Archives de avril 2013

Hermione : Amérique, nous voilà !

HermoineMise à l’eau l’été dernier à Rochefort, la frégate Hermione devrait effectuer un voyage inaugural aux Etats-Unis sur les traces de La Fayette. L’association organisatrice cherche des entreprises partenaires.

Le premier rêve a été accompli. L’Hermione flotte et le chantier est désormais assuré par les gréeurs qui implantent les mâts. Il aura fallu près de 20 ans de travaux et un budget de 25 millions d’euros, financé à 60 % par le public. Le deuxième rêve consiste à convoyer la frégate au printemps 2015 jusqu’au Etats-Unis pour son voyage inaugural en hommage à La Fayette. Son nom est à jamais attaché à l’histoire de la Révolution américaine. En tant que père de l’indépendance, son portrait est accroché à la Maison-Blanche. De Chesapeake à Boston, en passant par Philadelphie, Baltimore, New-York et Halifax, le voyage de 7 500 milles se terminerait à Brest, port où La Fayette et une troupe de 1 000 combattants français ont embarqué pour rejoindre l’Amérique. L’équipage sera composé de 18 marins professionnels et de plusieurs dizaines de stagiaires confirmés. « Au 18ème siècle, pour faire naviguer ce bateau, ils étaient plus de 300 », commente Jean-François Fountaine, vice-président de l’association Hermione-La Fayette.

Partenaires d’escales ou d’étapes 
Le budget du périple est estimé à 3 millions d’euros. « Nous cherchons actuellement des entreprises privées, notamment aux Etats-Unis, pour devenir partenaires lors des escales ou lors des étapes », précise Benedict Donnelly, président de l’association. La décision définitive sera prise en juin, « mais avec seulement la moitié du budget, on se lancera ! » En effet, le compte à rebours a commencé. Le chantier doit être terminé dans un an. L’automne 2014 sera consacré à la prise en mains de la frégate par l’équipage. Des entraînements en mer se succéderont avant le grand départ, prévu en avril 2015. Les organisateurs comptent aussi mobiliser l’association des grands voiliers américains. D’ores et déjà, ils seront les invités d’honneur des Tonnerres de Brest 2016, cette fête maritime internationale qui a lieu tous les quatre ans. Un chassé-croisé entre la France et les Etats-Unis, symbole du fort lien maritime qui unit les deux pays.

(Source : Le Figaro)

Hermione : Amérique, nous voilà !.

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Publié 30 avril 2013 par Sylv1 dans Navires, voiliers/ Festivals

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Le réseau social de la baleine à bosse prouve qu’elle est cultivée

Pour se nourrir, les baleines à bosse entourent un banc de poissons, plongent et larguent de l'air par leur évent. Les bulles d'air confinent les poissons et permettent aux baleines d’en avaler des milliers en une seule goulée. Or, d’autres techniques de chasse sont développées et transmises… © Jennifer Allen, Whale Center of New England

Pour se nourrir, les baleines à bosse entourent un banc de poissons, plongent et larguent de l’air par leur évent. Les bulles d’air confinent les poissons et permettent aux baleines d’en avaler des milliers en une seule goulée. Or, d’autres techniques de chasse sont développées et transmises© Jennifer Allen, Whale Center of New England

 Article:  Par Delphine Bossy, Futura-Sciences

 Le 30 avril 2013 à 08h37

FuturaSciences

Une baleine à bosse observe et reproduit… C’est un animal cultivé. Ce cétacé, en effet, est capable d’apprendre grâce à son réseau social. La preuve, les baleines à bosse du golfe du Maine ont développé une nouvelle technique de pêche qui s’apprend de génération en génération, via le partage social.

D’après vous, les animaux ont-ils une culture ? Parmi les personnes interrogées par le médiateur scientifique Damien Jayat, 45 % avaient répondu non et 10 % étaient sans avis. Pourtant, nombre d’animaux font preuve d’une riche culture, comme les singes et les cétacés. Les baleines à bosse sont même, semble-t-il, plus cultivées qu’on le croit. La notion de culture inclut la capacité d’une espèce animale à développer un comportement grâce à son réseau social. Ce qui veut dire qu’un animal acquiert un nouveau savoir au contact d’autres individus du groupe. Si pour beaucoup, la culture animale n’existe pas, c’est principalement parce que ce comportement d’apprentissage social est quasi impossible à observer chez les animaux sauvages.

