Archives de février 2012

Un orbe poursuit un bateau en Suède

La  vidéo est datée du  17 septembre 2011. Sur la vidéo on voit un étrange objet sphérique qui semble suivre un bateau pneumatique.

Est ce un oani (objet aquatique non identifié) qui poursuit ce bateau ? ou n’est ce comme beaucoup le déclarent qu’une bouée tirée par un poisson ? Quoi qu’il en soit cela a attiré l’attention des militaires qui n’excluent pas  la possibilité d’un sous marin :

Armée : “Cela pourrait être un sous-marin.”  Jan Thomquist, Commandant tactique naval. 

“Nous prenons l’affaire au sérieux. On ne peut pas exclure qu’un sous-marin soit impliqué », déclare  Jan Thomquist, Commandant tactique naval. Des observations d’Amis de Maseskar ont été transmises aux  Forces armées.

“il est trop tôt pour dire ce dont il s’agit. La raison pourrait être les forts courants, mais réellement, je ne ferai aucun commentaire tant que nous n’avons pas terlminé les analyses » déclare t il. Pas d’exclusion…Si un sous-marin peut être impliqué, il ne l’excluera pas.

“Je n’ai aucune raison de le faire.  L’analyse le montrera. Nous estimons que nous avons reçu ce rapport et nous le prendront très au sérieux. »

S’il s’agit d’un sou-marin c’est autant étonnant qu’effrayant. Que fait un sous marin sur les côtes suédoises ?

Regardez la vidéo – Que  pensez-vous ?

Source : Examiner.com via http://alienxfiles.com/small-white-uso-orb-chases-boat-of-the-coast-of-sweden-video

 

Publié 29 février 2012 par Era dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s), Témoignages

Tag(s) associé(s) : , , , , , , , ,

Yamato

Note adm: 

Nous ferons une pierre deux coups avec  2 documents: un navire de guerre japonais et son histoire tragique et un prototype fonctionnant à la propulsion magnétohydrodynamique ou ( MHD), documents pour ce site.

Article source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Yamato_1

Le Yamato 1 exposé à Kōbe au Japon

Un des deux groupes MHD propulseurs, au Ship Science Museum

Le Yamato 1 est un démonstrateur technologique civil japonais de navire à propulsion électromagnétique (utilisant les principes de lamagnétohydrodynamique) conçu à partir de 1985 et réalisé au début des années 1990. Il se déplace silencieusement jusqu’à une vitesse de 8nœuds (15 km/h) par réaction et sans hélice, grâce à un accélérateur MHDaspirant à l’avant l’eau de mer, naturellement conductrice de l’électricité, et la rejetant à l’arrière.

Conçu par la firme japonaise Ship & Ocean Foundation (auparavant connue sous le nom de Japan Shipbuilding Industry Foundation et devenue depuis laOcean Policy Research Foundation), les éléments-clés ont été réalisés en partenariat avec plusieurs sociétés :

Le Yamato 1 mesure 30 mètres de long pour 14 mètres de large, pèse 280 tonnes à pleine charge et peut embarquer 10 personnes. Il possède une coque plate en dessous, munie de deux propulseurs longitudinaux parallèles de chaque côté. Chacun de ces deux propulseurs intègre un groupe d’accélérateurs MHD disposés en forme de “barillet de revolver” (6 tuyères MHD de Faraday par propulseur) équipés d’électroaimants supraconducteurs refroidis par hélium liquide, chaque groupe produisant unchamp magnétique de 4 teslas, et débitant un courant électriquetransversal jusqu’à 2 000 ampères, l’ensemble produisant une poussée totale combinée de 16 000 newtons. Il a navigué pour la première fois dans la baie de Kōbe le 19 juin 1992, où il a atteint à cette occasion une vitesse de croisière de 6 nœuds (11 km/h) au lieu de 8, en raison d’un léger défaut (quench) de l’aimant tribord.

Malgré la conception de plusieurs prototypes de navires à propulsion MHD par Mitsubishi dans les années 1990 (conception théorique et maquettes), aucun Yamato 2 plus puissant n’a été réalisé.

