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Cérès libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau et intrigue les scientifiques.

Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa
Crédit : ouest france

La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès

Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour  ouest-france.fr

Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.

Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.

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Nous incluons ce complément  hors article en guise de support cette  vidéo de la NASA via YouTube

La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès

La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

 

 


Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur,  solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici  sur notre site web . Merci pour votre fidélité.

Petits repères

La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.

L’ EAU EN état liquide:

L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).

L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :

-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.

©décembre2017  voir mentions légales 


 

Références

NASA

JPL (NASA/Caltech)

ouest france

Investigations océanographique et oanis.


 

© 19/12/2017 

 


 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 19/12/2017 à :19h40.

 

Dénommé A6K un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur.

Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
© ECA group

Article source : usinenouvelle.com

Références/IFREMER –  Mer & et marine – ECA group – CORAL project

Crédit photp ECA group


La société ECA Group a remporté l’appel d’offres international lancé par l’Institut français de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer) pour le développement d’un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur. Ce drone sous-marins sera utilisé dans le cadre de missions de cartographie et d’inspection. L’engin réalisera ses premières plongées en 2019 après 3 ans de développement.

Voici encore une preuve qu’ECA Group est l’un des leaders des drones sous-marins. La filiale du groupe Gorgé vient de décrocher un contrat de 2 millions d’euros pour fournir une solution innovante à l’Institut de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer). L’objectif est de créer un drone capable d’atteindre une profondeur de 6 000 mètres afin de cartographier les océans. Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.

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Remarque

Pour mon « projet Aquasystème » un spécimen est réalisable mais il y a un problème de taille. Le coût astronomique pour ce genre d’acquisition.

©2017


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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :08/12/2017 à :10h50.

 

Objets sous-marins non identifiés et OVNIS en Argentine entre investigations et suspicions.

OANIS en Argentine
Crédit illustration-
Luis Burgos – « Ovnis Siglo XXI » © 2017

 


Gilles Thomas nous a déniché cet article que nous avons traduit au mieux. Nous remercions gilles pour son entière coopération. Ceci apporte de l’eau ( jeu de mots ) à notre moulin et c’est peu de le dire, concernant d’une part notre orientation et d’autre part  nos investigations.


Article source: inexplicata.blogspot.fr/

Par Luis Burgos-« OVNIS Siglo

Jeudi 30 novembre 2017 -THURSDAY, NOVEMBER 30, 2017

À la suite des événements tragiques impliquant le sous-marin Ara San Juan le 15 novembre 2017, beaucoup de gens nous ont contactés en  demandant si [la tragédie] pouvait être liée à un aspect de notre recherche. inutile  de vous dire qu’ insinuer une telle chose est extrêmement dangereux. Le temps nous dira ce qui s’est réellement passé après la fin des opérations de recherche et de récupération. Tout ce que nous pouvons faire, c’est théoriser et offrir des opinions. Voilà donc notre contribution.

Causes de l’explosion

En interne, la raison d’une panne de batterie , « officiellement » ceci est accepté.

Les causes:  4 possibilités qui ont pu conduire à l’incident.

A :panne de batterie

B. en raison de la descente à des profondeurs critiques à la suite de l’insuffisance de l’équipement.

C. collision avec un «objet inconnu»

D. attaque par un «objet inconnu»

Sans aucun doute, c’est le point le plus inquiétant. L’ARA San Juan était sur le trajet  de retour ayant partcipé à l’opération Cormorant dans les mers du Sud avec les forces internationales. Sa destination, ostensiblement Mar del Plata, l’a rapprochée de la zone d’exclusion imposée par les forces britanniques [pendant la  guerre des Malouines en 1982  ] et en dépit du fait que nous sommes en paix et non en guerre, » l’ hypothèse de conflit » peut être écartée.

La période de confusion généralisée est maintenant derrière nous (sept appels [du sous-marin], des bruits biologiques, des anomalies hydroacoustiques, des radeaux flottants et des bouées, etc.) et la nature de l’incident étant une certitude, le sujet a deux aspects fondamentaux: la nature de l’explosion et des opérations de récupération.

Mission de rétablissement.

Un éventail impressionnant de pays offrent une assistance logistique et humanitaire à l’Argentine, parmi eux quatre des cinq membres du Conseil de sécurité des Nations Unies (les États-Unis, la Russie, la France, le Royaume-Uni et la Chine). C’est extrêmement important, mais nous ferions bien d’envisager une possibilité qui couvre trois hypothèses, telles que:

A. cette aide est offerte sans contrepartie parce que ce sont des « bons gars ».

B. cette aide est offerte, mais en vue de profiter de la situation-ressources marines, espionnage, futurs traités, etc.

C. ils veulent savoir ce qui s’est réellement passé en utilisant le «danger pour la sécurité » comme excuse.

Une fois de plus, nous devons faire une pause pour méditer: l’Argentine est signataire du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP-1968) avec les puissances mondiales. Plusieurs de ces pays se sont déployés vers notre Patagonie dès que les nouvelles sont répandues, une opération massive impliquant 4000 personnes. Ils resteront là, en fait, jusqu’à ce que l’on sache ce qui est arrivé au San Juan ,  puisque l’on parle du décès de 44 membres d’équipage . Dans cet état de faits, il devient évident que quelque chose ne colle pas pour eux. Le communiqué officiel de la marine Argentine est effrayant: «un événement anormal, unique, court, violent et non nucléaire», d’autant plus dans la prise de conscience que l’onde de choc a été ressenti aussi loin que l’Afrique du Sud et probablement  jusqu’ à l’océan Indien.

