INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
(D’après le Glossaire des termes courants de vocabulaire maritime, Ecole Navale et Groupe Ecoles du Poulmic, Edition 1977). (A noter 3 dictionnaires intéressants français-anglais et anglais-français de la marine, français-anglais et anglais-français de l’armement et lexique français-anglais-allemand-italien-espagnol-russe des termes de marine, par le CC Richard Dobenik – disponibles auprès de l’éditeur ‘la Maison du Dictionnaire » 98, Bd du Montparnasse 75006 Paris)
A
Abaca : Bananier des îles Philippines dont les fibres des feuilles fournissent une matière textile dite « chanvre de Manille », employée pour faire des cordages légers, moins solides que ceux en chanvre, mais aussi moins onéreux.
Abattre : Ecarter sa route du lit du vent. Ce mouvement s’appelle une abattée.
Abord (en) : Sur le côté du bâtiment.
Accastillage : Objets et accessoires divers équipant un navire.
Accore : Se dit d’une côte escarpée dominant une mer profonde. Bord d’un récif ou d’une roche : à l’accore de…
Accoster : Placer un bâtiment le long d’un quai ou le long d’un autre navire.
Acculée : Mouvement en arrière d’un navire, il cule.
Adonner : Le vent adonne pour un navire à voiles quand il tourne dans un sens favorable à la marche, c’est à dire quand il vient plus à l’arrière. Le contraire est : refuser.
Affaler : Faire descendre ; c’est le contraire de hâler – Affaler quelqu’un le long du bord, ou d’un mât, c’est le faire descendre au bout d’un filin (en général, assis dans un noeud de chaise).
Aiguillots : Pivots fixes sur une mèche du gouvernail ou sur l’étambot et tournant dans les femelots.
Aileron : Partie de tente qui se place en abord. Prolongements en abord et généralement découverts de l’abri de navigation.
Ajut : Noeud servant à réunir momentanément deux bouts de cordage – Faire ajut.
Allure : Direction d’un navire par rapport à celle du vent.
Amariner : Amariner un équipage : l’habituer à la mer.
Amarrage : Action d’amarrer – Matelotage : bout de lusin, merlin, ligne, etc. servant à relier ensemble deux cordages.
Amarres : Chaînes ou cordages servant à tenir le navire le long du quai.
Amener : Abaisser – Faire descendre.
Amer : Point de repère sur une côte.
Amure : Manoeuvre qui retient le point inférieur d’une voile du côté d’où vient le vent (voile carrées). Par extension est synonyme d’allure. Pour les bateaux latins, on continue à dire qu’ils naviguent bâbord ou tribord amures, selon que le vent vient de la gauche ou de la droite.
Anguillers : Conduits, canaux ou trous pratiqués dans la partie inférieure des varangues des couples pour permettre l’écoulement de l’eau dans les fonds.
Anspect : Ou barre d’anspect. Levier en bois dur servant à faire tourner un cabestan ou un guindeau. Primitivement, servait à pointer les canon en direction.
Aperçu : Pavillon signal que l’on hisse pour indiquer que l’on a compris un signal.
Apiquer : Hisser l’une des extrémités d’un gui ou d’une vergue de manière à l’élever au dessus de l’autre.
Apparaux : Ensemble des objets formant l’équipement d’un navire.
Appel : Direction d’un cordage, de la chaîne de l’ancre – Voir aussi : rappel.
Appuyer : Haler, raidir un cordage pour soutenir ou fixer l’objet auquel il aboutit. Appuyer un signal, c’est l’accompagner d’un signal sonore, coup de Klaxon, pour attirer l’attention. Appuyer la chasse : poursuivre obstinement.
Araignée : Patte d’oie à grand nombre de branches de menu filin qu’on installe sur les funes des tentes et tauds pour permettre de les maintenir horizontaux. Hamac : réseau de petites lignes à oeil placées à chaque extrémité de la toile du hamac pour le suspendre : elles se réunissent à deux boucles métalliques ou organeaux d’où partent les « rabans » de suspension.
Arborer : Arborer un pavillon, c’est le hisser au mât. En Méditerranée, dans la langues des galères, le mât s’appelait l’arbre.
Ardent : Un navire est ardent lorsqu’il tend de lui-même à se rapprocher du lit du vent. C’est le contraire du mou.
Armement : L’armement d’un bâtiment consiste à le munir de tout ce qui est nécessaire à son genre de navigation; ce terme désigne aussi la totalité des objets dont un navire est muni. Ces objets sont inscrits sur les « feuilles d’armement ». Dans une embarcation, on appelle ainsi son équipage.
Armer : Armer un navire : le munir de son armement. Armer un câble : le garnir en certains endroits pour le garantir des frottements.
Arraisonner : Arraisonner un navire c’est le questionner sur son chargement, sa destination, et toutes autres informations pouvant intéresser le navire arraisonneur.
Arrimage : Répartition convenable dans le navire de tout les objets composants son armement et sa cargaison.
Arrivée : Mouvement que fait le navire quand il s’éloigne du lit du vent pour recevoir le vent plus de l’arrière. Syn. : « abattée ». Contraire : « auloffée ».
Arrondir : Passer au large d’un cap pour éviter les dangers qui le débordent.
Assiette : Manière dont le navire est assis dans l’eau, autrement dit sa situation par rapport à la différence de ses tirants d’eau avant et arrière. Assiette positive : T AV < T AR – Assiette négative : T AV > T AR.
Atterrir : Faire route pour trouver une terre ou un port.
Attrape : Cordage fixé sur un objet de façon à pouvoir en temps utile l’amener à portée de main.
Atterrissage : Action d’atterrir.
Auloffée : Mouvement d’un navire tournant son avant vers le lit du vent. Contraire : arrivée abattée (ou abattée).
Aveugler : Une voie d’eau : obstruer avec des moyens de fortune
Effectuant mes propres recherches à travers d’articles et supports divers, je vous liste à l’aide de certains documents ou quelques sources, ce petit guide agrémenté, d’images et quelquefois de vidéos…
Quelques mots , définitions, sigles peuvent être techniques et donc incompréhensibles sur certains documents, articles reportages…, alors cette page vous aidera certainement quelquefois.
Glossaire en cours , commencé début année 2012, en perpétuel remise à jour au gré du temps , de l’information, et découvertes.
Mise à jour de ce petit résumé, le 19/01/2013, 12h25.
élément de base composé de carbone, d’hydrogène et d’oxygène , il en existe 21 sortes : cytosine, alanine, guanine.., elles forment les matières organiques comme les protéines lorsque elles sont assemblées en diverses combinaisons.
A.D.N :
Sigle mis pour Acide Désoxyribo Nucléique .
C’ est une molécule, présente dans toutes les cellules vivantes, qui renferme l’ensemble des informations nécessaires au développement et au fonctionnement d’un organisme. C’est aussi le support de l’hérédité car il est transmis lors de la reproduction, de manière intégrale ou non. Il porte donc l’information génétique et constitue le génome des êtres vivants. ( source wikipédia).
C’est la plus célèbre des molécules du vivant.
A.R.N:
Sigle pour: Acide Ribo Nucléique constitué d’une chaîne de molécule nécessaire à la synthèse de protéines dans la cellule contrôlé par l’A.D.N.
Appendiculaire:
animal marin invertébré d’un aspect larvaire, appartenant au groupe des tuniciers( (têtard) dont le corps fait penser à un sac enveloppé d’une tunique muni de fentes branchales qui lui permet de respirer et à la nutrition. Cette larve nage.
Architeuthis:
Nom savant du calmar géant qui dans l’imaginaire populaire était appelé » le KRAKEN ».
Il vit dans les profondeurs de nos océans. Sa taille peut atteindre 18 mètres de long ,6 mètres rien que pour son son corps , l’oeil pouvant mesurer 25 centimètres de diamètre.
Les calmars géants ou architeuthidés (Architeuthidae) forment une famille de céphalopodesdécapodes, contenant un seul genre : Architeuthis. Les calmars géants ne sont pas de proches parents du calmar colossal. Bien que leurs dimensions soient gigantesques, leur anatomie et leur aire de répartition respectives sont très différentes. ( sourcewikipédia)
ABYSSES :
Profondeurs océaniques situées à plus de 2000 mètres en dessous du niveau de la mer.
Alizés:
LES ALIZES
Nom donné aux vents réguliers qui soufflent des hautes pressions tropicales vers les basses pressions équatoriales ( Nord-Est, Sud-Ouest pour la partie de l’ hémisphère Nord. Sud-Est vers le Nord-Ouest concernant l’hémisphère Sud.)
Anémone:
Les anémones sont des animaux fascinants, considérées pendant très longtemps comme des plantes, voir comme ‘les fleurs de la mer !
Les apodes sont des amphibiens pas comme les autres ils ont une forme de vers.
Un organisme qui ne possède ni pieds, pattes ou nageoires.
Archèocète:
Archéocète – 50 millions d’années
Animaux semi-terrestres ancêtres des cétacés , vivant il y a 40 millions d’années environ et dont leurs pattes commençaient à se transformer en nageoires.
Bulle tympanique:
Os dur de forme complexe concernant l’oreille des cétacés , il leur permet une écoute plus limpide des sons transmis dans l’eau.
Bermudes ( triangle des bermudes)
Espace marin de l’atlantique Nord au large de la Floride célèbre pour d’étranges phénomènes:
Des marins qui se volatilisent, des avions qui volent plus vite que ne le permet leur moteur, des moteurs qui s’affolent, des appareils qui ne répondent plus…
Les cyclones, ouragans y sont fréquents et ainsi de nombreux accidents sont survenus dans cette zone et demeurent encore à ce jour inexpliqués .