Historique d’un autre Yamato

Vidéos 

The blue Ocean in red

Forêts de kelps géants, banc de marlins voiliers en chasse, baleine gigantesque, nuages de méduses translucides… Un vrai festival, tourné avec l’une des meilleures caméras au monde : la mythique RED One…


© Howard Hall www.howardhall.com / Music by Shie Rozow www.shierozow.com

 

Publié 27 février 2012 par Era dans time laps / vidéos

Tag(s) associé(s) : ,

Mystère océanique : Le Bloop

Icône d'alerteimage et article source: http://fr.wikipedia.org/
Icône d'alerte

Spectrogramme du bloop

Lire le son
Bloop.ogg

Un enregistrement du bloop (accéléré 16 fois). Source NOAA

Le bloop est un son d’ultra-basse fréquence détecté par le National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américain à plusieurs reprises durant l’été 1997, dont l’origine demeure inconnue.

Analyse

Le son a été détecté au large de la côte sud-ouest de l’Amérique du Sud par le réseau hydrophone autonome de l’océan Pacifique équatorial, qui utilise l’équipement du Sound Surveillance System de la United States Navy destiné à l’origine au repérage des sous-marins soviétiques.

D’après la description du NOAA, le son « monte rapidement en fréquence sur environ une minute et à une amplitude suffisante pour être détecté par plusieurs capteurs sur une portée de plus de 5 000 km. » Bien qu’il recoupe le profil audio d’une créature vivante, il n’y a aucun animal connu qui pourrait avoir produit ce son. Si c’était un animal, il serait énorme, plus grand que la baleine bleue, d’après des scientifiques qui ont étudié le phénomène.

Il n’y a aucune explication actuellement sur l’origine de ce son qui n’a plus été entendu depuis 1997.

Possibilités:

  • Il est possible d’identifier les animaux d’après le son qu’ils émettent. Le bloop, bien qu’il ressemble au son émis par une baleine bleue, provenait d’une distance de 4 800 km. Certains pensent que ce son aurait pu être émis par une baleine (qui serait alors gigantesque) et porté sur cette distance par des courants marins chauds.
  • Certains scientifiques postulent que ce son pourrait être émis par un énorme et encore non découvert calamar géant ou pieuvre, ou une nouvelle espèce de poisson ou baleine encore plus grand que la baleine bleue. Phil Lobel, un biologiste de l’Université de Boston, conteste ces hypothèses, soulignant que les céphalopodes connus n’ont pas de membranes gazeuses nécessaires pour produire ce genre de son, et qu’un cétacé doit faire surface pour respirer et aurait déjà dû être repéré1.
  • Théoriquement, le bloop pourrait être produit par une machine. La fréquence est possible mais le volume sonore serait plus difficile à produire. Un sous-marin nucléaire est une hypothèse envisageable : lorsqu’un sous-marin veut s’immerger ou remonter à la surface il remplit ou purge ses ballasts. Le temps de remplissage ou de purge de ces ballasts peut durer entre 30 secondes et une minute2.
  • Il est aussi possible que ce son ait été produit par un grand nombre de créatures émettant une vibration synchronisée.
  • Une hypothèse sismique semble peu probable vu la nature du son et le fait qu’il ait été répété plusieurs fois, par ailleurs il n’y a ni faille, ni activité sismique sous-marine dans cette région.
  • En 2005 paraissait un article3,4 dans le magazine scientifique Science décrivant les phénomènes complexes qui aboutissent à faire émettre des sons de très basses fréquences par des icebergs.
  • Coïncidence remarquable:

    Le point d’origine du bloop est relativement proche de la ville fictive de R’lyeh imaginée par H. P. Lovecraft. Dans sa nouvelle L’Appel de Cthulhu5, Lovecraft avait situé R’lyeh à 47°9′S126°43′W dans l’Océan Pacifique sud6. Dans la mythologie lovecraftienne, le grand ancien Cthulhu était enfermé dans cette cité mythique.