La question brûlante serait: les super puissances  travaillant à Ground Zero (Etats-Unis, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne) soupçonnent qu’il y a quelque chose de plus ? Hypothétiquement, est-ce que ces gens débattent sur la possibilité que l’ARA San Juan ait pu transporté en son sein une sorte d’armement nucléaire qui mettrait en péril non seulement l’écosystème marin, mais aussi la politique internationale en matière d’armement  ?

Un problème de base peut être retenu contre nous en tant que nation, et peut avoir pour incidence que les autres nous regardent  de travers. Le sujet infâme du missile Condor II et ses conséquences (1989). Plus triste encore, c’est que nous ne pouvons jamais connaître les véritables causes d’un tel incident, mais cette hypothèse, juste une parmi beaucoup d’autres, pourra  peut-être servir de raccourci vers le dénouement  de l’énigme , pourquoi[tous ces pays] sont ici dans nos eaux  territoriales.

Nous ne pouvons pas ignorer le récit de l’«objet sous-marin» détecté par l’avion américain à 300 kilomètres de port Madryn, Chubut,  estimé à une profondeur de 70 mètres, un fait  qui a été mis de côté le lendemain, lorsqu’on on appris que la trajectoire  du sous-marin  l’a pris en ligne droite  vers le golfe de San Jorge, en d’autres termes, à quelques 140 milles nautiques au sud. 

Pour terminer, tout ce que nous pouvons dire, c’est que l’Argentine doit réévaluer ses forces armées. Une réévaluation sérieuse qui doit être prise en tant que telle par les autorités impliquées. En d’autres termes, les trois branches du gouvernement (exécutif, législatif et judiciaire) et les trois branches des services (Force aérienne, armée de terre  et  la marine). C’est une priorité pour aujourd’hui, pas pour demain ou pour les années à venir. Ce n’est pas une plaisanterie. Malheureusement, et bien qu’il soit difficile à admettre, le parti responsable de l’état de nos forces armées est aujourd’hui … la démocratie. 34 années se sont écoulées depuis la restauration de la règle démocratique instaurée en 1983 et aucun gouvernement n’a fait quelque chose à ce sujet, ils ont plutôt, travaillé contre elle: les coupes budgétaires, le manque d’entretien adéquat, le démantèlement, etc. Il était surprenant de voir d’innombrables politiciens des trois dernières décennies s’exprimer au cours des derniers jours, en montrant des inquiétudes et en préférant des explications. « La corruption tue » est une vérité qui s’applique à tous. Le trou béant dans les forces armées est maintenant relégué en arrière, ceci est une  énorme bévue .

Ensuite, nous examinerons le sujet du trafic non identifié dans ces eaux lointaines. De la naissance du phénomène impliquant les soucoupes volantes d’antan et les OVNIS d’aujourd’hui-sont intimement liés à l’eau. Il y a une prolifération d’événements dans les histoires mondiales impliquant des objets volants non identifiés émergeant de l’eau  ou plongeant dans les rivières, les lacs, les lagunes et les mers. Il n’y a pas beaucoup de théories  qui admettent  la possibilité de bases dans les zones lacustres, donnant lieu à des objets submersibles (USOs)-non identifiés. D’autres chercheurs ont fait une référence tacite aux sous-marins ou aux objets subaquatiques. Ce qui importe, c’est que notre pays n’était pas libre de ces événements, et les incidents ont été signalés remontant aussi loin que les années 1940 se situant dans les zones aqueuses à travers l’Argentine. Mon article « Luces en Los Lagos » (lumières dans les lacs) est en ligne et discute des incidents avec ces caractéristiques, suggérant la possibilité qu’ils utilisent   des abris comme des emplacements permanents ou temporaires .

Pas une semaine s’était écoulée depuis le « premier cas impliquant une soucoupe volante en Argentine » (10 juillet 1947 à la Plata, Buenos Aires) quand la connexion UFO-Water ( OVNI et eau) a déjà été envisagé. En effet, à 09h00 heures le 15 juillet de cette année-là, l’équipage d’un navire polonais amarré à Puerto Nuevo, ainsi que du personnel de la Préfecture navale uruguayenne, a détecté un «étrange artefact semblable à un avion» qui plonge dans  la rivière de la Plata. Les entreprises de transport aérien ont été interrogées sur la perte éventuelle d’un de leurs aéronefs, avec des résultats négatifs. La question inquiétante  était posée concernant les eaux de Rio de la Plata. Quel genre d’objet volant tombait du ciel ce jour là ? 

Ces épisodes se sont poursuivis au cours des années suivantes. Les Articles de nouvelles du littoral de Patagonie ont parlé d’objets bizarres sortant de la mer ou plongeant dedans, comme  ceci s’est produit dans Rio Grande (Tierra del Fuego) et Puerto Coig (Santa Cruz) en 1950 ou dans comodorant Rivadavia (Chubut) en 1953. Ce qui est vraiment déconcertant, c’est que des incidents ont aussi été signalés à la porte de la capitale fédérale .

Un curieux objet ressemblant à une «mine de mer»,  de couleur rouge, a été vu flottant près du ponton Recalcada dans  la rivière de la Plata, le 19 février 1953. Il était situé à 35 degrés de longitude Sud et 56 degrés de longitude ouest, confirmé par le skipper du navire « San Jorge » et  de l’équipage du SS coracero un autre bateau. La fouille était vaine.

