INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
L’un des artefacts découverts. Crédits : Secrets of the Ice
Des milliers d’artefacts et reliques historiques piégés dans les glaciers norvégiens, révélés en raison du changement climatique.
Article source : trustmyscience.com
Stéphanie Schmidt
L’une des conséquences d’une planète qui se réchauffe est le recul des glaciers, et des archéologues travaillant sur les calottes glaciaires des plus hauts sommets de Norvège ont découvert un véritable trésor d’artefacts.
Cette découverte comprend notamment des vêtements, des armes et même des skis anciens. Au total, plus de 2000 reliques ont été découvertes dans la région de Jotunheimen et les montagnes environnantes du comté d’Oppland, en Norvège. Des squelettes d’animaux de charge parfaitement conservés ont également été trouvés.
Dans le cadre de leurs recherches, l’équipe internationale de chercheurs a procédé à la datation au carbone des artefacts pour établir des modèles de chasse et de commerce dans les anciennes communautés qui parcouraient autrefois ces montagnes glaciales, révélant certaines tendances intéressantes des âges du bronze et du fer.
Une tunique de l’âge de fer, découverte dans un col de montagne. Crédits : Mårten Teigen/Museum of Cultural History
« Une des tendances qui nous a vraiment surpris a été l’augmentation possible de l’activité au cours de la période connue sous le nom de « Late Antique Little Ice Age » », explique l’un des membres de l’équipe, James H. Barrett, de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni. Il s’agit d’une période aux températures plus froides, allant de 536 à 660 de l’ère commune, lorsque les récoltes auraient probablement été insuffisantes et que les populations pourraient avoir diminué.
Toutefois, au niveau du nombre d’artefacts découverts, il n’y a pas de baisse correspondante au cours de cette période, ce qui laisse supposer que les activités de chasse et de commerce en montagne, se sont déroulées comme d’habitude. « Nous constatons alors un nombre particulièrement élevé de découvertes datant du 8ème et du 10ème siècle de notre ère, reflétant probablement une augmentation de la population, de la mobilité – y compris l’utilisation des cols de montagne – et du commerce », explique Barrett.
Cette période, située juste avant et pendant l’ère viking, était une période d’expansion générale en Scandinavie : plus de villes signifient plus de personnes ayant besoin de nourriture, de bois et de fourrures.
Un bâton de marche avec une inscription runique, datant du 11è siècle. Crédits : Vegard Vike/Museum of Cultural History
En revanche, les archéologues constatent une baisse du nombre d’objets découverts, datant du 11èmesiècle. Les variations de ce type pourraient s’expliquer, par exemple, par l’amélioration des méthodes agricoles, l’aggravation des conditions climatiques ou (dans le cas d’un effondrement de l’activité au milieu du XIVème siècle), l’arrivée de la peste.
L’une des missions de ces archéologues est d’essayer de préserver au maximum ces découvertes historiques lorsqu’elles émergent de la glace et avant qu’elles ne soient détruites par les conditions météorologiques offrant des conditions drastiquement différentes que durant leur conservation dans la glace pendant de si nombreuses années. Les habits et les tissus sont particulièrement susceptibles de se détériorer. Par conséquent et pour pouvoir récupérer les artefacts tandis que la glace fond, le travail sur le terrain doit être « minutieusementplanifié et systématique », a déclaré Barrett.
À présent, le travail des archéologues continue et nous allons sans doute pouvoir en apprendre plus sur l’histoire norvégienne. « Le travail sur le terrain est quelque chose de difficile – la randonnée avec tout notre équipement, souvent en camping sur le pergélisol – mais c’est très enrichissant », explique Barrett. « Vous sauvez l’archéologie, en attirant l’attention sur la fonte des glaces, en découvrant une histoire environnementale unique, tout en vous connectant réellement à l’environnement naturel », ajoute-t-il.
Pour en découvrir davantage sur le travail de ces archéologues, vous pouvez visiter leur site internet, Secrets of the Ice, où sont détaillées leurs découvertes.
On se demande souvent pourquoi de nombreux coraux des profondeurs sont si colorés dans un environnement complètement sombre.
Pour mieux comprendre cela, nous devons d’abord comprendre ce que sont la lumière et la couleur. Pour les besoins de cet article, la lumière se réfère à la partie visible du spectre électromagnétique que l’œil humain peut détecter.
Certains animaux ont des yeux qui peuvent détecter des parties du spectre électromagnétique que nous ne pouvons pas voir, par exemple, la lumière ultraviolette ou infrarouge. La lumière blanche comprend toutes les longueurs d’onde du spectre visible. Si nous pouvions séparer les longueurs d’onde de la lumière blanche, nous verrions un arc-en-ciel de couleurs, comme le montre le passage d’une lumière blanche à travers un prisme.
