INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
En collaboration avec nos partenaires du Marshall Space Flight Center et du Jet Propulsion Lab de la NASA, le Georgia SSDL de Georgia Tech conçoit et construit un nouveau système de propulsion à propergol vert CubeSat pour effectuer l’insertion en orbite de la lampe de poche lunaire de la NASA qui sera déployée sur la mission Artemis-1 en 2021. Commanditaire de projet NASA L’état du projet À lancer en juin 2021 Chercheur enseignant Dr Glenn Lightsey Crédit : ssdl.gatech.edu
Lunar Flashlight : une mission pour sonder la glace des cratères lunaires
Rémy Decourt
Article source : futura-sciences.com
L’eau est la clé d’une installation durable et autonome sur la Lune. La Nasa souhaite donc s’assurer que les dépôts de glace d’eau, que plusieurs satellites ont identifiés à l’intérieur de nombreux cratères lunaires situés aux pôles, existent bien. Elle prépare avec le JPL un petit satellite qui sera dédié à cette tâche et dont le lancement est prévu en 2021 lors du vol Artemis 1. Mais si cette eau a un intérêt évident, serons-nous capables de l’utiliser ?
En prévision des futures missions habitées à destination de la Lune et si l’on envisage des habitats permanents pour y vivre et y travailler, au-delà de simples visites d’exploration que seront les premières missions Artemis de la Nasa, il serait bon de savoir si la Lune dispose bien de glace d’eau en quantité suffisamment nécessaires pour faire vivre et travailler ses futurs colons.
Si, aujourd’hui, il ne fait plus guère de doute que de nombreux cratères polaires recèlent potentiellement d’épais dépôts de glace, de parfois plusieurs mètres d’épaisseur, certains scientifiques sont plus prudents. C’est le cas de Barbara Cohen, responsable scientifique de la mission Lunar Flashlight qui doit survoler en 2021 les cratères lunaires, notamment ceux du pôle sud, pour vérifier s’ils contiennent de la glace d’eau.
« Bien que nous ayons une assez bonne idée qu’il y a de la glace à l’intérieur des cratères les plus froids et les plus sombres de la Lune, les mesures sont tout de même un peu ambiguës. » Pour la chercheuse du Centre spatial Goddard de la Nasa, « scientifiquement ça va, mais si nous prévoyons d’envoyer des astronautes là-bas pour déterrer la glace et la boire, nous devons être sûrs qu’elle existe » !
Pour en voir le cœur net, le JPL de la Nasa développe le petit satellite Lunar Flashlight qui aura pour mission de cartographier les dépôts de glace d’eau supposés exister au fond des cratères polaires de la Lune, notamment ceux dont les planchers sont en permanence dans l’ombre du Soleil. Le but de la mission est de fournir des informations sans ambiguïté possible sur l’existence de dépôts de glace d’eau au fond de ces cratères lunaires. Son lancement est prévu lors de la mission Artemis 1 qui donnera le coup d’envoi du retour des Américains sur la Lune.
Cette question de l’utilisation de l’eau n’est pas trop d’actualité aujourd’hui. Il faut savoir que les missions du programme Artemis seront de durée très courte, d’une dizaine de jours et jusqu’à 45 jours. Par souci de simplification, chaque mission embarquera tout ce que son équipage aura besoin en oxygène, nourriture et eau. Plutôt que de se ravitailler en eau sur place, la Nasa préférera jouer la sécurité. D’ailleurs, il est peu probable que l’on soit capable d’en extraire et d’en utiliser d’ici ces vingt prochaines années ! Ce n’est seulement qu’à l’horizon 2050, si une base est effectivement construite, qu’il sera nécessaire de se préoccuper de cette question, si l’on souhaite que cette base soit autonome. À cela, s’ajoute qu’il n’est pas envisagé de ravitailler cette future base en eau car, à l’état liquide, il s’agit d’une ressource « lourde » en termes de masse et de volume. Et donc coûteuse et compliquée à lancer depuis la Terre.
Serons-nous capables d’utiliser l’eau de la Lune ?