    L’origine du son est également proche du point Nemo (48°50′S 123°20′W ), c’est-à-dire le point de l’océan le plus éloigné de toute terre émergée ; soit un lieu très peu fréquenté par l’Homme (pôle maritime d’inaccessibilité).

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Source vidéo youtube

Ajoutée par le 18 janv. 2012

Juillet 1997, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) détecte au large de la côte sud-ouest de l’Amérique du Sud (Point NEMO) un son d’ultra-basse fréquence jamais produit auparavant sur notre planète.

Utilisant l’équipement du Sound Surveillance System de la United States Navy destiné à l’origine au repérage des sous-marins soviétiques, le son monte rapidement en fréquence sur environ une minute et à une amplitude suffisante pour être détecté par plusieurs capteurs sur une portée de plus de 5 000 km.

Bien qu’il recoupe le profil audio d’une créature vivante, il n’y a aucun Animal connu qui pourrait avoir produit ce son. Si c’était un Animal, il serait énorme, plus grand que la baleine bleue, d’après des scientifiques qui ont étudié le phénomène.

Il n’y a actuellement aucune explication sur l’origine de ce son qui n’a plus été entendu depuis 1997.

Les maux de la terre gagnent les océans

Article source: http://jack35.wordpress.com/ (merci jack )

En examinant les mammifères marins morts, déposés par la mer sur les rives du Canada, le biologiste Andrew Trites a découvert avec désarroi qu’ils étaient victimes de maladies frappant habituellement les animaux élevés par l’homme.

Partout dans le monde, phoques, otaries et d’autres animaux marins sont de plus en plus contaminés par des parasites et d’autres maux propres aux chèvres, vaches, chats et chiens, avertissent des experts qui viennent de participer à une conférence scientifique à Vancouver, dans l’ouest du Canada.

Ces maladies menacent aussi de plus en plus les hommes pour qui la mer est un lieu de vacances, un lieu de travail, ou encore une source de nourriture, ont dit des chercheurs lors de la rencontre annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS).

Acides et chauds
Le symposium “Surnager dans les mers malades” n’était qu’une des nombreuses sessions offrant une image sombre des océans, de plus en plus acides, de plus en plus chauds dans certaines régions, ou encore envahis par les glaces fondantes ou touchés par d’autres effets du changement climatique.

“L’écosystème des océans subit des changements dramatiques”, a dit Jason Hall-Spencer, de l’Université de Plymouth en Grande-Bretagne, citant ses recherches en Italie, en Basse-Californie et en Papouasie-Nouvelle Guinée qui aboutissent au même constat: avec la hausse du taux de dioxyde de carbone “on voit une chute de 30% des microbes, plantes et animaux” dans les océans.

Destruction

Gretchen Hofmann, de l’Université de Californie à Santa Barbara, a indiqué que l’acidité croissante des océans, causée par le CO2 venant des carburants fossiles, tue le naissain –les larves d’huîtres et de moules notamment– dans le monde entier.

Sur les côtes pacifiques du nord-ouest du Canada et des Etats-Unis, la destruction des élevages de mollusques menace une industrie dont le chiffre d’affaires atteint 200 millions de dollars, a souligné Mme Hofmann.

Disparition dramatique

Dans un autre domaine, Lisa Levin, de l’institut d’océanographie Scripps de La Jolla en Californie, met en garde contre les menaces que le réchauffement de l’eau de mer et par conséquent la diminution de sa teneur en oxygène font peser sur les organismes vivant dans les profondeurs depuis des millénaires.

“Nous n’avons vu que moins de 5% de ces habitants des grands fonds et si nous les éliminons, nous ne les verrons jamais”, a dit Mme Levin, convaincue que certains d’entre eux pourraient être très utiles à l’homme. M. Trites, directeur de l’unité de recherche sur les mammifères marins au Centre de la pêche à l’Université de la Colombie-Britannique, compare les animaux morts échoués sur les côtes à des “canaris de mines de charbon” (qui avertissait par leur mort de la présence de gaz).

