Archives de juin 2013

200 000 trésors sous les mers

@ Photo : EPA

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Article source:french.ruvr.ru/

Les films à grands spectacles sont souvent friands de nous parler de trésors fabuleux et de grands secrets, comme c’est le cas du trésor des templiers, de celui du roi Salomon ou encore du Temple de Jérusalem. Ces histoires ne sont en fait rien en comparaison des trésors immenses qui reposent au fond des mers et qui attendent leurs découvreurs afin de les rendre riches, très riches !

Un des derniers exemples en date est la découverte de l’épave du Gairsoppa, cargo britannique qui fut coulé en février 1941 par un des U-boats de l’amiral Donitz. Une société américaine spécialisée dans la recherche des trésors sous-marins, l’Odyssey Marine Exploration, a pu remonter en 2012 un magot de 48 tonnes d’argent, composé de 1 203 lingots qui ne représentent pourtant qu’environ 20 % du trésor reposant à 4 700 mètres de fond au large des côtes de l’Irlande. Le développement des technologies et des engins d’exploration sous-marine, notamment dans le domaine de la robotique et des mini sous-marins, rend l’avenir de cette activité de recherche extrêmement prospère et rentable.

En effet… imaginez-vous quelques millions d’épaves réparties dans toutes les mers du monde, dont l’exemple du tristement célèbre Titanic n’est que l’arbre qui cache la forêt. Elles sont des milliers à reposer au fond des mers, des centaines de milliers. Certaines sont bien connues, d’autres ne renferment rien d’intéressant, ailleurs elles reposent à des profondeurs que les technologies humaines ne permettaient pas d’atteindre. Ce fut le cas pendant longtemps du Titanic qui, découvert en 1985, fit l’objet d’une campagne de repêchage d’un millier d’objet, restaurés, conservés et exploités par une société anglo-saxonne. Pour beaucoup de ces épaves, le temps malheureusement a fait son office. Courants, sables, érosion, les épaves anciennes ou récentes peuvent ainsi être définitivement englouties par les océans et emporter à jamais leurs trésors.

La France est particulièrement attentive à cette gigantesque chasse au trésor qui s’annonce. Elle est en effet le deuxième propriétaire maritime mondial avec 11 millions de km2 de fonds marins renfermant un potentiel estimé entre 150 000 à 200 000 épaves à découvrir et explorer… Depuis 1966, le DRASM, Département des Recherches Archéologiques Sous-Marines s’évertue à réglementer les fouilles et à contrôler les découvertes. L’Etat français toutefois n’est pas partageur, si autrefois le partage était entendu, aujourd’hui l’entière propriété est aux mains de l’Etat qui peut daigner…verser une prime en fonction des épaves. Cette législation étriquée n’incite pas, nous l’imaginons, les chasseurs professionnels ou amateurs à se lancer dans de fructueuses expéditions.

Pourtant, un immense marché de la chasse aux trésors sous-marins s’ouvre, faisant rêver les uns, attisant la soif de richesses des autres. Les anglo-saxons sont à ce sujet très en avance et plus libéraux quant au partage des trésors remontés des profondeurs marines. Cette libéralité n’est bien sûr pas tellement du goût des anciens propriétaires des navires, même si ceux-ci ont coulé corps et biens, il y a trois ou quatre siècles. C’est le cas de l’Espagne qui possédait un immense empire colonial aux Amériques et dont les galions font encore et toujours rêver les chasseurs de trésors. En la matière, les lois internationales sont encore assez floues, même si les affaires de conflits d’intérêt en cours apporteront sans doute des réponses claires sur qui possède quoi et comment dans les eaux internationales. Ce patrimoine marin ne fait pas l’objet que de l’attention des chercheurs de trésors, mais aussi des archéologues et bien sûr de l’UNESCO.

D’après cette dernière, un total de plus de trois millions d’épaves gisent dans les fonds marins et certains spécialistes avancent que plus de 40 % des métaux précieux extraits par l’homme depuis l’antiquité reposent dans leurs entrailles… c’est donc le plus fabuleux trésor du monde, très loin devant les quelques piécettes que pourrait éventuellement renfermer un désormais pâle trésor des templiers. La découverte en 1985 de l’épave du galion espagnol Nuestra Señora de Atocha coulé dans une tempête au large de la Floride en 1622 avait rapporté la coquette somme de 300 millions d’euros à elle seule. En 2004, une découverte au large de l’Indonésie et du port de Cirebon avait permis la remontée de milliers d’objets retrouvés à bord de cette épave vieille de plus de 1 000 ans. La vente partielle des artefacts en 2012 était estimée à environ 60 millions d’euros, pour ne donner que quelques exemples concrets parmi d’autres.

