INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Vidéo qui résume ici nos activités liées au thème OANI et océanographie – réalisée par Emilie Athenour enquêtrice certifiée de Mufon France que nous remercions pour cette belle réalisation «
Par Allyson Blair | 31 décembre 2020 à 17h19 HST – Mis à jour le 1er janvier à 18h22
Traduction Era pour Investigation Océanographique et OANIS
HONOLULU, Hawaii (HawaiiNewsNow) – Un objet volant non identifié repéré dans le ciel du soir au-dessus de Leeward Oahu a incité des témoins à appeler le 911 mardi.
L’observation a eu lieu vers 20h30.
Il y a plusieurs vidéos de ce qui semble être une masse lumineuse‚ oblongue – à la fois dans le ciel et dans l’eau.
Des responsables de l’Administration Fédérale de l’Aviation ont déclaré qu’il n’y a eu aucun incident ni accident d’avion dans cette zone à ce moment. Mais plusieurs témoins ont rapporté avoir vu un gros objet bleu tomber du ciel et dans l’océan.
Capture d’écran
Vidéo Hawaï News Now
Dans une vidéo, on entend une femme dire: «Il y a quelque chose dans le ciel. Qu’est-ce que c’est? »
Misitina Sape a déclaré à Hawaii News Now qu’elle avait capturé l’image à 20h26. près de l’avenue Haleakala à Nanakuli.
Peu de temps après, une femme nommée Moriah a repéré ce qui ressemblait au même objet passant au-dessus des Domaines de la princesse Kahanu.
«J’ai levé les yeux et puis j’ai dit oh merde !,» dit-elle. «J’ai appelé mon mari et les autres parce qu’ils étaient tous dans le garage. J’ai dit » hey. Venez regarder là-haut. Est ce que vous voyez ce que je vois ?. Ils ont tous dit oui! »
La femme de 38 ans dit qu’elle n’a jamais vraiment cru aux OVNIS, mais l’objet bleu vif les a tellement intrigués qu’ils ont sauté dans la voiture et ont commencé à le suivre.
«Je ne sais pas ce que c’était», dit-elle. « Celui-ci allait si vite. »
Le voyage s’est terminé à moins de cinq km de son point de départ. Elle dit qu’ils ont arrêté la voiture sur Farrington Highway devant le bâtiment du conseil de l’approvisionnement en eau après que l’objet ait semblé tomber dans l’océan.
Dans l’une des vidéos de Moriah, vous pouvez l’entendre dire: «(Il) a atterri dans l’eau. Peu importe ce que c’est. »
Elle l’a décrit comme étant plus gros qu’un poteau de téléphone et dit qu’elle ne l’a jamais entendu émettre de son.
«Nous avons appelé le 911», a déclaré Moriah, «pour que la police ou quelqu’un vienne jeter un coup d’oeil.»
Alors que les officiers étaient sur les lieux, Moriah dit qu’ils ont repéré une deuxième lumière.
«Mon mari a levé les yeux et a vu le blanc arriver», dit-elle. «Le blanc était plus petit. Venait dans la même direction que le bleue.
Ils ont perdu de vue l’objet après son passage au-dessus d’une montagne voisine.
Jeudi matin, nous avons demandé à la police d’Honolulu si les enquêteurs avaient compris ce qui était tombé dans l’eau. Un porte-parole nous a dit qu’ils n’avaient aucune information.
Pendant ce temps, le porte-parole de la FAA, Ian Gregor, a déclaré que l’agence avait reçu un rapport de la police mardi soir au sujet d’un possible avion descendu dans la région «mais qu’aucun avion n’avait disparu des radars. Et aucun rapport d’aéronef en retard ou manquant. »
Bien que Moriah ait eu quelques jours pour y réfléchir, elle dit qu’elle est toujours déconcertée par ce qu’elle a vu.
«À ce jour, je ne sais pas», dit-elle en riant. «Si vous pouvez découvrir ce que c’était, j’aimerai le savoir, vous savez?»
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Nous avons fait d’une pierre deux coups concernant l’entretien de notre ami Nick Pope qui a accepté de se livrer pour notre site Web ici et aussi pour la revue de notre ami Jean-Louis Lagneau directeur de la revue LDLN. Cet entretien figure dans le numéro 441 paru en septembre 2020 et aujourd’hui c’est à notre tour de vous en faire bénéficier.
baie de Marajo- Crédit photo : maguyane.over-blog.com/
Hier 20 février 2020, sur Nurea TV , Franck Maurin présentait « OVNIs de l’US Navy »au sujet des vidéos de la marine américaine que nous avons suivi aussi de notre côté. Franck a soulevé des indices intéressants comme le témoignage de David Fravor qui signale qu’une torpille a été aspirée par un sous-marin non identifié dans les années 1990. Promis je ferai des recherches sur cette histoire. Nous publierons ici prochainement le replay de l’intervention de Franck ici.
Aujourd’hui notre ami Belge Fred Hal nous transmet ce documentaire qui est vraiment intéressant afin de compléter nos études sur les phénomènes avec des éléments additionnels . Je profite de dire ici que Fred a été lui même témoin en 2017 d’ une sphère rouge, qui était à 50 m au dessus de l’eau, elle était silencieuse. Fred me joindra ultérieurement son témoignage complet qu’il m’autorise à reprendre ici.
Affiche réalisée par Alex Esco .
Nous connaissons bien les dossiers OVNI brésilien, toutefois il y a des éléments qui nous ont échappé, ceci qui suit va rectifier le tir puisque nous pouvons alors envisager que la nature étrange de certains objets vus soient amphibies ou des Objets Aquatiques Non-Identifiés peu importe leur appellation , certains sortent de l’eau !
Mieux encore l’ AATIP a son équivalent sous-marin pour la détection et l’analyse ce qui renforce ma conviction que l’US Navy est aux premières loges concernant tous ces faits étranges autour du globe.
Nous sommes loin du compte avant d’affirmer , nous avons certes une vision globale des phénomènes, depuis que nous enquêtons, pour autant il reste tant de choses à explorer puis à étudier . Ceci est fascinant, nous pouvons juste dire qu’il y a bien eu des faits étranges et que ceci continue encore . L’histoire des OVNIS/OANIS est loin d’être close , ce n’est probablement que le début, soyons en certain !
L’enquêteur Myke Cole et l’ analyste Michael Levingstone révèlent leurs travaux et méthodes dans ce reportage . Voilà de quoi alimenter et accentuer encore un peu plus nos secteurs de recherches avec plus de précisions .
En résumé je relève ici les pièces à conviction nécessaire à l’aide de la vidéo avant que celle-ci ne disparaisse . Il nous restera alors, ce qu’il faut retenir de leurs investigations en incluant ce que nous savons déjà sur ce dossier. Cet article met à jour nos connaissances tout en nous rappelant les sommes d’informations que nous étalons ici sur notre site web et dans mes livres.
1977
Affaire de Colares , une petite île du Brésil : pendant des mois, l’île et la région du delta de l’Amazone reçoivent la visite d’objets volants inconnus. On en voit tous les jours de toutes sortes, de toutes tailles, toutes formes, soucoupes, cigares, cylindres, arrivant généralement par le Nord, depuis le ciel, voire sortant des eaux. Trente-cinq habitants de l’île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L’Armée de l’Air intervient, voit aussi, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, des villages entiers sont évacués. ( source AREA 51 – le 14Mai 2011 )
Ici l’opération soucoupe (L’opération Prato(en portugais, « operação Prato ») à Colares (Brésil – en 1977) retentit , ce dossier mentionne des attaques émanant des OVNIS les victimes étaient perforés et présentaient les mêmes symptômes et l’une des témoins dit avoir vu 3 Ovnis qui tiraient des rayons lumineux .