Parasites

Aujourd’hui, parasites, champignons, virus et bactéries passent plus facilement de la terre à la mer à cause de l’action de l’homme qui bétonne ou assèche des zones marécageuses ayant joué le rôle de filtre naturel et pratique une agriculture intensive. Ainsi, le parasite cellulaire toxoplasma gondii, qui provoque des avortements chez les vaches, menace aussi les animaux marins, déjà touchés par la pollution causée par l’homme, a dit Andrew Trites.

L’évolution des maladies touchant la faune marine “pourrait avoir un impact encore non reconnu chez l’homme”, a mis en garde Melissa Miller, vétérinaire californienne. “Nous vivons dans les mêmes zones et mangeons souvent les mêmes aliments”. Les chercheurs ont appelé à une surveillance accrue des risques qu’entraîne pour la santé humaine une plus grande présence de parasites et pathogènes d’origine terrestre chez les mammifères marins.

(Source : AFP)

Article à la « source »

Publié 24 février 2012 par Sylv1 dans documents et articles divers

Tag(s) associé(s) :

Kuroshio Sea Aquarium

                                                                         Image source:http://lindsaydigital.com/blog/?p=192

Kuroshio Sea Aquarium

Vidéo que je vous propose:

http://japonpassion.wordpress.com/

Publié 23 février 2012 par Sylv1 dans time laps / vidéos

Tag(s) associé(s) :

Lexique des termes de Marine

 

Source: http://www.netmarine.net/guides/dico/index.htm

(D’après le Glossaire des termes courants de vocabulaire maritime, Ecole Navale et Groupe Ecoles du Poulmic, Edition 1977). (A noter 3 dictionnaires intéressants français-anglais et anglais-français de la marine, français-anglais et anglais-français de l’armement et lexique français-anglais-allemand-italien-espagnol-russe des termes de marine, par le CC Richard Dobenik – disponibles auprès de l’éditeur ‘la Maison du Dictionnaire » 98, Bd du Montparnasse 75006 Paris)

 

A

 

 

Abaca : Bananier des îles Philippines dont les fibres des feuilles fournissent une matière textile dite « chanvre de Manille », employée pour faire des cordages légers, moins solides que ceux en chanvre, mais aussi moins onéreux.

 

Abattre : Ecarter sa route du lit du vent. Ce mouvement s’appelle une abattée.

 

Abord (en) : Sur le côté du bâtiment.

 

Accastillage : Objets et accessoires divers équipant un navire.

 

Accore : Se dit d’une côte escarpée dominant une mer profonde. Bord d’un récif ou d’une roche : à l’accore de…

 

Accoster : Placer un bâtiment le long d’un quai ou le long d’un autre navire.

 

Acculée : Mouvement en arrière d’un navire, il cule.

 

Adonner : Le vent adonne pour un navire à voiles quand il tourne dans un sens favorable à la marche, c’est à dire quand il vient plus à l’arrière. Le contraire est : refuser.

 

Affaler : Faire descendre ; c’est le contraire de hâler – Affaler quelqu’un le long du bord, ou d’un mât, c’est le faire descendre au bout d’un filin (en général, assis dans un noeud de chaise).

 

Aiguillots : Pivots fixes sur une mèche du gouvernail ou sur l’étambot et tournant dans les femelots.

 

Aileron : Partie de tente qui se place en abord. Prolongements en abord et généralement découverts de l’abri de navigation.

 

Ajut : Noeud servant à réunir momentanément deux bouts de cordage – Faire ajut.

 

Allure : Direction d’un navire par rapport à celle du vent.

 

Amariner : Amariner un équipage : l’habituer à la mer.

 

Amarrage : Action d’amarrer – Matelotage : bout de lusin, merlin, ligne, etc. servant à relier ensemble deux cordages.

 

Amarres : Chaînes ou cordages servant à tenir le navire le long du quai.

 

Amener : Abaisser – Faire descendre.

 

Amer : Point de repère sur une côte.