Au cours du mois de juin 1959, selon les sources officielles, un objet submersible non identifié ressemblant à «un dirigeable» a plongé dans la  la rivière de la Plata.

Article de la presse argentine.
Crédit photo-inexplicata.blogspot.fr
Luis Burgos – « Ovnis Siglo

Les années 1960 mystérieuses:

Ainsi, nous arrivons à la décennie controversée qui a été témoin de nombreuses «persécutions» d’objets étranges et insaisissables par la marine Argentine dans nos golfes de Patagonie, en particulier dans les eaux du Golfo Nuevo, dans la péninsule Valdés et dans le Golfo San Jorge. Tout cela a pris fin lors la création des commissions officielles notoires ainsi que trois présidents-Arturo Frondizi, Arturo et le général Juan Carlos Onganía-prenant de l’intérêt en la matière. Toutes les interceptions et les bombardements avec des charges profondes fuirent vains. Pendant des années, les objets sous marin non-identifiés erraient libre dans ces eaux jusqu’à ce que les incidents s’éclaircissent et diminuent  les décennies suivantes. Par conséquent, la marine s’est détachée de la situation et tout événement impliquant des objets plongeant ou se levant de la côte fut limité au témoignage des pêcheurs, des touristes, des conducteurs ou des habitants.

Peut-être le cas dont on se souvient le mieux est celui impliquant un agriculteur  répondant au nom de Carlos corosan, qui a été témoin d’un grand objet en forme de cigare, d’aspect  métallique , qui a plongé dans la mer près de Puerto Deseado (Santa Cruz), émettant de la fumée en plein jour. Il a causé  un grondement tumultueux  dans l’eau. (1966). Les hypothèses concernant l’existence de tanières permanentes sous nos mers, ayant la fonction de véritables bases d’OVNI, ont commencé à prendre de la vigueur. En bref, une activité biologique intense  est à l’abri de tout danger dans ces profondeurs …

Anecdotique, mon frère Pedro Trachlsler effectuait son service militaire à bord du destroyer Ara Cervantes durant ces années. L’équipage a été mis en alerte lorsqu’un objet volant non identifié a été détecté dans les eaux du Golfo Nuevo. Il a été intercepté et des charges de profondeur ont été lâchées, suivie d’une salve de torpilles. Lorsque ceux-ci n’ont pas atteint leur cible prévue, ils ont été récupérés de la surface et montés à bord. Avant de disparaître, dit-il, l’objet sous-marin non-identifié «passa juste sous le navire de guerre».

L’intrus 1975:

Parmi les nombreux témoignages des années 1970, l’un se distingue en raison de la qualité des témoins,  et ce, malgré le fait qu’ils ont choisi de rester anonymes. Aux environs de 01h30 heures le 16 juillet,  quatre personnes-deux hommes d’affaires et deux vendeurs ambulants pêchaient à la jetée de Caleta Oliva (Santa Cruz). La nuit était calme. Soudain, l’un d’eux a vu une étrange silhouette en forme de cigare  évoluer sous l’eau à 100 mètres de leur position. Il mesurait environ 10 mètres de long,  il était complètement silencieux, avait des contours bien  définis et  il était de couleur vert-jaune. Pendant une vingtaine de minutes, l’objet sous-marin non -identifié a voyagé lentement le long de la côte vers le sud jusqu’à sa disparition. Le lendemain, plusieurs résidents de Caleta Olivia ont confirmé la découverte d’un grand nombre de poissons morts sur leurs rives , ainsi que des mouettes et des Albatros . La pêche fut impossible toute  la journée.

L’incident de San Blas

La présence  des O.A.N.I  a été officiellement corroborée au milieu des années 1980. Cette fois-ci, c’était la baie de San Blas, au sud de Buenos Aires, connue sous le nom de « le paradis des pêcheurs ».

Dans la nuit du 3 juin 1988, le pétrolier «Puerto Rosales» a avisé la Préfecture navale qu’il avait détecté un objet flottant non identifié à quelque 20 milles de la côte, d’abord sur le radar et ensuite visuellement. L’objet n’a pas répondu aux signaux envoyés. Un état d’alerte a été déclaré et la marine Argentine a envoyé une force qui comprenait des avions de la base de commandement  d’Espora, la corvette «Grandville», le destructeur «Sarandi» et un Electra 6 P-101 qui a décollé de la base d’Almirante ZAR à Trelew, Chubut. Il convient de noter que la zone dans laquelle l’objet se déplaçait, face au phare de Segunda Barranca, est assez peu profonde. C’est peut-être pour cette raison que le rapport de la marine remplaçait le mot «sous-marin» par «objet flottant».

Épilogue :

Il y a une trentaine d’années, l’existence de ces «bases sous-marines» a été soutenue dans divers médias. Peu ou rien n’a changé aujourd’hui. Ces USOs ( OANI/ OSNI « Objets sous-marin non-identifiés ») continuent de bouger et se comportent comme ils l’ont fait durant les années 1940 ou 1950, avec la même impunité comme jamais, comme si le territoire était le leur ou s’ils l’avaient occupé sous l’eau pendant une très longue période. Ils voyagent profondément dans la mer, renversant de grands bateaux, ou seulement à quelques mètres de la rive,  surprenant des pêcheurs ou des résidents locaux. Par conséquent, l’existence d’une intelligence inconnue opérant sous les eaux de la Mar Argentino  ( mer d’ Argentine) et donc, l’océan Atlantique, est loin d’être une simple hypothèse, c’est un fait. Nos histoires de cas attestent cela et ces événements continueront à se répéter … une fois de plus, il est démontré que malgré les prouesses technologiques des grandes puissances, capables de localiser un enjoliveur de voiture ou une balle de tennis au moyen de satellites,  il existe une différence considérable qui apparaît quand on la compare au phénomène O.V.N.I.