Analyse et diagnostic d’un médecin
Dr Carvalho _crédit photo : mindshadow.fr/
Le docteur WellaideCecimCarvalhoqui s’est occupé d’une trentaine de victimes qui ont prétendu avoir été atteintes par un rayon étrange, a effectué des examens sanguins, et au regard des symptômes des patients tels des maux de tête chroniques, des brûlures, des intenses fièvres accompagnées de nausées et de tremblements du corps ainsi que des raideurs et des petits trous dans la peau qui correspond à l’impact des rayons, le médecin diagnostique alors de la congestion sanguine nommée autrefois *hyperémie.
Une Victime Présumée du Chupa-Chupa (suceur de chèvres) Crédit image : mindshadow.fr
*L’hyperémieest généralement réactionnelle – Hyperémie : afflux de sang en un point de l’organisme, que ce soit sous l’effet de la chaleur (hausse d’activité musculaire, application physique de chaleur, action d’une substance chimique…), d’une inflammation,et peut avoir plusieurs causes.
L’armée présente sur les lieux avec l’opération soucoupe (1000 pages de documents ),mise en place afin de participer à l’enquête mais aussi pour contrôler. Nous apprenons dans ce documentaire un rapport militaire d’ une unité à assisté à l’événement et l’a photographié qui date du 5 novembre 1977 . Un autre rapport datant du 06 novembre 1977 a été rédigé par l’armée de l’air et ils ont aussi pris des photos. L’armée brésilienne parle de lumières et des objets. Ce qui sous entend qu’il y avait deux incidents différents.
En ce qui nous concerne les documents disent que les objets planaient au-dessus de l’eau avant de se déplacer au-dessus de Colares, est mentionné des objets différents un qui arrive de l’eau et l’autre vient de Colares et retourne vers l’eau.
La baie deMarajo un point chaud, ce fleuve ?
Un pécheur témoigne qu’il a vu une lumière qui planait sur la surface de l’eau à environ deux mètres dans la baie de Marajo. L’objet n’avait aucun impact sur l’eau.
l’île de Marajo…. Nord Est du Brésil- Crédit carte : maguyane.over-blog.com/
L’étendue de l’île de Marajo est presque aussi vaste que la Suisse Elle se trouve à l’embouchure des fleuves Amazone et Tocantins et est considérée comme la plus grande île d’eau douce du monde.
Les objets signalés par les témoins civiles ou militaires provenaient de l’eau ou pas très loin de cette étendue d’eau.
OANI ?
Un matin, alors qu’ils se promenaient, Manoel Filho et ses amis, des pêcheurs de Mendonça, remarquèrent un objet en forme de parapluie d’où sortait une vive lumière blanche qui se tenait, immobile, à quatre mètre au-dessus de la plage. Puis l’engin se mit à bouger, la lumière se rétracta et il s’éloigna en silence.
Le premier novembre 1977, l’armée mit en place un poste d’observation sur le château d’eau de Colares et le soir même, à minuit, un événement étrange attira leur attention. Une lumière bleue, qui se déplaçait du sud au nord, s’arrêta au-dessus d’un banc de sable et un autre objet brillant qui allait du jaune au rouge, se rapprocha de lui, devenant noir en rentrant dans sa lumière. Une demi-heure plus tard, un autre objet fit de même, disparaissant après être rentré dans sa lumière bleutée. Le capitaine Hollanda rapporta que l’objet se trouvait à 100 mètres de distance, qu’il était énorme et qu’il semblait être un ravitailleur. » J’étais terrifié. A ce moment-là, je ne savais pas ce qui pouvait arriver. Ils auraient pu nous prendre. Ils auraient pu faire tout ce qu’ils voulaient de nous. «
Perturbations aquatiques :
Une recherche rejoint une autre , et ainsi revoilà le dossier de l’AATIP ( : Advanced Aerospace Threat Identification Program – Le programme d’identification avancée des menaces aérospatiales ), qui refait surface !
Le dossier du Nimitz (le porte avions américain) :
Suivi des perturbations aquatiques , le journaliste de la chaîne américaine CNN : »On a vu une perturbation dans l’eau ,comme une montagne sur laquelle les vagues s’écrasaient . »
Un précédent signalement d’ OVNI sur l’USS NIMITZ, Kevin Thomas un ancien photographe de l’US Navy était sur le pont en 1991, quand il a observé un immense vaisseau émergé près du porte avions et disparaître dans les airs.
Il y aurait eu un autre incident impliquant un OVNI qui était aussi un OSNI ( Objet submersible Non-Identifié) sur le même porte avions une dizaine d’années auparavant .
En juillet 2015, un article mentionne plusieurs témoignages d’OANIS enregistrés par la Navy . Un certain Marc d’Antonio un sous traitant de la Navy qui a travaillé sur des sous-marins nucléaires américains de classe Ohio, Los Angeles, ou les derniers de classe Columbia , il a vu un objet ultra performant apparaître sur le sonar qui se déplaçait à plusieurs centaines de nœuds ,( plus de 185 km/heure) . Marc Antonio a un niveau qui lui permet de dire si les performances des spécimens navals américains sont équivalents, supérieurs ou inférieurs à ce qu’il a vu, c’est un témoin crédible.
ANOMALIES SONORES :
Poursuivons l’analyse avec un indicateur que mentionne le témoin.
Marc d’Antonio » J’étais en salle de commande d’analyses acoustiques qui est l’oreille d’or du sous-marin et j’entend un sonar à contrôle engin rapide, engin rapide, il a dit qu’il se déplaçait à plusieurs centaines de nœuds l’arme la plus rapide du monde peut se déplacer à environ 200 nœuds ( 370 Km / h ). Ce record est établi par une torpille russe qui fait beaucoup de bruit alors que cet engin était totalement silencieux , car sur le sonar cela aurait été vu si l’engin était bruyant, l’écran ce serait illuminé comme un sapin de noël ,mais là ce n’était exactement pas le cas on ne voyait qu’u’n très légère trace et le spécialiste en analyse acoustique est censé classé tout ce qu’il voit et là, il en était incapable. La Navy a un réseau d’hydrophone appelé Le *SOSUS qui peut détecter des sons à des milliers de kilomètres. L’US Navy possède un programme qui a pour but de recenser ces »bolides sous-marins » , l’équivalent à l ‘AATIP pour suivre les OANI ( Objets Aquatiques Non -identifiés) .
Cela fait plusieurs décennies que l’on surveille ces objets sous marin non identifiés, mais la Navy n’ a pas d’explication. Ils détectent des sortes de mouvements ou plutôt des espèces de sons sous l’eau qui ne sont pas normaux. »
*SOSUS (SOund Surveillance System) est un réseau d’hydrophones connus aussi pour l’appellation sonars passifs et d’antennes actives destiné à repérer les sous-marins et les navires .
J’ai affiné la recherche concernant ce système SOSUS, et voilà ce que
j’ai trouvé :
La China State Shipbuilding Corporation (CSSC) a proposé la construction d’un réseau de capteurs de navire et de sous-sol qui pourrait éroder considérablement l’avantage de la guerre sous-marine détenu par les sous-marins américains et russes et contribuer grandement à la future capacité chinoise de contrôler la mer de Chine méridionale (SCS) .
Les détails du réseau de capteurs, appelé « projet de grande muraille sous-marine », ont été révélés sur un stand du CSSC lors d’une exposition publique en Chine fin 2015.
Le CSSC propose actuellement une version chinoise améliorée du système de surveillance sonore (SOSUS) qui, pendant un certain temps, a donné aux États-Unis un avantage significatif dans la lutte contre les sous-marins soviétiques pendant la guerre froide.
