INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa Crédit : ouest france
La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès
Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour ouest-france.fr
Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.
Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.
Nous incluons ce complément hors article en guise de support cette vidéo de la NASA via YouTube
La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès
La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech
Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur, solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici sur notre site web . Merci pour votre fidélité.
Petits repères
La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.
L’ EAU EN état liquide:
L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).
L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :
-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.
Références/IFREMER – Mer & et marine – ECA group – CORAL project
Crédit photp ECA group
La société ECA Group a remporté l’appel d’offres international lancé par l’Institut français de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer) pour le développement d’un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur. Ce drone sous-marins sera utilisé dans le cadre de missions de cartographie et d’inspection. L’engin réalisera ses premières plongées en 2019 après 3 ans de développement.
Voici encore une preuve qu’ECA Group est l’un des leaders des drones sous-marins. La filiale du groupe Gorgé vient de décrocher un contrat de 2 millions d’euros pour fournir une solution innovante à l’Institut de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer). L’objectif est de créer un drone capable d’atteindre une profondeur de 6 000 mètres afin de cartographier les océans. Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
marin est aussi valable pour des lunes, d’autres planètes que notre terre ou des exoplanètes et exolunes.
Les dernières interventions de la NASA concernant Encelade ou la planète Mars nous conforte dans notre secteur de recherches.
Paul Niles, du Johnson Space Center de la Nasa. « « Ce site peut nous parler du type d’environnement où la vie a commencé sur Terre »en commentant les observations faites par les chercheurs qui ont analysé les données de la sonde MRO (Mars Reconnaissance Orbiter) et qui estiment avoir mis la main sur des dépôts attestant une activité hydrothermale au fond d’une ancienne mer. Alors bien entendu il est trop tôt pour valider que cette planète ait abritée la vie autrefois.
La N.A.S.A avait aussi annoncé au mois d’avril 2017 que Encelade une des lunes de la planète Saturne révélait des panaches qui s’élevaient. L’analyse de ceux-ci semblait indiquer des océans présents sous une sorte de banquise à cause notamment de la présence d’une importante quantité d’hydrogène moléculaire. Cet hydrogène peut être transformé en énergie par des formes de vie présentes autour de sources hydrothermales. La NASA pense que ceci pourrait être la même chose pour Europe, la plus célèbre lune glacée de Jupiter.
Le milieu marin des autres planètes , des lunes ou des exoplanètes serait-il la clé qui autorise la vie comme c’est le cas sur terre ? Les premiers extraterrestres pourraient être découverts sous l’élément liquide. Une chose est certaine, les sources hydrothermales intéressent de près les chercheurs de l’agence spatial américaine.
Le premier salon du paranormal pour la ville de Dijon a été un succès, bravo à tous.
Ce week-end du 2 et 3 septembre 2017, j’ai présenté les O.A.N.I s avec un stand et deux conférences, une donnée le samedi et l’autre le dimanche.
J’ai animé deux conférences devant un public attentif . Il y avait certes des connaisseurs mais aussi des témoins ou des gens tout simplement curieux.
Le stand que j’ai tenu pendant toute la durée des ces deux journées a permis d’établir des contacts, des retrouvailles mais également aux témoins de me rencontrer pour livrer leur témoignage, pour s’informer et découvrir les OANIS .
Je mesure combien il est difficile pour certains témoins de s’exprimer sur leur expérience avec un O.V.N.I, car le sujet est tabou et laisse quelquefois un traumatisme insoupçonné. Alors merci à ces gens qui ont franchi le pas pour me livrer en toute simplicité leur observation dont certains ont été témoins à plusieurs reprises de choses inconnues plus ou moins marquantes et qu’ils ne sont pas prêts d’oublier .
Le domaine du paranormal est particulier et peut surprendre. Ainsi la rencontre avec d’autres disciplines est tout aussi intéressante. La bonne humeur des gens a rendu ce rendez-vous positif.
J’ai eu le plaisir de rencontrer pour la première fois Michel Ribardière venu présenter Alien project, Joslan F. Keller auteur de Dossiers Inexpliqués et Jean louis Lagneau accompagné de son épouse qui présentaient LDLN. Nous avons avec Jean Louis échangé et affiné notre partenariat puisque nous soutenons cette revue ufologique
Des spécialistes plus ou moins connus ont contribué à ce que ce rendez soit un véritable succès pour l’organisation. La disponibilité de l’équipe organisatrice dirigée par Lucile Vukovic a été récompensée, ainsi que leur travail et leur générosité je pense, au regard de la fréquentation de cette première de ce style à Dijon. Le sourire qui se lisait à travers les gens, qu’ils soient visiteurs, exposants, ou conférenciers pendant tout le week-end est un indicateur qui ne trompe pas. Merci à toutes et à tous, organisateurs, exposants, conférenciers, témoins ou simples visiteurs. A refaire.
