INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Notre rubrique océanographie interplanétaire s’étoffe tout naturellement.
Dossier :
Au niveau de notre système solaire, j’ai mis le cap sur quelques cibles et parmi elles deux lunes glacées.
Pourquoi mon choix se porte sur ces deux satellites naturels ? D’après les experts en exobiologie la présence d’eau en surface de Encelade et de Europe par exemple offre la possibilité de découvrir une forme de vie.
Focus
Lune blanche !
Première candidate ,Encelade qui est un satellite de Saturne, dont le diamètre avoisine les 500 km. Elle a été découverte par William Herschel en 1789 Cette lune tourne autour de la planète Saturne en une trentaine d’heures. Sa couleur blanche est éclatante et nous devons cette information à la sonde spatiale Voyager 2 qui était dans les parages en 1980. La particularité de cet astre glacé c’est qu’il contient des vastes étendues d’eau sous sa banquise. Des geysers qui sont actifs par séquences trahissent une source de chaleur. Les scientifiques tentent depuis de comprendre et émettent l’idée que cette lune subit des forces de marée et soupçonnent alors une certaine activité volcanique, ce qui voudrait dire qu’elle contient une ou plusieurs sources chaudes hydrothermales comme il en existe au fond de nos océans sur terre.
Ceci autorise une forme de vie qui pourrait en engendrer d’autres sous certaines conditions. En absence de rayonnement solaire la photosynthèse ne peut pas fonctionner, en revanche le processus de chimiosynthèse est tout à fait possible puisque cela a été démontré dans les abysses sur notre planète. Les exobiologistes pensent que la genèse de la vie au sein même de notre planète a peut-être été possible de cette manière.
Alors est-ce que Encelade et Europe (lune de Jupiter) bénéficient de cette alchimie naturelle ? C’est ce que tente de découvrir les experts.
Europe lune de Jupiter
Europe est le quatrième plus gros satellite de Jupiter !
Cette lune de la géante Jupiter présente aussi une surface gelée sa température maximale est de −150 °C, , . Cette surface est épaisse de plusieurs kilomètres et dessous se cache probablement une vaste étendue d’eau liquide tel un océan dont l’estimation est d’environ 90 kilomètres de profondeur. Tout comme Encelade, des geysers ont été détectés à sa surface.
La sonde Galileo a fournit quelques indices.
Chimie prébiotique
Afin d’obtenir des traces de bio signatures ou des éléments qui confirment une existence de chimie prébiotique les scientifiques étudient le type de mission adéquat afin de pourvoir analyser les geysers de ces deux lunes Encelade et Jupiter, car c’est primordial d’obtenir le plus d’informations possible et ainsi espérer découvrir au moins des micro organismes ce qui ,validerait alors que la vie sur terre n’est pas un incident et que nous ne sommes pas les seuls êtres vivants sur notre seule planète. Les scientifiques ont besoin de preuves et c’est en sondant les glaces et en les examinant, que celles-ci révéleront ce qu’elles contiennent exactement et aussi pour voir si leur composition est identique ou non aux lacs gelé , et aux banquises de notre planète. Ceci est palpitant.
Europa Clipper est une mission validée par la NASA
Le lancement d’une sonde spatiale de 6 tonnes emportant 350 kg d’instruments scientifiques dont un radar permettant de sonder l’océan sous la glace est programmé .
Objectif : envoyer une sonde en orbite autour d’Europe, un satellite de Jupiter, pour observer en détail s’il existe des conditions qui sont favorables à l’émergence de la vie.
Le laboratoire JPL travaille sur ce projet et si tout se passe bien cette mission verra le jour dans les 3 à 5 prochaines années.
La NASA a confirmé le 19 août 2019 qu’elle lancera bien une mission spatiale vers cette lune vers 2025. Pas question toutefois de s’y poser : la sonde ne fera que survoler Europe. (Source)
Cameron a fait avancé l’océanographie et ceci aide à présent les exobiologistes.
