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Etrange et Insolite

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Un handicap ne doit pas empêcher de vivre ses rêves. C’est le message que passe une jeune anglaise en fauteuil roulant à l’occasion des Jeux Paralympiques.

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Une base extra-terrestre sous-marine au large de la Californie du sud ?

 

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Le chercheur Preston Dennett, membre du MUFON a commencé ses investigations sur les ovnis dès les années 1980, et il a reçu assez rapidement des rapports signalant des ovnis sortant de l’océan. Plusieurs de ces rapports provenaient d’un certain endroit le long de la ligne de côte de la Californie, d’environ Santa Barbara au sud jusqu’à Long Beach. Après que plusieurs témoins lui aient dit qu’ils pensaient qu’il y avait une base sous-marine d’ovni située là, il décidait d’effectuer une enquête plus en profondeur pour déterminer la vérité.

Sa première étape a été d’examiner les recherches d’autres investigateurs importants. A sa surprise, la plupart des chercheurs locaux se rendaient déjà compte de ces signes. Ann Druffel écrit :  » Ces eaux superficielles se trouvent entre le littoral dusud de la Californie et l’île Santa Catalina, à 20 miles (32 km env.) en mer vers le sud-ouest. Le secteur a pendant au moins trente années été la scène de rapports de toutes sortes – des apparitions de vaisseaux flous croisant lentement avec une belle vue des installations militaires, des sphères aériennes  qui volent en oscillant, de gigantesques nuages-cigares et au moins un rapport d’un ovni sous-marin avec des occupants en uniformes « .

Un autre chercheur, Robert Stanley, éditeur du maintenant défunt magazine Unicus, écrit :  » Même dans les années 1960, les familles descendaient à la plage et attendaient pour voir un ovni passer… Dans les années 1970, des familles entières descendaient à la plage au Point Dume la nuit pour voir les ovnis multicouleurs qui descendaient sous l’eau parfois. « 

L’investigateur de terrain du MUFON Bill Hamilton Jr. écrit :  » Pendant des années ont été vus beaucoup de types d’ovnis croisant vers la peninsule Palos Verdes au sud de la Californie. Les ovnis ont réellement été vus sortir du Canal de San Pedro. « 

Il avait déjà découvert plusieurs cas de première main par lui-même. Sa nouvelle étape a été de monter une liste complète de tous les rapports de rencontres en haute mer dans ce secteur. Après avoir complété son enquête, il avait plus de cinquante signalements. Il était évident que les cas devait être catégorisés par types.

Le premier type et le plus commun sont les cas qui prennent place au-dessus du littoral. Dans ces cas, les gens voient les ovnis soit du rivage, ou alors lorsqu’ils sont en mer. Plusieurs cas typiques suivent :

1953 : L’ingénieur Frederick Hehr et plusieurs autres sont sur la plage de Santa Monica quand ils observent un « escadron de soucoupes  » faire des manoeuvres dans le ciel en plein jour au-dessus de la baie. Plus tard le même jour, les objets reviennent et refont plus de manoeuvres pendant une période de plus de 10 minutes.

10 juillet 1955 : Aux alentours de 11 heures du matin, plusieurs pêcheurs de la côte de Newport Beach observent un objet en forme de cigare bleu-argenté qui vole à « allure modérée et à moyenne altitude ». Deux heures et demi plus tard, une famille de trois personnes de Washington navigue à 13 miles (21 km) des côtes de Newport Beach sur leur chemin pour l’île Catalina quand ils observent un vaisseau « parfaitement rond, gris-blanc », à 2500 pieds (750m) au-dessus de leur navire. Alors que l’objet maintient sa position au-dessus du navire, ils appellent à la radio la Garde-Côte, qui envoie un avion. L’objet file au loin avant que l’avion arrive.

Décembre 1957 : L’équipage sur le pont du paquebot Britannique S.S. Ramsey sont près de la côte de San Pedro quand ils observent un large disque gris avec des antennes comme des projections. L’un des homme d’équipage saisi son appareil photo et prend une photo trouble de l’objet avant qu’il s’éloigne au loin.

1960 : L’acteur Chad Everett et deux amis sont sur la terrasse de toit de sa maison de Beverly Hills la nuit quand ils observent un objet lumineux qui fait des va et vient à haute vitesse au-dessus de l’océan proche. Parceque l’objet bouge très rapidement et à angles droits, les témoins sont convaincus que c’est un véritable ovni.

6 novembre 1967 : Début de matinée à Playa Del Rey, trois voitures roulent le long de la voie de la Côte Pacifique quand soudainement elles calent alors qu’un grand  » objet en forme d’oeuf » entouré de « brume bleue » atterrit sur la plage seulement quelques mètres plus loin. Les trois témoins, Richard Kehoe, Ronald Burke et Joe Thomas sortent de leurs voitures et observent deux hommes à l’apparence étrange sortir de l’objet. Les occupants de l’ovni ont la peau « jaune-verdâtre » et portent « des pantalons de cuir noir, des ceintures blanches et des débardeurs de couleur claire. » Ils marchent vers les témoins et commencent à poser des questions. Kehoe et les autres sont incapables de comprendre les occupants, qui semblent parler une langue étrangère. Après quelques instants, les personnages retournent à l’objet qui décolle et accélère hors de vue. Cependant, environ dix heures plus tard, à 15h50, un officier commandant et douze aviateurs du détachement de l’Air Force près de Long Beach voient six objets en forme de soucoupes bourdonner à travers le ciel. Deux heures plus tard, les officiers de la base aéronavale de Los Alamitos voient de « nombreux » objets s’entre-croiser dans le ciel. En même temps, les commissariats de police locaux à Long Beach recoivent plus de cent appels de résidents de Long Beach qui rapportent des ovnis.

1970 : A été enquêté par Bill Hamilton Jr., une communication anonyme d’une personne de l’île Catalina au Port de San Pedro qui a observé une soucoupe métallique avec 4 « pieds hémisphériques » en-dessous, qui vole à quelques centaines de mètres au-dessus de son bateau.

Mai 1973 : Le Directeur Artistique George Gray (pseudonyme) observe un objet qui émet un faisceau de lumière vers le bas alors qu’il roule le long de la voie de la Côte Pacifique à Santa Monica quelques heures avant l’aube. Gray dit :  » l’ovni était au-dessus d’où était la plage… planant je pourrai dire peut-être à 100, deux cents pieds (30-60 mètres) en l’air. Il était argenté. C’était votre ovni de base… c’était définitivement completement métallique avec un dôme argenté au sommet et un dôme argenté en dessous de ça, comme deux plats mis ensemble. Et il avait de petites lumières autour de lui.  » Gray peut appeler d’autres témoins avant que l’objet s’écarte au loin.