Avancer dans notre registre concernant les observations aquatiques non-identifiées qui incluent les O.V.N.I S et bien plus encore, n’est pas une simple formalité. J’ai des souhaits qui ne se réaliseront peut-être pas comme ( ce Projet Aqua – Système ) .
Ceci n’est cependant pas une raison d’abandonner même si quelque-part nous avons des freins.
Reste alors la collecte de renseignements. Une partie est actée dans mon premier ouvrage, un second opus est en cours de réalisation, suivi d’un troisième en projet pour le moment.
En attendant voici un petit état des lieux sur des événements, des affaires, des documents plus ou moins connus du grand public. Un petit rappel pour les autres.
Petit tour d’horizon ( en bref) –
Le même jour que le crash de Roswell a été signalé, le 8 juillet 1947 par trois anciens combattants de l’armée des États-Unis qui ont repéré six « disques volants » au-dessus de l’île de Santa Catalina Island, au large de la Californie.Au cours des dernières années, un O.A.N.I aurait abattu un avion à moteur unique par un tir laser, tuant le passager et blessant le pilote.Le plus intrigant c’est que des centaines d’objets immergés ont été vus par des Boy Scouts en camping sur l’île, tel que l’indique Alan Burkell, âgé de 14 ans. Ils seraient plusieurs centaines sortant de l’eau, comme en témoigne un couple dans les années 1990.Certains ufologues pensent qu’il existe une base étrangère sous-marine dans le canal.
Le lac Érié est l’un des cinq Grands Lacs d’Amérique du Nord. Il est bordé à l’est par les États américains de l’Ohio, de Pennsylvanie, de New York au sud, du Michigan à l’ouest et de la province canadienne de l’Ontario au nord cet endroit est considéré comme un point chaud concernant des observations plus ou moins insolites. Voici l’un des nombreux cas:
En février 1996, le pilote d’une navette aérienne volant au-dessus du lac Erie rapporte une observation d’ OVNI au contrôle aérien ce témoignage a été enregistré . Dans l’enregistrement, le pilote semble certain de ce qu’il voit.De nombreuses suggestions sontfaites et certaines exclues par les investigateurs.L’objet se déplace en bas, en avant, vers la navette aérienne au-dessus , tout en n’étant jamais capturé sur le radar.Près de la fin de l’enregistrement, le pilote demande à un passager de prendre une photo de l’objet qu’il décrit comme «une lumière brillante», avec «une lumière tournante autour de lui». Et il dit: «C’était constant;Ce n’était pas un phare. «
L’Amérique du sud tout autant concernée.
On dit que les anciens habitants de Tiwanaku en Bolivie ont reçu du matériel et de l’éducation d’ êtres extraterrestres avancés.Avec leur connaissance des étoiles bien au-delà de leur temps, il semble approprié que le lac Titicaca voisin, à la frontière du Pérou et de la Bolivie, soit réputé pour des observations d’ O.A.N.I.S et d’ OVNIS.Les expériences avec l’inconnu reviennent aux anciens dans cette région.Avec des ruines mystérieuses telles que les idoles représentant les divinités de l’eau, la penséed’une base d’O.A.N.I sous-marine devient plus acceptable à chaque observation.
La marine russe confrontée à des histoires mystérieuses:
Sous-marin nucléaire contre O.V.N.I.
Une fois, un sous-marin nucléaire, qui était en mission de combat dans l’océan Pacifique, a détecté six objets inconnus. Après que l’équipage ne parvint pas semer ses poursuivants en manœuvrant, le capitaine ordonna faire surface. Les objets les ont suivi, ont décollé et ont disparus !
Beaucoup d’événements mystérieux se sont produits également dans la région du Triangle des Bermudes, rappelle le commandant de sous-marin à la retraite, le contre-amiral Yury Beketov. Les instruments ont mal fonctionné sans raison apparente ou ont détecté d’importantes interférences. L’ancien officier de la marine dit que cela pourrait être une perturbation délibérée par les OVNIS.
« À plusieurs reprises, les instruments ont permis de lire des objets matériels naviguant à une vitesse incroyable. Les calculs ont montré des vitesses d’environ 230 nœuds, environ 400 km / h. L’accélération est si rapide que ceci reste un défi même en surface. Mais la résistance à l’eau est beaucoup plus élevée. C’était comme si les objets défiaient les lois de la physique. Il n’y a qu’une seule explication: les créatures qui les ont construites nous dépassent largement dans le développement « , a déclaré Beketov.