La couleur est due à la réflexion de différentes longueurs d’onde de la lumière visible. Lorsque la lumière blanche frappe un objet, certaines longueurs d’onde sont absorbées. Les longueurs d’onde qui ne sont…
La plus grande grotte sous-marine du monde découverte au Mexique
Article source et image : futura-sciences.com
Publié le 19/01/2018
Des plongeurs ont trouvé des passages entre les grottes sous-marines de Sac Actun et Dos Ojos, au Mexique. Ensemble, ces dernières forment ainsi la plus grande grotte sous-marine connue du monde ! Le site est précieux pour l’eau douce qu’il renferme ainsi que pour sa biodiversité et ses trésors archéologiques.
Plongeur infatigable spécialisé dans l’exploration des grottes sous-marines au Mexique, en particulier dans le Yucatán depuis quatorze années, Robert Schmittner a découvert, avec son équipe du projet GAM (Gran Acuífero Maya, ou Great Maya Aquifer, en anglais, qui signifie « grand aquifère maya »), après dix mois de recherche, des connexions entre les deux grands systèmes de Sac Actun et Dos Ojos. Ce labyrinthe immense de galeries submergées est long de quelque 347 kilomètres au total.
Il s’agit donc désormais de la plus grande grotte sous-marine au monde, détrônant celle de Ox Bel Ha (269 kilomètres), également dans la même région mais plus au sud. Située au nord de la ville de Tulum et longue de 262 kilomètres, Sac Actun était, elle, deuxième. Quant à Dos Ojos (83,7 kilomètres), elle n’était pas loin : classée quatrième du classement. Mais, maintenant, puisque les deux systèmes sont connectés, ils n’en forment plus qu’un seul et gigantesque, qui porte le nom du plus grand des deux : Sac Actun, comme le veulent les règles en spéléologie.
Bien sûr, Robert Schmittner ne va pas s’arrêter là : il a déjà commencé les recherches de passages avec les autres grands systèmes de la péninsule du Yucatán, convaincu que Sac Actun est relié avec eux (du moins avec certains). Rien que dans le nord-est de l’État de Quintana Roo, ils ne sont pas moins de 358 pour un total de 1.400 kilomètres (voir la liste ici).
Au-delà de ses dimensions spectaculaires, le vaste réseau de grottes sous-marines représente de véritables couloirs du temps où gisent de nombreux vestiges du passé : des vestiges humains, mais aussi d’animaux et de plantes. « Cette immense grotte représente le site archéologique submergé le plus important du monde, a déclaré le spéléologue, puisqu’elle compte plus d’une centaine de contextes archéologiques, parmi lesquels se trouvent les traces des premiers colons d’Amérique, ainsi que celles de la faune disparue et, bien sûr, celles de la culture maya». C’est dans les eaux du gouffre de 43 mètres de profondeur de Hoyo Negro (en français « trou noir »), dans le réseau de Sac Actun, qu’a été trouvé le squelette de Naia en 2007. Comme certains animaux de l’âge de glace, la jeune fille qui vivait dans la région il y a environ 13.000 ans est malheureusement tombée dans ce trou. Bien des siècles et des millénaires plus tard, les descendants de la civilisation maya considéreront ces cénotes (dérivé du maya dz’onot signifiant « puits sacrés ») comme des bouches à travers lesquelles ils pouvaient communiquer avec les dieux des mondes souterrains. De nombreux objets de leur culture y ont été pêchés.
Enfin, en plus de ces trésors archéologiques, les eaux de ces multiples grottes inondées du Yucatán sont très précieuses pour la biodiversité qu’elles accueillent et, bien sûr, pour la grande réserve d’eau douce qu’elles constituent pour les habitants d’aujourd’hui en surface.
CE QU’IL FAUT RETENIR
Des plongeurs spéléologues qui arpentaient deux grottes sous-marines dans le nord de la péninsule du Yucatán, au Mexique, ont découvert des passages entre ces deux dernières.
L’ensemble forme « le site archéologique submergé le plus important du monde ». Cet immense labyrinthe est long de 347 kilomètres, mais il pourrait être encore plus vaste…
Après 10 années passées au sein de l’association UFO-Science, suite à un désaccord avec la nouvelle ligne directrice de l’association, sur les projets à mener et les moyens de les faire aboutir, je me dois aujourd’hui de démissionner de mon poste de secrétaire, membre du bureau.