 La difficulté de cette activité réside évidemment dans l’importance des moyens à mettre en œuvre et surtout dans la connaissance du droit maritime, la moindre découverte étant sujette à un marathon administratif pouvant tourner au cauchemar, comme ce fut le cas dans la découverte de l’épave de Cirebon. En France, l’un des rares chercheurs et découvreurs d’épaves se nomme Bertrand Sciboz mais comme nous l’avons vu, la législation française ne se prête guère à encourager une activité qui enflamme l’imagination de tout un chacun. Cette activité n’est d’ailleurs pas sans critique, notamment de la part des archéologues accusant les chasseurs de destruction de ce patrimoine afin de réaliser des profits et qualifiant les moins scrupuleux « de pillards », un peu comme ce fut le cas de ceux qui dépouillèrent parfois avec violence les tombes égyptiennes. Quoi qu’il en soit, la chasse aux trésors est ouverte… Environ 100 gros navires font naufrage chaque année, sans compter quelques 2 000 embarcations de taille plus modeste… le métier a donc beaucoup d’avenir. N

Rédaction en ligneLaurent Brayard
Source:
la voix de la russie

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 27/06/2013 à : 12h15.

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Boule lumineuse rase une voiture et plonge dans la mer témoignage en vidéo

 

illustration investigation océanographique et oanis

illustration :investigation océanographique et oanis

Source : Yann Vadnais Tech-Enq Ufologue via Garpan Ufologie

Boule lumineuse rase une voiture et plonge dans la mer, Prével, 12 juillet 1978, 23h20

http://www.youtube.com

Une enquête ufologique de Yann VADNAIS, technicien-enquêteur accrédité. GARPAN – Groupe d’Assistance et de Recherche sur les Phénomènes Aériens Non-Identifié…

Vidéo youtube

Une enquête ufologique de Yann VADNAIS, technicien-enquêteur accrédité.

GARPAN – Groupe d’Assistance et de Recherche sur les Phénomènes Aériens Non-Identifiés

http://www.ovni-911.com

FACEBOOK : OVNI-911

garpan.ufologie@gmail.com

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 23/06/2013 à : 22h50.

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Trois pyramides retrouvées en Antarctique ?

Source : la voix de la russie

© Flickr.com/Rita Willaert/cc-by-nc

© Flickr.com/Rita Willaert/cc-by-nc

Des chercheurs originaires des États-Unis et d’Europe ont fait une découverte surprenante.

Ils ont découvert trois objets sur le territoire de l’Antarctique qui rappellent par leur forme des pyramides. Cependant, les chercheurs estiment que ces monuments anciens ont une origine artificielle.

 Les chercheurs ont découvert qu’une pyramide se trouve presque sur la rive. Deux autres sont situés à 16 kilomètres de la côte. Visuellement, les vestiges découverts ressemblent aux pyramides d’Egypte, dont la plus ancienne date de l’année 2070 av. J.-C.

Source 

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Note Admin : 

L’information diffusée hier soir sur La Voix de la Russie n’est pas toute récente et remonte à Août 2012 : 

Découvertes d’anciennes pyramides en Antartique

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2012 – Année de révélations anciennes pyramides dans l’Antarctique !

Une équipe de chercheurs déclarent qu’ils ont découvert trois pyramides antiques sur le continent couvert de glace de l’Antarctique.

Détails exacts sont sommaires, mais l’équipe a publié trois images fascinantes de leur découverte.

L’équipe internationale comprend des chercheurs provenant des États-Unis et plusieurs autres, sont de divers pays européens. Deux des structures immenses pyramide ont été trouvés à environ 10 milles vers l’intérieur, le troisième un pas loin de la côte, clairement visible depuis l’océan.

L’équipe prévoient actuellement une expédition pour atteindre une des pyramides pour savoir si c’est naturel ou une structure artificielle. Sans autres détails ont été rapportés de l’équipe à compter du 29 août 2012. Plus de news  en attente.

Source

Alors Info ou Fake ? Si vous avez des infos complémentaires…à vos claviers !

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Mise à Investigation Océanographique et OANIS le 18-6-2013 à 06 h 30

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Navire: Monge (A 601)

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Le Monge est un bâtiment d’essais et de mesures (BEM). Le Monge est en service dans la Marine nationale depuis le 4 novembre 1992. Ce bâtiment est le seul de ce type dans la Marine militaire française et quasiment unique au monde.