Autre déclaration d’un ancien militaire:
Vétéran du renseignement de la marine,le capitaine Igor Barklay commente: « Les ovnis océaniques se manifestent partout où nos flottes de l’OTAN se concentrent. Près des Bahamas, des Bermudes, de Porto Rico. On les voit le plus souvent dans la partie la plus profonde de l’océan Atlantique, dans le sud du Triangle des Bermudes, et aussi dans la mer des Caraïbes. »
Le lac Baikal
Un autre endroit où les gens signalent souvent des rencontres OVNI est le lac Baïkal situé en Russie, au cœur de la Sibérie, il est le plus grand réservoir d’eau douce de la planète ce qui en fait l’une des étendues d’eau douce la plus profonde au monde. . Les pêcheurs racontent des lumières puissantes venant de la profondeur et des objets qui sortent de l’eau et s’envolent.
Dans un cas datant de l’année 1982, un groupe d’entraîneurs militaires concentrés à Baikal repère un groupe de créatures humanoïdes habillées en costumes argentés. La rencontre s’est produite à une profondeur estimée de 50 mètres. Les plongeurs ont essayé d’attraper les étrangers. Trois des sept hommes sont morts, tandis que quatre autres ont été gravement blessés.
« Je pense aux bases sous-marines et dis: pourquoi pas? Rien ne doit être écarté « , dit Vladimir Azhazha. » Le scepticisme est le moyen le plus simple: ne croyez rien, ne faites rien. Les gens visitent rarement de grandes profondeurs. Il est donc très important d’analyser ce qu’ils rencontrent là-bas. «
Extrait du Livre bleu ( Blue Book)concernant des rapports OVNI en mer pendant la période des années 1950 et 1960.
Depuis la création du JANAP-146 en 1948, la Marine a joué un rôle dans la fourniture d’informations sur les cibles non identifiées. Cependant, la participation précoce de la marine dans JANAP était limitée aux observations par les avions de la Marine et non par les navires en mer. Ce n’est qu’en 1952, par l’intermédiaire de l’instruction OPNAV 3820, que les navires de la Marine ont été chargés d’envoyer des rapports OVNI à l’ADC, à l’ATIC et au Pentagone. En 1954, lorsque JANAP 146 (C) a été délivré, tous les navires militaires, gouvernementaux et commerçants ont dû signaler des observations non identifiées à CONAD.
Les navires USCG qui ont signalé des OVNIS étaient principalement des coupeurs océaniques qui exerçaient le service Ocean Station. Le premier navire USGC pour signaler un OVNI provenait d’une station océanique dans l’Atlantique en 1952.
Les rapports d’OVNIS dans les océans Atlantique et Pacifique entre les navires et les avions montrent que 40% des rapports des navires se trouvaient dans l’Atlantique et 60% dans l’océan Pacifique. Les observations des aéronefs ont également tendance à être plus élevées dans l’océan Pacifique à 76%.
Récemment, lors de Citizen Hearing On Disclosure, le lieutenant-colonel Richard French, un vétéran de 29 ans et demi de l’US Air Force, décrit une rencontre où il est venu sur un OVNI qui était sous l’eau et les êtres qui travaillaient sur le navire . Le vétéran de la Force aérienne rencontre des ovnis sous l’eau vous retrouverez ceci dans mon ouvrage intitulé O.A.N.I/ O.V.N.I, méthode, réflexion édité par les éditions Saint Martin en janvier 2016.
Pendant ce temps-là, les responsables de la marine russe ont refusé la collecte de rencontres liées aux OVNI. Une source dans le personnel du service de la Marine a déclaré que l’histoire pourrait avoir ses racines dans les rapports des commandants de navires, qui décrivent la localisation d’objets d’origine peu claire mais terrestre.
Beaucoup de cas sont liés avec l’ufologie, d’autres peut-être pas. Nous ne pouvons pas exclure d’autres natures des phénomènes tapis quelque-part dans nos fonds marins ( lacs, fleuves, mers ou océans etc) .
Les cas peuvent avoir une origine et une issue différente, c’est là que l’énigme devient complexe .
Alors seules les études, les supports et l’information peuvent nous ouvrir la voie, celle qui apportera des certitudes et les questions qui viendront dès lors se rajouter, comme un éternel labyrinthe.
Références :
OANI / OVNI Enquête, méthode, réflexion ( ouvrage éditions Saint martin janvier 2016).