Ce n’est pas pour rien si j’ai rendu hommage à James Cameron dans mon second livre, OANI compléments d’investigation ( Aux éditions SAINT MARTIN – décembre 2019- en intro du chapitre 3 ), l’explorateur plus connu en tant que réalisateur ( le Titanic, Avatar etc).
A propos de chimiosynthèse :
En 2012 DEEPSEA CHALLENGE explore la fosse des Mariannes à plus de 10 600 mètres de profondeur.
La découverte de structures filamenteuses assimilées à une communauté de micro-organismes ont été aperçues dans un affleurement rocheux du Sirena Deep qui se nourrissent de molécules libérées par des processus géologiques à plus de 10,4 kilomètres sous la surface de l’eau et ceci représente une découverte majeure dans de telles profondeurs et dans une obscurité totale ,ceci est même une première!
Kevin Hand, exobiologiste de la NASA, explorateur National Geographic et auteur principal de l’étude dira:
« La découverte de cet éventuel écosystème de micro-organismes qui survit grâce à la chimiosynthèse dans la région la plus profonde et la plus sombre de nos océans pourrait nous donner des informations précieuses sur le potentiel de vie dans les profondeurs d’Europe » .
« C’est peut-être à ça que ressemble la vie à des milliards de kilomètres de nous », écrit James Cameron.(source)
Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa Crédit : ouest france
La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès
Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour ouest-france.fr
Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.
Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.
Nous incluons ce complément hors article en guise de support cette vidéo de la NASA via YouTube
La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès
La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech
Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur, solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici sur notre site web . Merci pour votre fidélité.
Petits repères
La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.
L’ EAU EN état liquide:
L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).
L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :
-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.
marin est aussi valable pour des lunes, d’autres planètes que notre terre ou des exoplanètes et exolunes.
Les dernières interventions de la NASA concernant Encelade ou la planète Mars nous conforte dans notre secteur de recherches.
Paul Niles, du Johnson Space Center de la Nasa. « « Ce site peut nous parler du type d’environnement où la vie a commencé sur Terre »en commentant les observations faites par les chercheurs qui ont analysé les données de la sonde MRO (Mars Reconnaissance Orbiter) et qui estiment avoir mis la main sur des dépôts attestant une activité hydrothermale au fond d’une ancienne mer. Alors bien entendu il est trop tôt pour valider que cette planète ait abritée la vie autrefois.
La N.A.S.A avait aussi annoncé au mois d’avril 2017 que Encelade une des lunes de la planète Saturne révélait des panaches qui s’élevaient. L’analyse de ceux-ci semblait indiquer des océans présents sous une sorte de banquise à cause notamment de la présence d’une importante quantité d’hydrogène moléculaire. Cet hydrogène peut être transformé en énergie par des formes de vie présentes autour de sources hydrothermales. La NASA pense que ceci pourrait être la même chose pour Europe, la plus célèbre lune glacée de Jupiter.
Le milieu marin des autres planètes , des lunes ou des exoplanètes serait-il la clé qui autorise la vie comme c’est le cas sur terre ? Les premiers extraterrestres pourraient être découverts sous l’élément liquide. Une chose est certaine, les sources hydrothermales intéressent de près les chercheurs de l’agence spatial américaine.
Marc D’Antonio affirme qu’il a été témoin du passage d’un engin extra-terrestre (se déplaçant à une vitesse « impossible ») alors qu’il était à bord d’un sous-marin de la marine américaine dans l’océan Atlantique Nord Crédit photo: fredzone.org
Un léger contre temps d’une semaine concernant l’actualité ufologique au niveau du web puisque mon ordinateur a rendu l’âme.
Le service reprend avec cette information envoyée par l’un de nos amis Dan, que nous remercions.
*Je remercie mon ami Olivier M qui m’ a dépanné dans un délai très court malgré ses obligations. Je remercie aussi ma compagne Era qui a prévenu les gens qui nous suivent via mon mur facebook.
Merci à vous aussi pour votre patience.
Sylvain Matisse.