À l’état liquide, si les idées ne manquent pas pour utiliser cette eau, les possibilités sont tout de même assez restreintes. Avec des températures de plus ou moins – 200° degrés, faire fondre cette glace et s’en servir pour produire de l’eau à l’état liquide, de l’oxygène et de l’hydrogène, sera techniquement très complexe. Parmi les idées réalistes, malgré des difficultés de mise en œuvre, citons l’utilisation de larges paraboles qui focaliseraient le Soleil sur cette glace pour la réchauffer, la vaporiser et la voir se condenser sur des miroirs, d’où l’eau s’écoulerait dans des réservoirs.
Séparées en leurs deux éléments constitutifs, l’hydrogène et l’oxygène, les molécules d’eau peuvent aussi fournir de l’air mais aussi de l’hydrogène et de l’oxygène utiles pour des carburants de véhicules spatiaux. L’idée est d’utiliser ces deux éléments pour produire des ergols liquides de moteurs à oxygène et hydrogène liquides. Or, l’hydrogène produit par électrolyse, puis liquéfié, nécessite des quantités d’énergies considérables et une infrastructure complexe de stockage. Cette complexité explique le choix des constructeurs de lanceurs d’abandonner l’utilisation de l’hydrogène, lui préférant le méthane comme ergol pour les futurs moteurs chimiques des lanceurs (LOX-méthane). Il faudra donc fabriquer des moteurs spécifiques à des usages « lunaires », ce qui limitera leur attrait. Tout comme faire le plein ! Si l’on peut comprendre que ce carburant pourrait être utilisé par des véhicules spatiaux retournant sur Terre avec une cargaison ou un équipage, le coût sera exorbitant.
Europe : c’est ainsi que l’on nomme la lune glacée de Jupiter. Sous sa glace, une mer qui intrigue. Car on l’imagine susceptible d’abriter une forme de vie extraterrestre. Et aujourd’hui, une étude révèle que cette mer pourrait être riche… en sel de table !
Quelle peut bien être la composition de l’océan qui coule sous la glace d’Europe, le satellite naturel de Jupiter ? Depuis des années, les astronomes s’interrogent. Des chercheurs du Caltech (California Institute of Technology, États-Unis) ont mené une analyse spectrale inédite de la lumière visible renvoyée par cette lune. Et ils ont découvert que la couleur jaune que l’on observe sur certaines parties de la surface d’Europe est due à la présence de chlorure de sodium(NaCl). Du sel de table, en d’autres termes.
Les survols d’Europe par Voyager et Galileo avaient mené les chercheurs à conclure que la lune de Jupiter était couverte d’une couche de glace sous laquelle se dissimulait une couche d’eau liquide. Le spectromètre infrarouge de Galileo avait même laissé penser que cette eau devait être riche en sulfate de magnésium (MgSO4), aussi appelé sel d’Epsom.
Cependant, des données plus précises issues de l’observatoire W.M. Keck (Mauna Kea, Hawaï) avaient ensuite mis à mal ces conclusions. Des spectres de grande qualité des régions concernées ne présentaient en effet aucune absorption caractéristique de ces sels. « Nous avons alors pensé au chlorure de sodium », explique Mike Brown, astronome. Mais le chlorure de sodium rend habituellement un spectre particulièrement lisse et difficile à qualifier. Difficile donc de conclure. À moins que…
Analyser le spectre en lumière visible
En 2015, des chercheurs de la Nasa avaient soumis du sel à des conditions d’irradiationsemblables à celles que subit Europe. Des électrons s’étaient retrouvés piégés dans la structure cristalline du chlorure de sodium. Faisant passer le sel de sa couleur blanche que nous lui connaissons à une teinte jaune ressemblant fortement à celle que l’on observe à la surface du satellite de Jupiter. Toutefois, un rapprochement de couleur ne peut suffire à conclure quant à la composition d’un océan.
Jusqu’alors, les astronomes s’étaient toujours intéressés aux spectres infrarouges. Car c’est à ces longueurs d’onde que les molécules recherchées à la surface des planètes exposent leurs principales caractéristiques. Cette fois, les chercheurs ont donc analysé des images prises par le télescope spatial Hubble dans le visible et ont pu identifier une absorption caractéristique du sel de table irradié à 450 nanomètres.
