Archives de la catégorie ‘Cryptozoologie Marine

Cryptozoologie : dossier créature mi-homme mi-poisson.

Crédit-Image : gravure par Guillaume Rondelet

Les OANI présents au salon du paranormal à Dijon les 8&9 septembre 2018 .
Era & Sylvain adm du site web investigation océanographique et OANIS.
Crédit photo ERA
©2018

Une discipline controversée pas très alimentée ici. Alors pour étoffer un peu la rubrique cryptozoologie sur notre site web , voici cet article ci-dessous. Nous pensons possible qu’il existe des espèces sous-marines pas encore découvertes à travers le monde marin sur notre planète. Les légendes , les histoires ont -elles un fond de vérité ? La question reste pertinente et mérite d’être posée. 

 

La mystérieuse histoire du poisson-évêque

Crédit-Image : gravure par Guillaume Rondelet

Article source : .hellystar.com/

La cryptozoologie est un domaine d’étude de la biologie consacré à des espèces ou créatures qu’on désigne sous le nom de cryptides qui ne sont pas reconnues par la science comme étant existantes. 

Aujourd’hui, nous avons décidé de consacrer un article sur un cryptide méconnue de tous : le poisson-évêque. Découvrons ensemble sa mystérieuse histoire.

Commençons par la description physique de cette intrigante créature. Elle serait mi-homme mi-poisson et est souvent considérée comme proche d’une autre créature marine : la sirène. On l’appelle poisson évêque à cause des écailles de sa tête qui forment une sorte de mitre et de ses nageoires qui étrangement simulent la fameuse soutane que porteraient les prêtres durant les offices religieux. Certaines personnes disent avoir aperçu certains de ces spécimens portaient une crosse, bien sûr ceci est à prendre avec des pincettes car on ne peut vérifier la fiabilité de ses différents témoignages qui sont très variables les uns des autres. Certains pêcheurs disent même avoir eu l’occasion de dialoguer avec les poissons évêques.

Les premières mentions faisant état de la présence de ces créatures dateraient du 16 ème siècle. En effet, des pêcheurs auraient capturé un poisson évêque en 1531 dans la mer Baltique. Le spécimen fut amené à la cour royale de Pologne et le roi ordonna à ce que ce dernier soit enfermé. Cependant, le poisson évêque accepte très mal son emprisonnement et devant la pression des prêtres ecclésiastiques, le roi décida de le relâcher en mer. En guise de remerciement, le spécimen fit un signe de croix avant de regagner les fonds marins. Une autre apparition de poisson évêque aurait été découverte au large des côtes allemandes, il aurait vécu les mêmes conditions d’incarcération que le premier mentionné mais contrairement à ce dernier, son histoire se termina mal puisqu’il mourut en prison en refusant de s’alimenter.

Le naturaliste et fondateur de la biologie marine Guillaume Rondelet raconte dans son ouvrage l’Histoire entière des poissons, les témoignages recueillis sur les poissons évêques.

Si l’on s’intéresse à présent aux légendes consacrées aux poissons évêques, on constate que certaines d’entre elles semblent indiquer que ces créatures rempliraient les mêmes fonctions que les prêtres humains auprès des populations de sirènes et tritons qui supposément vivraient aussi dans tritons.

Pourtant et comme la plupart des sujets traitant de cryptozoologie, ils ne font pas l’unanimité auprès des scientifiques. En effet selon certains spécialistes, les légendes qui se sont construites autour des poissons évêques seraient en réalité des observations effectuées sur des espèces animales siréniennes comme par exemple les lamantins ou encore les marsouins et/ou sur des anges de mer. D’autres études ont été menées afin de démontrer que le poisson évêque serait en fait un grenadier qui est un poisson vivant essentiellement dans les eaux norvégiennes et qui si l’on fait des comparatifs notamment avec son museau, cela fait étrangement penser à une mitre.

Quelque soit votre avis sur le sujet, l’interrogation reste encore présente.

Source


Références :

Certaines sources de cet article proviennent de :

  • bibulyon.hypotheses.org
  • paranormal-encyclopedie.com/
  • le-monde-perdu.forum-actif.net/
  • Crédit-Image :  Guillaume Rondelet

  • Rejoignez nous sur notre groupe facebookoanisMise à jour investigation Océanographique et O.A.N.I.S le- 24/ 10/2018 à 17H35.