Eté 1988 : Le photographe professionnel Kim Carlsberg  observe un objet semblable à une étoile scintillante alors qu’il se détend dans sa maison du front de mer à Malibu. Soudainement, l’objet comme une étoile s’oriente directement sur lui.Carlsberg dit,  » le point brillant de lumière à avancé jusqu’à ce qu’il devienne une sphère lumineuse de quelque 50 pieds (15m) de diamètre. C’est sinistrement accroché en l’air à une centaine de pieds (30m) de ma fenêtre… l’apparent arrêt n’a pas duré plus d’une minute avant que la sphère reparte aussi vite qu’elle est apparue. Ca s’arrache en diagonale à travers le ciel nocturne et s’évanoui. »

Le 4 mai 1990 : C’est le début de matinée et deux surfeurs de Malibu se trouvent sur leurs planches à attendre la prochaine vague quand ils observent une  » soucoupe en alluminium brossé avec une bosse au milieu qui s’est approchée du rivage en sortant de la forte brume qui stagnait à environ un mile du rivage » (1.5km). L’objet fait des va et vient vite puis s’enfonce dans la mer.

Eté 1990 : Le pilote privé Toshi Inouye et son étudiant observent un grand, rouge, objet en forme de cigare rougeoyant planant près de leur avion au-dessus de la Baie de Santa Monica dans la fin d’après-midi. Inouye dit :  » Il se tenait toujours dans le ciel, flamboyant rouge. Nous étions littéralement pétrifiés. Nous n’avons pas su quoi faire. «  Inouye envisage d’appeler la tour de contrôle de l’aéroport voisin quand l’objet soudainement file au loin.

1998 : Adam X (nettoyeur de piscines) et Mario X (militaire privé) sont en train de rouler le long de la voie de la Côte Pacifique à Malibu quand ils voient six objets en forme de diamant noir filer à haute vitesse à travers la côte. Les deux hommes sont si impressionnés par la brève vision qu’ils passent l’heure suivante à rouler à travers la côte dans les deux sens en espérant une répétition de l’apparition. Alors qu’ils ne voient plus d’ovnis, ils trouvent d’autres témoins des ovnis. Adam dit  » Nous avons trouvé d’autres personnes qui étaient juste assises dans leurs chaises de jardin le long de la route. Je ne sais pas si ceci a quelque chose à voir avec ça, mais ils étaient juste assis là le long d’un côté de la route, à regarder seulement en l’air « .

3 janvier 2004 : Le jeune Chyren se tient le long de la côte de Santa Monica à midi quand il observe un vaisseau en forme de soucoupe métallique argentée qui plane seulement à quelque mille pieds (300m) directement au-dessus d’un petit yacht qui est à moins d’un mile (1.5km) en mer. Il saisit rapidement son appareil photo et en prend une photographie (voir la photo).

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Beaucoup d’autres cas d’ovnis volant au-dessus de l’océan peuvent être cités, mais ce qui est important ici est qu’il y a une large disproportion du nombre d’apparitions régulières d’ovnis sur ce secteur, et dans la plupart des cas, ils sont seulement à quelques centaines de mètres ou moins au-dessus de la surface de la mer. Il est donc facilement possible qu’ils viennent de l’océan ou qu’ils y vont.

Et c’est ce que nous verrons dans la prochaine catégorie qui implique les ovnis qui font exactement ça. Ce sont ces cas beaucoup plus rares qui fournissent des évidences puissantes d’une base sous-marine d’ovnis au large de la côte californienne. Et également, les cas commencent au début des années 1950 et continuent de nos jours.

21 novembre 1951 : A été rapporté par le chercheur Harold Wilkins,  » de nombreux témoins observent un « objet brûlant non identifié » qui descend dans l’océan, quelque part au large de la côte de Californie. »

8 août 1954 : Le paquebot japonais Aliki est près de la côte de Long Beach quand plusieurs membre d’équipage observent un ovni sous-marin. Le message radio du bateau dit :  » Nous avons vu une boule de feu bouger dans et or de la mer sans être mouillée, un sillage de fumée blanche à gauche, une course érratique, qui a disparu de notre vue « .

1955 : De multiples résidents de la ville cotière de nord Californie de Santa Maria observent un « grand objet argenté » qui émerge de l’océan et part dans l’espace.

le 15 janvier 1956 (soirée) : de multiples résidents de Redondo Beach rapportent avoir vu un grand et rougeoyant objet descendre du ciel et flotter sur la surface de l’océan à environ 75 yards (69 m) du rivage. Pendant que la rencontre se répand, des douzaines de témoins convergent vers la scène, incluant un veilleur de nuit local, des maîtres-nageurs de Redondo Beach et des officiers de police de la proche Hermosa Beach. Pendant que la foule se réunit, l’eau autour de l’objet commence à « mousser » et l’ovni s’enfonce sous la surface. La lueur de l’objet, cependant, demeure si intense qu’ils peuvent toujours le voir. Les officiers de police appellent à la radio pour de l’assistance et des plongeurs sont envoyés pour investiguer. Malheureusement, pendant le temps que les plongeurs arrivaient, l’objet est parti. Un autre officier de police teste le secteur avec un compteur Geiger, qui n’enregistre aucune radiation. Un autre recherche le jour suivant ne donne aucun résultat.

9 février 1956 : du personnel militaire observe une boule de feu qui descend dans l’océan  en face de la côte de Redondo Beach. Un an après, l’ufologue Leonard Stringfield obtient un rapport officiel de l’incident qui dit seulement :  » un aérolithe à frappé l’eau. Il a été submergé « .

28 juillet 1962 : Le capitaine d’un bateau de pêche note quelques lumières qui flottent stationnairement dans l’eau à environ six miles (9 km) au sud de l’île Santa  Catalina. Lors d’une observation plus proche, le capitaine est effrayé de voir ce qu’il pense en premier être un sous-marin Russe. Le Capitaine dit :  » ça apparaissait être la poupe d’un sous-marin. Nous pouvions voir cinq hommes, deux en tenue blanche, deux avec des pantalons foncés et des chemises blanches, et un en combinaison bleu-ciel. Nous sommes passés par le travers à moins d’un quart de mile (400m) et j’étais certain que c’était un sous-marin bas sur l’eau, en acier gris, sans marques, la plate-forme presqu’inondée, montrant seulement sa queue et une arrière-structure de forme asymétrique.  » Soudainement le sous-marin se dirige droit sur le bateau de pêche comme pour le percuter. Le Capitaine fait un virage d’urgence alors que le sous-marin les dépasse à haute-vitesse, sans émettre de bruit et sans laisser de sillage excepté une « bosse de bonne taille ». Le Capitaine contacte la Marine qui n’est pas capable d’identifier positivement le sous-marin. Les ufologues Coral et Jim Lorenzen entendent parler de ce cas et spéculent qu’ils pourraient avoir vu un ovni (oani) et non un sous-marin. Lorenzen dit :  » La haute vitesse, le manque de sillage et de bruit et la bosse énorme font que cet objet est suspect « . On pourrait aussi mentionner la forme asymétrique du sous-marin lui-même, son manque de crainte d’être vu et sa manoeuvre agressive.