 

Amure : Manoeuvre qui retient le point inférieur d’une voile du côté d’où vient le vent (voile carrées). Par extension est synonyme d’allure. Pour les bateaux latins, on continue à dire qu’ils naviguent bâbord ou tribord amures, selon que le vent vient de la gauche ou de la droite.

 

Anguillers : Conduits, canaux ou trous pratiqués dans la partie inférieure des varangues des couples pour permettre l’écoulement de l’eau dans les fonds.

 

Anspect : Ou barre d’anspect. Levier en bois dur servant à faire tourner un cabestan ou un guindeau. Primitivement, servait à pointer les canon en direction.

 

Aperçu : Pavillon signal que l’on hisse pour indiquer que l’on a compris un signal.

 

Apiquer : Hisser l’une des extrémités d’un gui ou d’une vergue de manière à l’élever au dessus de l’autre.

 

Apparaux : Ensemble des objets formant l’équipement d’un navire.

 

Appel : Direction d’un cordage, de la chaîne de l’ancre – Voir aussi : rappel.

 

Appuyer : Haler, raidir un cordage pour soutenir ou fixer l’objet auquel il aboutit. Appuyer un signal, c’est l’accompagner d’un signal sonore, coup de Klaxon, pour attirer l’attention. Appuyer la chasse : poursuivre obstinement.

 

Araignée : Patte d’oie à grand nombre de branches de menu filin qu’on installe sur les funes des tentes et tauds pour permettre de les maintenir horizontaux. Hamac : réseau de petites lignes à oeil placées à chaque extrémité de la toile du hamac pour le suspendre : elles se réunissent à deux boucles métalliques ou organeaux d’où partent les « rabans » de suspension.

 

Arborer : Arborer un pavillon, c’est le hisser au mât. En Méditerranée, dans la langues des galères, le mât s’appelait l’arbre.

 

Ardent : Un navire est ardent lorsqu’il tend de lui-même à se rapprocher du lit du vent. C’est le contraire du mou.

 

Armement : L’armement d’un bâtiment consiste à le munir de tout ce qui est nécessaire à son genre de navigation; ce terme désigne aussi la totalité des objets dont un navire est muni. Ces objets sont inscrits sur les « feuilles d’armement ». Dans une embarcation, on appelle ainsi son équipage.

 

Armer : Armer un navire : le munir de son armement. Armer un câble : le garnir en certains endroits pour le garantir des frottements.

 

Arraisonner : Arraisonner un navire c’est le questionner sur son chargement, sa destination, et toutes autres informations pouvant intéresser le navire arraisonneur.

 

Arrimage : Répartition convenable dans le navire de tout les objets composants son armement et sa cargaison.

 

Arrivée : Mouvement que fait le navire quand il s’éloigne du lit du vent pour recevoir le vent plus de l’arrière. Syn. : « abattée ». Contraire : « auloffée ».

 

Arrondir : Passer au large d’un cap pour éviter les dangers qui le débordent.

 

Assiette : Manière dont le navire est assis dans l’eau, autrement dit sa situation par rapport à la différence de ses tirants d’eau avant et arrière. Assiette positive : T AV < T AR – Assiette négative : T AV > T AR.

 

Atterrir : Faire route pour trouver une terre ou un port.

 

Attrape : Cordage fixé sur un objet de façon à pouvoir en temps utile l’amener à portée de main.

 

Atterrissage : Action d’atterrir.

 

Auloffée : Mouvement d’un navire tournant son avant vers le lit du vent. Contraire : arrivée abattée (ou abattée).