L’US NAVY UTILISERAIT DES SOUS-MARINS POUR DÉTECTER DES EXTRA-TERRESTRES
YOUSSOUF
Article source : fredzone.org
Le US Navy (marine américaine) serait à la tête d’un programme top secret pour détecter des objets immergés non identifiés (ou USO – Unidentified Submerged Object), selon un spécialiste des OVNIS.Marc D’Antonio se passionne pour l’astronomie et il occupe le poste d’analyste vidéo en chef de l’organisation MUFON (Mutual UFO Network ; qu’on pourrait traduire en français par « réseau de partage sur le sujet des OVNIS »). C’est l’un des principaux et des plus anciens organismes d’enquête sur les OVNIS aux États-Unis.
Un engin non identifié se déplaçant à une vitesse folle !
Marc a ensuite entendu un officier de la marine ordonner à l’opérateur de sonar de répertorier l’objet non identifié (qui voyageait à « plusieurs centaines de nœuds ») dans le cadre d’un programme baptisé « Fast Mover Program ».
Il faut dire qu’actuellement, la plupart des sous-marins et des torpilles ne peuvent pas dépasser les 40 nœuds – en raison de la résistance de l’eau. Les Russes auraient une torpille capable de dépasser 200 nœuds – mais une vitesse de « plusieurs centaines de nœuds » semble simplement impossible pour un engin construit par l’homme.
Marc, qui dirige une société d’effets spéciaux appelée FX Models (qui a des contrats avec la marine), déclare que: « C’est en guise de remerciement pour certains travaux réalisés pour eux, que la Navy m’a demandé si je voulais faire un tour dans un sous-marin, alors j’ai dit oui. »
Les OVNIS seraient plus courants qu’on ne le pense…
Quatre ans plus tard, Marc déclare avoir parlé de ce qu’il avait vu à un officier supérieur de la Navy. « Je lui ai demandé : Pouvez-vous me parler du programme Fast Mover ? », explique Marc. « Il m’a regardé et a dit : Désolé, Marc, je ne peux pas parler de ce programme ».
L’homme en déduit que c’était une façon de confirmer implicitement l’existence de ce programme.
« Ce que cela veut dire pour moi, c’est que les OVNIS sont plus courants qu’on ne le pense ; nous avons même un programme en place pour les répertorier et déterminer leur vitesse, et tout cela est gardé secret », conclut l’expert des OVNIS.
Le premier salon du paranormal pour la ville de Dijon a été un succès, bravo à tous.
Ce week-end du 2 et 3 septembre 2017, j’ai présenté les O.A.N.I s avec un stand et deux conférences, une donnée le samedi et l’autre le dimanche.
J’ai animé deux conférences devant un public attentif . Il y avait certes des connaisseurs mais aussi des témoins ou des gens tout simplement curieux.
Le stand que j’ai tenu pendant toute la durée des ces deux journées a permis d’établir des contacts, des retrouvailles mais également aux témoins de me rencontrer pour livrer leur témoignage, pour s’informer et découvrir les OANIS .
Je mesure combien il est difficile pour certains témoins de s’exprimer sur leur expérience avec un O.V.N.I, car le sujet est tabou et laisse quelquefois un traumatisme insoupçonné. Alors merci à ces gens qui ont franchi le pas pour me livrer en toute simplicité leur observation dont certains ont été témoins à plusieurs reprises de choses inconnues plus ou moins marquantes et qu’ils ne sont pas prêts d’oublier .
Le domaine du paranormal est particulier et peut surprendre. Ainsi la rencontre avec d’autres disciplines est tout aussi intéressante. La bonne humeur des gens a rendu ce rendez-vous positif.
J’ai eu le plaisir de rencontrer pour la première fois Michel Ribardière venu présenter Alien project, Joslan F. Keller auteur de Dossiers Inexpliqués et Jean louis Lagneau accompagné de son épouse qui présentaient LDLN. Nous avons avec Jean Louis échangé et affiné notre partenariat puisque nous soutenons cette revue ufologique
Des spécialistes plus ou moins connus ont contribué à ce que ce rendez soit un véritable succès pour l’organisation. La disponibilité de l’équipe organisatrice dirigée par Lucile Vukovic a été récompensée, ainsi que leur travail et leur générosité je pense, au regard de la fréquentation de cette première de ce style à Dijon. Le sourire qui se lisait à travers les gens, qu’ils soient visiteurs, exposants, ou conférenciers pendant tout le week-end est un indicateur qui ne trompe pas. Merci à toutes et à tous, organisateurs, exposants, conférenciers, témoins ou simples visiteurs. A refaire.