Cependant, l’Aventure continue! Afin de mener à bien les projets, qui je suis convaincu, auront un impact positif sur le grand public, une nouvelle structure va être mise en place dans les prochaines semaines. Une structure plus axée sur l’humain, sur les sciences participatives, et toujours basée, entre autres, sur l’étude du ciel, les PANs, les interventions sur le terrain et les études en laboratoire. Plus qu’une simple sensibilisation, nous vous apporterons tout ce dont vous aurez besoin pour assouvir votre soif de connaissances et stimuler votre imagination sans limites.
L’équipe se met déjà en place, se fédère. Les projets sont d’ores et déjà sortis du tiroir, prennent vie. Cette nouvelle structure en devenir sera bientôt une réalité, au contact du public.
Si vous souhaitez en savoir plus, si vous souhaitez vivre cette nouvelle Aventure, n’hésitez pas à me contacter via messagerie privé.
Continuons. À très vite!
Vendredi 19 Janvier 2018.
Nous entretenons d’excellents rapports avec Mathieu que nous avons rencontré à Toulouse en juin 2017.
Nos travaillons ensemble sur un projet, ayant eu une même idée au même moment.
Nous laissons Mathieu peaufiner son projet et nous relaierons les informations.
Nous lui donnons raison, une structure doit avoir une base saine, solide, ludique et surtout accessible pour le grand public.
Vous pouvez en savoir plus en contactant directement Mathieu Ader sur son Facebook en mp.
Le 14 mars 2017, le Navire NOAA Okeanos Explorer lors de la sixième plongée de l’expédition à Carondelet Reef, dans le Pacifique a observé ce siphonophore en eau profonde à environ 1700 mètres.
Bien qu’ils puissent sembler être un seul organisme, ces siphonophores géants sont en fait composés d’une colonie d’hydrozoaires individuels, chacun étant spécialisé pour différentes fonctions telles que la nage, l’alimentation et la reproduction.
Ce siphonophore benthique ressemblant à un ver à ruban, il est d’environ 17 centimètres de long.
Vidéo avec la courtoisie du Bureau de l’exploration et de la recherche océanographiques de la NOAA, Discovering the Deep: exploration des AMP du Pacifique.
Un pilote américain qui prétend avoir poursuivi un engin extraterrestre a averti les dirigeants du monde de prendre au sérieux les observations d’OVNIS.
David Fravor, ancien pilote de l’US Navy, a pris la défense de Luis Elizondo, ancien officier des renseignements du gouvernement américain, qui a révélé la semaine dernière qu’il dirigeait un véritable département de recherche sur les OVNIS au Pentagone, appelé Advanced Aviation Threat Identification Program (AATIP). de 16 millions de livres sterling (22 millions de dollars) d’argent des opérations secrètes du Congrès.
Elizondo a obtenu la publication de vidéos du Département de la Défense des États-Unis, déjà classées, sur les rencontres d’OVNIS – dont l’une montre le vaisseau que Fravor a vu partir à une vitesse…
Bienvenue pour cette nouvelle année, à ce titre nous vous présentons nos vœux de bonheur , santé et que vos projets se réalisent.
Faisons le point pour 2018 .
La recherche et le partage de l’information resteront le moteur de ce site.
Nos activités seront à cet effet axées principalement sur ces objectifs comme les années précédentes.
Mon second livre devrait sortir au mois d’Octobre sauf si survient des événements imprévus.
Il devrait s’intituler OANI compléments d’investigation voir image ci-dessus ( éditions SAINT MARTIN).
Au mois de juin nous devrions être présents à Annecy pour les repas ufologiques d’ Annecy et pour animer une veillée suricate.
Les conférences ou autres rassemblements au fil de l’année seront possibles au gré des gens , associations, groupes etc, à la demande.
Pour ceci veuillez nous contacter sur notre boite mail inscrite ci-dessous et à la page d’accueil du site dans les menus verticaux situés en bas à gauche.
investigation.oanis@gmail.com
Les témoins peuvent nous livrer leurs témoignages ou nous contacter par ce biais.
Nous vous informerons des événements et des nouvelles de l’actualité au cours de l’année .
Nous vous remercions pour votre fidélité et éventuelle contribution à enrichir ce site au niveau connaissances, informations et ou témoignages.
Bonne année 2018 à toutes et à tous.
Un bateau fantôme filmé ?
Pour commencer cette nouvelle année et écrire une nouvelle page voici un cas insolite qui est rapporté des États-Unis. Un homme prétend avoir filmé un navire fantôme !! Ceci a eu lieu en 2016, le 8 octobre, Jason Asselin s’est en tout cas posé la question ce fameux samedi 8 octobre. il était venu filmer le coucher de soleil sur le lac Supérieur avec un ami.
Il a posté sa vidéo sur youtube.
Chacun se fera son opinion. En tout cas cette capture est assez insolite.