Source

©2017


Références :

Credit:
Boletín UFO PRESS Nº 13, October 1979.
“Clarín”, 5 June 1988.
“Expedientes OVNIs” (Los Archivos Clasificados Argentinos) Luis Burgos, October 2015.[Translation © 2017 Scott Corrales (IHU) for Inexplicata: The Journal of Hispanic Ufology]


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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :01/12/2017 à :19h40.

Dossier- Des rapports australiens de visualisation radar/visuel impliquant des objets volants non identifiés, a eu lieu le 31 août 1954

crédit image carte :
citiestips.com/

L’un des plus fascinants et controversés  rapports   australiens de visualisation radar/visuel impliquant des objets volants non identifiés, a eu lieu le 31 août 1954. Cette histoire fascinante a été divulguée aux médias en décembre 1954 et à   beaucoup fait parler en Australie.

 


Nowra  est une ville dans la région (la côte sud) de la Nouvelle-Galles du Sud , en Australie. Elle est située à 160 kilomètres au sud-sud-ouest de la capitale de l’État de Sydney (environ 120 kilomètres à vol d’oiseau ).
Nowra est sur la rivière Shoalhaven , qui accueillait autrefois les championnats nationaux australiens de wakeboard, c’est aussi un lieu de pêche populaire. La rivière sépare Nowra de Bomaderry et North Nowra , et est reliée par le pont historique de Nowra . La rivière Shoalhaven est une rivière d’eau salée, bien que la rivière elle-même ne coule pas dans la mer. La rivière Shoalhaven rencontre la mer à travers le canal qui rejoint les rivières Shoalhaven et Crookhaven, qui a été creusé par des détenus sous la direction de l’entrepreneur local et pionnier Alexander Berry .

Deux ovnis signalés par un Pilote de la RAAF en Australie

Source Area 51 Blog

Une rencontre avion-OVNIS très bien documentée est celle du Lieutenant J. O’Farrell dans la nuit du 31 Août, 1954, alors qu’il pilotait un avion Sea Fury au-dessus de la Nouvelle-Galles du Sud méridionale en Australie. Deux objets ont été non seulement aperçus par le pilote, mais ont été également dépistés par le radar à l’aéroport de la Royal Australian Navy à Nowra. Les objets volaient à une vitesse incroyable, et il est plus qu’improbable qu’il y ait eu quelque engin terrestre que ce soit même expérimental et secret capable de ces performances en 1954.

Le 16 Décembre 1954, le Sydney Morning Herald a rapporté que la Base Navale aérienne  Nowra a été mise en  état d’alerte pour surveiller des objets volants non identifiés après qu’un pilote de la RAAF (Armée de l’air Australienne ) ait signalé deux soucoupes volantes trois mois plus tôt, le 31 Août.

«Les officiers  ont fait cette déclaration  aujourd’hui lors d’une inspection de la base aérienne  par le ministre de la Marine, M. J. Francis. «Mis à part admettre l’observation de ces objets, les officiers de marine ont déclaré aux journalistes accompagnant M. Francis que les enquêtes sur l’incident étaient« secrètes ». La Base n’a pas encore établi la nature des objets observés il y a trois mois, «rapporte le Herald.

Le pilote qui a rapporté cette observation était  aux commandes d’un Sea Fury la nuit dans la région de Goulburn. « Il dit que les objets étaient éclairés. Ils se déplaçaient plus vite que son avion [220 noeuds] » 407,44 Km/h » et l’on dépassé, volant près de son avion à environ 15.000 pieds( 4570 mètres ). Le pilote a signalé pendant son vol les objets à la base  Nowra par radio.

« Les opérateurs de radar ont ensuite suivi le Sea Fury et  ont localisé deux autres objets en vol. Les Renseignements ont établi plus tard qu’il n’y avait aucun avion volant dans la région à l’époque. Le pilote a depuis fait un rapport complet sur ​​l’incident aux officiers supérieurs de la base Nowra. « 

Cette affaire importante impliquant des OVNI et du personnel expérimenté de la  RAAF été étudiée par Bill Chalker et le pilote du Sea Fury, le lieutenant JA O’Farrell a été interviewé par le célèbre enquêteur ufologue américain Dr Hyneck lors de sa visite en Australie en 1973.

avion militaire Sea Fury.
KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS ……….. WWW.WEIRDAUSTRALIA.COM

REMARQUE: L’image ci-dessus est une illustration d’un avion militaire Sea Fury.

KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS   ………..    WWW.WEIRDAUSTRALIA.COM

WWW.WORLDUFOPHOTOS.ORG

WWW.WORLDUFOPHOTOSANDNEWS.ORG

Source

 


 

Complément d’informations

L’incident concernait un jeune pilote naval, le lieutenant Shamus Farrell, âgé de 25 ans au moment des faits.