5 février 1964 : Onze passagers sont secourus par la garde côtière de leur radeau de secours après l’inexplicable naufrage de leur yacht, le Hattie D. L’équipage était en train de naviguer vers le sud de la côte de Californie, provenant de Seattle, Etat de Washington quand leur yacht a été percuté ou enfoncé par un  » objet métallique » non indentifié. Le membre d’équipageCarl Jansen dit :  » Je ne faits pas attention de savoir à quelle profondeur il était… ce qui nous a troué était en acier, et un gros morceau. Il n’y a aucun doute là-dessus « .

2 décembre 1965 : Mrs. Irwin Cohen et son fils observent un objet rougeoyant qui descend dans l’eau au large de San Pedro, laissant un grand nuage de vapeur.  Pendant que l’objet descend, les témoins prennent quelques photos. Ils se demandent s’ils ont été témoin d’un missile de la Marine ou d’un autre objet inconnu.

Octobre 1968 : Le harponneur George Hiner est en train de pêcher sur son bateau à l’extrêmité orientale de l’île de Santa Catalina quand il repère un « objet en forme de dôme blanc » à travers ses jumelles. Pendant qu’il l’observe, l’objet monte à 10 pieds (3 m) au-dessus de la surface de l’eau, puis descend et monte encore. Il note un étrange « parachute » comme un dispositif sous l’objet, qui descend doucement et coule alors sous les vagues.

Juin 1980 : La thérapeute Linda Susan Young et un ami conduisent le long de la route de la Côte Pacifique à Santa Monica quand Young observe une inhabituelle lumière brillant stationnairement à plusieurs miles au-dessus de la mer.Young a été déconcertée par son apparence et s’est tournée vers son ami. Young dit :  » Je dis au garçon avec moi : – Qu’est-ce que tu supposes que c’est ?, et il a regardé autour et l’a vu. Il l’a vu seulement une seconde au moment où il est parti étrangement dans le ciel en clignotant. Il n’a pas fait comme si il partait au loin pour disparaître de notre vue , avec la distance. C’est juste une sorte de disparition. Il a juste arrêté d’être là. J’ai toujours supposé que c’était un ovni « .

1980 : Une personne anonyme (un ingénieur électronicien expérimenté) qui navigue par un jour de brouillard entre Santa Barbara Island et Santa Cruz, observe une  » lumière fluorescente corlorée de vert  » devant lui dans la brume. En pensant que c’était un autre navire utilisant de brillantes lumières pour naviguer dans le brouillard, il arrête et attend qu’il passe. Alors qu’il s’approche, cependant, il est incapable de distinguer le moindre détail.  Alors qu’il est à un quart de mile (400m) de distance, il se dirige directement vers lui, le témoin découvre pourquoi. Le témoin dit :  » J’ai finalement réalisé que cette chose silencieuse était sous-marine… Je devine que cela avait – je ne sais pas – peut-être 300 pieds (90 m) de diamètre, mais je ne pourrai pas savoir aucune dimension verticale de ça parce que c’était sous moi dans l’eau. C’est littéralement passé directement sous moi « . Le témoin naviguait sur un voilier entièrement équipé de 38 pieds (12 m). Lorsque l’objet est passé sous lui, il prend plusieurs mesures de la sonde de profondeur, déterminant que l’objet est environ à 100 pieds (30 m) de profondeur. A ce moment, les deux sondes de profondeur arrêtent de fonctionner. Le témoin vérifie ses boussoles. Alors il dit :  » toutes les trois tournaient lentement sur elles et je n’étais pas… j’ai essayé d’appeler la Garde Cotière et la radio était morte.  » l’objet s’écarte et disparaît, laissant le témoin fortement effrayé. Un contrôle postérieur de son équipement révèle que tous les supports de ses boussoles sont cassés. Le témoin de l’incident dit :  » c’était étrange. J’étais juste trop sacrément pétrifié pour bouger « .

1990 : Selon le chercheur Bill Hamilton, fin 1989 démarrait l’apparition de nombreux témoignages à Marina Del Rey répétant des rencontres avec  » d’étranges lumières bleu-vert dans l’eau « . Ce que Hamilton écrit :  » en 1989 et encore en 1990, des témoins ont vu autant d’évènements qu’une vingtaine par heure. Une large lumière paraissait avoir plus de 100 pieds (30 m) de diamètre. Cette grande lumière engendre des bébés pas plus larges que 10 à 12 pieds (3-4 m) de longueur. Ces lumières ont été vues se mouvant rapidement sous la surface de l’océan à environ 500 à 1000 pieds (150 à 300 m) du rivage de Abalone Cove… une de ces lumières a été vue émerger de l’eau « .

Printemps 1991 : Dans les premières heures matinales, Tony X. regarde à travers la fenêtre de sa maison du front de mer àMalibu et observe un objet brillamment éclairé flottant sur la surface de l’océan à environ deux miles au loin. Tony dit :  » ça ressemblait à un grand prisme, avec des couleurs variées là bas. Je prenais un télescope et je l’ai regardé « . Après quelques heures, la lumière disparaît. Cependant, deux ans après, en janvier 1993, l’objet revient. Tony dit :  » je prend le télescope et le regarde, et c’était la même sorte de chose… les couleurs semblaient très pures, faute d’un meilleur mot. Elles semblaient réellement cohérentes. Tony appelle les Garde cotes, mais ils nient avoir quelconque information.

5 mai 1992 : Deux amis marchant le long de la plage de Malibu observent une espèce de lumière/aérolithe » descendre du ciel et dans l’océan. Les témoins  disent :  » ça allait à une incroyable vitesse et était à moins d’un mile de là. Ca a semblé frapper l’océan… ensuite l’objet fait son chemin à la surface de l’océan, et ça disparaît, aussi je pense qu’il est allé sous l’eau « .

1994 : Deux hommes marchant près de la côte de Rancho Palos Verdes la nuit voient plusieurs  » disques rougeoyants  » flotter dans l’eau. L’un de ces témoins retourne à un date ultérieure et voit à nouveau les disques. A cette occasion, il observe plusieurs hélicoptères noirs dans le secteur. Peu après, il est confronté à des individus anonymes (agents du gouvernement, Men in Black ?) qui lui disent en termes clairs que ce secteur (de Abalone Cove) est interdit.

11 janvier 2002 : Un campeur anonyme le long de la côte à Point Mugu voit une lumière se déplacer en va et vient à 100 pieds (30 m) au-dessus de l’eau, et deux autres lumières sous la surface de la mer. Les deux objets filent en va et vient en tandem pendant 30 minutes (se déplaçant différemment de tout avion ou hélicoptère), donnant aux témoins l’impression qu’ils cherchent quelque chose. Après, la lumière dans le ciel accélère hors de vue et les deux objets s’enfoncent sous l’eau et disparaissent.