Les Bivalves sont des Mollusques aquatiques munis d’une coquille à deux valves. On connait 12000 espèces vivantes, le plus ancien fossile remonte au début du Cambrien, il y a -530 millions d’années.
Les Bivalves ou lamellibranches sont des mollusques marins ou dulcicoles. Ils sont capables de coloniser tous les substrats. Sur les fonds durs ils se fixent en cimentant une valve (huitres) ou en s’attachant à l’aide de leur byssus (moules). Ils peuvent s’enfouir dans les substrats meubles (palourdes) ou perforer le bois (tarets).
On les rencontre dans toutes les mers du globe y compris les mers polaires, et les espèces d’eau douce sont présentes dans tous les fleuves, dans les ruisseaux, les étangs et jusque dans les lacs de haute montagne à plus de 2500 mètres d’altitude.
Anatomie des Bivalves
La plupart des bivalves sont des mollusques filtreurs, la tête se limite à la bouche et ils ne possèdent pas de radula. Ils se nourrissent de micro-organismes, essentiellement du phytoplancton ou de détritus. L’eau chargée de particules nutritives et en oxygène pénètre par le siphon inhalant. Elle est pompée par le battement des millions de petits cils des branchies. La nourriture triée par les branchies est acheminée vers la bouche puis digérée. Les excréments seront évacués avec l’eau de respiration par le siphon exhalant.
Les bivalves ne possèdent qu’une coquille composée de deux valves, articulées entre elles par une charnière et manoeuvrées grâce aux muscles adducteurs. Le manteau sécrète la coquille. Le pied très musclé sert à l’enfouissement.
Béring (mer )
Partie Nord de l’océan pacifique entre l’Asie et l’amérique.
L’Alaska (“continent” en langage inuit) est l’Etat des Etats-Unis le plus vaste, avec une superficie totale de 1 717 854 km², soit plus de trois fois celle de la France métropolitaine. Seuls 683478 habitants peuplent cet état très particulier.
L’Alaska est bordé au nord par l’océan Arctique et la mer de Béring et au sud par l’océan Pacifique. Ce territoire est séparé de l’Asie par le détroit de Béring. La capitale, Juneau est accessible uniquement en avion ou en bateau.
C’est la production et l’émission de lumière par un organisme vivant résultant d’une réaction chimique au cours de laquelle l’énergie chimique est convertie en énergie lumineuse.
La bioluminescence peut être générée par des organismes symbiotiques hébergés au sein d’un organisme plus grand. Le composé chimique à l’origine de la luminescence est la luciférine. Celle-ci émet de la lumière en s’oxydant grâce à l’intervention de la luciférase (qui est une enzyme).
La majorité des émissions lumineuses marines appartiennent au spectre lumineux du bleu et du vert, les longueurs d’onde qui peuvent être transmises aisément à travers l’eau. Plus rarement, certaines espèces émettent dans le rouge ou dans l’infrarouge.
Ainsi plus de 90% des espèces abyssales ont cette capacité de bioluminescence.
Il existerait 3 types de Bioluminescence:
* Intracellulaire
Générée par des cellules spécialisées du corps de certaines espèces pluricellulaires dont la lumière est émise vers l’extérieur à travers la peau.
* extracellulaire
Réalisée à partir de la réaction entre la luciférine et la luciférase. Une fois synthétisé, chaque composant est stocké dans des glandes de la peau. L’expulsion et le mélange de chaque réactif à l’extérieur produit des nuages lumineux.
Voici la réaction:
Luciférine + Mg2+ +ATP + O2 —–Luciférase——> Oxyluciférine + AMP+ PPi + CO2 + Lumière
* Bactéries symbiotiques
Ce phénomène est uniquement connu chez les animaux marins comme les cténophores, les cnidaires, les vers, les mollusques, les échinodermes et les poissons. Il semble que ce soit le type de bioluminescence le plus répandu du règne animal.
<<<À différents endroits du corps, les animaux disposent de petites vésicules (photophores) qui renferment des bactéries luminescentes. De plus les organes lumineux sont généralement reliés au système nerveux ce qui permet à l’animal de contrôler l’émission lumineuse.
A ne pas confondre avec:
-> la Fluorescence: qui est une émission lumineuse provoquée par diverses formes d’excitation, et permet de caractériser un matériau.
-> la Phosphorescence: lorsqu’une matière continue à émettre de la lumière après avoir été éclairée. Ici il y a mise en jeux de réactions d’oxydations.
A quoi sert la Bioluminescence?
Il existe actuellement 4 théories sur le sujet:
¤ Le camouflage:
Certes cela peut paraître paradoxal, mais certains poissons utilisent cette technique pour se camoufler des prédateurs qui traquent leurs proies par dessous. Le contour des proies se dessinant ainsi comme des ombres chinoises dans la faible lumière arrivant de la surface, la bioluminescence permet à ce moment là de simuler l’environnement avec l’arrivée légère de la lumière. Ceci est comparable à une cap d’invisibilité.
¤ L’attraction:
Utilisée ici comme un leurre, un appendice lumineux ballant et s’étendant au-dessus de la tête du poisson permet ainsi d’attirer les petits animaux à une distance autorisant l’attaque. Comme par exemple chez le * Gigantactis vanhoeffeni *. La bioluminescence peut aussi servir pour attirer les partenaires sexuels: certains poissons utilisent un flash périodique au niveau de leur abdomen pour attirer leur partenaire lors de la reproduction.
¤ La répulsion/ fuite:
Certains calmars et petits crustacés utilisent des mélanges chimiques bioluminescents (également des boues de bactéries bioluminescentes) afin de repousser les attaques des prédateurs, ce qui a pour but de détourner l’attention du prédateur ce qui permet la fuite en toute sécurité.
C’est comme le jet d’encre des calamars que nous connaissons.
Odre de mammifères marins au corps » pisciforme » dont les pattes inférieures se sont transformées en nageoires.
Ce groupe des mammifères marins inclut également :
les pinnipèdes (phoques, otaries et éléphants de mer),
les siréniens (lamantins et dugongs),
l’ours polaire et
les loutres marines.
Ce ne sont pas des poissons .
Calmar vampire:
Espèce apparentée aux ancêtres du calmar et du poulpe, il possède deux gros yeux bleus comme des saphirs.
extrait ci- dessous (wikipédia):
Le vampire des abysses (Vampyroteuthis infernalis) est une espèce de petits céphalopodes vivant dans les abysses de tous les océans tempérés et tropicaux du monde. Il possède d’uniques filaments sensoriels rétractiles qui justifie son placement dans un ordre spécifique : Vampyromorphida, bien qu’il partage des similitudes avec les calmars et les pieuvres.
Chenal sonore:
zone comprise entre 100 et 1000 mètres de profondeur qui est idéale pour le son .Il est utilisé par les baleines pour communiquer.
Exemples d’études dans le domaine du traitement du signal:
Exemples d’études dans le domaine du traitement du signal Étude de simulation des fluctuations aléatoires d’indice de réfraction du milieu marinEn milieu marin aléatoire l’autocorrélation verticale du champ sonore vérifie une équation parabolique stochastique que l’on a résolue en la projetant sur la base des modes propres du milieu (cf. études théoriques). La transformée de Fourier spatiale de la fonction d’autocorrélation met en évidence les périodicités spatiales et fournit une répartition angulaire de la densité spectrale du signal (voir figure ci-dessous).
Histoire de la densité spectrale angulaire en fonction de la distance de propagation. Elle représente les angles d’arrivée (en degrés) de l’énergie sonore sur une antenne verticale de longueur 200m. La fréquence est 50Hz, l’immersion de la source : 50m, la profondeur du milieu : 200m. Observation de la répartition de l’énergie sur toute la hauteur d’eau, celle-ci est très rapidement canalisée dans le chenal sonore. Les fluctuations du milieu sont dues aux ondes internes dont les longueurs de corrélation horizontale et verticale sont de 2000m et 100m, leur variance étant de 5 10-4.
A partir de la densité spectrale angulaire et des caractéristiques de l’antenne avec laquelle on souhaite effectuer des mesures du signal étudié, on peut calculer les sorties d’antenne que l’on obtiendrait en plaçant cette antenne dans le milieu fluctuant, et par conséquent analyser et prévoir l’impact des fluctuations du milieu sur la directivité du signal.
Analyse Temps-Fréquence de signaux biologiques
La courbe bleue ci-dessous présente un exemple de signal biologique (signal émis par un dauphin). Ce signal, complètement noyé dans le bruit de fond, n’est pas visible sur cet enregistrement temporel.
Enregistrement temporel d’un signal émis par un dauphin
Transformée de Gabor
Fréquence (Hz)
La courbe rouge présente son spectre fréquentiel obtenu par FFT. Ce traitement fréquentiel ne permet pas de mettre en évidence de caractéristiques fréquentielles particulières qui pourraient signer la présence d’un dauphin.
Spectre fréquentiel de ce signal
Par contre la transformée de Gabor ci-contre (transformée de Fourier glissante) met nettement en évidence une modulation de fréquence, signature du sifflement de l’animal
Chinchard:
Chinchard commun
Poisson ressemblant au maquereau mais plus massif et sans rayures sineues typiques, mais comme lui il se déplace en bancs compacts.
Tous deux se ressemblent beaucoup,que l’ on trouve en pleine eau, généralement au large et ils n’ont aucun contact avec le fond.
Colobonema :
Organisme marin appartenant à la famille des cténophores.Il vit dans les profondeurs des océans.
Corps simples:
On dit qu’une substance est à l’état de corps simple lorsqu’elle ne comporte qu’une seule sorte d’atomes ou qu’il n’ y a pas de combinaison de plusieurs éléments .Le chlore (cl) et le sodium (Na) sont par exemple des corps simples , tandis que le chlorure de sodium ou soude ( Na Cl ) n’en n’est pas un .