SOSUS, acronyme de sound surveillance system, est une chaîne de postes d’écoute sous-marins situés dans le monde entier dans des endroits tels que l’océan Atlantique près du Groenland, de l’Islande et du Royaume-Uni – le fossé GIUK – et à divers endroits dans l’océan Pacifique. L’intention initiale de la marine américaine pour le système était de suivre les sous-marins soviétiques, qui devaient passer par la brèche pour attaquer des cibles plus à l’ouest. Plus tard, il a été complété par des équipements mobiles tels que le système de capteur de surveillance remorqué (SURTASS) et est devenu une partie du système intégré de surveillance sous-marine (IUSS). Crédit : nextbigfuture.com.
Crédit croquis : nextbigfuture.com/
Trois documents dont un mentionne qu’en 1970 le SOSUS est égalé. Apparemment l’union soviétique travaillait sur un sous-marin pouvant duper le SOSUS en se déplaçant silencieusement .
Ceci nous conduit à un spécialiste des forces maritimes russes :
Paul –Stonehill : est le spécialiste des Ovnis en Russie et des Pays de l’Est.
Paul –Stonehill :
» Les russes aussi enquêtent sur ces phénomènes, ils ont un programme qui étudie les OVNIS et les OSNIS qui interférent avec leurs missions secrètes , pendant plus de 30 ans les russes ont cherché à comprendre d’où venaient ces objets qui poursuivaient leurs sous-marins. Les soviétiques pensaient que c’était les américains qui étaient à l’origine de ces phénomènes étranges sous l’eau et inversement.
– Ils on mis longtemps à comprendre que ni l’un ni l’autre n’était responsable, on est face à des phénomène que l’on ne peut pas expliquer et ce encore aujourd’hui. Il y a des objets étranges tapis dans l’eau qui émettent des sons bizarres et qui se déplacent à une vitesse incroyable . D’après ce que j’ai vu il y a des exercices militaires qui s’effectuent dans le monde entier, ils se préparent ils sont bien obligé. Les gouvernements du monde entier sont conscients de la gravité de la situation. Nos pays nos gouvernements mettent en place des moyens de défense , ils ne savent peut-être pas tout ,mais ils savent qu’il se passe quelque chose. Tout le monde se focalise sur les OVNIS dans le ciel et c’est bien mais il faut aussi regarder ce qui se passe sous la surface de l’eau.«
Ces dessins ont été déposés dans le cadre du brevet et montrent un vaisseau qui ressemble beaucoup à un OVNI (Photo: Salvatore Cezar Pais / Google) metro.co.uk/2019/04/18/us-navy-com/MetroUK/
Triangle noir .
Témoignage de Kevin Thomas de l’US Navy qui était sur le Nimitz en 1991:
Ce qu’il a dit aux enquêteurs dans le reportage :
» J’étais le responsable du laboratoire photos du navire, je m’occupais du labo photos qui était à la disposition de l’équipage, j’avais pris l’habitude d’aller regarder les couchers du soleil après ma journée de boulot histoire de décompresser . Le soleil s’était déjà couché et on est passé en mode invisible . Quand le navire passe en mode invisible, tout est éteint. On a un certain laps de temps pour aller à l’intérieur avant d’être coincé dehors. Quand j’ai voulu ouvrir la cloison elle était fermée donc je me suis dit ce n’est pas grave je vais attendre dehors. Je suis allé à tribord et j’étais en train de regarder dans l’eau quand j’ai vu un appareil qui était à moitié émergé, il ressemblait à un triangle noir et plus grand que le Nimitz même à 200 mètres. Je ne sais plus si le Nimitz fait 310 ou 340 mètres de long, mais il est immense et je suis resté figé. Je revois cet appareil sombre juste devant moi il était complètement sec, il ne faisait pas de bruit. Je l’ai vu planer à une dizaine de mètres de la surface de l’eau et il est partit. Ensuite on m’a dit que deux hommes voulaient m:e parler ce qui n’arrive jamais sur un bateau je me suis dit que c’était vraiment bizarre . Je me suis dit que j’allais avoir des problèmes car je suis resté coincé dehors et aussi parce que j’avais vu. Ils étaient habillés en civile.
Ils m’ont demandé pourquoi je n’étais pas à l’intérieur avec les autres? Pourquoi ,je n’étais pas en poste ? Pourquoi j’étais dehors? Et ils m’ont demandé de plusieurs façons différentes ce que j’avais vu . A ce moment là je me suis dit de ne pas leur raconter ce que j’avais vu pour ne pas me faire virer de l’armée, alors je leur ait dit que j’étais à l’arrière du navire et que j’attendais que l’exercice se termine pour rentrer et j’ai gardé le silence jusqu’à la vidéo du Tic Tac , ça m’a refait penser à toute cette histoire et c’est pour ça que je vous ait laissé entrer.«
En quoi cet incident ressemblait à ce que vous avez vu ?
« Il y a des moments sur la vidéo où l’objet se déplace de la même façon, il se déplaçait doucement au début et boom il a tracé . C’est exactement ce que j’ai vu, il allait lentement et boom envolé !
Il allait à quelle vitesse ?
– Supersonique ,je dirai aux alentours de mach 15 ,mach 20 …Il n’avait pas de système de propulsion, un système de propulsion génère une onde dans une certaine direction mais là, il n’y avait aucun signe de propulsion, l’eau n’a même pas bougé d’un poil quand il a décollé , il était là et il est parti. »
Kevin Thomas dit qu’ils étaient en mode invisible pour qu’ils ne le voient pas et que quelqu’un sur le navire savait ce qu’il se passait, et il pense que les deux hommes venus l’interroger voulaient s’assurer qu’il n’avait rien vu.
Argentine, Chili, Brésil ces objets, ces phénomènes ont été aperçus sur, autour, ou sous l’eau. La déduction de cette équipe d’enquêteurs dans ce documentaire me satisfait car eux aussi établissent un lien pour ces choses étranges entre le milieu marin et aérien voir spatial. Des gens pensent comme nous, alors c’est excellent, car plus nous serons nombreux à mener des investigations sur cet élément en lien avec des apparitions ou des intrusions étranges mieux nous avancerons dans notre quête.
Pour conclure : Y-a-t-il un fond de vérité qui se dévoile peu à peu ? Et ceci est il voulu par les autorités qui maintiennent le secret de lever peu à peu le voile ?
Est ce vraiment une bonne nouvelle ?
Comment ne pas penser au spécimen( voir dessin ci-dessus) que la Navy aurait en sa possession lorsque Kevin Thomas mentionne avoir vu un triangle sombre dans l’eau et qui en est ressorti pour s’envoler ?
A présent vous avez un dossier assez fournit pour appréhender ce qui suit.
Article du MUFON traduit en français par Era et partagé sur Area 51 .
MUFON Case # 21408 Rapporté le : 09/01/2010 Date de l’incident : 01/02/1962 Emplacement : Johnson Island S. Pacific Forme : Cigar,Cone,Cylindre Distance: plus d’un mile (1,6 km)
Taille : Environ 200 mètres de long – déplacement parallèle à l’horizon approx. 2500 pieds au dessus du niveau de la mer.
Récit :
À qui de droit, vous pouvez me contacter concernant ma connaissance personnelle des essais de sauvetage en pleine mer d’un OVNI/OSNI (objet sous marin non identifié) en 1961 par la marine dans le Pacifique Sud, pendant l’Opération Dominic-an, une série de test nucléaires atmosphériques sans précédent.