Par La Voix de la Russie | De par le nombre de mystères et d’énigmes l’Antarctique ne cède en rien à l’Atlantide mythologique. Comment l’étude du continent aidera à prédire l’avenir de l’humanité ? Quelles formes de vie peuvent exister dans le lac subglaciaire Vostok ? Comment les études de Vostok aideront dans l’exploration de l’espace ? L’Antarctique cache-t-elle d’autres secrets ?
Les changements climatiques préoccupent tout le monde à l’heure actuelle. L’Antarctique est une des meilleures bases pour les étudier. Selon le chef du laboratoire des changements climatiques au Centre d’études arctiques et antarctiques, les résultats de ces études sont déterminants pour savoir comment les gens vivront sur Terre dans 50 ou 100 ans, si celle-ci est encore habitée à cette époque :
« L’intérêt pratique consiste dans une meilleure compréhension des changements climatiques et de leur influence sur la couverture glaciaire de l’Antarctique, ainsi que de l’influence de cette couverture glaciaire sur le niveau de l’océan mondial. Ce sont des questions directement liées à l’existence de l’humanité. Il ne s’agit pas d’une météo pour demain, mais de prévisions pour l’année prochaine et à plus long terme. Ces prévisions sont importantes pour développer les stratégies d’activités industrielles de l’humanité et celles de sa vie ultérieure sur Terre ».
L’Antarctique est une réserve climatique où les usines, les machines, les émissions polluantes n’empêchent pas d’étudier les processus globaux relatifs aux changements climatiques, notre le chef de l’expédition antarctique du Centre d’études arctiques et antarctiques Valeri Loukine :
« En Antarctique, les changements climatiques dépendent des facteurs cosmophysiques et non pas de l’activité anthropique. Ainsi dans l’hémisphère nord il est impossible de déterminer les facteurs qui influent en réalité sur les changements climatiques ».
Le lac Vostok est une question à part. Il a été découvert par les chercheurs russes de concert avec leurs collègues britanniques. Selon Vladimir Lepenkov, l’étude de ce lac immense, dont la superficie est égale à la moitié du lac Baïkal, aidera l’humanité dans l’exploration de l’espace :
« C’est un réservoir naturel unique, similaire aux lacs subglaciaires sur d’autres planètes. Son étude est liée aux futures missions astrobiologiques visant la recherche d’une vie sur les planètes du système solaire. En outre, les biologues espèrent trouver la vie dans ce lac. Il paraît que cette vie sera unique, jamais rencontrée sur notre planète ».
L’eau du lac Vostok est absolument pure et douce, on peut dire qu’elle est idéale. Il n’y a rien de semblable nulle part ailleurs sur Terre. Cependant sa teneur en oxygène est 50 fois supérieure à l’eau des réservoirs d’eau douce ordinaires. Cela complique les conditions de vie des organismes. C’est pourquoi s’ils sont trouvés dans le lac, ils seront des organismes uniques qui pourraient habiter dans des réservoirs similaires de la Lune ou de Mars. De vrais extraterrestres.
Le 1er décembre, une nouvelle expédition russe est partie pour l’Antarctique en vue d’étudier le lac. Vladimir Lepenkov en fait partie. Cette fois les chercheurs se proposent d’effectuer les premiers prélèvements de l’eau non congelée. Qui sait, peut-être l’Antarctique dévoilera certains de ses mystères. Source:
Le Cyclops va-t-il révolutionner l’exploration des grands fonds ? C’est probablement l’espoir des concepteurs de ce nouveau sous-marin en fibre de carbone, prévu pour emmener cinq personnes jusqu’à 3.000 m de profondeur, durant un périple d’au maximum 8 h. Il offrira alors une vision à 180° aux deux passagers avant, grâce à son grand dôme hémisphérique. Si tout va bien, l’engin subaquatique sera commercialisé en 2016.
Il existerait à ce jour plus de 700 sous-marins en circulation dans le monde, dont 600 seraient militaires, les 100 autres étant à usage civil. Voilà les chiffres avancés par Stockton Rush, qui n’est autre qu’un passionné du monde sous-marin ayant cofondé l’entreprise américaine OceanGate Inc. en 2009. Depuis, elle met le sous-marin Antidote à la disposition de ses clients, qu’ils soient industriels, cinéastes ou chercheurs. Problème : ce véhicule subaquatique doté d’un dôme en verre ne peut pas descendre au-delà de 305 m de profondeur, ce qui limite considérablement son usage.