Quand les baleines à fanons avaient des dents

image source: technofuture.canalblog.com/

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Les cétacés seraient apparus voilà 53 à 54 millions d’années. Ils se sont depuis séparés en deux grandes lignées il y a 35 millions d’années, que l’on peut toujours observer de nos jours : les odontocètes et les mysticètes. Le premier groupe inclut des mammifères marins pourvus de dents comme les dauphins, les marsouins ou les orques épaulards. Le second taxon, celui des mysticètes, comprend quant à lui les baleines à fanons, tels la baleine bleue ou le rorqual commun. Ces mammifères sont dépourvus de dents et se nourrissent donc en filtrant l’eau de mer grâce à des lames cornées appelées fanons.

crédit: technofuture.canalblog.com/

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Pourtant, les premiers mysticètes possédaient eux aussi des dents, comme leurs ancêtres. Pour preuve, des quenottes se développent toujours in utero chez des embryons de rorqual commun, mais elles se résorbent rapidement durant la croissance au profit des fanons. Quatre nouvelles espèces de mysticètes à dents viennent dernièrement d’être présentées lors de la rencontre annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS) par Meredith Rivin du John D. Cooper Archaeological and Paleontological Curation Center (Californie, États-Unis).

Plusieurs surprises ont accompagné ces découvertes. En effet, les mysticètes à dents se seraient éteints voilà 25 millions d’années, sur la base des enregistrements fossiles connus. Or, les nouveaux ossements sont vieux de 17 à 19 millions d’années. Ce groupe a donc survécu bien plus longtemps qu’on ne le pensait jusqu’alors. Ce n’est pas tout…

Ces dents appartiennent à l’un des mysticètes découverts le long de la California State Route 133. Son propriétaire n’a pas encore reçu de nom scientifique, mais il vient de repousser de cinq millions d’années l’époque à laquelle les derniers ætiocètes ont disparu. © John D. Cooper Archaeological and Paleontological Center, États-Unis

Les dernières baleines ætiocètes

Les fossiles ont été mis au jour entre 2000 et 2005 un peu par hasard, selon Meredith Rivin. En effet, ils n’ont pas été trouvés sur un site paléontologique classique, mais sur le chantier d’élargissement de la California State Route 133, précisément dans un affleurement rocheux du Laguna Canyon. Près de 30 crânes complets de cétacés ont été exhumés, mais le site renfermait en réalité les restes de plus d’une centaine de mammifères marins. Des fossiles de requins ont également été mis au jour.

Trois des quatre nouvelles espèces appartiennent au genre Morawanocetus, qui a été décrit pour la première fois au Japon en 1995. Elles correspondraient aux derniers ætiocètes, une famille de mysticètes qui a coexisté avec les premières baleines à fanons au sens strict. Elles ne sont donc pas les ancêtres des cétacés à fanons modernes.

crédit: technofuture.canalblog.com/

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Willy le mangeur de requins

Willy, le représentant de la quatrième nouvelle espèce, présenterait lui aussi plusieurs singularités. Selon la paléontologue, il serait notamment bien plus grand que ses congénères de l’époque. Pour information, les mysticètes actuels ont acquis leur grande taille (la baleine bleue peut atteindre 30 m de long) seulement au cours de ces dix derniers millions d’années. Willy aimait également manger des requins ; c’est du moins ce que suggère l’usure de ses dents. Les orques du grand large modernes présentent pour la plupart des marques similaires sur leurs dents : elles sont engendrées par la rugosité de la peau des squales qu’ils consomment. 

 

crédit: technofuture.canalblog.com/

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 Les trois premières espèces devraient être décrites (et nommées) plus officiellement dans une revue scientifique d’ici la fin de l’année. Le cas de Willy sera présenté plus tard, l’animal étant toujours partiellement emprisonné dans une gangue de pierre. 

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Mise à jour Investigation Océanographique et OANIs le 7-6-2014 à 16h35

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Le mystère du lac Khyargas Nuur en Mongolie

Image La Voix de la Russie

Image La Voix de la Russie

 

Un groupe de chercheurs russes est revenu des rives du lac mongol Khyargas Nuur. Ils ont essayé de découvrir d’où venaient les traces qui apparaissent régulièrement sur les rives du lac. Elles pourraient appartenir à un grand reptile.

 Les grandes traces sur les rives du lac Khyargas Nuur ont été découvertes au milieu des années 1980 lorsque des membres d’une expédition géologique soviético-mongole dirigée par Viktor Iarmoliouk s’étaient arrêtées là pour se reposer. Les années suivantes, les géologues y ont encore fait une halte à plusieurs reprises. Des zoologues y sont allés aussi. À chaque fois, les scientifiques ont vu des groupes de traces relativement fraîches, s’étalant à plus d’un kilomètre et demi de l’eau, comme si un reptile était sorti de l’eau et était resté un bon moment sur le sable. Les hypothèses voulant que ces traces proviennent d’un animal habitant sur la terre ferme ou qu’elles aient été laissées par l’homme ont été réfutées. Celle sous-tendant qu’elles aient pu être formées par les vagues ou le vent a aussi été écartée. Le rivage du lac Khyargas Nuur est un lieu désert et inhabité, se trouvant à une centaine de kilomètres du village le plus proche. Les nomades avec leurs animaux et les clients de l’auberge de tourisme à proximité ne passent pas près des rives. De plus, les géologues ont une nuit entendu des mugissements provenant du milieu du lac.