Ci -dessous complément ( source wikipédia)
Un corps simple est une forme chimique ne comportant qu’un élément chimique, par opposition aux composés chimiques, infiniment plus nombreux et dans lesquels plusieurs éléments différents sont associés de diverses manières. Tout en restant dans une phase, solide par exemple, un élément chimique peut se matérialiser en corps simples différents par leur structure, appelés formes allotropiques.
Si les atomes de l’élément chimique sont réunis en molécules, on parle de corps simple moléculaire comme dans le cas du dihydrogène (H2), du diazote (N2), du dioxygène (O2), de l’ozone (O3) ; dans le cas contraire, celui des métaux et des gaz monoatomiques, il s’agit de corps simples élémentaires.
La formation et la nature élémentaire ou moléculaire des corps simples possible des différents éléments sont repérables à partir des blocs de la table de Medeleïev :
Chaque « corps simple » a un nombre atomique qui le caractérise et le définit absolument… La liste des nombres atomiques qui donne le nom de chaque corps simple s’appelle liste de Mendeleïev.
« Tout est arrangé selon le Nombre » (Pythagore)
Si on consulte cette liste, et qu’on en émarge les métaux connus de toute antiquité, on constate qu’ils sont bien au nombre de SEPT.
Les copépodes sont un groupe de petits crustacés, libres et parasites (externe ou interne d’organismes variés), vivant dans l’eau de mer et dans presque tous les habitats d’eau douce (lac, marais, rivière, eaux souterraines).
On dénombre dans certaines mers plusieurs dizaines de milliers d’individus de Calanus finmarchicus par mètre carré de surface ; cette espèce domine le plancton de l’Atlantique Nord.
En eau douce, c’est l’ordre des Cyclopoidas qui abonde ;
Quelques espèces sont adaptées aux eaux saumâtres.
Certains copépodes sont les espèces-hôtes naturelles du vibrion du choléra (Vibrio cholerae) et donc vectrices du choléra, ce qui explique un lien entre changement climatique, épisodes climatiques chauds et épidémies de choléra[1] et le fait que divers facteurs environnementaux puissent agir écoépidémiologiquement sur le choléra dont les vibrions peuvent proliférer sur la surface d’algues où se nourrissent les copépodes, et in fine sur les cuticules de crustacés, copépodes notamment quand il y a pullulation d’algues vertes filamenteuses (également en contact avec des insectes à marée basse) [2]. Les changements environnementaux source de blooms planctoniques et proliférations bactériennes sont identifiés depuis quelques années et on a montré en 2007 que les vibrions pouvaient survivre dans des biofilm tridimentionnels dans l’environnement marin entre deux épidémies ou pullulations[2].
En fait, je rajoute qu’il compose 60% du plancton animal marin et se nourrit de phytoplancton.
Les cténophores (Ctenophora, du grec ktenos, « peigne » et phorein, « porter ») ou « Cténaires » sont des organismes marins carnivores transparents et à symétrie radiaire (planctoniques et plus rarememnt benthiques), représentés par près de 150 espèces, répandus dans tous les océans du monde. Il se déplacent grâce à des cils locomoteurs alignés en 8 rangées sur des plaques ciliées et formant des peignes. Ils constituent une bonne part de la biomasse planctonique mondiale.
Leur nom provient de la structure en peigne de leurs rangées de cils.
Leur ressemblance superficielle avec les méduses les a fait autrefois classer auprès de ces dernières dans le groupe des cœlentérés, classification aujourd’hui tombée en désuétude. Contrairement aux méduses, les Ctenophora ne possèdent pas de cnidocytes (cellules urticantes), mais des colloblastes (cellules collantes); ils sont de plus hermaphrodites.
Les Coccolithophores sont des organismes que l’on trouve au fond des océans et qui sont à l’origine de la constitution de couches géologiques, certaines ayant donné naissance aux falaises de calcaire de la Manche ou bien, indirectement à de nombreuses cathédrales et édifices.
Les coccolithophores transforment les ions calcium présents dans l’eau de mer en coquilles, selon un processus appelé »calcification marine« . Le C02 est utilisé pour la pothosynthèse et les ions bicarbonates servent pour fabriquer la coquille de calcium. Ce process aboutit à la formation d’une coccosphère, c’est à dire un exosquelette en carbonate de calcium constitué de formes polycristalines autour de sa membrane cellulaire.
Ces formes appeléees « coccolithes » s’agencent de manière à former une sphère qui demeurent après la mort des coccolithophores.
Le processus de calcification marine produit du C02 à court terme, mais à long terme il en capture et forme des roches au fond des océans : des couches de calcaire, de marbre et de carbonate de silicium, principal composant de la craie.
Les coccolithophores à la base de la chaîne alimentaire
Les conditions pour que le processus de calcification se produise sont nombreuses et délicates et un sujet d’étude majeur pour les scientifiques à l’heure du réchauffement climatique. Pourquoi ?
Parce-que ce processus constitue l’un des pièges à CO2 naturel les plus importants qui soient. Si le processus de calcification marine s’altère, cela impacte tous les récifs coralliens et les organismes qui se trouvent à la base de la chaîne alimentaire marine. Indirectement donc, le réchauffement climatique, via la modification des conditions physico-chimiques de la fabrication de coquillages et de squelettes calcaires, impacte toutes les créatures de la chaîne alimentaire marine.
les eaux de la plate-forme continentale du Groenland occidental, relativement douces et froides, sont un reliquat des eaux provenant de l’océan Arctique, via le détroit de Fram. Cette partie du courant est-groenlandais longe la plate-forme orientale du Groenland, contourne le cap Farewell, pointe australe de l’île, avant sa remontée vers des latitudes plus élevées, s’adoucissant en été au cours de son transport, sous l’action de la fonte de la glace de mer et du ruissellement continental ;
les eaux du talus continental ou eaux d’Irminger sont un mélange d’eaux froides plus profondes provenant elles aussi de l’océan Arctique combinées à celles plus chaudes issues à la fois de l’océan Atlantique Nord et de la mer d’Irminger. Cette masse d’eau atteint une température maximum à plusieurs centaines de mètres de profondeur, mais se refroidit à mesure de sa progression vers le nord.
Une partie du courant ouest-groenlandais part vers le ponant (l’ouest) à hauteur du 64° parallèle pour rejoindre le courant du Labrador, tandis que la masse d’eau restante, relativement chaude, poursuit sa route dans le détroit de Davis vers le nord, en direction de la baie de Baffin. Tout au nord de la baie, cette masse d’eau finit par s’orienter à nouveau vers l’ouest pour alimenter le courant de l’île de Baffin et, à travers lui, le courant du Labrador.
Plusieurs types de force sont mis en oeuvre lorsqu’il s’agit de déplacer les eaux des océans. Leurs sources sont aussi diverses que la température, la densité, la salinité, les astres, l’attraction universelle, les radiations solaires ou la rotation de la Terre. Il y a des courants littoraux que l’on ressent près des côtes et des grands courants océaniques qui déplacent des masses d’eaux considérables à l’échelle de la Terre.
Cette circulation océanique peut être subdivisée en deux composantes: la circulation de surface et la circulation profonde. Son schéma ressemble à la convergence et à la divergence de l’air dans l’atmosphère, déplacements qui sont associés aux pressions. Des courants semblables se développent dans les océans; ces courants, influencés par la circulation atmosphérique, les densités différentes de l’eau (chaude et froide) et par la configuration des continents, contribuent au transfert horizontal d’énergie. Certains courants, chauds, partent des régions équatoriales et se dirigent vers les pôles; d’autres, froids, se déplacent en sens inverse.
Les courants de surface
Ces courants sont produits directement ou indirectement par la différence du bilan radiatif solaire à la surface du globe. Les radiations solaires générant des différences de température vont créer des vents qui vont entraîner la surface de l’eau par friction induisant des déplacements horizontaux. Par réchauffement ou par refroidissement des masses d’eau, par évaporation ou par précipitations, ces mêmes radiations, en changeant la température et la salinité vont provoquer des modifications de densité qui induiront des déplacements verticaux.
Principaux courants océaniques de surface (d’après DUXBURY in DEGENS).
(« + » zones de haute pression et « – » zones de basse pression)
Les vents d’ouest et alizés déterminent sous l’action de la force de Coriolis (du nom du mathématicien français Gaspard Coriolis,1792-1843) de larges systèmes circulaires centrés approximativement à 30° N et 30° S. Ces courants circulaires tournent dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’Atlantique Nord et le Pacifique Nord, et en sens inverse dans l’Atlantique Sud, le Pacifique Sud et l’Océan Indien. :
Force de Coriolis
m : masse de l’objet (en kg)
Vecteur vitesse de rotation de la terre (m/s)
^ : produit vectoriel
Vr : Vitesse de l’objet tel que le voit un observateur depuis la Terre (en m/s)
La rotation de la Terre déplace ces systèmes vers la bordure ouest des océans placant ainsi les courants les plus forts le long des côtes Est des continents. Ces courants venant des zones intertropicales transportent des eaux chaudes, transférant ainsi la chaleur des zones équatoriales vers les pôles. (par exemple le Gulf Stream est plus puissant que le courant des Canaries)
Principe de circulation océanique de surface.
La friction du vent sur la surface de l’eau est transmise aux couches d’eau plus profondes avec une diminution progressive de la vitesse du courant induit rendant les couches profondes de plus en plus sensibles à l’action de la force de Coriolis. si bien que nous pouvons avoir des courants profonds qui se déplacent en sens inverse de ceux de surface. C’est la spirale d’Ekman qui se poursuit sur plusieurs centaines de mètres de profondeur. Le déplacement moyen de l’eau est à 90° à droite du vent. Cette force de Coriolis tend à dévier les courants marins vers sa droite dans l’hémisphère Nord, et vers sa gauche dans l’hémisphère Sud. On peut en déduire les schémas suivants pour l’hémisphère nord et pour l’hémisphère sud:
La « spirale d’Ekman »: le courant de surface est à 45° et le déplacement
moyen de l’eau est à 90° , ici, à droite du vent dans l’hémisphère nord.