Pour s’affranchir de cette contrainte, et par la même occasion démocratiser l’accès aux grandes
crédit: technofuture.canalblog.com/
profondeurs, OceanGate s’est associée au Laboratoire de physique appliquée de l’université Washington (APL-UW) pour développer un nouveau sous-marin qui serait léger, facile à mettre en œuvre et surtout, bien plus abordable pour les personnes en ayant besoin. Après 18 mois de recherches et plus de 20 concepts imaginés, un modèle a finalement été choisi : le Cyclops. Parmi ses spécificités principales, notons qu’il est prévu pour véhiculer cinq personnes jusqu’à 3.000 m de profondeur, là où aujourd’hui seulement quelques sous-marins habités océanographiques peuvent se rendre.
Le Cyclops aura la forme d’une balle de fusil, la pointe étant dirigée vers l’arrière. L’avant sera pour sa part occupé par un dôme hémisphérique de 1,5 m de diamètre, en verre borosilicate de 10,2 cm d’épaisseur. Il offrira une vision à 180° aux deux passagers assis sur les sièges avant, qui seront d’ailleurs entrés dans le sous-marin par ce dôme. La coque de 17,8 cm d’épaisseur ne sera pas en acier, mais bien en fibre de carbone. Des tests de résistance ont déjà été conduits en partenariat avec Boeing. Ils se sont montrés concluants, témoignant ainsi que la coque pouvait être construite avec une disposition des couches de fibres (épaisseur de 0,3175 cm) qui n’engendre pas de faiblesse dans la structure.
Un sous-marin affranchi de son navire de transport
La mise en œuvre du Cyclops, qui mesure 5,5 m de long pour 3,3 m de large et 2,3 m de haut, sera facilitée par le fait qu’il ne nécessite pas de navire de transport adapté, ce qui réduit également ses coûts d’utilisation. Une fois mis à l’eau, l’engin de seulement 8,6 t adoptera une position verticale, avant de descendre à la vitesse de 100 m/mn. Les sièges des passagers et du pilote pivoteront alors de manière à ce que l’assise reste horizontale.
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Une fois arrivé au fond, le Cyclops se remettra à l’horizontale et pourra alors évoluer à la vitesse de 3,5 nœuds (soit environ 6,5 km/h), sachant que ses batteries lithium-polymères lui procureront une autonomie de 8 h. Elles serviront également à alimenter l’éclairage extérieur Led de 5.000 lumens. La vitesse de remontée sera de 100 m/mn. Détail d’importance, les réserves en air permettront aux cinq passagers de tenir bon 96 h durant en cas de problème.
Le Cyclops ne craint pas les ROV
Avec Cyclops, les deux partenaires espèrent faciliter l’accès aux abysses au plus grand nombre, en développant le marché des sous-marins privés. Ils visent tout particulièrement les industries pétrolières, gazières ou minières, ainsi que les exploitants pharmaceutiques, la recherche
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scientifique et pourquoi pas le secteur du tourisme. C’est une autre force du projet. En développant un sous-marin utile à plusieurs domaines, ses coûts de production pourraient diminuer. De quoi le rendre encore plus accessible.
Les responsables du projet croient bien évidemment en cet engin malgré la concurrence faite par lesROV(pour remotely operated vehicle), ces robots sous-marins téléguidés par un câble depuis la surface. En effet, le Cyclops permettrait aux chercheurs de réaliser des observations directes, et ainsi de se faire une idée plus précise de l’environnement qui les entoure : par exemple, mieux connaître la position de leurs sondes dans un milieu donné. En effet, leur champ de vision ne sera pas réduit à celui d’une caméra (cas pour les ROV) ou par le faible diamètre des hublots des sous-marins plus anciens. Finalement, si tout se passe bien, la construction d’un modèle pouvant descendre à 6.000 m est prévue.
« Sylvie .F que nous remercions nous fait parvenir ce post du site web Wikistrike. »
Article source: wikistrike viagentside:
Des plongeurs australiens ont capturé de rares images d’une étrange et énorme créature vivant dans les océans. Il ne s’agit en fait pas d’un seul et même organisme mais d’une colonie de milliers de petits organismes appelés pyrosomes.
Les biologistes marins les appellent parfois « licornes des mers », parce qu’il s’agit de créatures tellement mystérieuses et insaisissables qu’elles prennent un caractère un peu mystique. Pourtant, c’est bel et bien ces créatures que des plongeurs australiens ont réussi à filmer au large des côtes de la Tasmanie. Leur nom ? Les pyrosomes.
Sur la vidéo, l’animal prend la forme d’une espèce de long bras luminescent. Mais son aspect est trompeur car il ne s’agit pas d’un seul et même organisme. Les pyrosomes sont de minuscules créatures mesurant à peine quelques millimètres. Ce qu’on voit ici est en réalité une colonie de milliers de pyrosomes clones, nés par bourgeonnement successif. Collés les uns aux autres et partageant même du tissu, ces petits organismes sexués forment un manchon qui peut atteindre jusqu’à 18 mètres de long.