Après 48 ans, j’apprécie que beaucoup d’anciens personnels militaire sortent de l’ombre pour partager leur expériences d’OSNIS/OVNIS – voici la mienne. J’espère que cela complotera le dossier des observations d’OSNIS et d’OVNIS non signalées dans la zone du Pacifique Sud au début des années 1960. Ce qui m’étonne toujours après toutes ces années, c’est que je reçoive toujours la visite d’un ou deux étrangers suggérant que je doive y réfléchir à deux fois avant de rendre public ce que je sais à propos de ce que j’ai vu en 1961/1962 alors que je servais à bord d’un destroyer d’escorte navale américaine.
C’était en 1962 pendant une des nombreuses opérations en mer de notre navire – patrouillant dans une espace aérien et maritime restreint. Tout en servant à bord d’un Destroyer Radar de l’US Navy, moi et une douzaine de membre d’équipage sélectionnés, avons reçu l’ordre d’aller sur le pont pour observer un « ovni » sur le point de s’écraser en mer, non loin de l’emplacement de nos navires. Plus tard, je devais apprendre que l’ovni en question avait été abattu accidentellement par un puissant missile atomique de test à grande altitude.
Des années plus tard en 19–, tout en étant affecté à la Baie de Guantanamo à Cuba, j’ai rencontré un chef plongeur de la Marine qui a dit qu’il allait écrire un livre sur son implication et une tentative secrète de la Marine d’extraire l’ovni des fonds marins en 1962 durant l’opération Dominic. J’ai été choqué d’apprendre qu’il s’agissait exactement du même OVNI/OSNI que j’ai vu sur sa route vers le fond marin.
Source: Planeta UFO, Cuarta Dimensión and Realidad OVNI
Notre ami Gilles Thomas nous fait parvenir ce cas que j’ai tenté de traduire au mieux à l’aide de traducteurs en ligne, en ne s’en tenant qu’aux faits. J’ai retiré
les commentaires du webmaster du site ( source), qui figuraient dans l’article, car il n’ apporte que des suppositions. A chacun de se forger son opinion.
L’affaire Dique La Florida –
Une rencontre rapprochée du troisième type.
Lieu: Club nautique et de pêche La Florida, Lake La Florida, à 38 km de la ville de San Luis, province de San Luis, Argentine.
Date: 4 février 1978 Heure: 04h45 environ.
L’un des événements ovni les plus importants de la République d’Argentine a eu lieu le 4 février 1978, lorsque plusieurs témoins compétents ont assisté à la descente d’un étrange engin et à la présence d’un grand humanoïde qui a laissé ses empreintes sur le sol. Les recherches entreprises après cet événement ont déterminé sa réalité et corroboré les empreintes laissées par l’occupant.
Cet incident, connu dans le monde entier sous le nom de Dique La Florida, à San Luis, en Argentine, a été soutenu par les services d’enquête de la police provinciale de San Luis, dirigée à l’époque par le lieutenant-colonel Raul Benjamin Lopez, représentant à la fois la police provinciale et l’armée argentine a signé sur le premier rapport officiel concernant un occupant d’OVNI, .
Témoins: Manuel Maria Alvarez, Paraguayen, naturalisé argentin avec 5 ans de résidence, célibataire, 32 ans, employé chez Aerolineas Argentinas; Regino Salvador Perroni, Argentin, 26 ans, marié, employé par Banco San Luis; Pedro Raul Sosa, Argentin, 32 ans, marié, employé par la Maison du Gouvernement de la Province de San Luis; Ramon Armando Sosa (frère du précédent), argentin, marié, 39 ans, employé à la céramique de San José; Genaro Luis Sosa (frère du précédent), Argentin, marié, 34 ans, employé par Banco Provincia de San Luis; Jacinto Eduardo Lucero, Argentin, marié, 24 ans, employé par Banco Provincia de San Luis. Chercheurs: Equipe CAEFA, dont Betina Allen (psychanalyste), Hugo Quiroga (CAEFA, San Luis), Beatriz Balboni (experte en biorythmes), Alberto Radaelli (identikit de l’objet et de l’entité), Prof. Fabio Zerpa (recherche, interrogation, analyse psychologique) et supervision). Soutien aux enquêtes: Quartier général de la police de la province de San Luis (lieutenant-colonel Raul Benjamin Lopez). Délégation de la police fédérale argentine (shérif adjoint Oscar Guillermo Rosello, officier supérieur Jose Luis Bonaventura, inspecteur en chef Hugo Ricardo Cremonte) Analyse: Membres de l’Institut Municipal de Botanique (Instituto Municipal de Botanica)
Crédit image: inexplicata.blogspot.fr/
Le soir de l’événement, Genaro et Pedro Sosa, avec Regino Perroni et Jacinto Lucero, étaient allés acheter de la viande pour un barbecue. Ils sont allés à la boucherie Mede dans la ville de San Luis, où ils ont acheté 3,5 kilos de viande et de saucisses (chorizo et boudin), assez pour les six amis qui voulaient aller pêcher au lac La Florida. Ils pêchent toujours ensemble dans divers endroits de la région. Les six hommes sont des «copains de pêche» même si leurs familles ne se fréquentent pas.
Perroni et Lucero sont des beaux-parents (le second est marié à la sœur de Perroni). Ils vivent ensemble dans le quartier de Cantisan près de la maison de Genaro et Pedro Sosa. Les quatre hommes sont montés à bord de la Fiat 125 de Genaro Sosa et sont partis à la recherche de Ramón Sosa, qui habite au 105 Calle Mitre, et ont finalement pris Manuel Maria Alvarez vers 23h. Ils ont roulé le long de la route 20, échangeant très peu de mots. Ils ont regardé le beau ciel étoilé et le paysage de la région. Ils atteignirent le club nautique et de pêche de La Florida, à 38 km de la ville.
Quand ils arrivèrent, le feu préparé par Rodriguez, était presque prêt. Alvarez, le Paraguayen, a commencé à préparer le rôti, ayant appris à le faire dans son pays d’adoption, alors qu’il venait du Paraguay en Argentine à l’âge de 5 ans, il fut ensuite naturalisé. Les cinq autres hommes ont aidé leur ami, parlant, échangeant des remarques, racontant des blagues. Le rôti était prêt en une heure et demie. Les six hommes consomment un peu de vin entre eux. Entre 00h30 et une heure du matin le samedi 4 février 1978, les hommes pêchaient sur le lac. Avec le bateau de Perroni tenaient les six protagonistes et leur matériel de pêche, ils se dirigèrent vers les eaux du lac. Ils voulaient aller vers le sud, ramant avec un vent du nord, à une profondeur de 50 mètres. Les vagues sont considérables, et quand ils ont atteint une crique de l’autre côté du Fishing Club, ils ont décidé de retourner au lac pour pêcher « plus tranquillement ».
Ils ont commencé à pêcher vers 2h10 du matin. Les hommes avaient embarqué sur un autre bateau appartenant à un ami. Les poissons ne mordaient pas, si ennuyés et fatigués par une longue semaine de travail, Genaro et Ramón Sosa, avec Jacinto Lucero, allaient dormir à 5 mètres du pont du bateau à 3h30 du matin, laissant Alvarez et Pedro Sosa garde-corps. Ces deux hommes sont des pêcheurs passionés, des amis de longue date, et ils pêchent toujours ensemble. Perroni était un peu plus loin derrière les deux autres, debout à côté du moteur du bateau, parlant doucement «pour ne pas effrayer le poisson». Il voit les trois amis se préparer à dormir, se couvrant de manteaux, car il faisait froid (14-16 degrés C). Les trois pêcheurs restés éveillés se débattaient contre des poissions , ils en remontaient dix poissons. À 4 h 15, Perroni a vu «quelque chose» voler devant la lune. Genaro se réveilla suite à l’exclamation de son ami. Tous deux pensaient que c’était une étoile filante, comme d’innombrables qu’ils avaient vu si souvent, mais néanmoins celle-ci était frappante. Après avoir échangé quelques mots, Genaro Sosa se rendormit, se couvrant bien, car il avait très froid. Alvarez et Pedro Sosa sont restés à leurs stations pour pêcher.