Autant d’activité d’ovnis sous-marins à un endroit est indéniablement inhabituel et indique fortement la possibilité qu’il y ait une base d’ovnis quelque part dans ce secteur. Alors que tous les rapports ci-dessus fournissent de considérables évidences, d’avantage de confirmations de cette possibilité viennent d’une autre source. Non seulement il y a un inhabituel grand nombre de visualisations, atterrissages et d’ovnis allant dans l’océan ici, il y a aussi quelques cas d’enlèvements. Normalement, quand quelqu’un rapporte avoir été enlevé par des aliens, ils prétendent avoir été enlevé à bord d’un ovni. Cependant, dans ce secteur particulier, les quelques enlevés disent qu’à la place, ils ont été emmené dans une base souterraine. Se pourrait-il que ces témoins aient été emmenés dans une base sous-marine dans le Canal de Santa Catalina ?

1967 : Deux jeunes garçons de 11 ans expérimentent un épisode de temps manquant alors qu’ils sont à bord du bateau de leurs parents à Avalon Harbor, île Santa Catalina. Des années plus tard, l’un des témoins, Paul Nelson (pseudonyme) est mis sous hypnose et se souvient que lui et son ami ont été enlevés par des extra-terrestres dans une apparente base souterraine où ils sont examinés par des aliens de type « Praying Mantis » (prêtre-insecte). Nelson dit :  » j’ai été emmené dans une salle ronde murée. Cela semblait pour moi plus souterrain qu’à bord d’un navire. Les murs avaient une sorte de face en roc sur eux… des murs de roches plutôt que des murs du type usiné. cela donnait l’impression que j’étais dans une caverne (plutôt) que dans un navire… c’était plus un sentiment de souterrain, c’est vrai « . Après les examens, les garçons sont retournés sur le navire avec un temps manquant et sans mémoire consciente de l’enlèvement.

30 aôut 1992 : Comme raconté dans son livre autobiographique Beyond My Wildest Dreams, commençant au début des années 1990, Carlsberg a l’expérience d’une série d’enlèvements par un ovni de sa maison de Malibu. A chaque occasion, elle est examinée par des aliens de type « gris » ou de type « Praying Mantis ». Le 30 août 1992, Kim Carlsberg se souvient avoir été emmenée dans ce qui paraît être un vaste complexe souterrain où elle voit plusieurs autres enlevés et des aliens de différents types…  » je me suis réveillée dans un couloir où beaucoup d’humains étaient installés autour. Ils me rappelaient des patients attendant d’endurer leur tour de chaise de dentiste « . Carlsberg aussi se rappelle être assise dans un large auditorium avec beaucoup d’autres enlevés où elle était désignée par les aliens qu’elle a été préparée pour quelque chose « .

Une preuve finale de l’évidence d’une base souterraine/soumarine provient de la vague de 1992-1994 à Topanga CanyonTopanga Canyon a été un point névralgique pendant plus de 50 ans. cependant, dans la nuit du 14 juin 1992, littéralement des centaines d’ovnis ont été vus dans le canyon, qui est situé le long  du rivage mentionné au-dessus. 17 adultes indépendants témoins ont rapporté avoir vu ces ovnis cette soirée. Un couple, cependant, vivait sur une arrête élevée donnant sur l’océan. Cette soirée, ils ont observé un total d’au moins 200 engins. A chaque fois, ils observaient les objets s’élever, un par un, de derrière l’arrête à l’est d’eux, et puis se déplaçaient dans divers endroits dans le canyon. Après avoir vu tant d’objets, le couple a eu une bonne idée d’où ils pouvaient provenir. L’un des témoins dit :  »  Savez-vous que quand vous regardez quelque chose pendant un moment… vous pouvez savoir d’où il vient ? Après les avoir vu, vous avez le sentiment qu’ils vont partout dans ce secteur, de cette tâche ici à droite « .

Cette certaine tâche est la même localisation où beaucoup d’ovnis sous-marins ont été vus. Et c’est ce qui fait l’importance de ce témoignage particulier, c’est que les objets n’ont pas été vus provenir d’en haut. au lieu de ça, ces 200 engins sont venus d’en-dessous, soit souterrain soit sous-marin. D’où auraient pu provenir autant d’ovnis, à l’exception d’une base d’un tel type ?

CONCLUSIONS

Comme on peut voir, l’évidence est très forte pour qu’il y ait en fait une base d’ovnis sous-marine dans le canal de Santa Catalina. Des centaines d’ovnis ont été vus dans le secteur. Une part significative de ces cas implique des objets dans et au-dessus de l’eau. Et il y a aussi quelques cas où des gens ont été apparemment enlevés dans ce qui pourrait être une très grand base !

Cela nous laisse avec quelques questions, comme où est cette base, combien elle est grande et quand a-t-elle été construite ?

C’est difficile de dire exactement où est cette base, mais en jugeant d’après le distribution des rencontres, la plus haute densité de cas se trouve le long du canal de Santa Catalina. Elle devrait être très profonde pour éviter toute détection, mais cela pourrait être pure spéculation.

La taille de la base est encore matière à spéculation, mais puisqu’il y a un grand nombre d’ovnis vus en une fois (environ 200) et d’après les rapports des enlevés, il semble possible d’assumer que cette base (en assumant qu’elle existe) est extrêmement grande, peut-être de la taille de plusieurs quartiers de ville ou plus ?

La question suivante est, depuis combien de temps cette base est-elle ici ? Incroyablement, nous pourrions avoir la réponse. L’âge moderne des ovnis a démarré vers 1947, quand une grande vague de témoignages traverse les Etats-Unis et le monde. C’était la même année où le maintenant célèbre Kenneth Arnold témoignait et du crash d’ovni confirmé à Roswell. Cette année-là, il y a aussi un étrange mystère qui s’est passé près des côtes de Californie.

Cela a commencé le 7 juillet 1947, peu après le crash d’ovni à Roswell. A 15H10 ce jour, deux adolescents marchent le long de la plage de San Raphael et voient un objet scintillant sortant de l’océan, voler sur une petite distance, puis rentrer à nouveau dans l’eau à 400 yards (350 m) du rivage.

Un mois plus tard, en août 1947, La garde-Côte reçoit des rapports d’un « étrange objet enflammé » aperçu chuter dans la mer.

Après cet incident, les voiliers allant dans et hors de la Baie de San Francisco rencontraient une « montagne sous-marine » qui apparaissait et disparaissait en divers endroits de la baie. Plusieurs navires ont témoigné de la mystérieuse masse, l’ont appelé « récif » ou « montagne submersible qui était apparemment apparu du jour au lendemain. Un autre navire rapportait  » une grande masse sous l’eau, près du Golden Gate « . Après ça, la masse a disparu.