Avancer dans notre registre concernant les observations aquatiques non-identifiées qui incluent les O.V.N.I S et bien plus encore, n’est pas une simple formalité. J’ai des souhaits qui ne se réaliseront peut-être pas comme ( ce Projet Aqua – Système ) .
Ceci n’est cependant pas une raison d’abandonner même si quelque-part nous avons des freins.
Reste alors la collecte de renseignements. Une partie est actée dans mon premier ouvrage, un second opus est en cours de réalisation, suivi d’un troisième en projet pour le moment.
En attendant voici un petit état des lieux sur des événements, des affaires, des documents plus ou moins connus du grand public. Un petit rappel pour les autres.
Petit tour d’horizon ( en bref) –
Le même jour que le crash de Roswell a été signalé, le 8 juillet 1947 par trois anciens combattants de l’armée des États-Unis qui ont repéré six « disques volants » au-dessus de l’île de Santa Catalina Island, au large de la Californie.Au cours des dernières années, un O.A.N.I aurait abattu un avion à moteur unique par un tir laser, tuant le passager et blessant le pilote.Le plus intrigant c’est que des centaines d’objets immergés ont été vus par des Boy Scouts en camping sur l’île, tel que l’indique Alan Burkell, âgé de 14 ans. Ils seraient plusieurs centaines sortant de l’eau, comme en témoigne un couple dans les années 1990.Certains ufologues pensent qu’il existe une base étrangère sous-marine dans le canal.
Le lac Érié est l’un des cinq Grands Lacs d’Amérique du Nord. Il est bordé à l’est par les États américains de l’Ohio, de Pennsylvanie, de New York au sud, du Michigan à l’ouest et de la province canadienne de l’Ontario au nord cet endroit est considéré comme un point chaud concernant des observations plus ou moins insolites. Voici l’un des nombreux cas:
En février 1996, le pilote d’une navette aérienne volant au-dessus du lac Erie rapporte une observation d’ OVNI au contrôle aérien ce témoignage a été enregistré . Dans l’enregistrement, le pilote semble certain de ce qu’il voit.De nombreuses suggestions sontfaites et certaines exclues par les investigateurs.L’objet se déplace en bas, en avant, vers la navette aérienne au-dessus , tout en n’étant jamais capturé sur le radar.Près de la fin de l’enregistrement, le pilote demande à un passager de prendre une photo de l’objet qu’il décrit comme «une lumière brillante», avec «une lumière tournante autour de lui». Et il dit: «C’était constant;Ce n’était pas un phare. «
L’Amérique du sud tout autant concernée.
On dit que les anciens habitants de Tiwanaku en Bolivie ont reçu du matériel et de l’éducation d’ êtres extraterrestres avancés.Avec leur connaissance des étoiles bien au-delà de leur temps, il semble approprié que le lac Titicaca voisin, à la frontière du Pérou et de la Bolivie, soit réputé pour des observations d’ O.A.N.I.S et d’ OVNIS.Les expériences avec l’inconnu reviennent aux anciens dans cette région.Avec des ruines mystérieuses telles que les idoles représentant les divinités de l’eau, la penséed’une base d’O.A.N.I sous-marine devient plus acceptable à chaque observation.
La marine russe confrontée à des histoires mystérieuses:
Sous-marin nucléaire contre O.V.N.I.
Une fois, un sous-marin nucléaire, qui était en mission de combat dans l’océan Pacifique, a détecté six objets inconnus. Après que l’équipage ne parvint pas semer ses poursuivants en manœuvrant, le capitaine ordonna faire surface. Les objets les ont suivi, ont décollé et ont disparus !