Lors d’une interview plus récente, il raconta:

« J’étais sur le point d’appuyer sur le bouton et de dire à Nowra que les deux engins partaient quand Nowra m’a appelé et dit, « les deux autres avions semblent partir à grande vitesse au Nord-Est. Est ce correct? » et je leur ai dit, « oui! » Et ils ont dit, « Roger, nous verrons si nous pouvons les dépister. » Ils les ont dépistés pendant un moment et les ont ensuite perdus. « Je suis rentré et j’ai atterri à 07:30 (19:30) et quand je suis arrivé il y avait là un certain nombre de gens qui m’attendaient. J’ai pensé que c’était un peu étrange et donc ils ont approché, et ils ont dit, « vous êtes sûr qu’il y avait eu des engins là dehors?  » et j’ai dit oui. » Quand il a atterri, O’Farrell a été méticuleusement interrogé et contrôlé médicalement, et il a été clair qu’il n’avait pas bu. La direction du renseignement naval a alors écrit que O’Farrell était « un témoin totalement crédible » et qu’il « avait été visiblement secoué par son expérience, mais demeure ferme sur le fait qu’il a vu ces objets. »

Le ministère Australien de la Marine fut immediatement alerté, et la même année, le Ministre de l’air, William McMahon, a ordonné des recherches sur ce cas et d’autres cas semblables.

Le consultant en matière scientifique du Projet Blue Book de l’US Air Force, le Dr. J. Allen Hynek, a interviewé le pilote en 1973. Le cas a été méticuleusement détaillé par l’ufologue Australien Bill Chalker (« The Oz Files – l’histoire australienne »).

Un pilote naval qualifié et expérimenté+confirmation de l’opérateur radar au sol de la Nowra Naval Air-Station, et la possibilité de deux témoins indépendants au sol, qui ont confirmé avoir vu  la présence de deux feux lumineux. À ce jour, aucune explication rationnelle pour expliquer cet incident qui est considéré comme l’un des meilleurs  cas d’OVNI avec trace radar à ce jour. Bill Chalker a été l’un des premiers chercheurs civils (ufologue) à étudier le cas  et à le porter  à l’attention du public.  Si bien qu’un livre  a été publié en 1991 par Ken Llewelyn intitulé «incroyables histoires vraies des aviateurs sur le plan terrestre et au-delà»   qui a été cité comme une source  crédible  de l’incident radar Nowra.

Ken Llewelyn était officier des relations publiques  avec le commandant. Bill Chalker a mentionné cet incident dans son livre, »The oz Files » paru en 1996. Depuis lors, Bill Chalker a rédigé un certain nombre d’articles en ligne qui ont été copiés et collés par de nombreux sites Web ufologiques.

Très peu de choses ont été réalisées depuis les années 1990 concernant ce cas fascinant.
Le seul autre chercheur à examiner l’affaire non résolue Nowra , a été Keith BELLONGHOT en 2012. Il a examiné les cas classiques d’OVNI  pendant un certain nombre d’années.
 – Au cours du projet de divulgation (Australian UFO Research Association, 2003-2008), Keith a trouvé deux fichiers originaux de 1954 sur l’incident de Nowra dans les archives nationales d’Australie. Parmi les dossiers se trouvaient des copies ainsi que des rapports originaux mentionnant l’incident signalé par le pilote et l’opérateur radar.
 Il s’agissait d’une source exceptionnelle qui vérifiait l’incident comme une observation crédible.
Bien que malheureusement, les dossiers d’enquête du Bureau de renseignement commun n’ont pas été vus depuis 1973 et  ils n’ont jamais été repérés par des chercheurs civils.
Personne ne sait s’ ils  ont été détruits ou tout simplement égarés.
 Keith BELLONGHOT essaie  de trouver les fichiers manquants.Comme Keith BELLONGHOT le  dit sur son blog, «la clé de la recherche plus approfondie sur ce cas semble se situer avec la localisation possible des fichiers manquants.»- Quoiqu’il en soit,  cette  sombre affaire résiste à l’épreuve du temps.
 ©2017 

Références

 

Area51blog

project1947.com
WEIRDAUSTRALIA.COM
 WORLDUFOPHOTOSANDNEWS.ORG
WORLDUFOPHOTOS.ORG

 

 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :22/11/2017 à :17h50.


1963- l’armée américaine aurait détecté- un appareil sous-marin de type inconnu se déplaçant à plus de trois cent kilomètres par heure, une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins de fabrication humaine !

 

Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.

Sur l’une des deux  vidéos où nous sommes interviewés par Yves Herbo, je précise que des ufologues et des chercheurs se sont intéressés au milieu marin concernant l’ufologie. Notre ami Tyron du site web la taverne de l’étrange est l’une de ces personnes.

Alors nous reprenons ici ce qui nous intéresse en la matière.  En occurrence ce petit résumé agrémenté d’une photo d’un cas survenu en 1963. Cette affaire concerne l’US NAVY puisque l’objet a été repéré sur l’un de leur sonars plusieurs jours durant. C’est ce type de témoignage qui nous intéresse  grandement ici  pour nos investigations. Merci à Tyron pour ce travail et le partage de l’information.

OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin


Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.

Tyron administrateur du site web la taverne de l’étrange a repris ceci:

 L’hypothèse de l’existence de bases sous-marines occupées par des intelligences non-terrestres a été notamment relayée par Ivan T. Sanderson, un naturaliste américain renommé, qui fut l’un des pionniers de la cryptozoologie, une discipline s’intéressant à l’étude des espèces inconnues ou supposées éteintes.