Ou peut-être s’est-elle juste déplacée encore. Pendant ce temps, le navire de patrouille de la Navy Maury et un autre engin sont envoyés pour enquêter sur un autre rapport d’un « récif fantôme » qui serait apparu environ à 400 miles (640 km env) des côtes de la californie du sud. Aucun diagramme ne liste une quelconque masse dans ce secteur. Et quand le Capitaine Hambling du Maury est arrivé, la « masse  » était partie. Ils ont alors immédiatement surveillé les alentours du secteur et à leur étonnement, ils ont trouvé que la masse s’était déplacée encore. Le Capitaine Hambling dit :  » nos sonars ont pris un étrange écho, quand nous étions à environ trois-quart de mile (1200 m env) de la location reportée du « récif ». il semblait que les sonars avaient obtenu un écho d’une masse à environ 1600 yards (1.4 km) de là. Nous avons changé de direction et démarré droit sur lui. A 400 yards (350 m) de lui, nous avons découvert qu’il s’était évanoui, et nous n’obtenions pas d’autre écho. Nous avons traqué et retraqué le secteur en utilisant des fathomètres et des sonars. Nous avons couvert cinq miles carrés (8 km²) très soigneusement, et cinq autres miles autour de l’extérieur du secteur. »

La « masse » cependant, avait disparu. Ou peut-être s’était-elle déplacée et avait trouvé une meilleure résidence permanente plus près du rivage. En considérant le nombre important de rapports d’objets sous-marins qui commence dans les années 1950, ceci peut avoir été le temps où la base supposée a été construite. En tout cas, les ovnis sous-marins ont bien été rencontrés dans ce secteur en 1947 et continuent de l’être à l’heure actuelle…

Alors qu’il peut sembler difficile de croire que des aliens vivraient sous nos océans, ce type de rencontre est indiqué tout autour du monde. Des ovnis en haute mer ont été vus sur les sept mers, depuis au moins 1000 ans et continuent au jour présent. Avec leur habilité à voyager à travers les océans et les cieux avec facilité, ces types de cas nous montrent juste combien sont avancés nos visiteurs. Et rappelez-vous, la plupart de nos océans demeurent inexplorés. Au moins par les humains.

(cet article a été adapté de  » UFOs Over California : A True History of Extraterrestrial Encounters in the Golden State, publié par Schiffer Books, 2005.)

SOURCES:

Bowen, Charles. (Editor.) The Humanoids: A Survey of Worldwide Reports of Landings of Unconventional Aerial Objects and Their Occupants. Chicago, IL: Henry Regnery Company, 1969.

Carlsberg, Kim. Beyond My Wildest Dreams: Diary of a UFO Abductee. Santa Fe, NM: Bear & Company, Inc., 1995.

Dennett, Preston. Extraterrestrial Visitations: True Accounts of Contact. St. Paul, MN: Llewellyn Publications, 2001.

—-. UFOs Over California: A True History of Extraterrestrial Encounters in the Golden State. Atglen, PA: Schiffer Publishing, 2005.

—-. UFOs Over Topanga Canyon. St. Paul, MN: Llewellyn Publications, 1999.

Hall, Michael David. UFOs: A Century of Sightings. Lakeville, MN: Galde Press, 1999.

Is There an Underwater UFO Base off the Southern California Coast ? par Preston Dennett (2006)

Sources : http://www.bibliotecapleyades.net/ciencia/ciencia_flyingobjects54.htm

http://ufologie.patrickgross.org/ce3/1957-11-06-usa-playadelreyf.htm


Yves Herbo  : ce document m’a été indiqué par John Tomlinson, qui coordonne la commission « Ufologie Internationale » et membre du conseil de l’Académie d’Ufologie fondée en 2007 par Jacky Kazan, avec comme membres fondateurs éminents Gérard Lebat, Patrick Gross, George Metz, Jean-Claude Venturini, Gerard Deforge, Christian Comtesse. Association que je présenterai plus en détail dans un prochain article.

http://www.ufolog.eu/index.php

Traduction Yves Herbo SFH 08-2012

Source : http://yvesh.e-monsite.com/blog/ovni-ufo/une-base-extra-terrestre-sous-marine-au-large-de-la-californie-du-sud.html

De nouveaux sous-marins et des problèmes anciens

21.08.2012, 20:04

Photo : RIA Novosti

Article source:http://french.ruvr.ru/

lia Kramnik, Rédaction en ligne

 

Un événement important se produira cet automne dans l’histoire de la Marine russe. Pour la première fois depuis l’effondrement de l’URSS, des sous-marins, construits d’après des nouveaux projets, intégreront la flotte militaire.

Dans le cadre du programme national de l’armement pour la période 2011-2020, la flotte devrait recevoir au moins 16 sous-marins nucléaires, ce qui va certainement augmenter la capacité de la flotte. Mais on ignore pour l’instant à quel point la marine russe sera renforcée.

Le croiseur sous-marin « Iouri Dolgorouki » du projet 955 sera certainement le primier à intégrer la flotte militaire de Russie. Actuellement le navire passe des tests finaux. En même temps, le missile balistique R-30 Boulava fera officiellement partie de l’armement russe. La mise en service d’un des plus importants navires porte-missiles marquera la fin de l’épopée de la création du nouveau complexe d’armement stratégique qui doit faire partie de l’arsenal de la marine nucléaire. Après « Iouri Dolgorouki», ce sera au tour d’une série de navires porte-missiles, dont la construction commence à s’accélerer au chantier naval Sevmach. Le second navire de la série « princière », « Alexandre Nevski », sera donné à la flotte avant le début de 2013. Les deux porte-missiles devront se rendre dans la région du Pacifique, sur la base de Viliutchinsk.

Le troisième navire, « Vladimir Monomaque », devra bientôt être mis à l’eau. Cet événement devrait se produire en automne 2012, ou en hiver 2013, tandis que l’exploitation de « Vladimir Monomaque » est prévue pour 2014. La construction du quatrième navire porte-missiles, le « Kniaz Vladimir » (Prince Vladimir) a déjà considérablement avancé, tout comme l’élaboration des navires de cinquième et de sixième série. Si les travaux vont avancer avec ce rythme, on peut espérer que la mise en service des huit navires du projet 955 sera réalisée vers les années 2020-2023.

Les navires porte-missiles de ce nouveau projet sont nombreux et au fur et à mesure que le financement augmente et la chaîne de production s’améliore, le rythme de travail s’accélère au chantier naval. Ainsi, il a fallu 17 ans pour descendre « Iouri Dolgorouki » sur l’eau, tandis que pour les navires « Alexandre Nevski » et « Vladimir Monomaque », ce délai représentera à peine 8 ans. Ensuite, les délais de construction devraient être réduits jusqu’à 6 ans.