Beaucoup d’événements mystérieux se sont produits également dans la région du Triangle des Bermudes, rappelle le commandant de sous-marin à la retraite, le contre-amiral Yury Beketov. Les instruments ont mal fonctionné sans raison apparente ou ont détecté d’importantes interférences. L’ancien officier de la marine dit que cela pourrait être une perturbation délibérée par les OVNIS.
« À plusieurs reprises, les instruments ont permis de lire des objets matériels naviguant à une vitesse incroyable. Les calculs ont montré des vitesses d’environ 230 nœuds, environ 400 km / h. L’accélération est si rapide que ceci reste un défi même en surface. Mais la résistance à l’eau est beaucoup plus élevée. C’était comme si les objets défiaient les lois de la physique. Il n’y a qu’une seule explication: les créatures qui les ont construites nous dépassent largement dans le développement « , a déclaré Beketov.
Autre déclaration d’un ancien militaire:
Vétéran du renseignement de la marine,le capitaine Igor Barklay commente: « Les ovnis océaniques se manifestent partout où nos flottes de l’OTAN se concentrent. Près des Bahamas, des Bermudes, de Porto Rico. On les voit le plus souvent dans la partie la plus profonde de l’océan Atlantique, dans le sud du Triangle des Bermudes, et aussi dans la mer des Caraïbes. »
Le lac Baikal
Un autre endroit où les gens signalent souvent des rencontres OVNI est le lac Baïkal situé en Russie, au cœur de la Sibérie, il est le plus grand réservoir d’eau douce de la planète ce qui en fait l’une des étendues d’eau douce la plus profonde au monde. . Les pêcheurs racontent des lumières puissantes venant de la profondeur et des objets qui sortent de l’eau et s’envolent.
Dans un cas datant de l’année 1982, un groupe d’entraîneurs militaires concentrés à Baikal repère un groupe de créatures humanoïdes habillées en costumes argentés. La rencontre s’est produite à une profondeur estimée de 50 mètres. Les plongeurs ont essayé d’attraper les étrangers. Trois des sept hommes sont morts, tandis que quatre autres ont été gravement blessés.
« Je pense aux bases sous-marines et dis: pourquoi pas? Rien ne doit être écarté « , dit Vladimir Azhazha. » Le scepticisme est le moyen le plus simple: ne croyez rien, ne faites rien. Les gens visitent rarement de grandes profondeurs. Il est donc très important d’analyser ce qu’ils rencontrent là-bas. «
Extrait du Livre bleu ( Blue Book)concernant des rapports OVNI en mer pendant la période des années 1950 et 1960.
Depuis la création du JANAP-146 en 1948, la Marine a joué un rôle dans la fourniture d’informations sur les cibles non identifiées. Cependant, la participation précoce de la marine dans JANAP était limitée aux observations par les avions de la Marine et non par les navires en mer. Ce n’est qu’en 1952, par l’intermédiaire de l’instruction OPNAV 3820, que les navires de la Marine ont été chargés d’envoyer des rapports OVNI à l’ADC, à l’ATIC et au Pentagone. En 1954, lorsque JANAP 146 (C) a été délivré, tous les navires militaires, gouvernementaux et commerçants ont dû signaler des observations non identifiées à CONAD.
Les navires USCG qui ont signalé des OVNIS étaient principalement des coupeurs océaniques qui exerçaient le service Ocean Station. Le premier navire USGC pour signaler un OVNI provenait d’une station océanique dans l’Atlantique en 1952.
Les rapports d’OVNIS dans les océans Atlantique et Pacifique entre les navires et les avions montrent que 40% des rapports des navires se trouvaient dans l’Atlantique et 60% dans l’océan Pacifique. Les observations des aéronefs ont également tendance à être plus élevées dans l’océan Pacifique à 76%.
Récemment, lors de Citizen Hearing On Disclosure, le lieutenant-colonel Richard French, un vétéran de 29 ans et demi de l’US Air Force, décrit une rencontre où il est venu sur un OVNI qui était sous l’eau et les êtres qui travaillaient sur le navire . Le vétéran de la Force aérienne rencontre des ovnis sous l’eau vous retrouverez ceci dans mon ouvrage intitulé O.A.N.I/ O.V.N.I, méthode, réflexion édité par les éditions Saint Martin en janvier 2016.