Dans l’un de ses ouvrages spécialisés sur le sujet, il relate une affaire datée de 1963 et qui fait désormais souvent office de preuve irréfutable dans les milieux ufologique: l’armée américaine aurait détecté- un appareil sous-marin de type inconnu se déplaçant à plus de trois cent kilomètres par heure, une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins de fabrication humaine ! Repéré sur le sonar de la Navy pendant plusieurs jours, l’étrange objet submersible aurait finalement disparut des écrans en plongeant à une profondeur de plus de huit mille mètres, zone où la pression interdit normalement tout déplacement

Source

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :22/11/2017 à :15h40.

 

De la dissuasion nucléaire à la robotique navale.

Les drones sous-marin bluefin en action dans la recherche d’épaves.
Crédit image :frandroid.com

L’ONERA met de l’intelligence artificielle sur les drones maritimes

Article source : meretmarine.com

 
Défense
Offshore
Science et Environnement

Etudes hydrographiques et océanographiques, inspection d’infrastructures offshore, détection de pollution, recherches suite à des crashs, surveillance, guerre des mines… Les drones maritimes peuvent avoir de nombreuses applications civiles et militaires, notamment s’ils sont employés de manière groupée et coordonnée sur plusieurs dimensions. Des  concepts de meutes de drones sont en cours de développement mais, pour l’heure, il s’agit essentiellement de formations prédéfinies articulées autour d’un engin « maître » sur lesquels les autres véhicules sont asservis. L’étape technologique suivante consistera à pouvoir déployer dans différents milieux (sous, sur et au-dessus de la mer) une flottille dont chaque membre, grâce aux progrès réalisés en matière d’intelligence artificielle, disposera d’un très haut degré d’autonomie décisionnelle, pourra interagir avec les autres et faire face, de manière indépendante ou coordonnée, à tout type de situation et aléas afin de mener à bien sa propre mission comme celle du groupe.

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :24/10/2017 à :17h00.

Disparition inexpliquée d’un navire américain pendant la première guerre mondiale.

USS Cyclops
image source:
bermuda-attractions.com/

Dimanche 22 octobre 2017

 

     

OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin  

Cette fois je vous propose une énigme qui peut ressembler à un accident ou un incident comme   il y en a quelquefois avec des avions ou des bateaux. Cette histoire laisse une petite place à autre chose pour certains théoriciens.

Dans cette région du globe  des embarcations tel des bateaux disparaissent sans raison apparente pour ne plus jamais réapparaître.

Dossier non classé: 

Voici l’affaire.

L’USS Cyclope une disparition étrange.

Le 8 janvier 1918, le bateau  a commencé à naviguer depuis le port de la marine de Norfolk couvert de neige vers Rio au Brésil sous le commandement du lieutenant-commandant Worley. Le navire n’avait que quelques années. Le but de ce voyage était de décharger le charbon à Rio et de charger les minerais de manganèse utilisés principalement pour la fabrication de l’acier.

Le 28 janvier, le navire atteint Rio au Brésil. Il était amarré au port pendant deux semaines. Et comme prévu, une grande quantité de charbon a été déchargée et 10 000 tonnes de minerai de manganèse ont été chargées dans le navire. Donc, le bateau était lourd et plein. Le jour de son départ, il a été étonnamment demandé à 73 marins locaux de monter à bord du navire. Et de manière plus surprenante, le consulat général américain de Rio, Gottschalk, est également monté à bord du navire. On lui a   demandé pourquoi ? Il a mentionné qu’il voulait enrôler son nom dans l’armée américaine pour servir la nation pendant la guerre.

L’USS Cyclope a ensuite repris la mer le 16 février avec 309 personnes à son bord et une énorme cargaison de marchandises. Direction  Baltimore via Bahi. Maintenant, il y avait un autre tournant bizarre à l’histoire. Après que le navire ait quitté Bahi, au lieu de mettre le cap directement vers Baltimore, le capitaine l’a emmené à la Barbade aux Antilles le 3 mars. Il a dit qu’ils avaient besoin de plus de carburant et de fournitures. Bien que le consul général des États-Unis à la Barbade n’ait pas ressenti la nécessité de charger plus de charbon et de fournitures, le capitaine a insisté, et cela a finalement été fait.

Le 4 mars, l’USS Cyclops a remis les voiles et devait arriver à Baltimore le 13 mars. Mais … on n’en a plus jamais entendu parler. 

Quand le navire n’est pas arrivé à Baltimore comme prévu,  une recherche intensive a été lancée  tout le long du parcours  présumé que devait emprunter ce navire.  Chaque navire  de Cuba à Porto Rico a cherché tous les débris possibles en pensant qu’il était tombé face aux sous-marins allemands. Cependant, il n’y avait aucune trace de l’USS Cyclope.

