Archives de novembre 2016

LDLN revue de l’ufologie continue.

crédit photo/ LDLN

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Jeudi 03novembre2016 à 09h30:

Sylvain Matisse Crédit: éditions Saint-Martin ©

LDLN n’est pas terminée.

Pour les ufologues c’est une bonne nouvelle car c’est la  revue phare de l’ufologie qui traite sérieusement depuis des décennies de cas insolites, étranges, inexpliqués avec de vrais enquêtes réalisées sur le terrain. Joel Mesnard a été très actif durant toutes ces années et à passé le relais.

Gageons que l’avenir soit vraiment assuré pour LDLN cette fois-ci . Pour cela n’hésitez pas à vous abonner.

Pour notre part nous soutiendrons cette revue de notre mieux, chacun peut apporter à sa manière quelque chose de positif.

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Communiqué de Jean-Louis Lagneau qui reprend la revue LDLN.

bonjour

je continue la mise en route de la revue, et comme vous pouvez le voir sur le côté gauche il y a le changement de nom provisoire de la revue, qui reste en abrégé LDLN.
Maintenant vous pouvez faire votre demande d’abonnement si vous le désirez, en m’envoyant un mail à l’adresse de la revue:

ldlnufologie@gmail.com

je vous enverrai le document à me retourner.

En espérant votre confiance, et vous demandant de diffuser le plus largement possible mon message.

Amicalement

Jean-Louis Lagneau

PS: de même si vous avez des questions je vous répondrai sans aucunes cachotteries.

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Publié 3 novembre 2016 par Sylv1 dans Actualité /Agenda/ Evènement

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Dans une grotte dans le nord de l’Ontario (Canada) en 2013,des scientifiques ont découvert une forme de vie microbienne non identifiée.

Photo / illustration credit: clipart-fr.com

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Mercredi 02 novembre2016, 11h05:

banniére oani

Sylvain Matisse Enquêteur Crédit Photo : Investigation Océanographique et Oanis

« Nous savions depuis un certain temps déjà que des petites trouvailles scientifiques serviraient à étendre les champs de recherche concernant la biodiversité sur notre planète. A partir de quelques éléments probants l’océanographie et les bassins hydrauliques naturels se marient très bien avec  l’exobiologie pour la recherche du vivant pas encore localisé.

Avec Era nous sommes  persuadés depuis le début de nos recherches pratiquement, que des découvertes sur notre planète déboucheront tôt ou tard sur des résultats qui permettront de dénicher des êtres vivants ailleurs dans notre galaxie (dans un premier temps) mais d’abord avec des trouvailles dans nos fonds marins. Alors certes en se basant sur ce que les savants savent depuis des lustres c’est à dire avec comme référence de base la chimie du carbone, cette recette qui compose la vie sur terre.

Ces micro organismes du genre extrêmophile seront la première preuve d’une existence ailleurs.

L’article ci-dessous mentionne la planète Mars , mais d’autres surprises peuvent également venir d’autres candidates comme certaines lunes de notre système solaire externe, je pense notamment depuis un certain temps déjà à Encelade  satellite naturel de la planète Saturne, mais également à Europe lune de Jupiter ou encore plus loin dans notre galaxie avec   Gliese 1214b  nommée » planète océan « qui est une super Terre vieille de 6 milliards d’années qui orbite autour de Gliese 1214.

Alors bien entendu il restera encore des étapes à franchir pour détecter une vie plus intéressante. Une vie capable de rivaliser avec l’homme voir le surpasser en matière de technologie , de savoir etc.

Alors la planète rouge qui est explorée livrera son verdict dans un futur relativement proche.