À 4h45 du matin, une lumière intense est apparue derrière le navire, émanant d’une petite colline à une vingtaine de mètres. Elle était assez forte pour que Perroni couvre son visage et réveille les trois hommes endormis. Alvarez et Pedro Sosa se retournèrent pour faire face à un événement inhabituel: ils furent éclairés par une lumière puissante. Voyant qu’il s’agissait d’un objet volant non identifié – un objet solide et métallique en forme de soucoupe renversée projetant une lumière blanche de sa sous-section et vert émeraude puis avec des lumières rouges sur son fuselage supérieur. Il était en sustentation au-dessus du terrain en pente menant à l’eau, l’OVNI se situait à environ 3 mètres au-dessus du sol, mesurant environ 15 mètres de diamètre.
crédit image : inexplicata.blogspot.fr/
L’objet laissait tomber une petite échelle (semblable à celle d’un avion Fokker) et une forme humanoïde descendait. Il mesurait entre 2m et 2 mètres 10 ,il portait un uniforme brillant et argenté. » L ‘homme » portait un casque transparent sur sa tête, rendant visible ses cheveux blonds et ses traits fins. À aucun moment, les témoins n’ont vu les pieds de l’entité et n’étaient pas sûrs de la moindre paire de chaussures. Le portrait robot d’identité de l’entité correspond à toutes les descriptions fournies par les témoins. Après avoir descendu l’échelle, l’entité a marché sur le terrain (ou a glissé dessus, pas sûr), qui descendait en pente douce et s’approchait du bord du lac, à 15 mètres des pêcheurs. L’étranger a placé ses mains gantées (enfermées dans ce qui semblait être des mitaines) devant lui, les paumes vers le haut, dans un geste d’amitié caractéristique et une position de yoga (fleur de lotus). Un geste universel dans la méditation. Suite à ce geste, l’être s’est retourné s’est dirigé vers l’échelle. Il a grimpé et il est rentré dans le vaisseau.
crédit image inexplicata.blogspot.fr/
L’échelle s’est rétractée, et l’ouverture qui lui permettait toucher le sol s’est refermée. Après 20-30 secondes, le véhicule s’est élevé dans les airs et a disparu dans les montagnes de San Luis vers le nord-est. Pedro Sosa, choqué par ce qu’il voyait, regardait beaucoup moins l’humanoïde qu’ Alvarez, qui a décrit le mieux ce qu’il s’est passé ( du moins a fournit le plus de détails) parmi les témoins.
En ce qui concerne l’objet, les témoins diffèrent sur ses caractéristiques lumineuses, mais tous s’accordent sur la puissante lumière derrière eux. Pour Genaro Sosa, l’objet avait une aura jaunâtre. Ramon Sosa croit que c’était une lumière fluorescente. Pedro Sosa pense qu’il y avait différentes couleurs qui tournaient autour. Jacinto Lucero se souvient comme une lumière blanche très brillante. Pour Alvarez et Sosa, l’objet a laissé un sillage lumineux sur son passage. Tous sont d’accord sur la forme circulaire. Les trois pêcheurs endormis ont été secoués de leur sommeil par l’événement. Les trois autres l’ont décrit comme un bol à soupe inversé avec une sorte d’aileron ou d’anneau au milieu, qui a laissé un sillage lumineux sur son chemin tandis qu’il s’éloignait, formant un halo blanc autour de lui alors qu’il disparaissait vers les montagnes de San Luis. Les six hommes conviennent que l’OVNI, a effectué un angle de 45 degrés à l’horizon, puis a exécuté une demi-boucle avant de disparaître. Il n’a pas été perdu de vue aussitôt , mais il a complètement disparu, laissant derrière lui un cercle blanc lumineux qui s’est élargi peu à peu avant de partir.
Tout était fini. Les six hommes sur le bateau ont échangé des regards ils étaient abasourdis. Tout le monde pensait que c’était une soucoupe volante. Quand nous avons suggéré qu’il pourrait s’agir d’un engin terrestre secret, piloté par un astronaute inconnu, ils nous ont regardés d’un air interrogateur. Tous croient fermement qu’ils ont assisté à un événement anormal, que nous venons de décrire comme « OVNI ».
Références:
[Traduction (c) 2017 Scott Corrales, Institut d’Ufologie Hispanique avec des remerciements à Julio González et Guillermo Giménez] PUBLIÉ PAR INEXPLICATA (IHU) À 11:50.
Source article et illustrations inexplicata.blogspot.fr/
Rappel classification selon Josef Allen Hynek astronome, consultant scientifique de l’Air Force, de 1948 à 1969 il était chargé de trier les méprises avec des objets astronomiques connus, comme des météores, la planète Vénus par exemple,etc.
La progression va de simple à exceptionnel :
Lumières nocturnes (NL) : le ou les témoins voient, à plus de 150 mètres de distance, une ou plusieurs lumières qui leur paraissent anormales dans le ciel nocturne ;
Disques diurnes (DD) : le ou les témoins voient de jour, à plus de 150 mètres de distance, un objet non identifié qui n’a pas nécessairement la forme d’un disque ou d’une soucoupe.
Radar-visuel (RV) : l’ovni est observé en visuel et apparat sur un ou plusieurs écrans radars.
Rencontre rapprochée du 1er type (RR1) : le ou les témoins voient un ovni, quel qu’il soit, à moins de 150 mètres ;
Rencontre rapprochée du 2e type (RR2) : l’ovni laisse des preuves matérielles, comme des traces au sol.
Rencontre rapprochée du 3e type (RR3) : le ou les témoins voient un ovni et ses occupants, ou seulement les prétendus occupants d’un ovni sans ce dernier.
Références/IFREMER – Mer & et marine – ECA group – CORAL project
Crédit photp ECA group
La société ECA Group a remporté l’appel d’offres international lancé par l’Institut français de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer) pour le développement d’un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur. Ce drone sous-marins sera utilisé dans le cadre de missions de cartographie et d’inspection. L’engin réalisera ses premières plongées en 2019 après 3 ans de développement.
Voici encore une preuve qu’ECA Group est l’un des leaders des drones sous-marins. La filiale du groupe Gorgé vient de décrocher un contrat de 2 millions d’euros pour fournir une solution innovante à l’Institut de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer). L’objectif est de créer un drone capable d’atteindre une profondeur de 6 000 mètres afin de cartographier les océans. Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
Gilles Thomas nous a déniché cet article que nous avons traduit au mieux. Nous remercions gilles pour son entière coopération. Ceci apporte de l’eau ( jeu de mots ) à notre moulin et c’est peu de le dire, concernant d’une part notre orientation et d’autre part nos investigations.
Article source: inexplicata.blogspot.fr/
Par Luis Burgos-« OVNIS Siglo
Jeudi 30 novembre 2017 -THURSDAY, NOVEMBER 30, 2017
À la suite des événements tragiques impliquant le sous-marin Ara San Juan le 15 novembre 2017, beaucoup de gens nous ont contactés en demandant si [la tragédie] pouvait être liée à un aspect de notre recherche. inutile de vous dire qu’ insinuer une telle chose est extrêmement dangereux. Le temps nous dira ce qui s’est réellement passé après la fin des opérations de recherche et de récupération. Tout ce que nous pouvons faire, c’est théoriser et offrir des opinions. Voilà donc notre contribution.