Or, l’apprentissage social chez les animaux sauvages est de plus en plus attesté. Récemment, une équipe britannique s’est focalisée sur la capacité de transmission du savoir chez les baleines à bosse. Menée par la chercheuse Jennifer Allen, leur étude montre que ces cétacés se transmettent de génération en génération une nouvelle technique de pêche. Mais plus important, les chercheurs révèlent que ce n’est pas la mère qui apprend au petit à développer cette technique : le baleineau s’en imprègne en interagissant avec tous les individus du groupe.

Partout dans le monde, les baleines à bosse ont la même méthode de chasse. Elles plongent et soufflent par leur évent sous un banc de poissons. Cela produit quantité de bulles autour du banc, et permet aux baleinesd’avaler une grande quantité de poissons, effrayés par ce rideau qui leur semble infranchissable. Mais en 1980, dans le golfe du Maine, une baleine à bosse s’est comportée différemment. Elle s’est mise à frapper la surface de l’océan avec sa queue, avant de plonger et de produire les bulles. Si les scientifiques ne savent pas en quoi cette variante améliore la pêche, il est certain qu’elle s’est répandue dans toute la région. En 1980, ce comportement, appelé lobtailing, n’a été remarqué qu’une fois sur les 150 observations de baleines à bosse en train de chasser. Mais en 2007, 37 % de ces cétacés utilisaient la technique.

Un réseau social efficace chez les baleines

Pour comprendre comment le lobtailing s’est propagé aussi vite, l’équipe de Jennifer Allen a traité 27 années de résultats d’observation ducomportement des baleines à bosse du golfe du Maine. Les chercheurs ont appliqué aux données une méthode dite d’analyse de la diffusion en réseau. La technique est basée sur l’hypothèse que plus les individus passent du temps ensemble, plus ils sont susceptibles de se transmettre un savoir. Les conclusions de l’analyse, publiées dans Science, révèlent que 87 % des baleines ont appris cette méthode de leurs congénères.

Il s’agit là de la première preuve que ces cétacés sont capables d’apprendre un nouveau comportement via les relations sociales. Leur transmission du savoir ne se produit pas seulement par les moyens habituels d’apprentissage que sont l’hérédité ou la prise d’initiative autonome. Il était déjà connu que ces cétacés se transmettaient leur chant dans un cadre culturel. Pour David Wiley, océanographe à la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), « l’apprentissage culturel (ou apprentissage social) du lobtailing s’ajoute à une masse croissante d’informations démontrant la complexité du comportement des baleines à bosse ».

Cette baleine à bosse est en position de chant. Le chant des baleines se transmet de génération en génération par le partage social. Ce n'est pas la mère qui l’inculque au petit : le baleineau apprend grâce au partage social au sein du groupe. © NOAA

Cette baleine à bosse est en position de chant. Le chant des baleines se transmet de génération en génération par le partage social. Ce n’est pas la mère qui l’inculque au petit : le baleineau apprend grâce au partage social au sein du groupe. © NOAA

futura-sciences.com

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 30/04/2013 à : 12h10.

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Commission Sigma 3 AF et Sigma 2

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18 /04/ 2013:13h00

Adm : investigations ufoetscience& Aréa 51 Blog:

Ce document PDF est réalisé par le président des repas ufologiques monsieur christian Comtesse avec la participation des sites investigations  ufoetscience, Aréa 51 Blog, médiathèque et index ufologique et spatiale et investigation océanographique et oanis.

http://www.facebook.com/groups/346825572026502/

Le  Dimanche 28 Avril 2013 à midi.

( voir mentions légales sur le document pour toute reproduction .)

Cliquez sur l’image PDF pour lire l’article.

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Mise à jour investigations ufoetscience, le 28/04/2013 à : 13h00.

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Commission Sigma 3 AF et Sigma 2.

Evolution et diversité du troisième domaine du vivant : les Archaea.

Cellules d’Archées de Thermococcus kodakaraensis en division. Crédits photo : E.Marguet, P.Forterre, Institut de Génétique et Microbiologie, Université Paris-Sud et I.Fourquaux, S.le Blond du Plouy Centre de Microscopie Electronique Appliquée à la Biologie, Faculté de Médecine Rangueil, Toulouse.

Cellules d’Archées de Thermococcus kodakaraensis en division. Crédits photo : E.Marguet, P.Forterre, Institut de Génétique et Microbiologie, Université Paris-Sud et I.Fourquaux, S.le Blond du Plouy
Centre de Microscopie Electronique Appliquée à la Biologie, Faculté de Médecine Rangueil, Toulouse.