Le rythme de construction des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) laissent l’espoir que le plan de la mise en exploitation de huit nouveaux porte-missiles sera réalisé d’ici à 2020. Et en parallèle, des sous-marins construits encore à l’époque soviétique continuent à être exploités par la Marine russe. Six navires SNLE du projet 667BDRM « Dauphin » vont continuer à servir la flotte russe jusqu’en 2020, et un ou deux navires porte-missiles du projet précédent 667BDR devraient également être concervés dans la marine.

Dans les conditions actuelles, le principal problème de la flotte militaire de Russie, c’est le développement de la production des missiles Boulava. Les SNLE du nouveau projet doivent être équipés chacun de 16 missiles. Pour les navires du projet amélioré 955A, il en faut 20 pour chaque navire. Ainsi, en tout, pour huit porte-missiles, 148 missiles Boulava devront être fabriqués, sans compter la réserve des armes pour les tests supplémentaires et les exercices militaires. Cela signifie que la production des missiles R-30 devrait atteindre au minimum 170-180 armes. A l’heure actuelle, « Iouri Dolgorouki » est entièrement équipé de missiles, et « Alexandre Nevski » le sera bientôt.

Ces chiffres inspirent confiance en ce qui concerne la sûreté de la partie maritime du bouclier nucléaire national. Cependant, l’état général des forces sous-marines russes est loin d’être idéal. La flotte militaire de Russie manque par exemple de navires multi-cibles, capables d’agir dans des environnement différents. Ce sont ces navires qui sont nécessaires pour le soutien des forces russes dans les zones de conflit et la destruction des porte-missiles ennemis en cas de guerre nucléaire.

La santé mondiale des océans obtient un 6 sur 10

Par Quentin Mauguit, Futura-Sciences

Un nouvel indice, l’Ocean Health Index, vient de voir le jour. Il évalue la santé des océans en tenant compte de l’utilisation que nous en faisons. Des données économiques, sociales ou politiques sont en effet intégrées dans son calcul. La note globale serait de 60 sur 100, mais de nombreuses disparités se cachent derrière ce résultat.

Près de la moitié de la population mondiale vivrait à proximité des mers et océans de la planète. Sources de nourritures, d’emplois ou de loisirs, ces étendues se révèlent d’une importance capitale pour l’Homme. Malheureusement, de nombreuses activités anthropiques telles que lasurpêche, le développement côtier et la production de substances polluantes altèrent les écosystèmes marins tout en dégradant les sources d’avantages qu’ils nous procurent. Des politiques de gestion durable doivent donc être mises en place pour assurer la survie de ces milieux tout en maintenant les bénéfices que nous en tirons.

Plusieurs centaines d’indices reposant sur un nombre limité de facteurs biologiques ou économiques existent pour décrire l’état de ces écosystèmeset de leurs constituants. Cependant, ils sont souvent réservés aux spécialistes car trop techniques et obscurs pour le grand public. Par ailleurs, ils ne permettent pas de juger facilement si une certaine balance est respectée entre le développement des activités humaines et la capacité des océans à subvenir à nos besoins tout en restant en bonne santé.


La santé globale des océans vient de recevoir la note de 60/100 par un groupement international de chercheurs mené par Benjamin Halpern de l’University of California à Santa Barbara. Mais concrètement, à quoi correspond ce nombre et surtout pourquoi a-t-il été calculé ? Cette vidéo présente, en anglais, les réflexions ayant poussé les scientifiques à créer l’indice de santé des océans, ou Ocean Health Index. Il permet, pour chaque océan, mer ou zone économique exclusive, de définir si l’Homme exploite bien au mieux ces écosystèmes marins sans pour autant les endommager. © Conservation International et National Geographic Society

Pour combler ce manque, des chercheurs menés par Benjamin Halpern de l’University of California à Santa Barbara viennent de définir l’indice de santé des océans (ou Ocean Health Index). Son calcul tient compte de 10 paramètres issus de données écologiques (taille des stocks de poissons,biodiversité, stockage du carbone, zones protégées), économiques (valeur touristique), sociales ou encore politiques. Il peut être déterminé, d’après les informations publiées dans la revue Nature, à l’échelle de la planète, d’un océan ou d’un pays. Le score global serait de 60/100, mais de nombreuses disparités existent d’une contrée à l’autre.

Océans : un 6,6/10 pour la France métropolitaine

Les résultats vont de 36 en Sierra Leone à 86 sur l’île Jarvis dans l’océan Pacifique. Près de 32 % des territoires ont reçu une note inférieure à 50. À l’inverse, 5 % des pays ont atteint une note supérieure à 70, démontrant ainsi l’existence de territoires gérant efficacement et surtout durablement leurs ressources marines. Les zones économiques exclusives (voir la carte) des contrées développées présenteraient globalement de bons scores (73 pour l’Allemagne, 63 pour les États-Unis et 66 pour la France métropolitaine) en raison de leur plus forte économie et de réglementations permettant une gestion plus efficace des pressions exercées sur le milieu marin. Certains pays développés ont tout de même obtenu de mauvaises notes, à l’image de la Pologne (42) et de Singapour (48).

Carte présentant les scores de l'indice de santé des océans obtenus par pays. Les calculs ont été réalisés pour 171 zones économiques exclusives, c'est-à-dire des aires maritimes sur lesquelles des états exercent des droits souverains.
Carte présentant les scores de l’indice de santé des océans obtenus par pays. Les calculs ont été réalisés pour 171 zones économiques exclusives, c’est-à-dire des aires maritimes sur lesquelles des États exercent des droits souverains. © Ben Halpern et collègues, NCEAS 2012

Les créateurs de cet indice le présentent comme un puissant outil de gestion, de communication et de sensibilisation puisque facile à comprendre. Il n’a pas été déterminé dans le but de dresser un bilan négatif de la santé de nos océans. Il serait surtout destiné à mettre en avant l’efficacité des efforts qui seront faits dans le futur. Les politiciens et scientifiques pourront également analyser les scores obtenus pour chaque paramètre entrant dans son calcul afin de savoir où porter leurs efforts.

La création de l’Ocean Health Index est vue d’un bon œil par de nombreux chercheurs. Il reste maintenant à savoir s’il sera un jour adopté par le monde politique puisqu’il permet notamment de définir combien de ressources peuvent être extraites des océans sans mettre à mal leur santé. Entretemps, les auteurs espèrent qu’il sera exploité par des personnes ou institutions gérant par exemple des milieux protégés.

De plus amples informations sur la méthode de calcul et le potentiel duOcean Health Index sont disponibles à l’adresse :www.oceanhealthindex.org.