La « spirale d’Ekman »: le courant de surface est à 45° et le déplacement
moyen de l’eau est à 90° , ici, à gauche du vent dans l’hémisphère sud
Les courants de surface tournant dans le sens des aiguilles d’une montre dans l’hémisphère nord et à l’opposé dans l’hémisphère sud produisent une accumulation d’eau à l’intérieur des systèmes circulaires. Cette surcharge entraîne un bombement de la surface dont la hauteur peut atteindre 110 cm. Les eaux ne peuvent s’accumuler indéfiniment en surface au milieu du bassin si bien qu’elles plongeront au centre du système jusqu’à 800 mètres de profondeur environ.
La hauteur de la colonne d’eau étant plus haute au centre que sur la périphérie du système circulaire, on a, pour ce qui concerne l’océan, une zone de haute pression au centre et une zone de basse pression à la périphérie. Ce différentiel de pression engendre une force dirigée vers l’extérieur car elle s’exerce logiquement des hautes vers les basses pressions . Cette force de pression compense la force de Coriolis à partir de quelques mètres de profondeur si bien que le courant en profondeur va avoir à la fois la même direction que le vent et tourner comme lui autour de la haute pression.
Sous vents cycloniques, c’est une dépression qui apparaît au centre du circuit et les eaux profondes remontent (« pompage d’Ekman »).
Principe de la circulation dans une zone de haute pression océanique de l’hémisphère sud
La vitesse des courants océaniques atteint plusieurs noeuds à la surface. Avec l’action des vagues, ils provoquent le brassage de l’eau superficielle et on estime que la zone photique est entièrement brassée en 50 ans. En profondeur, ces courants sont beaucoup plus lents, les eaux profondes ont une période de renouvellement de 500 ans.
Les courants de densité provoqués par les variations de température et de salinité sont les principaux agents de mélange des eaux océaniques. En coupe, l’océan comporte 3 couches :
(1) une couche superficielle bien mélangée sous l’action du vent, d’une centaine de mètres d’épaisseur;
(2) une zone montrant un gradient décroissant de température, la thermocline, qui agit comme une couche stratifiée stable limitant les transferts d’eau dans le sens vertical;
(3) au delà de 1000 m de profondeur environ, une masse d’eau profonde ayant une température et une salinité plus uniforme.
Les courants de profondeur
Les vents n’ayant plus d’influence après 800m de profondeur, ils ne peuvent être les moteurs des circulations océaniques profondes.
Celles-ci sont générées par des masses d’eau profondes identifiées en fonction de leur température, de leur salinité et qui acquièrent leurs caractères en surface suite à l’évaporation, aux précipitations, à l’arrivée d’eaux douces continentales et à la congélation de l’eau de mer. L’installation d’une banquise produit le même effet que l’évaporation (augmentation de la salinité et de la densité de l’eau non gelée qui s’enfonce).
Ces courants basés à la fois sur des différences de température (l’eau froide est plus dense que l’eau chaude) et sur des différences de salinité (l’eau salée est plus dense que l’eau douce) vont se répartir en différentes couches dans les océans.
Densité de l’eau de mer en fonction de sa température et sa salinité.
Les eaux de fond de l’Antarctique(AABW) , à 0,5 °C et 34,7 pour mille de salinité, s’écoulent le long de la pente antarctique depuis la mer de Weddell jusqu’à l’équateur. Dans l’hémisphère nord, les mers de Norvège et du Groenland fournissent les eaux profondes nord-atlantiques (NADW) à 2°C et 34,95 pour mille de sels.
Principe de la circulation en surface et en profondeur dans l’Atlantique: NADW: North Atlantic Deep Water; AABW : Antartic Bottom Water
Dans les régions tropicales Nord et Sud, les alizés génèrent des cellules de courants circulaires anticycloniques qui convergent vers l’équateur. Les eaux s’accumulent vers l’Ouest ce qui engendre un contre-courant équatorial dans le sens Ouest-Est. Le Gulf Stream au Nord dans l’Atlantique est une branche de ce circuit. Il débite environ 90 Millions de m3/s et se poursuit au Nord par la dérive Nord Atlantique. Le Kuro Shio en est l’équivalent pour le Pacifique Nord. Dans l’hémisphère Sud, les branches sud des circuits anticycloniques forment le courant circumpolaire antarctique.
L’ensemble des eaux océaniques se déplace lentement sur le globe en un cycle dont la durée est estimée à un millier d’années: c’est la circulation thermohaline. Les eaux chaudes se déplacent en surface, elles se refroidissent dans les hautes latitudes et s’enfoncent en profondeur où elles suivent le trajet inverse. L’écoulement des eaux froides et profondes dans l’Atlantique Nord est évalué à 15 Millions de m3/s.
Les plus profonds portent le nom de courant thermohalin et ceux qui vont un peu moins en profondeur portent le nom de circulation thermocline. On a alors introduit l’expression imagée de « tapis roulant » (conveyor belt) pour décrire le transport d’eau profonde de l’Atlantique vers le Pacifique et son retour en surface.
Principe de la circulation thermohaline.
Les phénomènes d’upwelling » et de « downwelling » Les courants de surface rassemblent les eaux en des points de convergence où elles se mélangent et s’enfoncent en fonction de leur densité et forment les courants de downwelling.
Localement, des eaux profondes remontent à la surface (courant d’upwelling) sous l’effet de la venue de nouvelles masses d’eau froide qui s’enfoncent et de l’action de la force de Coriolis qui dévient les courants longeant les côtes ouest vers le large. Les eaux s’accumulent ainsi vers l’Ouest, le déficit à l’Est est comblé par la remontée des eaux profondes, même sous l’équateur. Dans ce circuit le rôle joué par les eaux polaires froides est fondamental pour la vie: ce sont elles qui apportent l’oxygène en profondeur. On comprend qu’un réchauffement climatique puisse entraîner l’arrêt de cette circulation profonde, la stratification des eaux et l’anoxie (par exemple l’évènement anoxique du Crétacé s’est traduit par une mortalité en masse et le dépôt de sédiments noirs réduits, les black shales).
Les courants d’upwelling remontent en surface des eaux froides riches en éléments minéraux nutritifs et favorisent la prolifération du plancton et donc des poissons. C’est le cas des zones de pêche au large de l’Afrique nord-occidentale (Sénégal, Mauritanie). Ces eaux profondes sont enrichies en phosphore qui est un facteur limitant pour le développement des organismes. D’ailleurs, de grands gisements de phosphates sédimentaires sont mis en relation avec d’anciennes zones côtières appovisionnées par des courants d’upwelling (phosphates marocains)..
Principe de l’upwelling
Principe du downwelling
Les principaux courants
Les principaux courants chauds sont: le Gulf Stream, le courant du Brésil, le Kouro-shivo, le courant d’Australie orientale et le courant des Aiguilles.
Les principaux courants froids sont: le courant des Canaries, le courant de Benguela, le courant de Californie, le courant du Pérou (Humboldt) et le courant d’Australie occidentale.
Il existe aussi plusieurs courants qui ont leur origine dans les régions polaires: le courant du Labrador, le courant du Groenland, l’Oya-shivo (ou courant de Kamtchaka) et le courant antarctique, ce dernier circulant dans le sens horaire autour de l’Antarctique. Certains courants circulent dans la région équatoriale.
Corail:
Image: roseindigo.com
source: maxisciences:
Par définition le corail est un polype (animal), dont le squelette, qu’il produit lui-même est fait de calcaire. Le tout accumulé forme la barrière de corail ou récif corallien. Il peut être dur, mou, blanc, rouge, rose ou bleu mais aussi vivre en solitaire ou en colonie. Sa composition fait de lui un animal et non une plante ce que beaucoup de gens ignorent encore aujourd’hui.
Le corail est un animal de l’embranchement des Cnidaires, vivant généralement en colonies d’individus, – les polypes -, construisant tout au long de leur vie un squelette extérieur à partir de minéraux présents dans l’océan. Chez les coraux constructeurs de récifs, l’accumulation de ces squelettes forme un récif corallien. De nombreux coraux vivent en symbiose avec des végétaux unicellulaires : les zooxanthelles dans les mers chaudes ou d’autres espèces de phytoplancton dans les mers froides.
Courants qui se forment sous l’influence de différences de T° et qui concernent donc un transport de chaleur.
Ci- dessous: extrait d’article +schéma:
Réchauffement de l’air
Le jour, vue par METEOSAT dans le spectre infrarouge, la terre est chauffée par le soleil
Le soleil rayonne de l’énergie sous forme d’ondes électromagnétiques. Ce rayonnement peut être réfléchipar les nuages, les champs de neige et les plans clairs, ou partiellement absorbé par l’atmosphère.
Néanmoins, une grande partie de l’énergie solaire atteint la surface terrestre.
Le sol s’échauffe en absorbant les rayons solaires, plus ou moins vite, en fonction de sa nature :
Pierre, sable et bitume rapidement.
Prairies et forêts, lentement.
Lacs et mers, imperciptiblement.
Au contact du sol l’air se réchauffe ce qui produit des courants de convection
L’air au contact du sol se
réchauffe par conductibilité
calorifique.
Les masses d’air dont la
température a été augmentée
se dilatent et deviennent
spécifiquement plus légères.
Elles s’élèvent donc dans
l’atmosphère, créant ainsi des courants de convection dans lesquels l’air plus frais entre à son tour en contact avec le sol pour s’échauffer.