Causes de l’explosion
En interne, la raison d’une panne de batterie , « officiellement » ceci est accepté.
Les causes: 4 possibilités qui ont pu conduire à l’incident.
A :panne de batterie
B. en raison de la descente à des profondeurs critiques à la suite de l’insuffisance de l’équipement.
C. collision avec un «objet inconnu»
D. attaque par un «objet inconnu»
Sans aucun doute, c’est le point le plus inquiétant. L’ARA San Juan était sur le trajet de retour ayant partcipé à l’opération Cormorant dans les mers du Sud avec les forces internationales. Sa destination, ostensiblement Mar del Plata, l’a rapprochée de la zone d’exclusion imposée par les forces britanniques [pendant la guerre des Malouines en 1982 ] et en dépit du fait que nous sommes en paix et non en guerre, » l’ hypothèse de conflit » peut être écartée.
La période de confusion généralisée est maintenant derrière nous (sept appels [du sous-marin], des bruits biologiques, des anomalies hydroacoustiques, des radeaux flottants et des bouées, etc.) et la nature de l’incident étant une certitude, le sujet a deux aspects fondamentaux: la nature de l’explosion et des opérations de récupération.
Mission de rétablissement.
Un éventail impressionnant de pays offrent une assistance logistique et humanitaire à l’Argentine, parmi eux quatre des cinq membres du Conseil de sécurité des Nations Unies (les États-Unis, la Russie, la France, le Royaume-Uni et la Chine). C’est extrêmement important, mais nous ferions bien d’envisager une possibilité qui couvre trois hypothèses, telles que:
A. cette aide est offerte sans contrepartie parce que ce sont des « bons gars ».
B. cette aide est offerte, mais en vue de profiter de la situation-ressources marines, espionnage, futurs traités, etc.
C. ils veulent savoir ce qui s’est réellement passé en utilisant le «danger pour la sécurité » comme excuse.
Une fois de plus, nous devons faire une pause pour méditer: l’Argentine est signataire du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP-1968) avec les puissances mondiales. Plusieurs de ces pays se sont déployés vers notre Patagonie dès que les nouvelles sont répandues, une opération massive impliquant 4000 personnes. Ils resteront là, en fait, jusqu’à ce que l’on sache ce qui est arrivé au San Juan , puisque l’on parle du décès de 44 membres d’équipage . Dans cet état de faits, il devient évident que quelque chose ne colle pas pour eux. Le communiqué officiel de la marine Argentine est effrayant: «un événement anormal, unique, court, violent et non nucléaire», d’autant plus dans la prise de conscience que l’onde de choc a été ressenti aussi loin que l’Afrique du Sud et probablement jusqu’ à l’océan Indien.
La question brûlante serait: les super puissances travaillant à Ground Zero (Etats-Unis, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne) soupçonnent qu’il y a quelque chose de plus ? Hypothétiquement, est-ce que ces gens débattent sur la possibilité que l’ARA San Juan ait pu transporté en son sein une sorte d’armement nucléaire qui mettrait en péril non seulement l’écosystème marin, mais aussi la politique internationale en matière d’armement ?
Un problème de base peut être retenu contre nous en tant que nation, et peut avoir pour incidence que les autres nous regardent de travers. Le sujet infâme du missile Condor II et ses conséquences (1989). Plus triste encore, c’est que nous ne pouvons jamais connaître les véritables causes d’un tel incident, mais cette hypothèse, juste une parmi beaucoup d’autres, pourra peut-être servir de raccourci vers le dénouement de l’énigme , pourquoi[tous ces pays] sont ici dans nos eaux territoriales.
Nous ne pouvons pas ignorer le récit de l’«objet sous-marin» détecté par l’avion américain à 300 kilomètres de port Madryn, Chubut, estimé à une profondeur de 70 mètres, un fait qui a été mis de côté le lendemain, lorsqu’on on appris que la trajectoire du sous-marin l’a pris en ligne droite vers le golfe de San Jorge, en d’autres termes, à quelques 140 milles nautiques au sud.
Pour terminer, tout ce que nous pouvons dire, c’est que l’Argentine doit réévaluer ses forces armées.Une réévaluation sérieuse qui doit être prise en tant que telle par les autorités impliquées. En d’autres termes, les trois branches du gouvernement (exécutif, législatif et judiciaire) et les trois branches des services (Force aérienne, armée de terre et la marine).C’est une priorité pour aujourd’hui, pas pour demain ou pour les années à venir.Ce n’est pas une plaisanterie.Malheureusement, et bien qu’il soit difficile à admettre, le parti responsable de l’état de nos forces armées est aujourd’hui … la démocratie. 34 années se sont écoulées depuis la restauration de la règle démocratique instaurée en 1983 et aucun gouvernement n’a fait quelque chose à ce sujet, ils ont plutôt, travaillé contre elle: les coupes budgétaires, le manque d’entretien adéquat, le démantèlement, etc. Il était surprenant de voir d’innombrables politiciens des trois dernières décennies s’exprimer au cours des derniers jours, en montrant des inquiétudes et en préférant des explications.« La corruption tue » est une vérité qui s’applique à tous. Le trou béant dans les forces armées est maintenant relégué en arrière, ceci est une énorme bévue .
Ensuite, nous examinerons le sujet du trafic non identifié dans ces eaux lointaines. De la naissance du phénomène impliquant les soucoupes volantes d’antan et les OVNIS d’aujourd’hui-sont intimement liés à l’eau. Il y a une prolifération d’événements dans les histoires mondiales impliquant des objets volants non identifiés émergeant de l’eau ou plongeant dans les rivières, les lacs, les lagunes et les mers.Il n’y a pas beaucoup de théories qui admettent la possibilité de bases dans les zones lacustres, donnant lieu à des objets submersibles (USOs)-non identifiés.D’autres chercheurs ont fait une référence tacite aux sous-marins ou aux objets subaquatiques.Ce qui importe, c’est que notre pays n’était pas libre de ces événements, et les incidents ont été signalés remontant aussi loin que les années 1940 se situant dans les zones aqueuses à travers l’Argentine.Mon article « Luces en Los Lagos » (lumières dans les lacs) est en ligne et discute des incidents avec ces caractéristiques, suggérant la possibilité qu’ils utilisent des abris comme des emplacements permanents ou temporaires .
Pas une semaine s’était écoulée depuis le « premier cas impliquant une soucoupe volante en Argentine » (10 juillet 1947 à la Plata, Buenos Aires)quand la connexion UFO-Water ( OVNI et eau) a déjà été envisagé. En effet, à 09h00 heures le 15 juillet de cette année-là, l’équipage d’un navire polonais amarré à Puerto Nuevo, ainsi que du personnel de la Préfecture navale uruguayenne, a détecté un «étrange artefact semblable à un avion» qui plonge dans la rivière de la Plata.Les entreprises de transport aérien ont été interrogées sur la perte éventuelle d’un de leurs aéronefs, avec des résultats négatifs.La question inquiétante était posée concernant les eaux de Rio de la Plata. Quel genre d’objet volant tombait du ciel ce jour là ?
Ces épisodes se sont poursuivis au cours des années suivantes. Les Articles de nouvelles du littoral de Patagonie ont parlé d’objets bizarres sortant de la mer ou plongeant dedans, comme ceci s’est produit dans Rio Grande (Tierra del Fuego) et Puerto Coig (Santa Cruz) en 1950 ou dans comodorant Rivadavia (Chubut) en 1953. Ce qui est vraiment déconcertant, c’est que des incidents ont aussi été signalés à la porte de la capitale fédérale .