Le fond océanique d’Europe pourrait être actif sur le plan hydrothermal
Ce chlorure de sodium pourrait aussi bien provenir d’une stratification de la couche de glace que de l’océan sous-marin d’Europe. Mais les chercheurs estiment que leurs résultats justifient au moins une réévaluation de la géochimie du satellite. « Si ce sel provient bien de l’océan d’Europe, ce dernier pourrait être plus semblable à ceux que nous avons sur Terre que nous ne le pensions. La présence de chlorure de sodium pourrait aussi indiquer que le fond océanique d’Europe est actif sur le plan hydrothermal. Dans ce cas, Europe deviendrait plus intéressant sur le plan géologique qu’on ne le pensait auparavant », conclut Samantha Trumbo, auteur principale de l’étude.
CE QU’IL FAUT RETENIR
Des chercheurs ont étudié le spectre d’Europe, la lune glacée de Jupiter, en lumière visible.
De quoi identifier une absorption caractéristique du chlorure de sodium, notre sel de table.
Ainsi, l’océan d’Europe pourrait ressembler à ceux que nous connaissons sur Terre.
Illustration image représentant le système solaire Trappist. Crédit : radiomoyo.com
Les nouvelles fusent en ce moment concernant l’astronomie et en particulier les découvertes sur les exoplanètes comme cet article que j’ai repris il y a deux jours intitulé :
L’exoplanète HR 8799 c fait partie d’un système de 4 exoplanètes orbitant l’étoile HR 8799. Elle est environ 7 fois plus massive que Jupiter. Crédits : Adam Makarenko/C. Alvarez/Keck Observatory
De l’eau détectée dans l’atmosphère d’une exoplanète située à 179 années-lumière de la Terre
Article et images source :trustmyscience.com
Thomas Boisson
Bien que les techniques d’observation aient évolué au cours des dernières années, observer des exoplanètes est encore un processus complexe pour les scientifiques, celles-ci étant souvent occultées par la présence des étoiles hôtes. En utilisant une combinaison technologique mêlant optique adaptative et spectroscopie, une équipe américaine d’astrophysiciens a contourné cet obstacle et a pu confirmer la présence d’eau dans l’atmosphère de la planète HR 8799 c, située à 179 années-lumière de la Terre.
Le système solaire au cœur de cette découverte comporte une étoile appelée HR 8799 et ses planètes : HR 8799 b, c, d et e. Le système se trouve à 179 années-lumière, dans la constellation de Pégase. L’étoile elle-même est une étoile de la séquence principale âgée de 30 millions d’années et d’environ 1.5 masse solaire.
En 2008, des scientifiques ont annoncé avoir observé directement trois exoplanètes autour de l’étoile — HR 8799 b, c et d — à l’aide des télescopes Keck et Gemini. Puis, en 2010, ils ont annoncé la découverte d’une quatrième planète, HR 8799 e.
Cette nouvelle étude s’appuie sur les travaux antérieurs de 2008, et les astronomes qui en sont à l’origine qualifient cette dernière découverte de « tremplin » vers l’amélioration des images concernant les exoplanètes. En effet, la grande majorité des exoplanètes détectées et/ou caractérisées ne sont pas résolvables de leur étoile, c’est-à-dire qu’elles ne peuvent être observées directement.
Le système HR 8799 est donc extrêmement important en ce que les quatre exoplanètes qui orbitent l’étoile hôte, ont pu être imagées directement. Les nouvelles observations portent sur HR 8799 c, observée pour la première fois en 2008. Il s’agit d’une jeune planète gazeuse géante, faisant environ sept fois la masse de Jupiter, qui effectue un tour complet autour de son étoile en 200 ans.
Ces nouvelles observations par imagerie directe confirment la présence d’eau dans l’atmosphère et l’absence de méthane. Ordinairement, les raies de méthane sont les plus intenses dans le cas des Jupiter chauds ; l’absence de méthane indique donc que HR 8799 c est une exoplanète relativement froide (température effective d’environ 815 °C).
Les observations résultent d’une puissante combinaison de deux technologies à Keck. La première est l’optique adaptative. L’optique adaptative contrecarre les effets flous de l’atmosphère terrestre. La seconde est un spectromètre, situé sur le télescope Keck 2, appelé spectrographe d’échelle cryogénique proche infrarouge (NIRSPEC), un spectromètre à haute résolution fonctionnant en lumière infrarouge.
« Ce type de technologie est exactement ce que nous voulons utiliser à l’avenir pour rechercher des signes de vie sur une planète semblable à la Terre par exemple. Nous n’y sommes pas encore, mais nous avançons » déclare Dimitri Mawet, professeur agrégé d’astronomie au Caltech et chercheur au JPL.