La terre ferme s’échauffe plus
rapidement que la surface d’un lac, produisant ainsi, le long des côtes, un courant de convection nommé brise du lac (ou brise de mer).
Cumulo-nimbus:
nuage de grande dimension à développement vertical ( pouvant atteindre 10 km de haut) .Ce nuage déclenche souvent des orages, quelquefois même des tempêtes .
Capucette de californie:
désolé pas d’image!
petit poisson spécifique du golfe de californie qui a la particularité de pondre ses oeufs enfouis dans le sable des plages pour les protèger des prédateurs.
Croûte océanique:
Appelée également écorce, est une couche sédimentaire et basaltique au fond des océans qui sépare l’eau du magama sous-jacent.
Au niveau de la graine, pression et température atteignent respectivement 3 millions d’atmosphères et 5 100 ° C.
En météorologie, un cyclone tropical est un type de cyclone (dépression) qui prend forme dans les océans de la zone intertropicale à partir d’une perturbation qui s’organise en dépression tropicale puis en tempête. Son stade final est connu sous divers noms à travers le monde : ouragan dans l’Atlantique Nord et le Pacifique Nord-Est, typhon dans le Pacifique Nord-Ouest et cyclone ailleurs.
Structurellement, un cyclone tropical est une large zone de nuagesorageux en rotation accompagnée de vents forts. On peut les classer dans la catégorie des systèmes convectifs de méso-échelle puisqu’ils ont un diamètre inférieur à une dépression classique, dite « synoptique », et que leur source d’énergie principale est le dégagement de chaleur latente causé par la condensation de vapeur d’eau en altitude dans leurs orages. Le cyclone tropical est semblable à une machine thermique, au sens de la thermodynamique. Le dégagement de chaleur latente dans les niveaux supérieurs de la tempête élève la température à l’intérieur du cyclone de 15 à 20 °C au-dessus de la température ambiante dans la troposphère à l’extérieur du cyclone. Pour cette raison, les cyclones tropicaux sont des tempêtes à « noyau chaud ».
Les cyclones tropicaux sont redoutés pour le caractère destructeur de leurs pluies torrentielles et de leurs vents. Ils sont classés parmi les risques naturels les plus courants et font chaque année des milliers de victimes. Les régions les plus menacées ont mis en place des mesures de surveillance météorologique, coordonnée par l’Organisation météorologique mondiale, ainsi que des programmes de recherche et de prévision du déplacement des cyclones.
Dryas:
Dryas octopetala ‘minor’
Rosaceae
Nom latin de la Dryade ,fleur de la famille des rosiers, avec ses longues tiges rampantes , elle pousse sur les rochers en montagne jusqu’ à la mer du Nord.
Diatomée:
Algue unicellulaire entourée d’une coque siliceuse et qui constitue la plus grande partie du phytoplancton .
Les diatomées se développent de préférence dans les eaux froides en absorbant le gaz carbonique pour le recycler en matière organique.
Discodermolide:
DISCODERMOLIDE
Substance chimique contenue dans les éponges marines et qui a la capacité de détruire les cellules cancéreuses.
Dorsale médio- océanique:
Chaîne de montagnes volcanique sous-marine de 65.000 km de longueur qui s’étend sur le fond de tous les océans , hautes de 2500 mètres, c’est l’endroit où se » fabrique » le plancher océanique.
En écologie, un écosystème désigne l’ensemble formé par une association ou communauté d’êtres vivants (ou biocénose) et son environnement biologique, géologique, édaphique, hydrologique, climatique, etc. (le biotope). Les éléments constituant un écosystème développent un réseau d’échange d’énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie. Le terme fut forgé par Arthur George Tansley en 1935[1] pour désigner l’unité de base de la nature. Unité dans laquelle les plantes, les animaux et l’habitat interagissent au sein du biotope. Dans l’écosystème, le rôle du sol est de fournir une diversité d’habitats, d’agir comme accumulateur, transformateur et milieu de transfert pour l’eau et les autres produits apportés.
En 2004, les auteurs du rapport commandité par l’ONU et intitulé l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire, ont explicitement intégré la nécromasse en définissant un écosystème comme un « complexe dynamique composé de plantes, d’animaux, de micro-organismes et de la nature morte environnante agissant en interaction en tant qu’unité fonctionnelle ».
On peut parler d’écosystème naturel, naturellement équilibré : à chaque niveau, la biomasse est stabilisée grâce aux interactions avec les autres niveaux.
L’effet de serre est un processus naturel qui, pour une absorption donnée d’énergie électromagnétique, provenant du Soleil (dans le cas des corps du système solaire) ou d’autres étoiles (dans le cas général), contribue à augmenter la température de surface par rapport à une situation « sans effet de serre » (corps noir). On le retrouve sur différents objets célestes dans le système solaire, notamment sur Terre et sur Vénus.
Son principe est que l’atmosphère laisse passer des rayonnements solaires (de jour seulement), que le sol absorbe et réémet vers le haut de (jour comme de nuit) sous forme d’autres rayonnements qui sont cette fois absorbés par l’atmosphère, ce qui la réchauffe et la fait renvoyer vers le sol une partie de l’énergie qui s’en échappait, contribuant à augmenter la température du sol.
Cette expression est une généralisation du phénomène empiriquement bien connu qui permet aux serres de maintenir les cultures à une température plus élevée ; son usage courant s’est étendu dans le cadre de la popularisation du thème du réchauffement climatique. L’« effet de serre » met l’accent l’atmosphère et spécialement son contenu en gaz à effet de serre (GES), dont une augmentation de la concentration participe à ce réchauffement. Cependant, de même que l’efficacité des serres ne s’explique pas exclusivement par leur effet de piège à rayonnement[1], l’effet de serre n’explique pas à lui seul la température terrestre : il faut aussi tenir compte des apports solaires, de l’albedo, des effets des océans (70 % de la surface terrestre) donc du cycle de l’eau, de l’alternance jour-nuit et saisonnière, etc.
Le vampire des abysses (Vampyroteuthis infernalis) est une espèce de petits céphalopodes vivant dans les abysses de tous les océans tempérés et tropicaux du monde. Il possède d’uniques filaments sensoriels rétractiles qui justifie son placement dans un ordre spécifique : Vampyromorphida, bien qu’il partage des similitudes avec les calmars et les pieuvres. Il s’agit d’un fossile vivant, c’est le seul membre connu survivant de son ordre, d’abord décrit et identifié par erreur comme une pieuvre en 1903 par le teuthologiste allemand Carl Chun.
Dans les régions où la marée est significative , c’est la partie du littoral comprise entre les plus hautes et les plus basses eaux, c’est une zonz primordiale pour la régénération et l ‘épuration des eaux marines.
C’est ainsi qu’en haut de l’estran se trouvent les algues qui supportent et préfèrent l’exondaison (station hors de l’eau) prolongée et que dans le bas de l’estran se trouveront des espèces fragiles à l’exondaison. Entre les deux et en fonction de leurs différentes affinités, se développeront des espèces aux caractéristiques bien définies.
Cette transition délimite deux zones, l’une chaude, l’autre froide, qui diffèrent aussi par leur structure verticale.
Fumeurs noirs:
Sources hydrothermales de couleur noire en raison des éléments qu’ elles contiennent ( fer et cuivre surtout ).
Leur T° peut atteindre 300° C à cause du magma qui remonteen dessous.
On les trouve au fond de nos océans entre 100 mètres et 6000 mètres de profondeur.
Article et image extrait ci -dessous :
En fait, ces conditions extrêmes ne sont pas réellement un obstacle à la vie . En témoigne les vidéos, photos prélèvement qui ont été effectués depuis les premières observations en 1977 (voir la photo suivante, et les colonies d’anémone blanche au pied de la source hydrothermale). Crevettes, vers géants côtoient étoiles de mer et poissons… Tout ce petit monde fonctionne grâce à la chimiosynthèse (basée sur l’exploitation de l’énergie chimique des composés issus des fumeurs), par opposition à la photosynthèse (basée sur l’énergie lumineuse). Alors, pourquoi ne pas chercher là-bas les traces des premières molécules organiques ?
Ne faisons pas durer le suspense plus longtemps. Pour beaucoup de scientifiques, cela ne fait pas de doute: la vie est née à proximité de ces sources hydrothermales, dans l’obscurité, à une profondeur comprise entre 500 et 5000 m.
Et les arguments ne manquent pas : les conditions d’expériences de S. Miller, ces mêmes qui ont conduits aux acides aminés, se retrouvent dans les émanations de ces sources chaudes. En effet, on a bien du méthane, du dihydrogène, de l’eau, peu de CO2. Pas de lumière UV, ou de décharges électriques, mais de l’énergie thermique autant qu’on veut.
Frai:
Terme qui désigne aussi bien la manière dont se reproduisent les poissons ( rapprochement des partenaires sans accouplement) que la période où elle a lieue .( exemple: Les oeufs des poissons et des alvins.)
1- Ensemble des activités de ponte chez les poissons. Voir frai sauvage. Le frai est la ponte par les femelles de poissons associée à l’émission de laitance par les mâles.
2- Désigne les oeufs de poisson déposés dans l’eau pour les pondeurs pélagiques ou dans un nid pour les nidificateurs. Les frais sont donc des groupes d’oeufs fécondés chez les poissons et les amphibiens.
C’est un terme commun pour désigner des amas d’ovules, fertilisés ou devant être fertilisés; aussi utilisé pour oeufs fécondés, ainsi que de très jeunes poissons d’un même recrutement (classe de recrutement), généralement nombreux.
Une glaciation (ou englaciation) est une période glaciaire, c’est-à-dire à la fois une phase paléoclimatique froide et une période géologique de la Terre durant laquelle une part importante des continents est englacée.