Les travaux réalisés par Carl Woese et George Fox à la fin des années 70 ont révélé que le monde vivant n’était pas divisé en deux domaines (Procaryotes et Eucaryotes), mais en trois domaines.

Le premier groupe de procaryotes, qu’ils baptisèrent Eubacteria (eu = vrai) regroupait la plupart des bactéries classiques ainsi que ceux extraits des mitochondries et des chloroplastes eucaryotes. Le deuxième groupe rassemblait quelques bactéries anaérobies strictes capables de produire du méthane comme déchet de leur métabolisme (méthanogénèse). A cause de leur métabolisme singulier, supposé être très primitif sur la base de modèles de la composition de l’atmosphère terrestre ancienne (il y a 3-4 milliards d’années) et possiblement présent chez les premières formes de vie, Fox et Woese baptisèrent ce groupe Archaebacteria. Le dernier groupe était constitué des eucaryotes.

Quelques années plus tard, Woese proposa d’enlever le suffixe bacteria au mot archaebacteria, afin de souligner les différences évolutives profondes séparant ces deux domaines, et les trois domaines devinrent: Archaea, Bacteria, et Eucarya. A l’époque la plupart des groupes connus d’archées étaient composés d’organismes vivant dans des niches écologiques considérées comme extrêmes. Ceci a conduit à populariser l’idée, toujours très ancrée dans une partie de la communauté scientifique, que les Archaea sont des organismes restreints aux environnements extrêmes et à leur associer le sobriquet d’extrêmophiles. Or cette image est très éloignée de la réalité car il a été montré dès les années 90 que les Archaea sont présentes dans tous les milieux habitables, et notamment les milieux non extrêmes.

Pour en savoir plus sur l’histoire de la découverte des archées, leur origine, leur évolution et leur diversité, nous vous invitons à lire l’article suivant, en Français, disponible à partir de la page web de Céline Brochier :

Gribaldo S, Forterre P, Brochier-Armanet C., Les ARCHAEA : Evolution et diversité du troisième domaine du vivant, Bull. Soc. Fr. Microbiol. (2008); 23(3):137-145 (accès libre à l’article pour tous )

image PDF contient ce document: Evolution et diversité du troisième domaine du vivant source: Bull. Soc. Fr. Microbiol. (2008); 23(3):137-145

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Article source:SFEexobiologie.fr

Bonus vidéo ( rajouter par oanis)

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 28/04/2013 à : 10h55.

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Le monstre du Loch Ness repéré grâce à un sonar ?

Article repris par Alexisdans ufo et paranormal  ufologie et paranormal

Lundi, 23 Avril 2012 18:33

Le célèbre monstre du Loch Ness, ou plutôt sa légende, refait surface en Ecosse.En effet un navigateur écossais a photographié une mysterieuse trace sur son sonar…

Nessie, comme les Anglo-Saxons l’ont familièrement baptisé, est celui qui a su au cours des années faire l’objet de plusieurs débat,existe-t-il, n’existe-t-il pas ? Aujourd’hui, le débat est à nouveau au gout du jour apèes qu’un homme, Martin Atkinson, guide touristique écossais ait capturé à l’aide de son sonar une image sinon spectaculaire, du moins troublante.

lochnessok323Atkinson, a photographié à l’aide de son portable l’écran de son sonar sur lequel on distingue une forme serpentine de près d’un mètre cinquante de large et qui évoluait a près de 23 mètres de profondeur. Elle a accompagné le navire pendant deux minutes avant de disparaitre dans les profondeurs sombres et boueuses du lac.

« Ce sont des images comme celles-ci qui m’encouragent à repartir en chasse pour 20 ans ! » Steve Feltham, un quadragénaire écossais, n’a pourtant guère besoin de recevoir des preuves pour s’enthousiasmer. Son « métier », chasseur du monstre « à plein temps », précise le Daily Mail qui consacre un article à cette drôle de photo.

Pour lui l’affaire de fait pas de doutes : «  il n’y a pas d’animaux aussi gros dans le lac. Les plus gros, ce sont les phoques et ils ne laissent pas ce genre de traces ». Conclusion pour lui : c’est Nessie. Les pêcheurs des environs, eux aussi, sont perplexes, même si des biologistes veulent plutôt y voir, rationnellement, un amas de poissons et d’organismes aquatiques.