Rencontre rapprochée avec un OANI à SAN SALVADOR

UN ARTICLE DE KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS

Traduction Era pour Investigations Océanographique et Oanis

 

7-10-76 SAN SALVADORE

Trois de mes amis et moi nous rendions au bal de fin d’études de mon école à San Salvador, Capitale du Salvador (Amérique Centrale) nous sommes arrivés sur place vers 20 heures. Nous avons passé environ 3 heures là bas et nous avons soudainement décidé d’aller à la plage à un endroit apelé Conchalion dans l’Etat de La Libertad, à environ 45 minutes de San Salvador. Puisque l’un de mes amis avait pris la voiture de son père (une Chevrolet 1956) nous sommes arrivés à la plage vers 23h45.  Nous sommes arrivés à l’hôtel et sommes allés chercher de quoi boire et manger (je ne bois pas et ne fume pas) mais deux de mes amis ont bu une partie de la nuit. Nous nous parlions sous un amandier en face de la plage, lorsque soudainement un objet en forme de disque avec un dôme et des lumières tout autour descendit soudainement en vol stationnaire pendant environ 50 secondes. Il projetait une lumière très intense sur l’eau (nous étions environ à environ 400 pieds de distance de l’objet). Nous pensions que c’était le mât gigantesque d’un navire, mais lorsqu’il a commencé à tourner avec plein de lumières colorées dessus et que la grande lumière commença  un tour sur l’eau, nous avons tous su alors qu’il s’agissait d’un ovni parce qu’il disparut soudainement dans l’eau et ne réapparut plus. Nous n’avons pas vu d’éclaboussures du tout parce que l’eau se déplaçait autour comme si il créait un tunnel ou un trou dans l’eau. Après ce moment nous avons décidé de retourner à l’hôtel à  environ un pâté de maisons de là parce que nous avions peur de ce qui s’est passé. Ce matin-là, j’ai commenté l’incident à certaines personnes de l’hôtel et ils m’ont dit que ces choses surviennent très souvent dans cette zone en particulier et que personne n’en fait beaucoup de cas de toute manière.

REMARQUE : L’image ci-dessus est une illustration

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Le trésor de monnaies antiques au large des côtes de Taman

Темрюкский Таманский залив крым

Photo : ru.wikipedia.org

Un trésor de monnaies anciennes et des bijoux a été découvert au large des côtes de Taman (la côte de la mer Noire de la Russie). Il se trouvait à bord d’un voilier grec de 16 mètres, qui était couché sur les fonds marins pendant 13 siècles, découvert récemment par des archéologues.

Pendant les VI – II siècle avant JC, il y avait un port de Phanagoria – la plus grande colonie grecque sur le territoire de la Russie actuelle.

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ÉCOUTEZ. Des dauphins chantent en baleine durant leur sommeil

Des scientifiques pensent que les cétacés revivent leurs expériences de la journée en rêve et… en musique.

Les dauphins du parc Planète sauvage, en Loire-Atlantique, se sont prêtés à une curieuse expérience.

Les dauphins du parc Planète sauvage, en Loire-Atlantique, se sont prêtés à une curieuse expérience. © Planète Sauvage

En épiant le sommeil de cinq dauphins du parc animalier Planète sauvage situé en Loire-Atlantique, des chercheurs de l’université de Rennes I ont fait une bien étrange découverte. Ces animaux, appartenant à l’espèce Tursiops truncatus, nés en captivité et n’ayant jamais mis un aileron en pleine mer, reproduisent, durant leur repos, des bribes de chant de… baleine à bosse ! Un son qui leur est néanmoins familier puisqu’il figure sur la bande musicale d’ambiance océanique qui est diffusée, dans leur bassin, durant le show qu’ils interprètent, face au public, deux ou trois fois par jour.

Pour être sûrs que leurs oreilles ne leur jouaient pas de tours, les chercheurs ont fait écouter les différents bruits émis par les dauphins du parc à une vingtaine d’étudiants et de scientifiques, totalement étrangers au monde des cétacés. Conclusion : dans les chants nocturnes des dauphins, eux aussi identifiaient l’étrange présence de vocalises de baleine à bosse.

Le fait que les dauphins soient capables de ce type d’imitation n’est en rien nouveau. C’est même l’une des nombreuses raisons qui font de cet animal l’objet d’une grande fascination. Reste que, jusque-là, la reproduction d’un son intervenait très rapidement après l’écoute de celui-ci. Ce qui n’est, en l’espèce, pas du tout le cas. De longues heures se sont écoulées. Le cri a donc clairement été mémorisé. En outre, la reproduction du son ne saurait être liée au contexte : potentiellement associé au show, le chant de la baleine à bosse est émis lors d’une période de repos de l’animal.

Un hémisphère après l’autre

L’hypothèse formulée par l’équipe scientifique, qui vient de publier son étude dans la revue Frontiers in psychology, est que les dauphins, à la manière des humains, revivent leur journée dans leur sommeil. Le chant de la baleine à bosse serait le signe qu’ils sont en train de répéter leur show en rêve. Une idée confortée par le fait que les prestations des dauphins se trouvent améliorées lorsqu’une petite sieste les sépare de leur entraînement. Cette période serait pour eux une vraie phase d’intégration des apprentissages.

Pour autant, des vérifications devront être menées, car savoir si un dauphin est réellement en sommeil n’est pas chose aisée. En effet, si on dit que le chat ne dort jamais que d’un oeil, le dauphin, lui, ne met jamais au repos qu’un des deux hémisphères de son cerveau à la fois. Une question de survie puisque, chez ce mammifère marin, la respiration est un acte volontaire.

ÉCOUTEZ le chant des dauphins qui imitent les baleines :

http://bcove.me/q0aqc01t

http://bcove.me/xu8ney2f

USO/OANI

Source image:http://www.archives-dossiers-secrets.fr/forum/viewtopic.php?id=256

Note adm

Ici nous reprenons un article complet fait par House l’un des administrateurs de forum Archives et Dossiers secret  qui mettent en kiosque un magazine  du même nom avec lesquels nous avions pu quelques temps échangés des discussions et informations.

Article source :http://www.archives-dossiers-secrets.fr/

Le terme USO (Unidentified Submerged Object) est employé en anglais afin de désigner les OVNI qui sont observés dans un contexte en lien avec des étendues d’ eau (même glacées). En français il existe plusieurs dénominations telles que OANI (Objet Aquatique Non Identifié) ou OSNI (Objet Sous-marin ou Submergé Non Identifié).

On peut douter du fait de devoir distinguer ce phénomène comme un ensemble particulier et à part des objets non identifiés dans leur ensemble, d’autant que les formes observées ne semblent pas différer de celles d‘OVNI habituels (anneaux, sphères, disques, soucoupes, triangles). On peut cependant se demander si tous les OSNI sont capable d’émerger de l’eau afin d’évoluer à la surface et dans les airs ou bien s’il existe une classe d’objets évoluant uniquement dans le milieu aqueux.
J’utiliserais plus volontiers le sigle OSNI pour les OVNI en profondeur et OANI (A=Aquatique mais peut aussi vouloir dire Aéronautique ou Aérien) pour les OVNI en surface de l’eau.