 

Aveugler : Une voie d’eau : obstruer avec des moyens de fortune

SUITE

 

 

       

Publié 23 février 2012 par Sylv1 dans Lexique

Tag(s) associé(s) : ,

les archéobactéries

Image source: http://biologie.keuf.net/t4-topic

Article source: http://expobiologie.free.fr/arch%E9o.htm

Présentation

        Les archéobactéries furent découvertes en 1977 par Carl Woese, professeur de l’université de l’Illinois. Avant les travaux de celui-ci, le monde du vivant était découpé, sur la base du plan d’organisation cellulaire, en deux grands ensembles : les procaryotes et les eucaryotes. Toutes les analyses phylogénétiques moléculaires montrent que l’ensemble du vivant doit être désormais partagé en 3 groupes fondamentaux, situés à un même niveau phylogénétique : les Archéobactéries, lesEubactéries et les Eucaryotes. Elles représentent 3 lignées évolutives très anciennes. Deux de ces super-règnes sont donc représentés par des procaryotes, dont la morphologie et le plan d’organisation sont simples en comparaison de ceux des eucaryotes. Les archéobactérie vivent dans des milieux extrêmes (température élevée, milieu acide, milieu salé, température très basse…) et se distinguent par de nombreux caractères (biochimique, physiologique, et génétique…).

Suite:

Lien externe:

http://biologie.keuf.net/t4-topic

Vidéo youtube:

Extremophiles in hot water

Si cette vidéo ne fonctione pas cliquez ICI

 

Publié 23 février 2012 par Sylv1 dans biodiversité marine, océanographie

Tag(s) associé(s) : , , , ,

Les marins d’iroise

 

Publié 23 février 2012 par Era dans Chant des marins

Chants de marins

Note adm:

Petite pause détente voyage en chanson:

Source: http://chants-marins.info/intro.html

Les origines

Malgré des conditions de vie difficiles et des horaires de travail impensables de nos jours, et malgré la pauvreté, on chantait en permanence sur les bateaux, pour le travail comme pour la détente.

Le répertoire maritime ne se limite pas aux seuls chants des marins embarqués sur les longs-courriers : il faut y ajouter les chansons des matelots des navires de commerce, des bateaux de pêche, ou des marins de la Royale. Il comprend aussi celui de toutes les communautés qui vivent sur le littoral et sont en relation avec la mer : les charpentiers et les chaudronniers de marine, les artisans divers, les femmes de marins… On peut aussi inclure les chants des gens de la rivière : bateliers, mariniers, etc.

En dehors des chants de marins proprement dits, on trouve en effet dans toutes ces communautées littorales des chansons à thème maritime. Certaines de ces chansons ont même été recueillies dans les terres, et parfois très loin le long des fleuves, alors même qu’elles ont disparu des côtes, oubliées par leurs interprètes d’origine.

Les thèmes

Certains thèmes sont très répandus et apparaissent sous de très nombreuses versions, le temps et la tradition orale ayant transformé soit les paroles, soit la mélodie, soit le rythme, parfois les trois.

On trouve ainsi des dizaines de versions sur le thème des trois navires chargés de blé :
Illustration sonore :  A Nantes à Nantes viennent d’arriver, par le groupe Babord Amures (extrait).
 

Les autres thèmes les plus fréquents sont le navire merveilleux, les trois marins de Groix, la courte paille, la frégate La Danaë.

Enfin il faut noter certaines chansons terriennes, transformées et ‘amarinées’ par les matelots, qui ont modifié les couplets, ajouté des refrains bien maritimes, ou transformé le rythme pour en faire des chants de travail.

Les répertoires régionaux

Une grande majorité des marins étaient originaires de Bretagne (près des deux tiers vers 1900 !) et plus généralement de l’ouest de la France (Poitou, Normandie…). Il est donc normal de retrouver les variantes régionales des chansons traditionnelles françaises, dont certaines remontent au 18ème siècle, ou même au 17ème. Mais il faut ajouter à ces chansons en français des chansons en breton, en flamand, en occitan, en basque… Chacun de ces répertoires a ses particularités et des chansons inconnues du reste de la France.

Les Québecois ont eux aussi développé un répertoire régional spécifique, avec les chants de ‘voyageurs’ et de ‘draveurs’ :
 

Illustration sonore :  Le voyageur de la Gatineau, par le groupe Babord Amures.
 

SOURCE

Publié 22 février 2012 par Sylv1 dans Chant des marins

Tag(s) associé(s) :