Des organismes « suspensivores »
Les individus les plus âgés restent à l’extrémité de la colonie mais le manchon n’est pas totalement fermé. L’une de ses extrémités reste ouverte afin de permettre aux organismes de se nourrir. Comme beaucoup de créatures marines, les pyrosomes se nourrissent en filtrant l’eau qu’ils ingèrent afin de récupérer le plancton qui y est en suspension (« suspensivores »). Puis après avoir consommé leurs mets favori, les pyrosomes rejettent l’eau filtrée par l’ouverture du manchon qui peut atteindre jusqu’à 1,8 mètre de diamètre.
« Parce que chaque membre se nourrit de minuscule plancton, ils doivent constamment aspirer de l’eau à l’intérieur [de leur siphon buccal dirigé vers l’extérieur] et constamment rejeté l’eau restante dans le centre creux », via leur siphon cloacal dirigé lui vers l’intérieur du manchon, a expliqué R.R Helm sur le site Deep Sea News. « Aussi, ils bougent à une vitesse constante bien que terriblement lente », et on peut d’ailleurs le constater sur la vidéo.
Des créatures douces mais pas si inoffensives
« Ils sont géants, ont un aspect terrifiant et fouillent dans les profondeurs des océans, attendant là que vous nagiez à une extrémité et restiez coincé. Peut-être. Mais heureusement, en plus d’être de lents filtreurs, ils sont aussi délicats et mousseux », a encore écrit Helm. Ainsi, l’un des plongeurs a décrit la créature comme un « boa en plumes extrêmement doux ». Mieux vaut cependant ne pas se fier à cette douceur apparente.
Dans un commentaire suivant l’article de R.R Helm, K Gowlett-Holmes, biologiste marine, a expliqué qu’elle avait déjà découvert un pyrosome de 2 mètres de long avec un manchot mort piégé à l’intérieur de son antre. Néanmoins, ces créatures possèdent aussi d’autres caractéristiques fascinantes telles que leur faculté de bioluminescence. En effet, comme on peut le voir sur la vidéo, les pyrosomes sont assez lumineux comparé à l’obscurité des fonds marins.
Ils répondent en fait à n’importe quelle source de lumière en émettant une lumière claire tirant sur le vert. Cette caractéristique explique d’ailleurs leur nom, pyrosome venant du grec « pyro » signifiant « feu », et permet aux pêcheurs d’observer des douzaines de ces petits organismes briller en pleine nuit sous la surface de l’eau.
« Depuis un de mes contacts portugais j’ ai repris ce post qui confirme des observations en mer ,du moins dans les régions maritimes. Comme pour les OVNIS les OANIS sont une énigme et ainsi font partie de la filière ufologique, alors phénomènes ou engins structurés?? Les questions restent le mêmes….
Traduit cet article à l’aide de traducteurs en ligne( langue originale) . il convient d’être mesuré sur votre propre interprétation du fait que la traduction est certainement érronée du moins imprécise dans les détails,merci pour votre discernement et votre compréhension. »
Une soirée spectaculaire.
Parmi les nombreux rapports d’observations anormales Ce fut sans doute une nuit inattendue.
Ufo Portugal ayant reçu un appel téléphonique de « John Doe » le 28 Janvier sur les observations étranges à Largo Côte Maritime Ericeira et les montagnes de Sintra, qui enregistre depuis Juin 2010 des lumières dansantes et d’étranges éclairs, ces vascillements effectués par ces lumières où leur mouvements erronés ont suscité son attention et celle de sa femme Philippa Coelho.
Le 31/01/2010 le Ufo Portugal reçoit un nouvel appel téléphonique d’une autre observation d’un autre automobiliste pour la région de Sintra , il aurait lui aussi ainsi que d’ autres automobilistes observés une lumière étrange qui se déplaçait en montant à une vitesse élevée avec un comportement très suspect, il n’est pas garanti qu’il s’agisse d’un avion, le témoin connaissant bien ce milieu est dubitatif …
Le 01/02/2011 Jo ã o Afonso et la Femme avaient rendez-vous avec moi Nuno Alves pour tenter d’ obtenir plus d’informations sur ces observations.
Après une conversation animée , assez vive sur le thème concernant ces observations , nous avons décidé de nous déplacer á « la Plage du Conchas Ericeira, et à la Plage de S ã o Lourenço. »
La nuit était froide avec une température estimée ente 5°c et 8°c , le ciel propice à de l’observation avec une bonne visibilité des étoiles apparentes.