Reste que cet enregistrement redonne espoir aux chasseurs professionnels comme aux curieux de voir exister cet animal qui hante le lac et une bonne part de l’histoire populaire de l’Ecosse.

Source

Sources et Liens complémentaires :

Le voilier de Tara Oceans s’apprête à explorer l’Arctique

Tara est un voilier en aluminium conçu pour la navigation en mers polaires. La forme de sa coque lui permet d'être pris par la glace de la banquise. Dans cette situation, il serait simplement soulevé. © Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Tara est un voilier en aluminium conçu pour la navigation en mers polaires. La forme de sa coque lui permet d’être pris par la glace de la banquise. Dans cette situation, il serait simplement soulevé. © Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Article source: futura-sciences.com

Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences, le :Le 23 avril 2013 à 17h56.
 FuturaSciences

Branle-bas de combat pour l’équipe de Tara Oceans Polar Circle : le navire océanographique va repartir en mer, vers le nord, cette fois, pour des études du plancton, bactéries comprises, tout autour de l’océan Arctique. La région est mal connue et l’enjeu scientifique est considérable. Le travail ne manquera pas pour les océanographes, durant les sept mois de ce voyage.

Le 19 mai 2013, la goélette Tara quittera le port de Lorient et fera route vers Tromsö, en Norvège, un peu au-delà du cercle polaire arctique. À bord, des biologistes et océanographes, notamment du CNRS, de l’EMBL (European Molecular Biology Laboratory) et du CEA, effectueront des analyses de plancton. Que ce soit par la photo où la génétique, ils en étudieront tous les organismes, virus, archées, bactéries, algues et petits animaux. Il n’est pas si fréquent qu’un navire si bien équipé reste si longtemps dans ces régions, qui restent très mal connues alors qu’elles évoluent rapidement sous l’effet du changement climatique.

L’équipage et les scientifiques entameront le contournement de l’océan Arctique dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, commençant par le mythique « passage du nord-est », le long des côtes de la Sibérie. Ils termineront par le non moins célèbre « passage du nord-ouest », à travers l’archipel du Grand Nord canadien, qui ne fut franchi pour la première fois qu’entre 1903 et 1906 par Roald Amundsen sur un petit voilier, le Fram.

 Tara Oceans, une épopée scientifique

Le navire de Tara Oceans est conçu pour ces mers froides et encombrées de glaces puisqu’il a été réalisé pour Jean-Louis Étienne. Le grand explorateur polaire a navigué entre 1991 et 1996 sur cette goélette en aluminium de 36 m, à fond assez plat et double quille relevable, qui s’appelait alors Antarctica.

Sous le nom de Tara, le voilier a pris la mer durant deux ans et demi pour une vaste expédition que nos lecteurs ont pu suivre. Le long des 115.000 km parcourus, 126 scientifiques se sont succédé à bord, multipliant les mesures, océanographiques mais surtout biologiques et focalisées sur leplancton. Des caméras ont filmé, des appareils ont réalisé des analyses génétiques, des biologistes ont effectué des comptages et des identifications : le bilan scientifique est énorme. « Nous en avons pour plus de cent ans à travailler sur ces résultats », nous expliquait Gabriel Gorsky, directeur de l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-mer, l’un des coordinateurs de l’expédition, alors que son collègue Christian Sardet, hyperpassionné de plancton, nous parlait d’un « trésor ».

Au cours de ce long périple, seules les mers arctiques avaient été délaissées. C’est donc la continuité de cette expédition océanographique qui va être réalisée à partir de mai prochain, pour se terminer le 6 décembre par une arrivée dans le port de Lorient. L’ampleur de l’enjeu scientifique et la richesse de la moisson accumulée par la première partie de l’expédition Tara Oceans méritent que l’on suive cette expédition. Ce que Futura-Sciences ne manquera pas de faire. Restez en ligne et vous découvrirez les coulisses de cette épopée océanographique.

 

 dauphin

Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 24/04/2013 à : 10h25.

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Une île fantôme au milieu du Pacifique sud

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Article sourcehttp://www.ufologie-paranormal.org

ufologie et paranormal

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Note adm:

Samedi 20 avril 2013,14h05:

Alexis qui a fondé  ufologie & paranormal mérité un petit hommage que nous tenons à lui rendre.