Représentation artistique de l’englacement lors du Dernier Maximum Glaciaire (DMG) selon Ice age terrestrial carbon changes revisited de Thomas J. Crowley[1].
Note de l’ administration selon nos sources: La dernière a eue lieu il y a 13.000 ans.
Un grain blanc est un phénomène météorologique soudain et très violent. Il s’agit d’un grain particulier, qui n’apporte pas de précipitations ni même parfois de nuages. On parle de « grain blanc » en référence au fait que le ciel qui l’accompagne est parfaitement clair, et que de ce fait, il ne peut être signalé à l’horizon que par un nuage blanc en ascension rapide, ou par l’écume blanchâtre qu’il génère au sommet des vagues.
C’est un grain très brusque, qui éclate sans aucun signe annonciateur, et se révèle d’une violence inouïe. Son apparition serait corrélée à la formation d’une rafale descendante extrêmement violente, dont les vents peuvent parfois être supérieurs à 300 km/h.
Extrait:Il existe sur Terre des micro-organismes qui sont capable de vivent dans des conditions extrêmes. Conditions que nous pensions pourtant incompatible avec toute forme de vie possible, et pourtant elles y vivent et s’adaptent à merveille. Actuellement ils existent plus de 250 espèces d’archéobactéries, et l’éventaire est loins d’être terminé !
Hydrate de méthane:
Substance glacée enfouie au fond des océans constituée d’eau et de méthane.
Un hydrate de méthane (ou clathrate de méthane) est un composé organique naturellement présent dans les fonds marins, sur certains talus continentaux, ainsi que dans le pergélisol des régions polaires. C’est un des réservoirs de carbone planétaires.( définition: wikipédia)
Le sulfure d’hydrogène (H2S) ou hydrogène sulfuré est un composé chimique de soufre et d’hydrogène, responsable de l’odeur désagréable d’œuf pourri.
C’est un gazacide qui réagit avec les solutions aqueusesbasiques et les métaux tels que l’argent ou l’acier, même inoxydable.Le sulfure d’hydrogène joue un rôle important en biologie. Il est produit par la dégradation des protéines contenant du soufre et est responsable d’une grande partie de l’odeur fétide des excréments et des flatulences, humains et animaux. Il peut résulter de décomposition bactérienne de la matière organique dans des environnements pauvres en oxygène (méthanisation).Le sulfure d’hydrogène est naturellement présent dans le pétrole, le gaz naturel, les gaz volcaniques et les sources chaudes. Le sulfure d’hydrogène peut également provenir de nombreuses activités industrielles.Hydrothermale:Article source:http://mediatheque.citedelamer.com/Les dorsales océaniques, lieu d’écartement des plaques et de formation de la croûte océanique, sont le siège d’une intense activité tectonique, volcanique et hydrothermale.
Dans ces zones, l’eau de mer s’infiltre dans les fractures du plancher océanique et se réchauffe rapidement en approchant des chambres magmatiques.
Schéma de la circulation des fluides au sein d’une source hydrothermale Source « Les sources abyssales, berceau de la vie ? » La Recherche n°355, juillet-août 2002, p.23
L’eau de mer ainsi chauffée, réagit fortement avec les roches traversées et se charge de minéraux variés.
Plus chaude, donc plus légère, elle remonte et jaillit sur le fond à des températures pouvant atteindre plus de 400°C.
Le mélange de ce fluide chaud et réduit avec l’eau de mer froide et oxygénée se traduit par des précipitations minérales qui forment des cheminées hydrothermales autour desquelles vit une faune luxuriante.
Les sites hydrothermaux du bassin de Guaymas sont particuliers puisqu’ils sont caractérisés par la présence de sédiments riches en matière organique traversés par les fluides hydrothermaux lors de leur remontée.
La distribution des communautés microbiennes et animales est influencée par le gradient vertical de température.
Ces sites abritent une faune luxuriante de bivalves et de vers polychètes dont le plus emblématique est le ver géant Riftia pachyptila.
L’iguane marin des Galapagos (Amblyrhynchus cristatus) est une espèce de lézards de la famille des iguanidés que l’on rencontre aux îles Galápagos.
C’est la seule espèce du genreAmblyrhynchus.
– More than 100 million years ago, reptilian creatures slithered from the sea to inhabit the land but one species reversed the course and returned to the sea for food and survival. The Galapagos are home many strange creatures that evolved in isolation from other lands but none more so than the marine iguana. Despite its fearsome face, the iguana feeds peacefully on algae—when it can get away from the playful harassment of sea lions. Stoically it escapes the game and regains its rocky outcrop as Calypso sails past.
– Il y a plus de 100 millions d’années, les reptiles se sont glissés hors de la mer pour habiter la terre, mais une espèce est retournée dans l’eau pour se nourrir et survivre. Si les Galapagos abritent de nombreuses créatures étranges qui ont évolué séparément, l’iguane marin en est la meilleure illustration. Malgré son apparence terrifiante, il se nourrit paisiblement d’algues quand il arrive à se débarrasser des lions de mer qui viennent gentiment le harceler. Stoïquement, il se retire du jeu et regagne son rocher, lorsque passe la Calypso.
Médecin spécialisé dans l’immunologie (étude de l’immunité, c’est-à-dire des réactions de l’organisme dans lequel apparaît un élément qui fait partie de la catégorie des antigènes).
L’IPEV a pour mission de mettre en oeuvre les programmes scientifiques français dans les zones polaires et subpolaires. Pour cela, il dispose de moyens en personnel, en logistique et en télécommunication qui lui sont propres.
L’originalité de la Recherche Française en milieu polaire notamment dans les bases polaires françaises de l’hémisphère sud (Terre Adélie en Antarctique – les Iles Kerguelen,Crozet, la nouvelleAmsterdam pour les districts subantarctiques), par rapport à celles que mènent les autres pays, tient notamment à la continuité des observations de terrain d’une année sur l’autre : en effet, par le biais du Volontariat de Service Civique, le suivi des programmes pendant l’hiver austral est rendu possible grâce à la présence annuelle sur le terrain de jeunes scientifiques ou techniciens. Chacune de ces personnes étant recrutée par l‘IPEV en fonction des compétences acquises lors de son cursus d’études et ses activités personnelles.
Mollusque gastropode pélagique qui sécrète un flotteur muqueux et écumeux sous lequel il pond ses œufs. Des lithodonces enfoncées dans leur trou…, des cavolines rampant sur le dos, des auricules et entre autres l’auricule myosotis, des scalaires fauves, des janthures, des cinéraires, des cabochons, des pandores, etc. (Jules Verne, 20.000 lieues sous les mers).Il vit à la surface de l’eau. Elle n’a pas l’air d’un prédateur, mais elle est redoutable pour son allure. Inoffensive pour l’homme, c’est une tueuse de méduses siphonophores comme les physalies. Elle se nourrit de leurs tentacules venimeux et parfois même de leur corps (ombrelle).
Kermadec:
Fosse marine du pacifique au large de la nouvelle zélande située à plus de 9400 m de profondeur.
« Le terminus « des eaux du courant profond venu du Groenland.
Les îles Kermadec se situent à environ 1000 kilomètres au Nord Est de la Nouvelle-Zélande. Elles sont inhabitées, à l’exception de Raoul Island qui abrite une base scientitfique. Toutes les îles de l’archipel sont d’origine volcanique et il existe aussi des volcans sous-marins, tels que Healy, Giggenbach et Rumbles. Les îles sont la partie émergée de volcans qui se sont construits sur la ride des Kermadec.
Ainsi, raoul Island est le sommet d’un important massif émergé dont la base est une ellipse grossière de 35 km par 20 km. Elle contient une grande caldeira, formée par subsidence après plusieurs éruptions importantes. Une seconde caldeira, à l’Ouest de la première, a été en partie innondée par la mer et forme maintenant Denham Bay.
La dernière érution de l’archipel s’est produite en mars 2006 à Raoul Island. Elle a éjecté des roches et de la boue. Les scientifiques pensent qu’elle a été produite par un séisme qui a rendu instable la chambre magmatique.
Kuroshio:
Courant marin chaud du pacifique provoqué par les vents només également » courant noir », ce courant longe la côte orientale du Japon.
L’énergie des courants marins dans le monde est considérable : environ 1,1×1012W. Ce chiffre peut être doublé si l’on tient compte des marées.
1) Positionnement des courants.
En général les sites où les courants marins sont les plus rapides sont les détroits. En effet la quantité d’eau déplacée reste toujours la même : ainsi lorsque l’espace maritime se réduit, l’eau (toujours la même quantité) a moins de place pour circuler et donc il y a davantage de courant.
Le krill est le nom générique (d’origine norvégienne) de petites1crevettes des eaux froides, de l’ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau tropique des océans, pour les zones nord et sud de la planète.
On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l’océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu’à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s’étendant sur 450 km².
Avec des estimations de quelque 650 millions de tonnes, Le krill est parmi les groupes animaux les plus abondants de la planète, après les copépodes.
Lobifères:
organismes marins appartenant à la classe des cténophores.
Arthropode marin d’environ 50 cm , vivant dans les eaux peu profondes et chaudes du Pacifique et des Antilles.
Limules.free.fr le site des limulesLoutre de mer:
Mammifère carnivore aquatique de la famille des mustélidés, pouvant peser 40 kg.On la trouve dans le pacifique, elle se nourrit de coquillages.
Luminescence:
Désigne une substance qui émet de la lumière à basse T° sous l’effet d’une excitation.
Lofoten ( îles)
Archipel du cercle polaire dans l’océan Arctique situé vers la Norvège ( au Nord ) .Climat tempéré , grâce au Gulf Stream supérieure à 10°c, pour une même latitude.Lave « en coussin »: Source image :futura-sciences
Coulées de magama qui se chevauchent lors d’une éruption sous-marine.