Un curieux objet ressemblant à une «mine de mer», de couleur rouge, a été vu flottant près du ponton Recalcada dans la rivière de la Plata, le 19 février 1953. Il était situé à 35 degrés de longitude Sud et 56 degrés de longitude ouest, confirmé par le skipper du navire « San Jorge » et de l’équipage du SS coracero un autre bateau. La fouille était vaine.
Au cours du mois de juin 1959, selon les sources officielles, un objet submersible non identifié ressemblant à «un dirigeable» a plongé dans la la rivière de la Plata.
Article de la presse argentine. Crédit photo-inexplicata.blogspot.fr Luis Burgos – « Ovnis Siglo
Les années 1960 mystérieuses:
Ainsi, nous arrivons à la décennie controversée qui a été témoin de nombreuses «persécutions» d’objets étranges et insaisissables par la marine Argentine dans nos golfes de Patagonie, en particulier dans les eaux du Golfo Nuevo, dans la péninsule Valdés et dans le Golfo San Jorge. Tout cela a pris fin lors la création des commissions officielles notoires ainsi que trois présidents-Arturo Frondizi, Arturo et le général Juan Carlos Onganía-prenant de l’intérêt en la matière. Toutes les interceptions et les bombardements avec des charges profondes fuirent vains. Pendant des années, les objets sous marin non-identifiés erraient libre dans ces eaux jusqu’à ce que les incidents s’éclaircissent et diminuent les décennies suivantes. Par conséquent, la marine s’est détachée de la situation et tout événement impliquant des objets plongeant ou se levant de la côte fut limité au témoignage des pêcheurs, des touristes, des conducteurs ou des habitants.
Peut-être le cas dont on se souvient le mieux est celui impliquant un agriculteur répondant au nom de Carlos corosan, qui a été témoin d’un grand objet en forme de cigare, d’aspect métallique , qui a plongé dans la mer près de Puerto Deseado (Santa Cruz), émettant de la fumée en plein jour. Il a causé un grondement tumultueux dans l’eau. (1966). Les hypothèses concernant l’existence de tanières permanentes sous nos mers, ayant la fonction de véritables bases d’OVNI, ont commencé à prendre de la vigueur. En bref, une activité biologique intense est à l’abri de tout danger dans ces profondeurs …
Anecdotique, mon frère Pedro Trachlsler effectuait son service militaire à bord du destroyer Ara Cervantes durant ces années. L’équipage a été mis en alerte lorsqu’un objet volant non identifié a été détecté dans les eaux du Golfo Nuevo. Il a été intercepté et des charges de profondeur ont été lâchées, suivie d’une salve de torpilles. Lorsque ceux-ci n’ont pas atteint leur cible prévue, ils ont été récupérés de la surface et montés à bord. Avant de disparaître, dit-il, l’objet sous-marin non-identifié «passa juste sous le navire de guerre».
L’intrus 1975:
Parmi les nombreux témoignages des années 1970, l’un se distingue en raison de la qualité des témoins, et ce, malgré le fait qu’ils ont choisi de rester anonymes.Aux environs de 01h30 heures le 16 juillet, quatre personnes-deux hommes d’affaires et deux vendeurs ambulants pêchaient à la jetée de Caleta Oliva (Santa Cruz). La nuit était calme. Soudain, l’un d’eux a vu une étrange silhouette en forme de cigare évoluer sous l’eau à 100 mètres de leur position.Il mesurait environ 10 mètres de long, il était complètement silencieux, avait des contours bien définis et il était de couleur vert-jaune. Pendant une vingtaine de minutes, l’objet sous-marin non -identifié a voyagé lentement le long de la côte vers le sud jusqu’à sa disparition. Le lendemain, plusieurs résidents de Caleta Olivia ont confirmé la découverte d’un grand nombre de poissons morts sur leurs rives , ainsi que des mouettes et des Albatros . La pêche fut impossible toute la journée.
L’incident de San Blas
La présence des O.A.N.I a été officiellement corroborée au milieu des années 1980. Cette fois-ci, c’était la baie de San Blas, au sud de Buenos Aires, connue sous le nom de « le paradis des pêcheurs ».
Dans la nuit du 3 juin 1988, le pétrolier «Puerto Rosales» a avisé la Préfecture navale qu’il avait détecté un objet flottant non identifié à quelque 20 milles de la côte, d’abord sur le radar et ensuite visuellement.L’objet n’a pas répondu aux signaux envoyés. Un état d’alerte a été déclaré et la marine Argentine a envoyé une force qui comprenait des avions de la base de commandement d’Espora, la corvette «Grandville», le destructeur «Sarandi» et un Electra 6 P-101 qui a décollé de la base d’Almirante ZAR à Trelew, Chubut. Il convient de noter que la zone dans laquelle l’objet se déplaçait, face au phare de Segunda Barranca, est assez peu profonde.C’est peut-être pour cette raison que le rapport de la marine remplaçait le mot «sous-marin» par «objet flottant».
Épilogue :
Il y a une trentaine d’années, l’existence de ces «bases sous-marines» a été soutenue dans divers médias. Peu ou rien n’a changé aujourd’hui.Ces USOs ( OANI/ OSNI « Objets sous-marin non-identifiés ») continuent de bouger et se comportent comme ils l’ont fait durant les années 1940 ou 1950, avec la même impunité comme jamais, comme si le territoire était le leur ou s’ils l’avaient occupé sous l’eau pendant une très longue période. Ils voyagent profondément dans la mer, renversant de grands bateaux, ou seulement à quelques mètres de la rive, surprenant des pêcheurs ou des résidents locaux. Par conséquent, l’existence d’une intelligence inconnue opérant sous les eaux de la Mar Argentino ( mer d’ Argentine) et donc, l’océan Atlantique, est loin d’être une simple hypothèse, c’est un fait. Nos histoires de cas attestent cela et ces événements continueront à se répéter … une fois de plus, il est démontré que malgré les prouesses technologiques des grandes puissances, capables de localiser un enjoliveur de voiture ou une balle de tennis au moyen de satellites, il existe une différence considérable qui apparaît quand on la compare au phénomène O.V.N.I.
L’un des plus fascinants et controversés rapports australiens de visualisation radar/visuel impliquant des objets volants non identifiés, a eu lieu le 31 août 1954. Cette histoire fascinante a été divulguée aux médias en décembre 1954 et à beaucoup fait parler en Australie.
Nowra est une ville dans la région (la côte sud) de la Nouvelle-Galles du Sud , en Australie.Elle est située à 160 kilomètres au sud-sud-ouest de la capitale de l’État de Sydney (environ 120 kilomètres à vol d’oiseau ).
Nowra est sur la rivière Shoalhaven , qui accueillait autrefois les championnats nationaux australiens de wakeboard, c’est aussi un lieu de pêche populaire.La rivière sépare Nowra de Bomaderry et North Nowra , et est reliée par le pont historique de Nowra .La rivière Shoalhaven est une rivière d’eau salée, bien que la rivière elle-même ne coule pas dans la mer.La rivière Shoalhaven rencontre la mer à travers le canal qui rejoint les rivières Shoalhaven et Crookhaven, qui a été creusé par des détenus sous la direction de l’entrepreneur local et pionnier Alexander Berry .
Une rencontre avion-OVNIS très bien documentée est celle du Lieutenant J. O’Farrell dans la nuit du 31 Août, 1954, alors qu’il pilotait un avion Sea Fury au-dessus de la Nouvelle-Galles du Sud méridionale en Australie. Deux objets ont été non seulement aperçus par le pilote, mais ont été également dépistés par le radar à l’aéroport de la Royal Australian Navy à Nowra. Les objets volaient à une vitesse incroyable, et il est plus qu’improbable qu’il y ait eu quelque engin terrestre que ce soit même expérimental et secret capable de ces performances en 1954.