D’après nos connaissances actuelles, environ 70 % de la surface de la Terre est recouverte d’eau. La quantité d’eau présente sur la planète est constante mais est moindre par rapport à la masse de la Terre (0,025%).

Près de 40 % de la population mondiale vivent sur le littoral sur une bande de terre de 60 kilomètres de largeur, 20 % à proximité d’un océan ou d’un estuaire.

Il semblerait que le type d’observation non identifié marin le plus ancien soit relatif à ce qu’on nomme des « roues lumineuses et tournantes » (voir l’extrait « Le livre des damnés »de Charles Fort dans les quelques cas documentés plus bas). Ivan T. Sanderson, biologiste américain qui avait recensé une centaine de cas entre 1875 et 1964, s’était rendu compte qu’une grande majorité de ses cas de rayons lumineux sub-aquatiques étaient aperçus dans l’Océan Indien. La contre-argumentation apportée fut que ces lumières étaient dues à un effet de luminescence biologique provenant des noctiluques marins justement plus nombreux dans cette région. Mais cela n’explique peut-être pas tous les cas. ( source)

Les cas d’observation d’OSNI/AONI se distinguent par le type de lieux d’observation qui influence le type d’observateur:
Les cas d’observation en profondeur marine sont obtenus le plus généralement par l’armée au moyen des  sonars qui ont d’ailleurs leurs propres limites et défauts (voir  quelques cas de détection sonar). On peut distinguer aussi les cas d’observation faites à la surface sur la côte ou au large (provenant pour beaucoup de marins), dans la mer ou dans des lacs, réservoirs,  pluie etc…

Le phénomène OSNI/AONI se retrouve partout dans le monde. D’après la pluralité des cas mis à jour il ne semble pas y avoir d’endroit privilégié mais d’après une sorte de consensus ufologique qui reste à définir, ces engins non identifiés seraient plus nombreux dans les eaux scandinaves et la côte Est de l’Amérique du Sud.

Il y a peu de cas d’observation en eau profonde étant donné que les militaires ont tendance a garder la chose pour eux, autant individuellement qu’administrativement. Il semble donc bien difficile de connaitre la véritable proportion de cas ufologiques strictement liés aux étendues d’eau.

On peut cela dit trouver quelques statistiques dans les cas du Projet Blue Book:

– Sur les 3201 cas retenus pour l’analyse statistique, il ressort que les cas avérés mais inexpliqués représente 22% de l’ensemble, et que ce taux atteint 38% pour les rapports faits par des observateurs militaires qualifiés (pilotes, contrôleurs, services de sécurité).( 1)

– Le nombre de cas rapportés par les bateaux et les avions dans les océans Atlantique et Pacifique est de 258, c’est à dire moins de 5% du nombre total de cas rapportés.

– il y a plus de cas d’observation par des bateaux dans le Pacifique 60% que dans l’Atlantique 40% .

– il y a plus de cas d’observation par des avions dans le Pacifique 76% que dans l’Atlantique 24%.

Les proportions semblent logiques: l’océan Pacifique (179 700 000 km2, 49,7 % des océans) est le plus grand et le plus profond des océans puisqu’il recouvre 1/3 de la surface de la planète. Et l’océan Atlantique (106 400 000 km2, 29,5 %) est le 2e océan par sa superficie.

De plus, la faible proportion des cas d’observation dans les océans n’est pas surprenant du fait de la faible densité de personnes au niveau des mers comparé à celle sur Terre.

Ce la dit, ici, ne sont pas comptabilisés les cas d’observation faites par des observateurs sur la côte ni en profondeur marine, ni dans les eaux douces et autres mers que l’Atlantique et le Pacifique par exemple. Et la proportion pourrait aussi s’expliquer par le nombre de bateaux et d’avion à une époque donnée.

Voir le rapport  Blue Book UFO Reports at Sea by Ships (PDF)

On peut aussi s’intéresser aux  statistiques du GEIPAN en France. Seul nous intéresse le nombre de cas d’observation par habitant et par km2, pour chaque région. (le nombre de cas tout cours n’a aucun intérêt étant donné qu’il peut être relatif au nombre d’habitant.)

On s’aperçoit qu’il y a un nombre de cas par habitant important en Corse (peut-il être expliqué en partie par l’effet « isolement » et par le ratio entre nombre d’habitants et surface du territoire Corse?), que les régions maritimes ne semblent pas posséder un nombre relativement plus importants qu’ailleurs de cas d’observations de PAN par habitant au km2 si ce n’est en Normandie. Cela dit, il est difficile d’interpréter les résultats; des effets socio-économiques peuvent sans doute intervenir; cela dit, le nombre de cas d’observation est influencé par la répartition géographique des habitants, en Australie par exemple les cas sont largement observés le long des côtes. Voir quelques  cartes du monde de cas d’observations d’OVNI de 2008-2009.

ENQUÊTE sur les cas Russes:

A propos des informations trouvée sur internet, il se doit d’être prudent. Beaucoup de sites font des affirmations sans lien amenant à la source de leurs propos.

En 2009 la Marine russe est censée avoir déclassifié ses archives relatives aux objets non identifiés, dans lesquelles apparaissent de nombreux témoignages de détection d’OSNI par des sous-marins et d’observation directe par des plongeurs. A l’origine de cette nouvelle, cet article de svpressa. C’est là que pour la première fois se répand l’idée que 50% des cas ufologiques seraient des cas d’OSNI/AONI:

 Source, traduction:

Suite

Publié 13 août 2012 par Sylv1 dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s)

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Les pyramides englouties au large de la Côte Atlantique de Floride

Il y a au moins trois Pyramides Antiques sous-marines au large de la côte Atlantique de Floride dont peu de gens connaissent l’existence.  De multiples sources d’information sur ces Pyramides sont disponibles , mais pour faire simple la plupart des informations qui suivent se trouvent dans le livre de   Bill Hansons  « The Atlantis Triangle. »
Hanson remarque que les trois pyramides sont équidistantes d’environ 60 km (35 miles) sur le côté ouest du Gulf Stream. Pour ajouter au mystère trois autres pyramides sous marines ont été vues du côté est du  Gulf Stream. Celles-là sont à distance de 20 à 35 miles et situées à proximité de  Walkers Cay, Great Sale Cay et des Iles Berry aux Bahamas. En règle générale, les pyramides sous-marines ont été observées après que de violents orages aient balayé temporairement le   sable recouvrant ces construction antiques.

Source : George Filer’s Files

Traduction Era pour Investigation Océanographique Oanis

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