Vidéo
« définition par futura-Sciences » ( ci -dessous )
en anglais Pillow-lavas, se forment sous l’eau. Elles prennent une forme de coussin en se solidifiant rapidement en surface. Ce sont le plus souvent des basaltes.Elles se forment principalement au niveau des dorsales océaniques mais on peut aussi en voir à Hawaï lorsqu’une coulée de lave chaude et fluide avance sous l’océan à partir d’une éruption sur l’ île.La température des laves les formant varie de 1000 à 1200 degrés. Elles se couvrent d’une pellicule de verre qui, n’étant pas complètement refroidie, forme une sorte de pelochon souple, progressivement gonflé par la lave qui continue d’être émise. On aboutit ainsi à des empilements de boules en forme de coussins d’une taille de plusieurs mètres, sur de grandes épaisseurs. Les formations ophiolitiques en regorgent.
Lithium:
Métal blanc le plus léger des cors solides avec une densité de: 0.53. Utilisé dans les alliages légers avec l’aluminium dans les industries comme: l’électronique ou électrique.
Magma:
Roche liquide et pâteuse à base de silice en fusion à l’intérieur de la TERRE à l’occasion des éruptions volcaniques qui apparaît au fond des océans ou à la surface terrestre.
Marsouin:
Proche du dauphin cet un mammifère cétacé que l’ on trouve dans l’ océan atlantique.
Information complémentaire sur WMégalodon:
Il aurait apparu il y a 70 millions d’années sur TERRE, c’est un poisson et non un mammifère comme les baleines.
Il pouvait mesurer plus de 20 mètres ( sa gueule 2 m de large pour cette taille! )ce qui fut de lui un redoutable prédateur.
Source wikipédia: ( ci-dessous)
Le mégalodon (Carcharodon megalodon) est une espèce de requin à grandes dents qui existait à l’ère préhistorique, à partir de l’Oligocène jusqu’au Pléistocène, il y a environ 25 à 1,5 million d’années.
Poisson de la famille des anguilloformes, elle est très vorace et sa morsure dangereuse, la plupart vit dans les mers chaudes et tempérées quelques spécimens peuvent néanmoins se trouver dans des eaux profondes sombres et froides.
Un nanobe est un type de structures nanométriques — d’où leur nom — de nature incertaine découvertes en 1996 par un groupe de chercheurs australiens dans des grès issus de forages pétroliers au large de l’Australie Occidentale par 3 400 à5 100 m de profondeur1. Chimiquement constitués principalement de carbone, d’oxygène et d’azote dans un milieu dominé par les silicates, la question de leur nature « vivante » demeure encore débattue, et leur identification aux nanobactéries, qui sont de même taille, n’est pour l’heure pas attestée, ces dernières ayant une paroi bactérienne qui semble absente chez les nanobes. Avec un diamètre compris entre 20 et 150 nm, ces structures semblent en effet trop petites pour contenir à la fois les enzymesnécessaires à une biochimie, le matériel génétique nécessaire pour coder ces enzymes, et les protéines nécessaires pour structurer la cellule et assembler ses enzymes2 (un simple ribosome mesure déjà typiquement 20 nm de diamètre).
Certains constituants de l’ADN ont été détectés dans ces structures, ce qui est surprenant dans la mesure où un simple brin d’ADN occuperait à lui seul près du dixième de l’épaisseur d’un nanobe ; l’hypothèse d’une contamination n’est d’ailleurs pas exclue pour expliquer la présence de cet ADN. L’analyse de coupes de nanobes a montré des structures évoquant unemembrane cellulaire entourant un cytoplasme contenant en son centre une zone nucléaire diffuse, ce qui évoquerait un organisme procaryote. La question qui n’a pas été tranchée est de savoir si ces structures sont des entités biologiques ou de simples fragments d’organismes plus gros.
L’étude des nanobes a suscité un vif intérêt au début des années 2000 comme réponse possible à la question de l’origine de la vie sur Terre, appuyant une hypothèse d’abiogenèsesouterraine impliquant des nanobactéries relancée par une célèbre micrographie de la météorite martienne ALH 84001 montrant une structure d’apparence bactérienne.
Nautile:
Derniers représentants de la lignée des céphalopodes (pied sur la tête) à coquille externe, le nautile est apparu au Jurassique inférieur, il y a 200 millions d’années, à l’époque des dinosaures !!! Et il n’a quasiment pas évolué, il vit en haute mer à des grandes profondeurs (300 m) avec un éclairage faible. Il peut monter et descendre à volonté grâce à sa coquille compartimentée et remplie d’azote dont il peut faire varier le volume. Les nautiles ont donné leur nom au mini-sous marin d’IFREMER car le principe des ballasts est comparable aux compartiments de la coquille du nautile(cloisons compartimentées remplies d’azote). Le nautile se nourrit de crustacés (poissons et crevettes) et possède entre 40 et 50 tentacules. ( source:http://www.aquarium-du-golfe.com/)
Le Nautile est un sous-marin de poche habité de l’Ifremer. Il a été fabriqué par une équipe d’ingénieurs et d’ouvriers de la DCN de Toulon (nommé aujourd’hui DCNS Toulon) ainsi qu’aux ateliers de Creusot-Loire à Saint-Chamond. Mis en service en 1984, il est utilisé pour plonger à de grandes profondeurs, notamment pour l’exploration d’épaves. Un robot guidé, ROBIN, peut également lui être associé pour explorer des endroits étroits.
Dès 1987, il est utilisé pour explorer l’épave du Titanic à 4 kilomètres de profondeur. Il a également été envoyé sur le site de l’épave du pétrolier Prestige. C’est enfin, en 2009, le Nautile qui a été chargé de chercher les restes du vol 447 Air France.
Substance blanche et floconneuse en suspension dans les profondeurs, La neige marine a une composition qui inclut : plantes et animaux morts ou mourants (plancton), protistes (diatomées), déchets fécaux, sable, suie et autres poussières inorganiques. Les « flocons de neige » sont des agrégations de plus petites particules liées par un mucus sucré, les particules exopolymériques transparentes. Ces agrégats grossissent avec le temps et peuvent atteindre plusieurs centimètres de diamètre, voyageant plusieurs semaines avant d’atteindre le fond de l’océan.
Nutriments:
Les nutriments, ou éléments nutritifs, sont constitués par l’ensemble des composés organiques et inorganiques nécessaires à l’organisme vivant pour entretenir la vie. Le processus d’assimilation des nutriments est la nutrition.
Ces éléments de base comme les glucides, « le carbone, le phosphore, les acides aminés »contenus dans l’alimentation ou libre dans l’eau, pouvant être directement assimilés par les cellules d’un organisme.
À plusieurs milliers de mètres de profondeur, certaines plaines abyssales sont abondamment recouvertes d’étranges corps géologiques : les nodules polymétalliques. Renfermant des métaux parmi les plus recherchés – manganèse, cuivre, nickel et cobalt .Posé au fond des océans des encroûtements d’oxydes métalliques autour d’un noyau de fer.
Nomé quelquefois aussi épaulard ( (Orcinus orca) ce voisin du dauphin est un cétacé qui peut atteindre 3t600 et mesurer environ 9 mètres.Ce cétacé est facilement reconnaissable à sa livrée noire et blanche et à la taille de sa nageoire dorsale qui peut atteindre 2 mètres de hauteur chez les mâles.
Cet animal est vorace voir vidéo youtube ci-dessous:
Attention cette vidéo peut heurter les personnes sensibles!
(surnommés oursins, hérissons de mer ou châtaignes de mer) sont des organismes marins portant des piquants (et non pas des épines)sur la totalité du corps.
Ce sont des invertébrés marins de l’embranchement des Echinodermata (Échinodermes), du grec ekhinos, « épine » et derma« derme ». Ils sont de proches parents des concombres de mer et des étoiles de mer.
Animal marin, l’oursin, étant de la classe des Echinoidea.
Glaciation 5ème extinction massive des végétaux et des animaux
290
Autunien
Conifères
300
Carbonifère
Stephanien
Reptiles
310
Westphalien
Fougères arborescentes
320
Namurien
Insectes
340
Viséen
Amphibiens
360
Tournaisien
Fougères
Poissons
osseux
367
Dévonien
Famennien
Plantes
terrestres
375
Frasnien
Glaciation
4ème extinction
Premières ammonites
378
Givétien
Stringocephalus burtuni
382
Eifelien
Calceola sandalina
385
Emsien
Geesops sparsinodosus gallicus
387
Praguien
Paraspirifer cultrijugatus
Ardennes
Ecosse
Calédonien
Baïkal
Appalaches
390
Lochkovien – Pridolien
Chlorodictum problematicyum
400
Silurien
Ludlovien
Schistes Bigarrés d’Oignies et de Saint Hubert
405
Wenlockien
Poissons
cuirassés
412
Llandovérien
Paradoxides
418
Ordovicien
Ashgillien
Apparition des premiers poissons et des mollusques céphalopodes
425
Caradocien
438
Llandeilien
450
Llanvirnien
470
Arénigien
480
Trémadocien
495
Cambrien
Potsdamien
Apparition des éponges, des mollusques, des trilobites, des échinodermes
520
Acadien
540
Géorgien
565
PROTEROZOIQUE
Protérozoïque supérieur
3ème extinction massive
580
Apparition des premiers vers
620
Nouvelle Glaciation
760
Protérozoïque moyen
Glaciation
2.000
Début du règne des Acritarches (algues vertes)
2.100
Apparition des premiers métazoaires (êtres pluricellulaires)
2.200
Protérozoïque inférieur
Glaciation huronienne2ème extinction
2.330
Apparition des bactéries coccoïdes (ancêtres du phytoplancton)
2.500
Développement des stromatolites
2.680
ARCHEEN
Apparition des Eucaryotes (cellules présentant un noyau)
3.200
Apparition des algues bleues et de la photosynthèse
3.250
Impact d’une météorite géante(Fig Tree)1ère extinction
3.400
Apparition des premières formes de vie (bactéries)
3.800
4.500
Etoiles et planètes
Naissance du système solaire
15.000
Big-Bang
Naissance de l’univers
Ere géologique qui s ‘ étend de – 540 à – 245 millions d ‘années ; c’est l’ ère de la conquête des continents par les organismes.
