INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Un OVNI monstrueux, d’un diamètre de 8 km environ, aurait été identifié sur une photo prise par les satellites de la NASA. Aucune explication probante n’a encore été fournie.
La photo date de novembre 2013 et semble directement extraite des films Independance Day ou District 9. Diffusée par la NASA et toujours disponible sur son site, on peut y distinguer un mystérieux disque noir qui semble survoler la couche nuageuse.
crédit photo: ( NASA)
Il fallait l’oeil aguerri des passionnés d’UFO Sightings Daily pour repérer ce phénomène, petit à l’image mais gigantesque rapporté à l’échelle réelle.
Une fois retraitée à l’aide de logiciels de retouche, on peut distinguer bien mieux le mystérieux disque dont la forme très régulière s’avère particulièrement troublante.
(DR / NASA)
Si aucune explication plausible n’a encore été avancée par l’agence spatiale américaine, de nombreuses hypothèses rationnelles peuvent être formulées avant d’envisager la piste des aliens.
En effet, ce « trou noir » pourrait aussi bien être la résultante d’un bug affectant les appareils de prise de vue. Ou d’une tuile manquante lors de la reconstitution d’une image globale à partir de clichés multiples.
Au fond de l’océan ?
Mais pour les passionnés d’ufologie, cela ne fait aucun doute : il pourrait bien s’agir d’un vaisseau monstrueux embarquant des cohortes d’aliens.
Enfin, selon certains, contrairement aux apparences, ce vaisseau ne survolerait pas des nuages mais serait en fait tapi au fond des océans.
« Inutile de préciser que nous nous abstenons de dire si ceci est de l’info , de l’intox ou une mauvaise interprétation , attendons le verdict donné au public. »
Vue d’artiste de l’effet d’un éclair ou d’un champ électrique intense sur de molécules simples (à gauche : eau, ammoniac, monoxyde de carbone), produisant d’abord de la formamide (au centre) et ensuite l’acide aminé le plus simple, la glycine (à droite). A. Marco Saitta (IMPMC/UPMC) et Franz Saija (IPCF/CNR)
Article source:sciencesetavenir.fr
Par Joël Ignasse, Publié le 12-09-2014 à 19h00.
Des physiciens ont reproduit par ordinateur la célèbre expérience de Miller. Celui-ci avait démontré la possibilité d’une formation spontanée des molécules de la vie à partir d’une soupe primordiale d’atomes.
PREMIERE. Les résultats publiés dans les PNASpar Antonino Marco Saitta, professeur de l’Université Pierre et Marie Curie à l’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmochimie, et Franz Saija, de l’Istituto per i Processi Chimico-Fisici en Italie, sont remarquables. Pour la première fois, grâce à des simulations numériques à l’échelle atomique, ces physiciens ont pu reproduire l’expérience de Miller- Urey et observer la formation spontanée d’acides aminés à partir de molécules simples soumises à des champs électriques intenses.
Publié le 12/09/2014 à 10:03, Mis à jour le 12/09/2014 à 10:14
Le monstre du Loch Ness a-t-il enfin été réellement pris en photo ? C’est ce qu’affirme une photographe qui aurait immortalisé « Nessie » … dans un lac anglais, le Lake Windermere, situé à quelques centaines de km du Loch Ness. D’après des spécialistes de la firme Autographer, le cliché n’aurait pas été retouché.
La vie existe-t-elle ailleurs que sur la Terre ? Cette question qui hante l’humanité pourrait bientôt trouver une réponse. Peut-être même dans notre système solaire.
Un signal électronique émis au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa, en Californie, parvient à un robot téléguidé, sous une couche de glace de 30 cm, dans un lac d’Alaska. Le phare du robot s’allume.
« Ça marche ! », s’exclame John Leichty, un jeune ingénieur du JPL blotti sous une tente, près du lac. Ça n’a pas l’air d’un exploit technologique, mais c’est peut-être le premier pas vers l’exploration d’une lune lointaine.
À plus de 7 000 km de là et à 15 m sous terre, une géomicrobiologiste patauge dans les eaux troubles et les ténèbres d’une grotte mexicaine. Comme chacun des scientifiques qui l’accompagnent, Penelope Boston est munie d’un respirateur et d’une réserve d’oxygène.
Du sulfure d’hydrogène et du monoxyde de carbone, deux gaz mortels, s’infiltrent souvent dans la grotte. Soudain, le rayon de sa lampe frontale se pose sur une goutte d’un fluide épais et translucide qui s’allonge en suintant d’un éboulis de craie. « N’est-ce pas mignon ? », s’écrie Boston.
Ce lac arctique et cette grotte tropicale pourraient fournir des indices sur l’un des plus vieux mystères qui hantent l’humanité : y a-t-il de la vie au-delà de notre planète ? S’il en existe, ce pourrait être dans notre système solaire ou en orbite autour d’autres étoiles.