L’ufologie lui a coûté cher , nous ne nous étendrons pas là -dessus, néanmoins le spécifier est normal , malgré tout il continue à s’investir dans cette filière souvent ingrate et qui attire les consommateurs de sensations venus de  tous horizons. Les gens ignorent les dessous , ce don de soi  qui se paie cash à un prix cher desfois .ALEXIS  sait ce que cela veut dire.

Alors oui nous le soutenons comme il l’ a fait pour nous qui étions à deux doigts de tout envoyer balader il y a quelques temps.

Sa sincérité, sa gentillesse et surtout sa loyauté est un exemple, voila cela est dit. Bon vent à ufo et paranormal un partenaire hors du commun pour nous, nous le remercions.

dauphin

Une île fantôme au milieu du Pacifique sud

SYDNEY (AFP) – Une île du Pacifique sud, répertoriée par Google Earth et de grands atlas mondiaux, n’existe pas, a indiqué jeudi une équipe de scientifiques australiens, partis, en vain, à la recherche de cette masse terrestre lors d’une expédition géologique.Cette île est visible sur l’atlas numérique Google Earth, sous le nom de Sandy Island, dans la mer de Corail, à mi-chemin entre l’Australie et le territoire français de Nouvelle Calédonie.Le Times Atlas of the World, un des atlas de référence, l’identifie sous le nom de Sable Island.Des cartes maritimes utilisés par le Southern Surveyor, un navire de recherches scientifiques, signalent elles aussi cette île, a raconté à l’AFP Maria Seton, membre de l’équipe scientifique partie à la recherche de cette île.Lors d’une mission d’identification des fragments de la croûte continentale australienne submergée en mer de Corail, les scientifiques n’ont jamais trouvé cette île.

« Nous voulions vérifier. Or les relevés indiquaient à cet endroit une profondeur de 1.400 mètres, soit une très grande profondeur », a ajouté Maria Seton, de retour de ce voyage en mer qui a duré 25 jours.

« C’est sur Google Earth et sur d’autres cartes. Mais on a vérifié et il n’y a pas d’île. On est vraiment étonné, c’est très bizarre« , a-t-elle ajouté.

« Une des choses les plus excitantes à propos des cartes et de la géographie, c’est que le monde n’arrête pas d’évoluer. Et garder le rythme de ces changements est une tâche qui ne finit jamais« , a déclaré à l’AFP un porte-parole de Google.

Le service hydrographique de la marine australienne, chargée de produire les cartes marines officielles, a indiqué à Fairfax Media qu’il prenait les données cartographiques communes « avec une pincée de sel », car certains détails sont dépassés ou erronés.

AFP

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La vie n’est qu’un fantôme errant ; un pauvre comédien / Qui s’agite et se débat une heure sur la scène,/ Et puis qu’on n’entend plus ; ce n’est qu’un récit / Fait par un idiot, plein de bruit et de fureur / Qui ne signifie rien

ufologie et paranormal

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 20 /04/2013 à : 14h05.

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Publié 20 avril 2013 par Sylv1 dans Mystères Marins et Légendes

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Le coelacanthe, « fossile vivant » du fond des mers, dévoile son ADN