Jusqu’à présent, les astronomes ont directement imagé plus d’une douzaine d’exoplanètes. Le système HR 8799 est le premier système multi-planètes à avoir été imagé directement. Mais les images ne sont que la première étape de cette étude. Une fois prises, ces dernières peuvent être analysées pour connaître la composition chimique des exoplanètes. C’est là que la spectroscopie entre en jeu. Dans ce cas, les capacités de NIRSPEC se sont montrées essentielles.
Schéma montrant comment son extraites et analysées les données spectrales recueillies par les astrophysiciens. En haut à gauche : base de données spectrales concernant l’étoile, les exoplanètes et les indicateurs de référence. En haut à droite : comparaison entre les spectres bruts des planètes (vert) et les spectres de référence (bleu) ; les spectres partagent plusieurs caractéristiques similaires (gris). En bas à droite : les caractéristiques similaires sont supprimées ; le spectre de la planète est nettoyé (vert) puis corrélé aux spectres de référence du méthane (bleu) et de l’eau (rouge). En bas à gauche : la distribution spectrale de l’eau et du méthane atmosphériques est précisée. Crédits : Ji Wang et al. 2018
Le NIRSPEC est un instrument du télescope Keck 2 qui fonctionne dans la bande L infrarouge. La bande L est un type de lumière infrarouge d’une longueur d’environ 3.5 micromètres, et une région du spectre comportant de nombreuses empreintes chimiques détaillées.
« La bande L a été largement négligée auparavant parce que le ciel est plus brillant à cette longueur d’onde » explique Mawet. « Si vous étiez un extra-terrestre avec des yeux réglés sur la bande L, vous verriez un ciel extrêmement brillant. Il est difficile de voir des exoplanètes à travers ce voile ».
En combinant la spectrographie en bande L et l’optique adaptative, les astrophysiciens ont surmonté les difficultés d’observation d’une planète dont la lumière est presque noyée par son étoile. Ils ont pu effectuer les mesures les plus précises de la planète, confirmant la présence d’eau et l’absence de méthane. Les résultats ont été publiés dans la revue The Astronomical Journal.
Le système HR 8799 est le premier a avoir été directement imagé. Sur cette image, l’on peut voir les quatre exoplanètes orbiter l’étoile hôte. Crédits : NRC-HIA/C. Marois
«Pour le moment, avec Keck, nous pouvons déjà en apprendre davantage sur la physique et la dynamique de ces planètes exotiques géantes, qui ne ressemblent en rien à nos propres planètes du système solaire » indique Ji Wang, planétologue à l’université de l’Ohio. « Nous sommes maintenant plus certains du manque de méthane sur cette planète ».
« Cela peut être dû à un mélange dans l’atmosphère de la planète. Le méthane, que l’on s’attendrait à retrouver à la surface, pourrait être dilué si le processus de convection fait apparaître des couches plus profondes de la planète, sans méthane » ajoute-t-il.
L’équipe de Mawet se prépare déjà pour l’arrivée du prochain instrument à l’observatoire de Keck : le KPIC (Keck Planet Imager and Characterizer). Le KPIC utilisera l’optique adaptative et la spectroscopie, le tout avec des performances améliorées. Avec lui, les astronomes seront en mesure d’imager des planètes encore plus faiblement lumineuses et plus proches de leur étoile que HR 8799 c.
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
Nous nous rapprochons un peu plus que l’idée de la présence d’eau sur Mars en état solide ou liquide ne soit plus un mythe mais une réalité.
Après cela, les scientifiques détermineront si l’eau au sein de la planète rouge abrite ou non la vie. Si la réponse est négative alors peut-être que celle-ci en aura à plus ou moins court terme .
Cet article du média 20 mn peut – il nous éclairer sur le présent de cette planète et de son futur au fur et à mesure des analyses et des résultats ?
Cliquez sur le titre ci-dessous pour accéder à l’article de 20mn.
Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa Crédit : ouest france
La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès
Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour ouest-france.fr
Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.
Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.
Nous incluons ce complément hors article en guise de support cette vidéo de la NASA via YouTube
La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès
La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech
Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur, solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici sur notre site web . Merci pour votre fidélité.
Petits repères
La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.
L’ EAU EN état liquide:
L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).
L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :
-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.