire que notre pilote (commandant de bord) s’est fait botter les fesses et que notre équipage est resté hors des approvisionnement du Pole Sud pour plus d’un mois. Il y a eu plein d’autres fois où nous avons vu des choses qui sortaient de l’ordinaire. Un camp à la périphérie (près de la terre Marie Byrd) où nous avions laissé des scientifiques et leur équipement n’a plus communiqué avec Mc Murdon pendant deux semaines. Notre équipage est retourné au camp pour voir si les scientifiques allaient bien. Nous n’avons pas trouvé âme qui vive. La radio fonctionnait bien puisque nous avons appelé McMurdo pour vérifier qu’elle fonctionnait correctement. Nous avons quitté le camp et avons regagné McMurdo suivant les ordres de notre commandant. Une semaine plus tard les scientifiques se sont montrés de retour à leur camp et on appelé McMurdo pour que quelqu’un vienne les récupérer. Notre équipage vola de nouveau là bas pour les récupérer puisque nous les y avions déposés et que nous connaissions le terrain et l’endroit. Aucun des scientifiques n’a voulu parler aux membres de l’équipage et pour moi ils semblaient effrayés. Dès notre retour à McMurdo, on les a mis (les scientifiques) dans un autre avion de notre escadron et ils ont été conduits à Christchurch en Nouvelle Zélande. On n’a plus jamais entendu parler d’eux. Leur équipement qu’on avait rapatrié du camp fus mis en quarantaine et renvoyé par bateau aux Etats Unis escortés par les mêmes agents de renseignements qui nous avaient débriefés à propos du survol du camp d’échantillonnage de l’air/grand trou dans la glace. Je pourrais continuer indéfiniment de parler des choses et situations que j’ai observées lors de ma tournée avec VXE-6. En bavardant avec les équipages, il ressort qu’il y a une base OVNI au Pôle Sud et certains membres d’équipage ont entendu des scientifiques qui travaillent au Pôle parler d’EBEs (Entité Biologique Extraterrestre) qui travaillent en interaction avec les scientifiques dans ce camp d’échantillonnage de l’air ou grand trou dans la glace.
crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
Remarque : Les deux premières images sont des illustrations
Recouvert à 98% d’une calotte glacière de 1,2 km d’épaisseur, le continent Antarctique pourrait cacher sous sa glace un volcan qui s’il entrait en éruption, viendrait accroître l’élévation du niveau des océans.
Un volcan déjà actif ou en passe de l’être se cacherait sous un kilomètre de glace en Antarctique occidental. C’est la découverte faite par des chercheurs de l’université Washington de Saint Louis (USA). Entre 2007 et 2010, Amanda Lough et ses collègues ont mis en place un réseau de sismographes près du pic Whitney vieux de 13 millions d’années. Ils souhaitaient ainsi récolter des données sur les mouvements de plaques.
En janvier-février 2010 puis en mars 2011, les appareils ont enregistré plusieurs ondes sismiques entre 25 et 40 km de profondeur. Les chercheurs ont alors tenté de trouver la source des vibrations détectées. Les résultats publiés dans la revue Nature Geoscience montrent que les ondes provenaient d’une zone située à 55 km au sud du mont Waesche, dans l’alignement de l’Executive Committe Range, une chaîne de montagnes composée de cinq grands volcans. Pour les chercheurs, ces vibrations auraient pour cause des mouvements de magma propres aux volcans, comme il en a déjà été enregistré à Hawaï. Mais ce n’est pas tout, une cartographie radar montre un gonflement à la surface du sol dans la même zone et un renforcement du champ magnétique. L’addition de ces multiples phénomènes a de grandes chances de trahir l’existence d’une activité magmatique et donc d’un volcan.
Cette découverte n’est pas sans importance puisqu’une entrée en éruption pourrait faire fondre une masse considérable de calotte glaciaire en profondeur. Il y a en effet peu de chance que le volcan parvienne à percer l’épaisseur de 1 à 2 km mais il pourrait accélérer l’écoulement du flux des glaces en direction de l’océan. La conséquence serait une élévation du niveau de la mer dont l’importance reste encore à définir.