Pendant ce temps-là, les responsables de la marine russe ont refusé la collecte de rencontres liées aux OVNI. Une source dans le personnel du service de la Marine a déclaré que l’histoire pourrait avoir ses racines dans les rapports des commandants de navires, qui décrivent la localisation d’objets d’origine peu claire mais terrestre.
Beaucoup de cas sont liés avec l’ufologie, d’autres peut-être pas. Nous ne pouvons pas exclure d’autres natures des phénomènes tapis quelque-part dans nos fonds marins ( lacs, fleuves, mers ou océans etc) .
Les cas peuvent avoir une origine et une issue différente, c’est là que l’énigme devient complexe .
Alors seules les études, les supports et l’information peuvent nous ouvrir la voie, celle qui apportera des certitudes et les questions qui viendront dès lors se rajouter, comme un éternel labyrinthe.
Références :
OANI / OVNI Enquête, méthode, réflexion ( ouvrage éditions Saint martin janvier 2016).
-Dans mon premier livre (O.A.N.I/O.V.N.I Enquête ,méthode, réflexion publié par les éditions Saint Martin en janvier 2016), j’ai donné quelques indications sur des missions spatiales à venir.
Ceci se vérifie à présent, car la NASA met en place tranquillement ses projets et divers programmes spatiaux. L’élément marin sur notre planète est de ce fait de plus en plus concerné par les explorations interplanétaires à venir.
Voici un article que j’ai traduit pour vous ci-dessous: ( source et références mentionnées -mentions légales).
Là où il y a de l’eau, la vie abonde , ceci est au moins valable, ici sur Terre. Ainsi, de nombreuses sondes planétaires ont été conçues pour rechercher la présence d’eau, ou des signes de celle-ci,dans notre système solaire. Il y a des corps célestes qui ont été trouvés pour contenir de grandes quantités d’eau. Ces soi-disant «mondes océaniques» incluent les lunes de Jupiter Europa et Ganymède et la lune de Saturne Encelade.
A présent, la NASA vient de délivrer officiellement ses projets pour explorer plus profondément dans ces mondes océaniques . Le mois dernier, la NASA a organisé l ‘«Atelier Vision 2050 de Science planétaire», où des propositions d’exploration de ces mondes océaniques ont été présentées. Kevin Peter Hand, scientifique en chef adjoint pour l’exploration du système solaire au laboratoire de propulsion à réaction de la NASA (NASA-JPL), a partagé les conclusions d’un rapport préparé par l’équipe de définition scientifique 2016 Europa Lander.
D’après Hand, le but d’explorer les océans d’Europa est triple: d’abord, il chercherait des bio signatures et des signes de vie en analysant les matériaux de surface et sous-surface d’Europa. Ensuite, il impliquerait des analyses in situ pour déterminer la composition des matériaux non glacés, proches du sous-sol. Enfin, il serait important de caractériser les propriétés de surface et de sous-surface d’Europa, ainsi que les processus dynamiques qui les façonnent, ce qui serait à l’appui d’autres explorations.
Hand explique: Si des bio-signatures se trouvaient dans le matériau de surface, l’accès direct et l’exploration des milieux océaniques et liquides d’Europa constitueraient un objectif hautement prioritaire pour l’étude en astrobiologie de notre système solaire. L’océan d’Europa pourrait abriter le potentiel pour l’étude d’un écosystème existant, représentant probablement une seconde origine indépendante de la vie dans notre propre système solaire. L’exploration ultérieure nécessiterait des véhicules robotisés et des instruments capables d’accéder aux régions d’eau liquide habitables d’Europa pour permettre l’étude de l’écosystème et des organismes.
Monde des océans
La deuxième présentation, réalisée par l’équipe Roadmaps to Ocean Worlds (ROW), a adopté une approche plus générale. Ils ont classé les mondes océaniques comme des corps « avec un océan liquide courant (pas nécessairement global). Tous les corps dans notre système solaire qui plausiblement peuvent avoir ou sont connus pour avoir un océan seront considérés comme faisant partie de ce document.