Toutefois, aucune expédition zoologique ou hydrologique sérieuse ne s’est rendue sur les rives du lac mongol. Il y a cependant des amateurs qui explorent différents sites étranges. L’écrivain et homme public Igor Grichine s’est rendu au lac Khyargas Nuur avec le groupe cet été. C’est la deuxième fois qu’il y va, la première était en 2010. Cette année, ils se sont armés de bon matériel, dont une sonde acoustique de dernière génération. 

« La dernière fois, à côté des traces de tailles différentes, nous avons trouvé des os qui ne peuvent pas appartenir à un autre animal en Mogolie. Nous pêchons assez souvent des poissons avec des traces de dents. Tout le monde sait qu’il n’y a qu’un seul genre de poisson, Oreoleuciscus, qui vit dans ce lac, et il n’a pas de dents. Cette année, à l’aide d’un catamaran et d’une sonde acoustique, nous avons pu trouver les traces au fond du lac. Cela nous pousse à penser que soit elles appartiennent à plusieurs individus de tailles différentes, soit qu’elles proviennent de différentes parties du corps d’un même animal, » raconte Igor Grichine.

Qui plus est, les trappeurs ont aperçu sur le rivage des sillons, comme si quelqu’un avait tiré une barge ou un canot sur le sable. Mais il y a nulle part où prendre un tel engin au Khyargas Nuur. Les chercheurs en ont donc conclu qu’il s’agissait de traces de pierres que les animaux auraient pu bouger. En fouillant un peu dans la littérature, ils ont appris que les habitants préhistoriques des fonds marins, comme les plésiosauriens, avalaient des pierres. Sans elles, ils ne pouvaient pas digérer.

Valéri Nikolaïev, zoologue et chercheur à la réserve de Valdaï, qui n’a pas eu l’occasion d’aller au Khyargas Nuur, partage l’hypothèse de l’existence d’un reptile préhistorique géant. Il explique que les gens ne vont pas près du lac parce qu’ils ont peur d’un animal inconnu, qu’ils appellent « baleine ».

« La population locale mongole, même si elle ne passe pas très loin du rivage, ne s’intéresse pas du tout au lac. De plus, ceux qui vivent assez près du Khyargas Nuur disent que d’énormes créatures y vivent. C’est évidemment une légende, un mythe, mais il y a de nombreux cas dans l’histoire de la science où des animaux ont été découverts grâce à de tels incroyables récits. Prenons par exemple le panda ou le « fossile vivant », le cœlacanthe, un poisson qui n’a pas changé depuis 400 ans, l’okapi de la famille des Giraffidés. Ils étaient tous une légende au début. »

Le maitre du Khyargas Nuur pourrait être un animal vestige, qui pourrait dater de la période préglaciaire. Dans les régions sud de la planète, en Asie centrale y compris, tous les animaux n’ont pas eu à subir la glaciation. Les chercheurs pensent que les fleuves mongols de la région sont des restes d’une mer pléistocène préhistorique et que le poisson Oreoleuciscus, dont pourrait se nourrir le mystérieux reptile, est un genre vestige.

Des observations ultérieures de scientifiques chevronnés et d’équipements de haute qualité pourraient bien sûr résoudre ce mystère de la nature. Cependant, l’audacieux groupe d’Igor Grichine n’a pas encore réussi à s’agrandir. Il est convaincu que le rivage désert du lac, semblable à la surface de Mars, effraie et n’est pas très accueillant.

« Aussi étrange que cela puisse paraître, tous les zoologues qui devaient partir avec nous pour l’expédition se sont désistés au dernier moment. Honnêtement, cet endroit n’est pas très accueillant. Nous avons l’impression que tous les éléments réagissent à notre présence. Cette région est très sèche, mais dès que nous nous sommes installés, il y a eu des bourrasques et de la pluie pendant quatre jours. Il y avait de l’orage. Mener des recherches dans le lac est difficile, et même risqué à cause des tempêtes et des rafales de vent. On peut être emporté en une seconde à un endroit d’où on ne peut pas se sortir. »

Cependant, les trappeurs n’abandonnent pas et espèrent que l’année prochaine ils pourront relancer une expédition avec des scientifiques.

Vu sur SOTT.NET

Source : 
Daria Denissova
La Voix de la Russie
jeu., 29 août 2013 12:45 CDT

Sourcela voix de la russie

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 07/09/2013 à : 11h25.