Une équipe internationale de chercheurs a décodé le génome du coelacanthe, expliquant l’étrange aspect préhistorique de ce poisson et permettant de lever un coin du voile sur l’émergence des vertébrés terrestres, y compris les humains. Ce « fossile vivant », témoin de la sortie des eaux voici quelque 365 millions d’années, fascine les scientifiques mais reste très mal connu. On l’a même longtemps cru disparu, jusqu’à ce qu’un pêcheur sud-africain remonte un spécimen dans ses filets en 1938.L’événement est considéré comme une des plus grandes découvertes zoologiques du XXe siècle. Il a fallu attendre presque 15 ans avant qu’un autre spécimen ne soit pêché. Depuis, seulement 309 individus ont été découverts. Des scientifiques de 40 instituts de recherche de 12 pays différents ont participé au séquençage du génome du coelacanthe africain – quelque 3 milliards de « lettres » d’ADN -, décrit mercredi dans la revue britannique Nature.L’analyse confirme ce que les chercheurs suspectaient depuis longtemps : les gènes de ce très vieux poisson évoluent plus lentement que ceux de tous les autres poissons et vertébrés terrestres. Les chercheurs font l’hypothèse que les coelacanthes n’ont peut-être pas besoin d’évoluer, vivant à des profondeurs où peu de choses ont changé depuis des millénaires.« Ce n’est pas un fossile vivant, c’est un organisme vivant », a souligné Jessica Alföldi (Broad Institute de MIT et Harvard, Cambridge, Etats-Unis), un des auteurs principaux de l’étude. « Il ne vit pas dans une bulle de temps, il vit dans notre monde, c’est pourquoi il est si fascinant de découvrir que ses gènes évoluent plus lentement que les nôtres », a-t-elle ajouté.Traces du passage entre le poisson et ces créatures terrestresLe génome du coelacanthe permet également aux scientifiques d’aborder la question de l’évolution des premiers vertébrés terrestres à quatre pattes, les tétrapodes. L’animal porte en effet en lui les traces du passage entre le poisson et ces créatures terrestres : des ébauches de membres sur quatre de ses nageoires et une poche d’air qui serait le commencement d’un poumon primitif.Les chercheurs ont comparé plusieurs jeux de gènes: ceux du coelacanthe, ceux d’un autre poisson étrange qui possède aussi des nageoires ressemblant à des pattes et des poumons, connu sous le nom de dipneuste africain (Protopterus annectens), et ceux de 20 autres espèces de vertébrés. A travers cette étude, les tétrapodes apparaissent plus étroitement liés aux dipneustes qu’aux coelacanthes.Le problème, c’est que le génome du dipneuste, avec 100 milliards de lettres, est beaucoup trop lourd à séquencer en totalité. Celui, plus modeste, du coelacanthe se révèle ainsi bien utile pour fournir des indices précieux sur les changements génétiques qui ont permis aux tétrapodes de se développer sur la terre.Doigts et orteilsL’étude comparative du génome du coelacanthe avec ceux d’animaux terrestres a conduit à plusieurs découvertes originales. Les chercheurs ont repéré plusieurs grandes régions génétiques qui peuvent avoir joué un rôle dans la formation des éléments innovants des tétrapodes, comme les membres, doigts et orteils, ainsi que le placenta. Ils ont par ailleurs constaté un nombre important de modifications liées au système immunitaire.Ces changements pourraient constituer une réponse à de nouveaux agents pathogènes rencontrés sur terre. Un constat similaire a été fait sur les gènes impliqués dans la perception des odeurs. « Ce n’est que le début de nombreuses analyses sur ce que le coelacanthe peut nous apprendre sur l’émergence des vertébrés terrestres, y compris les humains », a souligné un des auteurs principaux de l’étude, Chris Amemiya (Institut de recherche Benaroya, Seattle, Etats-Unis).Pour en apprendre davantage sur la vie du mystérieux coelacanthe, une équipe franco-sud-africaine mène actuellement une campagne de plongée dans les grands fonds de l’océan Indien, sur la côte orientale d’Afrique du Sud.(Source : AFP)

viaLe coelacanthe, « fossile vivant » du fond des mers, dévoile son ADN.

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Le Mystère Atlit Yam – 10 000 ans sous les mers

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Article source:sciences-fictions-histoires.com

atlityam3Documentaire archéologique de Jean Bergeron, Can., 2013, 52 min, coul.

Projection en avant-première : 06/06/2013 – 12h30 Auditorium du Louvre sous la pyramide, Paris.

La côte du Levant est l’un des plus grands chemins empruntés par nos lointains ancêtres, avant que l’Homo sapiens ne se disperse aux quatre coins du monde. Presque partout des générations successives d’humains y ont laissé des traces de leur passage. Mais l’un des trésors inestimables de la région se trouve au fond de la mer… Au large d’une forteresse datant des Croisades, érigée elle-même sur les fondations d’un port phénicien.

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Sites engloutis recensés

En 1984à seulement 400 mètres de la côte par 10 mètres de fond, le Dr Ehud Galili, archéologue de l’Autorité israélienne des Antiquités et plongeur émérite, découvre une structure inhabituelle, partiellement dégagée, par une forte tempête, du sable qui la protégeait depuis des millénaires. S’agit-il d’une construction des Phéniciens, des Arabes, des Romains ou encore des Templiers ? Quelles sont les raisons de sa présence au large des côtes?