Par cette définition, le rapport comprenait un certain nombre de cibles possibles pour l’exploration: l’Europa ( Europe), Ganymède, Callisto, Enceladus ( Encelade), ainsi que Triton, Pluton, Cérès et Dioné. Ils ont également mentionné la lune de Saturne Titan:
« Bien que Titan possède un grand océan subsurface, il a également une offre abondante comportant une large gamme d’espèces organiques et liquides de surface, qui sont facilement accessibles et pourraient abriter des formes de vie plus exotiques. »
Le rapport de l’EMR énonce quatre objectifs: 1) identifier les mondes océaniques dans le système solaire; 2) caractériser la nature de ces océans; 3) déterminer si ceux-ci peuvent soutenir et maintenir la vie; 4) Comment la vie pourrait exister en eux. Ces plans décrits par la NASA pourront être la clé afin pour comprendre notre voisinage immédiat dans l’espace, ainsi que fournir une approche plus stratégique pour la recherche de la vie extraterrestre.
Source: futurism.com/ traduction Sylvain Matisse pour
Traduction à l’aide traducteurs en ligne Sylvain Matisse pour
La NASA découvre un organisme qui peut survivre 16 mois dans l’espace extra-atmosphérique. Des algues prouvent que leur capacité d’adaptation est exceptionnelle car elles sont capables de survivre 16 mois dans l’espace en dehors de la Station spatiale internationale. Les scientifiques à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ont récemment mené une expérience où ils ont laissé des algues libres dans le vide spatial pendant 16 mois complets. Et, étonnamment, ces simples plantes ont survécu à ce terrible voyage . Malgré les variations extrêmes de température, les rayons UV, le rayonnement cosmique et la durée incroyable de l’expérience, les algues ont été ramenées à bord encore en vie.
Les chercheurs à bord de l’ISS réalisent actuellement des expériences dans le cadre du projet Biomex (Biology and Mars Experiment). Au sein de cette expérience, des algues ont fait partie du projet. les savants ont testé la durabilité d’une catégorie d’algues qui sont connues pour aimer des températures négatives. Étant donné que le mélange des conditions extrêmes dans l’espace est impossible à reproduire exactement dans un environnement de laboratoire, l’équipage de l’ISS a utilisé leur emplacement pour mettre à l’épreuve ces espèces froides. Les scientifiques ont été étonnés des résultats.
Après l’expérience, les chercheurs à bord de l’ISS enverront ces échantillons d’algues sur Terre. Là, elles seront rigoureusement testées pour mesurer l’ampleur réelle que les températures et les rayons combinés ont eu comme impact sur elles. Cette information pourrait être cruciale pour les futures missions humaines en direction de la planète Mars. Cela pourrait contribuer et assurer la sécurité des astronautes et des aliments végétaux pouvant être consommés.
Cependant, au-delà des avantages positifs que cette recherche pourrait avoir sur les missions futures de l’homme dans l’espace, ceci pourrait également nous en dire un peu plus sur la vie extraterrestre. Selon beaucoup de gens, y compris le célèbre astrophysicien Neil Degrasse Tyson, pensant que nous sommes en quelque sorte les seules créatures vivantes dans l’univers ce serait « inexcusablement égocentrique. » Alors qu’auparavant, peu de gens auraient pensé que les plantes pourraient survivre à un séjour prolongé dans l’espace. Nous savons maintenant que c’est possible. Tandis que certains environnements dans l’espace peuvent paraître inhospitaliers, nous savons à présent, que la vie pourrait exister dans des endroits que nous n’aurions jamais soupçonné auparavant.
A la fin des années 80 et au début des années 90, Gulf Breeze, une petite ville de Floride, a été le théâtre de centaines d’observations d’ovnis. Les éléments de preuves sont nombreux. Témoignages oculaires et vidéos prouvent qu’il s’est bien passé quelque-chose à Gulf Breeze. D’où venaient les engins observés ? Peut-être d’une base sous-marine. C’est en tout cas la théorie que mettent à l’épreuve Pat, Bill et Kevin.