Alors, qu’est-il arrivé à USS Cyclops? Il y a eu beaucoup de théories, mais aucune preuve, avec des faits et des éléments réels. Même après un rapport de 15 000 pages de la marine américaine examinant le mystère du bateau USS Cyclope, la plupart des explications sont restées au stade de spéculations. Jusqu’à présent, cette disparition  demeure comme l’un des plus grands mystères de l’océan. Étrangement, le navire se trouvait au milieu du triangle des Bermudes lorsque l’incident  eut  lieu. Voici quelques explications qui se rapprochent de ce qui s’est réellement passé sur la mer :

Le Capitaine Worley était détesté par la plupart de ses collègues et  des officiers. Ils l’ont toujours accusé d’être un pro-allemand. Il a été découvert plus tard que le capitaine Worley était né en Allemagne et avait un nom différent . On ne sait pas ce qui l’a fait changer de nom. Gottschalk, le consulat général des États-Unis à Rio, qui est monté à bord du navire avec 73 autres marins locaux, a également été très populaire parmi la communauté allemande au Brésil.   Pour couronner le tout, beaucoup plus de charbon et de carburant ont été chargés depuis la Barbade alors que ce n’était pas officiellement prévu ou même nécessaire. Alors était-ce un cas de sabotage? Pourquoi n’y avait-il pas d’appel SOS fait par le capitaine? Puisque la guerre entre les États-Unis et l’Allemagne devait déjà éclater d’ici là. Est-ce que le capitaine et Gottschalk ont ​​été complices et ont coulé le navire ou l’ont détruit? Ou peut être  ont-ils pris le chemin pour se rendre en Allemagne?   Voici une autre théorie. Un des officiers de la marine, Nervig était à bord du Cyclope jusqu’à Rio. Il a écrit un rapport mentionnant que le pont du navire se balançait  souvent lorsque de grandes vagues heurtaient ce navire. Le bateau commençait déjà à montrer des signes de faiblesses et à se fendre. Donc, il y a peut-être eu une défaillance structurelle qui a coulé le navire.

Un autre rapport indique qu’à Rio,  l’ USS Cyclops a été surchargé de manganèse avec  plus de carburant et de nombreuses personnes à bord. La charge était plus importante  que le navire ne pouvait supporter . Un lourd orage océanique aurait pu frapper le navire et que celui-ci chavire, avec  la cargaison , ainsi tout aurait été dispersé et coulé au fond de l’océan.  Le vaisseau a-t-il été détruit par une mine sous-marine allemande ou torpillé par un sous-marin allemand ?  L’US Navy prétend qu’une telle possibilité n’existe pas si le navire suivait le cap qui lui était destiné. Cependant, si le navire avait été très éloigné de son trajet, il y avait de fortes chances que cela se produise et le navire aurait péri.

 

James W. DuVall déclare le 24 juillet 2015-

« L’USS Cyclops n’était pas en état de fonctionner, il perdait de l’énergie et, avec lui, le pouvoir d’actionner et de faire fonctionner les pompes qui le maintenaient à flot était impossible, dans une mer forte qui  a inondé vraisemblablement  les cales. Ainsi,  le bateau était perdu corps et biens. Aucun petit homme vert, juste une tempête« .

Alors parmi les hypothèses subsiste un  fait .Plus de  300 hommes de l’armée américaine  en mer restent à ce jour portés disparus et rien ne fut jamais retrouvé, ni l’ épave ni les  cadavres et encore moins des survivants  .

Vidéo de complément via YouTube

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Auteur de l’article: Matisse sylvain

Référence : bermuda-attractions.com

©2017 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :22/10/2017 à :19h25.

Nos investigations maritimes ont un sens .

crédit image :
centrenature.over-blog.com/

Le fait que le milieu marin nous intéresse n’est plus à démontrer. Mais l’exploration de l’élément

OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin

marin est  aussi valable pour des lunes, d’autres planètes que notre  terre ou des exoplanètes et exolunes.

Les dernières interventions de la NASA concernant Encelade ou la planète Mars nous conforte dans notre secteur de recherches.

Paul Niles, du Johnson Space Center de la Nasa. « « Ce site peut nous parler du type d’environnement où la vie a commencé sur Terre » en commentant les observations faites par les chercheurs qui ont analysé les données de  la sonde MRO (Mars Reconnaissance Orbiter)  et qui estiment avoir mis la main sur des dépôts attestant une activité hydrothermale au fond d’une ancienne mer. Alors bien entendu il est trop tôt pour valider que cette planète ait abritée la vie autrefois.

La N.A.S.A avait aussi annoncé au mois d’avril  2017  que Encelade une des lunes de la planète Saturne révélait des panaches qui s’élevaient. L’analyse de ceux-ci semblait indiquer des océans présents sous une sorte de banquise à cause notamment de  la présence d’une importante quantité d’hydrogène moléculaire. Cet hydrogène peut être transformé en énergie par des formes de vie présentes autour de sources hydrothermales. La NASA pense que ceci pourrait être la même chose  pour Europe, la plus  célèbre lune glacée de Jupiter.

Le milieu marin des autres planètes , des lunes ou des exoplanètes  serait-il la clé qui autorise la vie comme c’est le cas sur terre ? Les premiers extraterrestres pourraient être découverts sous l’élément liquide. Une chose est certaine, les sources hydrothermales intéressent de près les chercheurs de l’agence spatial américaine.

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :11/10/2017 à :06h35.

Des sous-marins de l’US Navy utilisés pour dénicher d’ éventuels extraterrestres ?

Marc D’Antonio affirme qu’il a été témoin du passage d’un engin extra-terrestre (se déplaçant à une vitesse « impossible ») alors qu’il était à bord d’un sous-marin de la marine américaine dans l’océan Atlantique Nord
Crédit photo: fredzone.org

OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin

Un léger contre temps d’une semaine concernant l’actualité ufologique au niveau du web puisque mon ordinateur a rendu l’âme.

Le service reprend avec cette information envoyée par l’un de nos amis Dan, que nous remercions.