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Dès les premières fouilles, une toute autre histoire se dessine ; une toute autre « préhistoire » pourrait-on dire… L’excavation s’avère être le rêve de tout archéologue : la découverte du site préhistorique le plus grand et le mieux préservé jamais découvert le long de la côte méditerranéenne. Atlit Yam (Atlit sous-les-mers), cité de l’âge de pierre datant d’au moins 9 000 ans, s’étend sur plus de 40 000 mètres carrés, immergée entre 8 et 12 mètres de fond. Les artefacts pointent résolument vers le Néolithique précéramique.

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L’équipe scientifique découvre progressivement qu’Atlit Yam fut une communauté maritime prospère, dotée de nombreuses ressources, et qu’elle présente les caractéristiques d’un des tout premiers exemples de sédentarisation et de diète mixte (pêche et agriculture). Les signes d’activité maritime et de domestication d’animaux témoignent d’un degré assez élevé de civilisation, tout comme l’existence de pratiques rituelles, attestée notamment par la découverte d’un cercle de pierres dressées, semblable à celui de Stonehenge, pré-datant son célèbre équivalent de 4 000 ans. Ou celle de sépultures, nombreuses et intactes, contenant, outre des restes humains, des objets funéraires probablement destinés à accompagner le défunt dans l’au-delà. D’autres pratiques rituelles encore pourraient être liées à l’eau. Les fouilles ont en effet mis au jour des dizaines de cavités rondes découpées dans la pierre, avec des traces d’eau douce au centre de la structure.

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Mais l’eau, source de vie, objet de culte, fut la cause, pour Atlit Yam, d’un bouleversement lent et inéluctable, aux résonances bien contemporaines…

25 fois plus longue que l’Histoire écrite, la Préhistoire humaine demeure un vaste continent à explorer dont Atlit Yam révèle aujourd’hui un étonnant chapitre. Si les recherches du Dr Ehud Galili ont fait régulièrement l’objet de publications scientifiques depuis la découverte d’Atlit Yam, le site restait inconnu du grand public. Le film dévoile pour la première fois le résultat de ces fouilles exceptionnelles : le site préhistorique le plus grand et le mieux préservé jamais découvert le long de la côte méditerranéenne.

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http://mini-site.louvre.fr/trimestriel/2013/2/data/document.pdf

http://www.cataniacultura.com/121megaliti-e.htm

http://lexiline.blogspot.com/2008/12/atlit-yam-israel-underwater-megaliths.html

http://www.hadashot-esi.org.il/report_detail_eng.asp?id=2208&mag_id=120

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le: 18/04/2013 à : 22h00.

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Les cosmonautes russes amerriront au lieu d’atterrir (Poutine)

Сhantier du nouveau cosmodrome russe Vostotchny © RIA Novosti. Svetlana Mayórova

Сhantier du nouveau cosmodrome russe Vostotchny
© RIA Novosti. Svetlana Mayórova

Article source: fr.rian.ru

20:52 12/04/2013

COSMODROME VOSTOTCHNY (région de l’Amour), 12 avril – RIA Novosti

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Les cosmonautes russes amerriront au lieu d’atterrir après leur vols spatiaux, a annoncé vendredi le président russe Vladimir Poutine, en visite au chantier du nouveau cosmodrome russe Vostotchny, dans la région de l’Amour (Extrême-Orient).

« Ce cosmodrome a une route, une voie ferrée, il y a assez de place et il sera assez confortable pour l’atterrissage des cosmonautes à l’avenir. D’ailleurs, les spécialistes disent que la zone d’atterrissage passera progressivement à l’océan. Nos cosmonautes amerriront au lieu d’atterrir« , a indiqué M.Poutine lors d’une séance de liaison avec les membres de l’équipage actuel de la Station spatiale internationale (ISS) – les Russes Pavel Vinogradov et Alexandre Missourkine et l’Américain Christopher Cassidy.

Le président a espéré que le nouveau cosmodrome encouragera l’évolution de l’astronautique russe. La Russie pourra lancer des fusées lourdes et super-lourdes depuis Vostotchny. Cela permettra d’effectuer des missions d’exploration spatiale, d’étudier la Lune, Mars et d’autres astres. Un centre scientifique sera aussi érigé au cosmodrome de la région de l’Amour, selon M.Poutine.

La construction du cosmodrome Vostotchny permettra à la Russie de se désengager progressivement du site de Baïkonour qui s’est retrouvé sur le territoire du Kazakhstan après la chute de l’URSS. A l’heure actuelle, Baïkonour est le principal site spatial utilisé par la Russie, qui le loue aux autorités kazakhes.

dauphin

Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 17/04/2013 à : 05h20.

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