A bord de votre bateau, vous regardez en bas et découvrez ça. Crédit:rtl.be
Article source: rtl.be
Publié le 10 Septembre 2014 11h50.
Cet homme qui naviguait dans des eaux au large des côtes du Mexique ne s’attendait pas à pareille vision. Tout autour de son embarcation, la surface de l’océan a pris une couleur or…
Les océans regorgent de créatures étranges, parfois dangereuses et sublimes à la fois. Au large des côtes du Mexique, un spectacle étonnant a lieu deux fois par an : des milliers de raies dorées se rassemblent pour partir en direction de la Floride.
Il s’agit d’un vaste phénomène migratoire. Une migration de raies dorées !
Crédit: RTL.be
Deux fois par an, elles quittent le golfe du Mexique pour des eaux plus chaudes.
Crédit: RTL.be
Elles se déplacent en groupe de 10.000 et rendent dorée toute la surface de l’océan.
Crédit: RTL.be
Les raies dorées sont peut-être très belles, mais leur dard venimeux est mortel pour l’homme.
Crèdit: RTL.be
Mais pas de quoi s’inquiéter, elles attaquent uniquement lorsqu’elles sont agressées. Donc, vous pouvez aller leur faire un petit coucou…
Vue schématique du modèle. L’alcanofère et la couche de clathrates sont supposés communiquer et former un système isolé qui occupe l’espace poreux de la croûte glacée de Titan. La couche de clathrates s’étend au fil du temps au détriment de l’alcanofère. Le transfert progressif et le fractionnement des molécules présentes dans le réservoir liquide initial modifient progressivement la composition chimique de l’alcanofère et des lacs reliés qui sont présents en surface. Illustration: ESA/ATG medialab
Matisse sylvain – crédit: investigation oceanographique et oanis
« Revenons si vous le voulez bien sur une découverte insolite pour ne pas dire stupéfiante, pour la filière biologique et océanique .
C’est en 2010,lors d’ une expédition scientifique dans le golfe du Mexique qu’une étrange créature fut découverte par hasard, entre 700 et 1000m de profondeur.Une espèce de siphonophore dont l’existence n’était même pas envisagée par les biologistes ou les océanographes.
Cet étrange animal fait partie de l’embranchement des cnidaires, un groupe d’invertébrés dont font également partie les méduses, les coraux etc. Cet animal est en fait une colonie de multiples siphonophores attachés les uns aux autres pour ne former qu’un seul corps.Cette découverte va sans aucun doute permettre aux biologistes d’étudier ces spécimens. Ceci démontre que l’homme n’ a pas encore découvert tout le potentiel du vivant sur sa propre planète ,alors imaginez le potentiel en dehors de celle-ci. Cette découverte en appel d’autres, en tout cas elle doit motiver les scientifiques à sonder encore plus loin l’environnement aquatique. Au sujet de cette espèce récemment découverte, les études permettront d’en savoir plus au niveau du comportement et l’organisation mise en oeuvre par cet animal marin pour pêcher puisque cette créature n’a pas de cerveau. Ceci soulève bien des questions assurément.En suivant cette espèce et en explorant encore un peu plus nos profondeurs,d’autres surprises pouvant se révéler.Une belle aventure en perspective s’offre pour nos savants, et ce pour notre plus grand plaisir.«
« Reportage fascinant pour notre compréhension du monde marin. Le Dr Robert Ballard explore vers un immense volcan , non loin du Mauna Kea en activité vers l’île Hawaï. Plusieurs expériences en cours pour cette mission périlleuse. Un voyage à plus de 1000 mètres sous le niveau de la mer, qui permettra au géologue d’approcher de plus près la relation entre les volcans océaniques et l’émergence de la vie sur Terre !«
Vidéo you tube
Le Dr Robert Ballard est un des plus grands explorateurs sous-marins de sa génération. Il a déjà retrouvé les épaves du Titanic, du Bismarck et du transporteur Yorktown. Aujourd’hui, il se donne pour mission de parcourir les abysses, profondeurs méconnues de nos océans. Mais il ne devra pas reculer devant l’ampleur de cette tâche, incroyablement immense.
En effet, les océans recouvrent 71% de la surface de la planète, et seulement 5% en ont été explorés jusqu’ici. À plus de 100 mètres sous la surface, le froid et l’obscurité totale règnent dans cet univers sous-marin encore moins étudié que l’espace.
Ce voyage à la découverte de l’inconnu réserve bien des surprises et des rencontres étonnantes. Partez avec le Dr Bob Ballard pour une odyssée qui livre une vision inspirée du passé, du présent et de l’avenir de notre planète.