Wikipédia:

Le Monge, qui tient son nom du mathématicien français Gaspard Monge (1746-1818), a pris la succession du BEM Henri Poincaré, en service depuis 1968. Construit par les Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire. Il est armé par un équipage mixte de la Marine nationale et de la DGA (personnel de DGA Essais de missiles).

Sa mission principale consiste à se placer au large en mer pour observer avec ses capteurs les essais en vol des missiles tirés depuis le centre DGA Essais de missiles de Biscarrosse (ex-Centre d’essais des Landes), en particulier les missiles balistiques MSBS M45 et M51, mais aussi les missiles nucléaires aéroportés ASMP (et maintenant ASMPA) et certains autres tirs de missiles à longue portée. Il est aussi utilisé pour la surveillance de l’espace (satellites, débris, ISS, etc.) au profit du CNES et d’autres organismes militaires. Il participe occasionnellement à des missions au profit de l’Agence spatiale européenne (lancements Ariane).

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Bonus investigation océanographique et oanis:

Lien du site de la marine, un document au format PDF  pouvant être télechargé pour les gens intéressés par ce bateau.

( Cliquez sur le lien ci-contre.) MARINE

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :16/06/2013 à : 19h40.

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Armada 2013 : Les bateaux vus de l’eau

Crédit photo: Armada de la Liberté

Crédit photo: Armada de la Liberté

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Note adm:

Dimanche: 16 Juin 2013 à : 19h00.

Petite pause ufologique avec du rêve et ces beaux navires présentés sur les quais de l’armada en Normandie.

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Vidéo youtube

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 16/06/2013 à : 19h00.

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Atlantide : les énigmatiques expéditions soviétiques des années 70

Source :  in mysteriam

Image d'illustration

Image d’illustration

Dans le courant des années 1977-1981, de nouvelles insolites concernant certains fonds de l’océan Atlantique défrayèrent la presse moscovite.

Les journaux annoncèrent la découverte de vestiges d’anciennes constructions sur les pentes supérieures d’une montagne sous-marine située à environ 400 km au large des côtes portugaises sur l’élévation du banc Ampère, un important mont sous-marin découvert par des chercheurs français. Il s’agissait d’un banc dont le sommet, de faible dimensions, se trouvait à seulement 60 m au-dessous du niveau de l’océan.

Il fut découvert le 4 mars 1935 par Jean Danton, ingénieur du service des câbles sous-marins, par 35° 34′ latitude nord et 12° 54′ longitude est. Ledit banc se trouve dans une région de fonds particulièrement tourmentés comprenant le socle des îles Madère, Déserta et Porto Santo, les bancs de la Seyne (-148 m), Joséphine (-150 M) et Gorringe (-42 m).

À plusieurs reprises (1976, 1977, et 1979) des expéditions océanographiques soviétiques mirent en évidence des vestiges étranges -vraisemblablement des restes d’anciens murs et de dallages- dans le voisinage du mont Ampère, situé à quelque 400 km au sud-ouest de Lisbonne.

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En 1976, à 80 m de profondeur, le plongeur Nicolaï Reznikov reconnut sur un haut-fond des traces de maçonnerie et des dalles taillées, apparemment ultimes restes de constructions en ruines.

Dans le courant de 1977,Vladimir Marakuyev, un océanologue soviétique, naviguait sur le bateau de recherche Moskowsky Universitet, une caméra sous-marine fut employée au cours d’une recherche de routine. Un groupe de photographies, apparemment inattendues, furent prises alors mais ne furent développées et étudiées que un an plus tard, sans doute à cause d’un surcroît de travail…

Sawdwns-titre-2Ce qui apparaissait être un mur et un escalier de pierre fut localisé à une profondeur de 60 mètres. En fait, il y avait huit pierres dont quatre étaient carrées et quatre rondes. Elles étaient longues d’un mètre environ. Une autre photographie montrait trois pierres régulièrement espacées qui semblaient former une partie d’escalier. Un savant soviétique réputé, le Dr Aksyonov, directeur de l’Institut d’océanographie de l’Académie des Sciences d’URSS, prétendit lors d’une interview qui se déroula à Moscou et fut publiée le 21 mai 1978 dans le New York Times, que les photographies n’avaient pas été prises sérieusement. 