Le 16 Décembre 1954, le Sydney Morning Herald a rapporté que la Base Navale aérienne Nowra a été mise en état d’alerte pour surveiller des objets volants non identifiés après qu’un pilote de la RAAF (Armée de l’air Australienne ) ait signalé deux soucoupes volantes trois mois plus tôt, le 31 Août.
«Les officiers ont fait cette déclaration aujourd’hui lors d’une inspection de la base aérienne par le ministre de la Marine, M. J. Francis. «Mis à part admettre l’observation de ces objets, les officiers de marine ont déclaré aux journalistes accompagnant M. Francis que les enquêtes sur l’incident étaient« secrètes ». La Base n’a pas encore établi la nature des objets observés il y a trois mois, «rapporte le Herald.
Le pilote qui a rapporté cette observation était aux commandes d’un Sea Fury la nuit dans la région de Goulburn. « Il dit que les objets étaient éclairés. Ils se déplaçaient plus vite que son avion [220 noeuds] » 407,44 Km/h » et l’on dépassé, volant près de son avion à environ 15.000 pieds( 4570 mètres ). Le pilote a signalé pendant son vol les objets à la base Nowra par radio.
« Les opérateurs de radar ont ensuite suivi le Sea Fury et ont localisé deux autres objets en vol. Les Renseignements ont établi plus tard qu’il n’y avait aucun avion volant dans la région à l’époque. Le pilote a depuis fait un rapport complet sur l’incident aux officiers supérieurs de la base Nowra. «
Cette affaire importante impliquant des OVNI et du personnel expérimenté de la RAAF été étudiée par Bill Chalker et le pilote du Sea Fury, le lieutenant JA O’Farrell a été interviewé par le célèbre enquêteur ufologue américain Dr Hyneck lors de sa visite en Australie en 1973.
avion militaire Sea Fury. KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS ……….. WWW.WEIRDAUSTRALIA.COM
REMARQUE: L’image ci-dessus est une illustration d’un avion militaire Sea Fury.
L’incident concernait un jeune pilote naval, le lieutenant Shamus Farrell, âgé de 25 ans au moment des faits.
Lors d’une interview plus récente, il raconta:
« J’étais sur le point d’appuyer sur le bouton et de dire à Nowra que les deux engins partaient quand Nowra m’a appelé et dit, « les deux autres avions semblent partir à grande vitesse au Nord-Est. Est ce correct? » et je leur ai dit, « oui! » Et ils ont dit, « Roger, nous verrons si nous pouvons les dépister. » Ils les ont dépistés pendant un moment et les ont ensuite perdus. « Je suis rentré et j’ai atterri à 07:30 (19:30) et quand je suis arrivé il y avait là un certain nombre de gens qui m’attendaient. J’ai pensé que c’était un peu étrange et donc ils ont approché, et ils ont dit, « vous êtes sûr qu’il y avait eu des engins là dehors? » et j’ai dit oui. » Quand il a atterri, O’Farrell a été méticuleusement interrogé et contrôlé médicalement, et il a été clair qu’il n’avait pas bu. La direction du renseignement naval a alors écrit que O’Farrell était « un témoin totalement crédible » et qu’il « avait été visiblement secoué par son expérience, mais demeure ferme sur le fait qu’il a vu ces objets. »
Le ministère Australien de la Marine fut immediatement alerté, et la même année, le Ministre de l’air, William McMahon, a ordonné des recherches sur ce cas et d’autres cas semblables.
Le consultant en matière scientifique du Projet Blue Book de l’US Air Force, le Dr. J. Allen Hynek, a interviewé le pilote en 1973. Le cas a été méticuleusement détaillé par l’ufologue Australien Bill Chalker (« The Oz Files – l’histoire australienne »).
Un pilote naval qualifié et expérimenté+confirmation de l’opérateur radar au sol de la Nowra Naval Air-Station, et la possibilité de deux témoins indépendants au sol, qui ont confirmé avoir vu la présence de deux feux lumineux. À ce jour, aucune explication rationnelle pour expliquer cet incident qui est considéré comme l’un des meilleurs cas d’OVNI avec trace radar à ce jour.Bill Chalker a été l’un des premiers chercheurs civils (ufologue) à étudier le cas et à le porter à l’attention du public. Si bien qu’un livre a été publié en 1991 par Ken Llewelyn intitulé «incroyables histoires vraies des aviateurs sur le plan terrestre et au-delà» qui a été cité comme une source crédible de l’incident radar Nowra.
Ken Llewelyn était officier des relations publiques avec le commandant. Bill Chalker a mentionné cet incident dans son livre, »The oz Files » paru en 1996. Depuis lors, Bill Chalker a rédigé un certain nombre d’articles en ligne qui ont été copiés et collés par de nombreux sites Web ufologiques.
Très peu de choses ont été réalisées depuis les années 1990 concernant ce cas fascinant.
Le seul autre chercheur à examiner l’affaire non résolue Nowra , a été Keith BELLONGHOT en 2012. Il a examiné les cas classiques d’OVNI pendant un certain nombre d’années.
– Au cours du projet de divulgation (Australian UFO Research Association, 2003-2008), Keith a trouvé deux fichiers originaux de 1954 sur l’incident de Nowra dans les archives nationales d’Australie. Parmi les dossiers se trouvaient des copies ainsi que des rapports originaux mentionnant l’incident signalé par le pilote et l’opérateur radar.
Il s’agissait d’une source exceptionnelle qui vérifiait l’incident comme une observation crédible.
Bien que malheureusement, les dossiers d’enquête du Bureau de renseignement commun n’ont pas été vus depuis 1973 et ils n’ont jamais été repérés par des chercheurs civils.
Personne ne sait s’ ils ont été détruits ou tout simplement égarés.
Keith BELLONGHOT essaie de trouver les fichiers manquants.Comme Keith BELLONGHOT le dit sur son blog, «la clé de la recherche plus approfondie sur ce cas semble se situer avec la localisation possible des fichiers manquants.»- Quoiqu’il en soit, cette sombre affaire résiste à l’épreuve du temps.
Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.
Sur l’une des deux vidéos où nous sommes interviewés par Yves Herbo, je précise que des ufologues et des chercheurs se sont intéressés au milieu marin concernant l’ufologie. Notre ami Tyron du site web la taverne de l’étrange est l’une de ces personnes.
Alors nous reprenons ici ce qui nous intéresse en la matière. En occurrence ce petit résumé agrémenté d’une photo d’un cas survenu en 1963. Cette affaire concerne l’US NAVY puisque l’objet a été repéré sur l’un de leur sonars plusieurs jours durant. C’est ce type de témoignage qui nous intéresse grandement ici pour nos investigations. Merci à Tyron pour ce travail et le partage de l’information.
Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.
Tyron administrateur du site web la taverne de l’étrange a repris ceci:
L’hypothèse de l’existence de bases sous-marines occupées par des intelligences non-terrestres a été notamment relayée par Ivan T. Sanderson, un naturaliste américain renommé, qui fut l’un des pionniers de la cryptozoologie, une discipline s’intéressant à l’étude des espèces inconnues ou supposées éteintes.
Dans l’un de ses ouvrages spécialisés sur le sujet, il relate une affaire datée de 1963 et qui fait désormais souvent office de preuve irréfutable dans les milieux ufologique: l’armée américaine aurait détecté- un appareil sous-marin de type inconnu se déplaçant à plus de trois cent kilomètres par heure, une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins de fabrication humaine ! Repéré sur le sonar de la Navy pendant plusieurs jours, l’étrange objet submersible aurait finalement disparut des écrans en plongeant à une profondeur de plus de huit mille mètres, zone où la pression interdit normalement tout déplacement…