Il était possible d’ avoir une information excellente sur le trafic aérien concernant l’aéroport de Lisbonne Portela et le couloir aérien.
Nous étions, aussi avec le frère (Tiago) de Filipa Coelho qui a dit avoir été témoin des mêmes mouvements inhabituels tel des lumières, sortes de halos pendant la nuit qui á dure de longs Mois.
une de ces observations semblait avoir la forme d’une soucoupe volante de format typique et lumières( comme des feux) dans son extrémité inférieure.
Déjà à Praia das Conchas et à Saint-Laurent autour de 00h45 le 2, nous avons observé une lumière lointaine qui semblait planer au-dessus de la mer d’une manière statique, ce qui a en quelque sorte présenté une couleur se situant entre le blanc, le jaune et l’orange .
Toutes les photos sont de format d’origine sans traitement gardant ainsi toute leur qualité, leur euthenticité.
image source: ufoportugal.blogspot.fr/
La lumière émise avec une légère augmentation ou diminution constante restant immobile.
Pourtant l’hypothèse d’être un navire, les bateaux avec le mouvement de l’ondulation des vagues aperçus sur une longue distance créent un effet psychédélique (1) (Sous l’effet d’une substance psychédélique, le sujet acquiert une extrême acuité mentale. Sa perception des sens se modifie, notamment la vue, et un phénomène de synesthésie peut éventuellement survenir. La synésthésie étant l’échange des sensations, qui se traduit par exemple par le fait d’éprouver le touché sous forme de son.) ,dû à l’ éclairage donne un effet » luciole « , causée par l’ondulation de la mer .Cette lumière est restée si statique.
Point ci-dessus reste toujours le doute que ce serait étoile. Image source: ufoportugal.blogspot.fr/
Avec un équipement photographique dans la main pour commencer à photographier malgré le froid constant rendant difficile l’exercice faisant trembler malgré tout, il est toujours possible d’avoir quelques photos de ce phénomène. Au cours des différentes photographies sur cette lumière, vers 03h00 pose une seconde lumière plus forte sur la droite de la première.
Cette seconde lumière avec une lueur brillante avait des couleurs très différentes avec du bleu, rouge, et des couleurs jaune et vert clair.
Nous pouvons voir que cette lumière clignotait à certains moments , toutes ces petites lumières autour de sa lumière jaune au centre.
Ressemblant ainsi à un arbre de Noël authentique avec des lumières clignotantes.
Quelques minutes après , la deuxième lumière a surgi, les deux deux objets clignotent à plusieurs reprises .
Quelque chose qui nous a beaucoup surpris et que mentionnent John et Philippa sur leurs observations antérieures.
. Á 03:30h vient un troisième objet de petite taille à partir de la droite à la fois à une vitesse considérable,sous réserve d’un débit important vers le haut en mettant le milieu entre le premier et le second objet. Malheureusement, on ne peut pas capturer avec un appareil photo.
étoiles en haut dans le ciel Image source: ufoportugal.blogspot.fr/
C’etait là Que les deux trois objets Ont commence le Mouvement pour Sud sud-est.
.Au total sur 146 images ,32 seulement sont plus ou moins exploitables nous n’ avions pas de trépied pour caler l’appareil photos.Ainsi avec le froid et le fait que l’appareil était dans notre main la qualité des images n’est pas présente.
A 04h00 nous sommes rentrés chez nous, mettant un terme à la veillée.
Un des détails est que les objets ont semblé être proche des uns des autres selon les calculs environ 10 km et seraient éloignés dans un espace de temps assez court
Par Porto Lisboa cela peut être confirmé.
Les dates et heures ne correspondent pas aux observations, car les observations ont eu lieu entre 00:00 h et 04:00 h.
Voici quelques autres photos pour vous donner un aperçu.
7 LIS201100236 04012011000234 MALMO 9373242 2011-02-02 15:45 2011-02-03 10:00 Malta Tanque Químico PINTO BASTO IV-SERVICOS MARITIMOS,LDA SINES SETUBAL DESCARGA ESTAÇ DESGASEIF – ETC/PORTO BRANDÃO 4500 Oleos de petroleo ou de minerais betuminosos DESCARGA Source image: ufoportugal.blogspot.fr/
RODAU LIS201100212 04012011000210 RODAU 9313656 2011-02-02 12:00 2011-02-07 20:00 Antigua e Barbuda Carga Geral single deck NAVEX-EMP.PORTUGUESA NAVEGACAO, SA ALTO MAR INVERKEITHING DESCARGA TERM GRANEIS ATLANPORT/BARREIRO Desperdicios, residuos e sucatas de ferro fundido DESCARGA Image source: ufoportugal.blogspot.fr/
Source image: ufoportugal.blogspot.fr/
Sur cette photo, avec un grossissement maximum vréifiez les lumières qui sont légèrement au-dessus de la ligne de la mer. Source image: ufoportugal.blogspot.fr/
Je ne prétends pas que ceci est un un OVNI /UFO ou un OANI/USO mais c’était un peu surprenantet ça, personnellement, j’en étais sûr.