 

Aksyonov ne prit pas position quant à l’origine atlante des ruines, il n’en déclara pas moins : « Je crois que les objets qui apparaissent sur les clichés se trouvaient autrefois à la surface. » Les Soviétiques avaient tenu à ce que l’endroit exact de ces découvertes soit tenu secrète, en raison des patrouilles de sous-marins atomiques soviétiques à la recherche de cache et d’abri en cas de guerre nucléaire. 

 

D’autres savants, non identifiés par le New York Times qui raconta l’histoire, soutinrent que les structures étaient bien le fait de la main de l’homme et constituaient de parfaits exemples d’une ancienne maçonnerie.

« L’escalier en pierre, qui est parfaitement distinct, a visiblement été taillé dans la falaise, Il doit y avoir beaucoup plus de marches que la photographie ne l’indique. Il y avait probablement une volée de 100 marches minimum sur cette falaise, un escalier dangereux à monter et à descendre comme sur les pyramides mayas ou aztèques. Un autre cliché montre une plate-forme en pierre, qui constituait sons doute un palier menant à un autre escalier, comme dans les pyramides à paliers. »

L’expédition de l’année 1979 recueillit des données géologiques prouvant que les plateaux supérieurs et le sommet du mont Ampère se trouvait à l’air libre dans un passé récent.

Malheureusement, les Russes ne purent revenir sur les lieux, les autorités portugaises de Funchal (Madère) leur en interdirent l’accès, pour des raisons de sécurité militaire.

Sources et Liens complémentaires:

  • Jon, D. Singer, La filière égyptienne aux sources de l’Atlantide de Platon (1980) in magazine Khadath n°62pp.43-44 (kadath.be/pdf/kadath_62.pdf)

  • Pierre CARNAC, L’Atlantide, autopsie d’un mythe. Éditions du Rocher, 2001 pp.76-77

Note : Après quelques recherches, les diverses photos semblent introuvables sur internet ou autres domaines publics.

Source : http://www.inmysteriam.fr/enigmes-historiques/atlantide-les-enigmatiques-expeditions-sovietiques-des-annees-70.html

Via Wikistrike

 

 

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Mise à Jour Era pour Investigations Océanographique et Oanis le 15-6-2013 à 21h15 

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Antarctique : la NASA dévoile ce qui se cache sous l’immense calotte glaciaire

Publié par Emmanuel Perrin, le 13 juin 2013

 Une nouvelle modélisation mise au point par les chercheurs de la NASA met en évidence ce qui se cache sous les glaces de l’Antarctique.

C'est la première fois que la NASA réussit à faire une carte aussi précise de l'Antarctique. Crédit DR/NASA Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/sans-calotte-quand-nasa-devoile-quoi-ressemblerait-antarctique-sans-glace-755092.html#YYSvbVBW00Urocz4.99

C’est la première fois que la NASA réussit à faire une carte aussi précise de l’Antarctique. Crédit DR/NASA
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/sans-calotte-quand-nasa-devoile-quoi-ressemblerait-antarctique-sans-glace-755092.html#YYSvbVBW00Urocz4.99

Recouvert par la glace, l’Antarctique est un continent relativement mystérieux qui garde bon nombre de ses secrets enfouis sous une épaisse couche blanche. Et d’ailleurs à quoi ressemblerait cette contrée si elle n’était pas ainsi couverte ? La NASA dévoile la réponse en images grâce à une toute nouvelle modélisation conçue par ses chercheurs qu’elle vient de mettre en ligne. Pour mettre au point ces images, les équipes de l’agence spatiale américaine ont utilisé des données récoltées par l’opérateur national britannique en Antarctique : British Antarctic Survey, durant les vingt dernières années. Mais afin de développer la cartographie exacte de la calotte glaciaire, il a également fallu récolter près de 5 millions de mesures additionnelles, rendant compte de la topographie et de l’épaisseur des glaces. Ces données ont été recueillies à l’aide de satellites mais également d’analyses effectuées depuis la Terre. Par ailleurs, différentes techniques radars, électromagnétiques et acoustiques ont été utilisées afin de rendre compte des structures sommeillant sous l’épaisse couche de glace. Les résultats de cette analyse, parus dans la revue The Cryosphere, mettent en évidence de manière très détaillée et surprenant la topographie de l’Antarctique privé de sa glace. Une nouvelle vision pour affiner les modèles Ces nouvelles données sont particulièrement importantes pour les scientifiques car elles offrent une vision tout à fait unique du pôle sud et de sa calotte glaciaire. « Autrefois, nous avions une vue régionale de la topographie. Or, cette nouvelle carte – et sa résolution beaucoup plus élevée – nous permet de voir le sol en tant que tel, soit un panorama complexe composé de montagnes, de collines et de plaines onduleuses découpées de vallées et de gorges profondes », explique dans un communiqué Peter Fretwell, chercheur à la British Antarctic Survey. Le projet, baptisé BedMap2, a été lancé dans l’objectif d’estimer la taille totale de la glace présente en Antarctique. Ces résultats devraient ainsi permettre notamment d’affiner les futurs modèles destinés à prévoir la montée des océans sous l’effet du réchauffement climatique.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/antarctique/antarctique-la-nasa-devoile-ce-qui-se-cache-sous-l-immense-calotte-glaciaire_art29822.html