Permafrost:
istribution du pergélisol en Arctique
Pergélisol:
aussi appelé permafrost , ce nom désigne les sols des régions froides qui le restent en permanence.
Vidéo youtube ( cliquez sur vidéo youtube ci -contre)
Phytoplancton
De très petite taille, parfois microscopique que l’on trouve en suspension dans l’océan , végétaux marins.
Il comprend environ 20 000 espèces distribuées dans au moins huit classes taxonomiques ou embranchements. En comparaison, les plantes supérieures comprennent plus de 250 000 espèces dont la plupart sont comprises dans une seule classe.
Le phytoplancton produit la moitié de l’oxygène que l’ensemble des êtres vivants hétérotrophes et des volcans (ils consomment de l’oxygène en brulant le carbone organique des sédiments dans les zones de subduction) consomment. Il capte l’énergie solaire grâce à la photosynthèse. Il est à la base des réseaux trophiques océaniques et des oiseaux marins et joue un rôle essentiel dans le rétrocontrôle du climat, notamment en pompant le CO2 (Gaz à effet de serre) de l’air.
Minéral contenu dans les roches sédimentaires, pour le milieu marin il sert de constituant de base au phytoplancton pour réaliser la photosynthèse.
Ces minéraux se présentent sous forme de grains, d’épigénies de fragments de squelettes organiques, de plages finement cristallines cimentant des débris divers, ou en nodules concrétionnés.
Article et image : http://www.futura-sciences.com/
La photosynthèse est une réaction biochimique énergétique qui se déroule chez les plantes.
Rôle de la photosynthèse
La photosynthèse a pour but de créer de l’énergie (sous forme de glucide) à partir de l’énergie lumineuse provenant du soleil. Les organismes qui utilisent le mécanisme de photosynthèse sont autotrophes car ils fabriquent des matières organiques à partir de matières inorganiques.
Mécanisme de la photosynthèse
L’énergie solaire est utilisée pour oxyder l’eau et réduire le gaz carbonique afin de synthétiser des substances organiques (glucides). Ce phénomène a lieu dans les choloroplastes, un organite spécifique des plantes, au niveau des membranes des thylacoïdes où se situent les photosystèmes I et II et lescytochromes.
Bilan énergétique de la photosynthèse
Il faut six molécules de dioxyde de carbone et six molécules d’eau pour synthétiser une molécule de glucose, relâchant six molécules de dioxygène, grâce à l’énergie lumineuse.
le cycle de Calvin (phase sombre) : 6 CO2 + énergie chimique (24 H) → C6H12O6 + 6 H2O.
Puffin: ( Oiseaux Côte de Granit Rose nomé aussi: Le Macareux Moine)
Source image: http://casabian.e-monsite.com/
Le Puffin cendré (Calonectris diomedea) est une espèce d’oiseau de mer grégaire, d’assez grande taille, de la famille des Procellariidae. Cet oiseau de l’hémisphère Nord, qui hiverne au large, vient chaque année nicher sur les îles et côtes rocheuses européennes. ( article W )
Le Puffin fuligineux (Puffinus griseus) est une espèce d’oiseau de mer de la famille des Procellariidae. Il ne mesure pas plus d’une quarantaine de centimètres de long, mais certains individus sont capables de parcourir 65 000 kilomètres en six à dix mois autour de l’océan Pacifique. Avec la Sterne arctique, c’est l’espèce qui effectuerait la plus grande migration du monde animal ( article W)
( source définition:http://permanent.cyconflans.free.fr/)n.m. Sur les anciens compas, la rose des vents n’était pas graduée en degrés, mais se divisait en quatre quadrants de 90 degrés chacun, joignant deux points cardinaux successifs et désignés par leur bissectrice : nord-est ou nordet (NE), sud-est ou suet (SE), sud-ouest ou suroît (SW) et nord-ouest ou noroît (NW). Chaque quadrant se divisait lui-même en deux secteurs de 45 degrés (NNE, ENE, ESE, SSE, SSW, WSW, WNW, NNW) et chacun de ces secteurs en quatre quarts..
Rade.
flancs de la rade de Villefranche, un des ports naturels les plus profonds de la Méditerranée occidentale. Source image:danielle.les.photos.over-blog.com
Bassin naturel ou artificiel protégé et ouvert sur la mer, offrant aux bateaux au un abri contre la houle, les courants ou le vent.
Rift:
Détail détachement Schéma source:ASP
Sorte de vallée au centre de l’arête dorsale océanique qui fait plus de 2000m de profondeur.
Lors des éruptions volcaniques, c’est ici que le magma remonte( du centre de la terre )pour surgir et ainsi former le plancher océanique.
Rorquals
bbc.co.uk
De la famille des cétacés appartenant au groupe baleinoptères , pouvant atteindre 27 mètres de longueur et peser 120 tonnes ! La baleine bleue est un rorqual!
Sable:
image: wikipedia.org
Sédiment meuble formé de grains, en majorité de quartz, dont la taille est comprise entre 1/16 de mm et 2 mm.
Un organisme sabulicole est un organisme qui vit et croît dans le sable, que ce soit en milieu terrestre ou aquatique.
On distingue les espèces sabulicoles strictes des sabulicoles tolérantes.
Sédimentaire:
<———————————————>
12,5 cm
« Roche calcaire d’origine organique C’est une roche formée de matériaux déposés après suspension ou précipités d’une solution et généralement plus ou moins consolidés. On y observe des restes des tests d’animaux marins. source:photos.monanneeaucollege.com
Roche formée par l’accumulation de matière particulaire (Matériel composé de particules définies comme étant de la matière arrêtée par un filtre dont le maillage est égal à 0,45 micron-mètre… Malheureusement, le meilleur micron\-bag connu en aquariophilie n’atteint pas cette finesse.)
solide, minérale et organique, qui se dépose au fond de l’eau, par sédimentation, quand les conditions hydrologiques ne la maintiennent plus en suspension dans la couche d’eau. D’une couche ou d’une roche lorsqu’elles sont constituées d’éléments qui se sont déposés par décantation au cours de longues périodes pouvant atteindre plusieurs millions d’années.
Séquestration du dioxyde de carbone:
Représentation schématique de certains moyens de stocker le dioxyde de carbone illustration: Wikipédia
Nom donné à l’étude d’un projet consistant à liquéfier le CO2 résultant de l’activité industrielle pour aller le déverser en haute mer afin qu’il soit absorbé par l’océan.
Sargasses ( mer ):
source image: belgacom.net
La Mer des sargasses
Zone géographique située dans l’atlantique Nord quelque-part au large des états-unis. ( Elle est bordée par le Gulf Stream à l’ouest et au nord-ouest). Nommée ainsi en raison des algues brunes flottantes qui s’y développent en grande quantité ( pouvant s’étendre dans un rayon situé entre 6 et 7 millions de Km 2).Situé dans le secteur l’archipel des Bermudes.
Sédimentaire:
Source site :picardie.f
Une couche ou une roche lorsqu’elles sont constituées d’éléments qui se sont déposés par décantation au fil du temps pouvant aller sur une période de plusieurs millions d’années.
Extrait ci-dessous: futura-sciences.com
Les roches sédimentaires proviennent de la lithification. La lithification est la transformation en roches consolidées des sédiments qui sont des éléments déposés par l’eau, le vent (par exemple le loess qui est un dépôt éolien formé de quartz, d’argile et de calcaire) ou la glace et qui proviennent de l’usure des continents (la destruction de roches) ou d’êtres vivants de labiosphère qui ont concentré ou libéré certaines substances (oxygène, CO2,calcium). Les sédiments eux-mêmes existent sous plusieurs formes comme les sédiments carbonatés et siliceux.
Sismique:
illustration :donnees.paca.developpement-durable.gouv.fr schéma en exemple.
Tremblements de terre ou secousses, une zone sismique est un secteur géographique concerné par les failles tectoniques ou d’activité volcanique pouvant déclencher des secousses ou tremblements de terre.
Telson:
Anatomie d’un trilobite Source wikipédia
Ultime anneau de l’abdomen des arthropodes.
Ou pygidium (W ) est la partie arrière de la carapace des crustacés, formant un bouclier articulé avec le thorax et constitué de segments soudés.
Thalle:
Coupe de thalle d’hépatique (Marchantiophyta) Source wikipédia
Un thalle(parfois écrit thalli au pluriel) est un appareil végétatif ne possédant ni feuilles, ni tiges, ni racines, produit par certains organismes non-mobiles (végétaux, champignons,lichens, algues). Le thalle est aussi parfois appelé fronde chez certaines algues et chez les lichens.
Un tsunami est une onde océanique ou marine provoquée par un mouvement rapide d’un grand volume d’eau (océan ou mer) dont l’origine est le plus souvent l’effet d’un tremblement de terre ou d’une éruption volcanique. (extrait définition W)
Vidéo youtube
Publiée le 11 oct. 2012
Le Japon dévasté par un tsunami fait partager son expérience au monde. La vidéo du raz-de-marée ou Tsunami ayant touché le Japon fut téléchargé sur http://www.telecharger-films.tv/, site sur lequel vous pourrez trouver de nombreuses autres vidéos de Tsunam