Photos prises par Nuno Alves.
Il ya une vidéo réalisée par le téléphone portable de Philippa Coelho, qui espère mettre en ligne bientôt ici, sur http://ufoportugal.blogspot.fr où vous pouvez trouver ces flashes lumineux mentionnés ci-dessus.
Pour ceux qui vivent à proximité de cette région prêtez attention à l’ activité aérienne dans le ciel et navale sur la rive en direction de la mer.
(1) définition ajoutée par investigation océanographique et oanis.
TraductionSylv1 adm
Mise à jourSylv1pourinvestigation océanographique et oanis, le : 29/07/2013 à : 15h55.
Une baleine à bosse observe et reproduit… C’est un animal cultivé. Ce cétacé, en effet, est capable d’apprendre grâce à son réseau social. La preuve, les baleines à bosse du golfe du Maine ont développé une nouvelle technique de pêche qui s’apprend de génération en génération, via le partage social.
D’après vous, les animaux ont-ils une culture ? Parmi les personnes interrogées par le médiateur scientifique Damien Jayat, 45 % avaient répondu non et 10 % étaient sans avis. Pourtant, nombre d’animaux font preuve d’une riche culture, comme les singes et les cétacés. Les baleines à bosse sont même, semble-t-il, plus cultivées qu’on le croit. La notion de culture inclut la capacité d’une espèce animale à développer un comportement grâce à son réseau social. Ce qui veut dire qu’un animal acquiert un nouveau savoir au contact d’autres individus du groupe. Si pour beaucoup, la culture animale n’existe pas, c’est principalement parce que ce comportement d’apprentissage social est quasi impossible à observer chez les animaux sauvages.
Or, l’apprentissage social chez les animaux sauvages est de plus en plus attesté. Récemment, une équipe britannique s’est focalisée sur la capacité de transmission du savoir chez les baleines à bosse. Menée par la chercheuse Jennifer Allen, leur étude montre que ces cétacés se transmettent de génération en génération une nouvelle technique de pêche. Mais plus important, les chercheurs révèlent que ce n’est pas la mère qui apprend au petit à développer cette technique : le baleineau s’en imprègne en interagissant avec tous les individus du groupe.
Partout dans le monde, les baleines à bosse ont la même méthode de chasse. Elles plongent et soufflent par leur évent sous un banc de poissons. Cela produit quantité de bulles autour du banc, et permet aux baleinesd’avaler une grande quantité de poissons, effrayés par ce rideau qui leur semble infranchissable. Mais en 1980, dans le golfe du Maine, une baleine à bosse s’est comportée différemment. Elle s’est mise à frapper la surface de l’océan avec sa queue, avant de plonger et de produire les bulles. Si les scientifiques ne savent pas en quoi cette variante améliore la pêche, il est certain qu’elle s’est répandue dans toute la région. En 1980, ce comportement, appelé lobtailing, n’a été remarqué qu’une fois sur les 150 observations de baleines à bosse en train de chasser. Mais en 2007, 37 % de ces cétacés utilisaient la technique.
Un réseau social efficace chez les baleines
Pour comprendre comment le lobtailing s’est propagé aussi vite, l’équipe de Jennifer Allen a traité 27 années de résultats d’observation ducomportement des baleines à bosse du golfe du Maine. Les chercheurs ont appliqué aux données une méthode dite d’analyse de la diffusion en réseau. La technique est basée sur l’hypothèse que plus les individus passent du temps ensemble, plus ils sont susceptibles de se transmettre un savoir. Les conclusions de l’analyse, publiées dans Science, révèlent que 87 % des baleines ont appris cette méthode de leurs congénères.
Il s’agit là de la première preuve que ces cétacés sont capables d’apprendre un nouveau comportement via les relations sociales. Leur transmission du savoir ne se produit pas seulement par les moyens habituels d’apprentissage que sont l’hérédité ou la prise d’initiative autonome. Il était déjà connu que ces cétacés se transmettaient leur chant dans un cadre culturel. Pour David Wiley, océanographe à la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), « l’apprentissage culturel (ouapprentissage social) du lobtailing s’ajoute à une masse croissante d’informations démontrant la complexité du comportement des baleines à bosse ».