Copyright © Gentside Découvertes

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Mise à jour Investigations Océanographique et Oanis le 15-6-2013 à 15 heures

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La Russie pourrait construire un nouveau porte-avions

Amiral Kouznetsov © ru.wikipedia.org

Amiral Kouznetsov
© ru.wikipedia.org

Article source: french.ruvr.ru/

La Russie va peut-être procéder à la conception d’un porte-avions moderne. Le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov n’exclut pas qu’une ligne correspondante apparaîsse dans le programme étatique de développement des armements prévu jusqu’à 2025. Selon le vice-ministre, l’industrie russe est prête à réaliser un travail de conception de cette importance.

Trois modèles ont été présentés par l’institut de recherche Krylov de Saint-Pétersbourg, leader de la conception des navires. Malgré le fait que la construction de porte-avions lourds exige de gros investissements, les Américains et d’autres pays étrangers développent activement ce secteur. Quant à la Russie, elle ne dispose à l’heure actuelle que d’un seul porte-avions lourd, Amiral Kouznetsov. Les Russes ont besoin d’au moins deux autres porte-avions de ce type, assure le vice-président de l’Académie des questions géopolitiques Kostantine Sivkov.

« La Russie doit avoir un important parc de porte-avions, déjà parce qu’elle est un centre de pouvoir géopolitique en Eurasie. Sans ce parc, la Russie est incapable d’appuyer sa politique étrangère par la force militaire dans les régions éloignées du monde. Je viens de rentrer du Mexique où les représentants des pays d’Amérique Latine m’ont dit unanimement qu’ils souhaitaient une présence russe dans la région. Mais pour que cette présence soit stable, elle doit s’appuyer sur une force navale qui est constituée précisément de porte-avions ».

La construction de navires d’un tel niveau exige de gros investissements mais aussi un important potentiel scientifique et technologique. Ce dont dispose la Russie, est convaincu Kostantine Sivkov.

Quant à l’utilisation des porte-avions et des groupes aériens embarqués, ils seraient déployés avant tout dans le Pacifique et dans la zone d’action de la flotte du Nord, explique le rédacteur responsable de la Revue militaire indépendante Viktor Litovkine.

« La mer Noire est un bassin fermé et l’utilisation de porte-avions n’y a pas de sens. C’est aussi le cas de la mer Baltique. En revanche, dans les mers du Nord et dans le Pacifique les porte-avions ont une grande importance, d’autant plus que nous y disposons de bases pour les sous-marins nucléaires stratégiques. L’une des tâches des porte-avions et des groupes aériens embarqués consiste précisément à protéger la zone de déploiement des sous-marins nucléaires équipés de missiles balistiques ».

Selon le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov, les capacités de l’industrie de construction navale permet de procéder dès aujourd’hui à la réalisation d’un nouveau porte-avions.  N

Oleg Nekhaï
Source: 
la voix de la russie

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 14/06/2013 à : 11h05.

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Un poisson géant très rare filmé dans le golfe du Mexique par une caméra sous-marine

Oarfish Regalecus glesne image source:  australianmuseum.net.au/

Oarfish Regalecus glesne
image source:
australianmuseum.net.au/

Article source : huffingtonpost.fr

OARFISH – Les profondeurs des océans révèlent bien des mystères et d’étranges créatures. Un robot contrôlé à distance et muni d’une caméra a réussi à filmer un poisson géant des profondeurs lors d’une étude menée par des biologistes américains entre 2008 et 2011. Ce poisson, appelé oarfish en anglais, est connu pour être l’un des plus longs du monde.

Ces images ont été tournées à plus de 463 mètres de profondeur. Cette découverte, dont les conclusions ont été publiées en 2013 dans une revue spécialisée, est capitale puisque ce poisson n’avait qu’à de très rares occasions jamais été observé vivant dans son habitat naturel.