Serons nous déçu des résultats ? Possible, mais l’espoir de découvrir un jour une  ou plusieurs formes de vie dans notre vaste cosmos restera intact car au train où vont les choses, nous apprendrons l’existence d’autres formes de vies. Et notre planète dans tout ça ? Intimement Era et moi sommes  orientés et à l’affût de découvertes d’autres espèces dans nos lacs, rivières, mers, fleuves ou océans. Nous envisageons que certains  fonds marins abritent des formes de vie pouvant nous laisser sans voix . Ceci concernera-t-il une forme de vie « intelligente » subaquatique ou extraterrestre au sein même de notre planète?

C’est une théorie qui  ne demande qu’une réponse franche , nette et sans détours de la part des experts scientifiques, un minimum syndical. »

Remarque : Ce résultat a été annoncé en 2013, il a été repris par ce média cette année parce qu’il reste plus que jamais d’actualité.

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La plus vieille eau du monde contiendrait une forme de vie quasi extraterrestre

Article source: mashable.france24.com/

Par Rochereuil Chloé le 01 novembre 2016:

Arrêtez de chercher : les aliens se cachent sous terre. Une équipe de scientifiques a trouvé une forme de vie non identifiée dans les profondeurs de la planète.

Depuis toutes ces années, nos yeux étaient rivés vers le ciel, à attendre qu’E.T et ses copains daignent descendre de leurs cachettes galactiques. Baissez la tête : les aliens se cachent depuis des millénaires sous la Terre, sans que personne ne le sache.

Ils sont plus petits que prévu, mais quand même. En analysant la plus vieille eau du monde trouvée dans une grotte dans le nord de l’Ontario (Canada) en 2013, des scientifiques ont découvert une forme de vie microbienne non identifiée.

Leurs résultats viennent d’être publiés dans le journal scientifique Nature.

Un écosystème en parallèle de notre planète.

C’est à 2,4 kilomètres de profondeur que de l’eau séparée de la surface de la Terre il y a 2,64 milliards d’années – la moitié de l’âge de la Terre – menait sa petite vie dans le sous-sol canadien avant qu’on ne mette la main dessus en 2013.

Selon les chercheurs, cette eau découverte au fond d’une mine canadienne a été isolée de la surface terrestre depuis si longtemps qu’elle aurait développé son propre écosystème et une forme de vie microbienne quasi extraterrestre, en parallèle de notre planète.  

Alors que les humains et les animaux produisent leur énergie grâce à une réaction chimique entre la nourriture et l’oxygène qu’ils ingèrent, la forme de vie bactérienne découverte dans les abîmes terrestres utiliserait d’autres moyens pour parvenir à survivre.

« La plupart des formes de vies vivent grâce à la lumière du soleil, mais ces microbes enfouis en profondeur semblent survivre grâce au peu d’énergie qu’ils tirent de l’eau coincée dans ces roches anciennes », a expliqué Long Li, professeure à l’Université d’Alberta associée à l’étude, dans un communiqué de presse.

Privées d’oxygène et de soleil, c’est grâce à de l’hydrogène et à du sulfate créé sur place avec la radioactivité des roches que les cellules en question se maintiendraient en vie.

Et si la découverte promet d’accroître notre compéhension de la vie sur Terre, elle ouvre aussi le champ des possibles pour la vie sur Mars.

Des martiens à la cave ? 

Trouver de la vie extraterrestre sur Terre, c’est aussi une bonne nouvelle pour notre quête des aliens ailleurs. Sur Mars, des milliers de roches vieilles de millions d’années semblables dans leur composition minérale à celles de l’Ontario peuplent la surface et potentiellement le sous-sol de la planète rouge.

Grâce à la découverte des scientifiques canadiens, on sait désormais qu’elles sont susceptibles, elles aussi, d’abriter des formes de vie microbienne. 

« Je ne dis pas que ces microbes existent forcément mais que les conditions nécessaires pour constituer une vie microbienne sur Mars existent », précise Long Li dans un communiqué de presse.

Avis donc aux futurs explorateurs de Mars : si vous voulez trouver des amis, commencez par creuser sous terre, enfin sous Mars.

Source

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le :02/11/2016 à :11h05.cropped-capture2.jpg