*Je remercie mon ami Olivier M qui m’ a dépanné dans un délai très court malgré ses obligations. Je remercie aussi ma compagne Era qui a prévenu les gens qui nous suivent via mon mur facebook.

Merci à vous aussi pour votre patience.

Sylvain Matisse.

 

 

L’US NAVY UTILISERAIT DES SOUS-MARINS POUR DÉTECTER DES EXTRA-TERRESTRES

Le US Navy (marine américaineserait à la tête d’un programme top secret pour détecter des objets immergés non identifiés (ou USO – Unidentified Submerged Object), selon un spécialiste des OVNIS.Marc D’Antonio se passionne pour l’astronomie et il occupe le poste d’analyste vidéo en chef de l’organisation MUFON (Mutual UFO Network ; qu’on pourrait traduire en français par « réseau de partage sur le sujet des OVNIS »). C’est l’un des principaux et des plus anciens organismes d’enquête sur les OVNIS aux États-Unis.

Un engin non identifié se déplaçant à une vitesse folle !

Marc a ensuite entendu un officier de la marine ordonner à l’opérateur de sonar de répertorier l’objet non identifié (qui voyageait à « plusieurs centaines de nœuds ») dans le cadre d’un programme baptisé « Fast Mover Program ».

Il faut dire qu’actuellement, la plupart des sous-marins et des torpilles ne peuvent pas dépasser les 40 nœuds – en raison de la résistance de l’eau. Les Russes auraient une torpille capable de dépasser 200 nœuds – mais une vitesse de « plusieurs centaines de nœuds » semble simplement impossible pour un engin construit par l’homme.

Marc, qui dirige une société d’effets spéciaux appelée FX Models (qui a des contrats avec la marine), déclare que: « C’est en guise de remerciement pour certains travaux réalisés pour eux, que la Navy m’a demandé si je voulais faire un tour dans un sous-marin, alors j’ai dit oui. »

Les OVNIS seraient plus courants qu’on ne le pense…

Quatre ans plus tard, Marc déclare avoir parlé de ce qu’il avait vu à un officier supérieur de la Navy. « Je lui ai demandé : Pouvez-vous me parler du programme Fast Mover ? », explique Marc. « Il m’a regardé et a dit : Désolé, Marc, je ne peux pas parler de ce programme ».

L’homme en déduit que c’était une façon de confirmer implicitement l’existence de ce programme.

« Ce que cela veut dire pour moi, c’est que les OVNIS sont plus courants qu’on ne le pense ; nous avons même un programme en place pour les répertorier et déterminer leur vitesse, et tout cela est gardé secret », conclut l’expert des OVNIS.

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :27/09/2017 à :09h50.

Une observation digne du film RR 3 en Ecosse ?

L’église Saint-Mathieu à
Perth ou
Peairt (gd) / Pairth (Ecosse)
Crédit photo: Wikipédia

 Article crédit : express.co.uk/ traduction  Era & sylvain à l’aide de traducteurs en ligne .

Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS

L’ Ecosse est connue pour la légende du Loch Ness, ce lac d’eau douce situé dans les Highlands, devenu célèbre par une fameuse créature qui aurait été aperçue par de très nombreux témoins mais dont les preuves manquent. Pour autant, combien d’entre nous savons que ce pays recense en moyenne 300 observations d’OVNI/ PAN par jours ! Parmi ces observations insolites et au regard de la situation géographique du pays, n’aurions nous pas un certain nombre d’ OANI ( Observation aquatique non-identifiée). Ceci étant, les questions restent sensiblement les mêmes ? Phénomènes, canulars et méprises mis à part, que sont ces choses?  Qui est derrière tout cela? Voici  ci-dessous, l’une des affaires des plus intrigantes datant de février 2016 repris par le média express.co.uk.

Cliquez sur l’image pour visualiser sur google maps

Le 28 février 2016 en Ecosse .

Le témoignage concerne Rossie Ochil, située  au sud de la ville de Perth  monsieur  John Macdonald, tard dans la soirée, alors qu’il roulait en pleine campagne au volant de sa jeep, John Macdonald aurait vu un OVNI.

Ce cas d’OVNI comparé aux autres est assez à part. En effet, alors que plusieurs témoins disent voir un OVNI silencieux la plupart du temps, le cas de John Macdonald est tout l’inverse, car son observation était bruyante , venant de l’OVNI lui même.

 « Ma jeep est loin d’être silencieuse mais le bruit du moteur était couvert par le vacarme. On aurait dit le son d’un millier d’aspirateurs fonctionnant en même temps… »

Pour les sceptiques, il s’agit tout simplement d’un drone. John Macdonald n’est pas du tout de cet avis: « Je sais très bien ce que j’ai vu et ce n’était pas un drone » dit le témoin qui était situé, selon son estimation, à environ 60 mètres de l’objet. Cité par The Express, un pilote de drone n’est pas plus convaincu par cette hypothèse: « Je n’ai aucune idée de ce que c’était mais cela n’a rien à voir avec un drone. La forme ni les lumières ne ressemblent à rien de ce que je connais. » Le son de « 1000 aspirateurs » décrit par John Macdonald tend aussi à décrédibiliser la thèse du drone.

Ci dessous monsieur Macdonald et son cliché .

Source

John Macdonald a réussi à prendre l’OVNI avant qu’il n’ait soudainement disparu.
Crédit : CASCADE NEWS / express.co.uk/

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :18/08/2017 à :10h35.

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