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 10/06/2013 à : 19h20.

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Retour sur la mystérieuse structure engloutie dans un lac d’Israël

Article source: Wikistrike

Pierre Barthélémy: LUNDI 10 JUIN 2013:

C’était il y a une décennie. Depuis, plus rien ou presque ne s’est produit. Comme le raconte une étude israélienne publiée dans la dernière livraison de l’International Journal of Nautical Archaeology, revue scientifique semestrielle, une plongée a bien été organisée dans les eaux turbides et peu profondes du lac. Qu’y a-t-on vu ? Un immense empilement conique de rochers sur le fond sablonneux, servant de cachette à des poissons. Comme on peut s’en apercevoir sur le schéma ci-dessous, à son plus haut ce tumulus mesure un peu moins de 10 mètres par rapport à sa base, laquelle est enfouie sous 2 à 3 mètres de sédiments.

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C’est une de ces découvertes que l’on fait par hasard. Il y a dix ans, en 2003, des géophysiciens israéliens effectuent, à l’aide d’un sonar, le relevé du fond du lac de Tibériade, au nord-est du pays, lac également connu sous le nom de mer de Galilée, en référence à la région dans laquelle il se trouve. Surprise : au niveau de la rive sud-ouest, à seulement quelques hectomètres de la plage, un grand disque sombre d’une bonne cinquantaine de mètres de diamètre apparaît sur le relevé (photo ci-dessus).

Les images prises lors de la plongée montrent que cette structure est composée de gros rochers de basalte. Si l’on excepte sa forme circulaire, l’ouvrage n’a pas d’organisation particulière et, d’ailleurs, aucune trace visible n’indique que les pierres aient été taillées. Les auteurs de l’étude n’ont cependant aucun doute sur le fait que ce tumulus a été construit par l’homme, étant donné que les plus proches affleurements de basalte se trouvent à des hectomètres de là. Les chercheurs ont estimé qu’il y en avait pour 25 000 mètres cubes et 60 000 tonnes de rochers. Et ils se sont arrêtés là, faute de moyens pour entreprendre une fouille approfondie sous l’eau.

Pourtant, à écouter l’archéologue israélien Dani Nadel (université d’Haïfa), qui a co-signé cette étude, ce n’est pas l’envie qui leur manque car cette structure est un condensé de mystère : « C’est très énigmatique, c’est très intéressanta-t-il dit à Associated Presset le résumé de l’histoire c’est que nous nous ne savons pas d’où cela vient, nous ne savons pas à quoi cela se rapporte, nous ne savons pas sa fonction. Nous savons seulement que c’est là, que c’est énorme et que c’est inhabituel. » On fait difficilement mieux dans la déclaration frustrée…

Quelques maigres pistes existent tout de même, car cette structure n’est pas seule au milieu de nulle part. Les rives du lac Tibériade sont peuplées depuis des temps immémoriaux et l’on recense plusieurs sites archéologiques dans le voisinage. L’étude évoque deux timides hypothèses. La première imagine que le monticule a été construit sous l’eau, à l’image d’autres tas de pierres que l’on retrouve à plusieurs endroits le long du lac et qui servaient à attirer les poissons. Le problème, c’est que ces empilements ne dépassent en général pas les 4 mètres de diamètre et qu’ils sont constitués de gros cailloux (30 cm maximum) et non de rochers.

 A Submerged Monumental Structure in the Sea of Galilee, Israel

La seconde hypothèse part du principe que le tumulus a été construit non pas dans l’eau mais sur la terre ferme, à une époque où le lac était plus bas ou bien décalé géographiquement par rapport à sa position actuelle. L’étude rappelle ainsi que la région compte quelques sites mégalithiques datant de l’Age du Bronze dotés de structures circulaires, comme par exemple le site de Rujm el-Hiri, sur le plateau du Golan, de l’autre côté du lac de Tibériade. Dans cette hypothèse, la construction aurait par la suite été engloutie soit lors d’une remontée progressive du niveau des eaux du lac, soit après un affaissement du terrain dû à la tectonique locale. Les sites préhistoriques tout proches d’Ohalo ont d’ailleurs subi le même sort. Quoi qu’il en soit, l’étude conclut à la nécessité d’organiser une fouille pour déterminer, l’origine, l’âge et la fonction de cet ancien édifice, en soulignant que la construction de ce dernier « indique une société complexe et bien organisée, dotée de capacités de planification et de moyens économiques ».

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Mise à jour investigations océanographique et oanis, le :10/06/2013 à : 12h05.

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