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Publié 7 septembre 2013 par Era dans Cryptozoologie Marine

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Les monstres des mers

Source image : http://resize.over-blog.com/

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Ils sortent de l’eau au moment où on s’y attend le moins, partout sur la planète des gens rapportent avoir vu d’étranges monstres…S’agit il d’espèces aquatiques inconnues ? De descendants des dinosaures ? ou est-ce simplement un mythe ?

 

Source Dailymotion Grande Etoile

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Mise à Jour Era pour Investigation Océanographique et Oanis le 5-4-2013 à 19:30

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Publié 5 avril 2013 par Era dans Cryptozoologie Marine

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Projet Gombessa : top départ !

5.04.2013, 12:54, heure de Moscou

Source :la voix de la russie

Projet Gombessa : top départ !

Photo : AFP

Aujourd’hui s’envole vers l’Afrique du Sud le plongeur et naturaliste Laurent Ballesta accompagné d’une équipe de plongeurs et de scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle et du CNRS. En compagnie de spécialistes de l’Institut Sud-Africain SAIAB (South African Institute for Aquatic Biodiversity), ils partiront à la rencontre d’un poisson géant long de deux mètres, le Gombessa ou Cœlacanthe. Jusqu’en 1938 ce poisson était considéré comme une espèce disparue depuis 70 millions d’années. Il vit à plus de 100 mètres de profondeur et a été très rarement observé. L’expédition fera l’objet d’un documentaire qui sera diffusé sur Arte.

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Mise à jour Era pour Investigation Océanographique et OANIS le 5-4-2013 a 12:45

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Sirènes, le Grand complot

créature

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avatar i love japanavatarera

Note Administration :

03/02/2013, 00h30 :

Ce documentaire de la chaîne Discovery, va intéresser à n’en point douter bon nombre d’entre vous.

Plusieurs faits, des témoignages , de l’investigation technico-scientifique, l’autisme de la marine U.S…

Une chose est certaine pour nous, le mystère, quelque soit le milieu, l’environnement, qu’il soit en surface terrestre, en milieu marin ou sous marin ou à l’extérieur dans le cosmos, démontre que nos connaissances sont limitées d’une part, d’autre-part certains éléments dérangent.

Un chercheur ne doit pas rejeter ou avoir des idées préconçues s’il veut avancer, ainsi il évitera de passer à côté de quelque chose ce qui serait une grave erreur pour la vérité ou la solution des énigmes s’offrant à l’humanité.

Ne perdons pas de vue que certains ne veulent pas divulguer une vérité pouvant déranger et ainsi se dressent les obstacles indésirables et ralentissant la compréhension de ce qui nous entoure et sur ce que nous sommes en droit de savoir.

Alors comme toujours ce reportage est discutable, d’autant que, après avoir vu ces vidéos nous avons effectué des recherches et trouvé des articles parus en juillet 2012, en toute transparence nous vous en glissons les liens ( cliquez sur les titres pour lire ces articles).

D’après le premier article certains faits  ne seraient pas vrai.

Nous ne pouvons pas affirmer bien entendu, mais nous avons tout de même une idée, et une certaine conviction, celle que, une fois encore cela nous donne l’impression de « circulez il n’ y a rien à voir! »

Notre site ci repose sur une intuition mais aussi sur des éléments , et nous conforte dans l’idée que investigation océanographique et oanis a raison d’exister et avec ce reportage il nous motive encore plus à fouiner et à bousculer certains fondamentaux s’il le faut!

L’homme est le premier nuisible de cette planète , certains plus que d’autres !

Un jour celui-ci va t-il enfin grandir et mériter de survivre avant qu’il ne soit trop tard ? Pour nous rien n’est moins sûr!

Source image et vidéos : http://www.karwim.com/

Source image et vidéos : http://www.karwim.com/

1ère partie

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2ème partie

 Pour Voir la vidéo cliquez sur l’image

sirenes

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Liens externes :

USA: les sirènes comme les zombies n’existent pas, selon les scientifiques

Non  les sirènes n’existent pas

 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis03/02/2013, 00h30.

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De nouvelles photos du monstre Loch Ness

Info envoyée par Yves, pas nouvelle (elle date d’avril 2012) elle mérite cependant de figurer dans la rubrique mystères marins et légendes…Source : http://www.planet.fr/ 

Une nouvelle image sonar montre une étrange forme inconnue dans le lac écossais du Loch Ness.

Pour le détenteur de l’image, il  s’agit bel et bien du monstre.

Le célèbre monstre du Loch Ness, ou plutôt sa légende, refait surface en Ecosse. Une image granuleuse ressemblant à « un long serpent comme la créature » sème à nouveau le doute sur l’existence de Nessie, rapporte le site anglais du Dailymail.

L’image sonar, qui montre un objet non identifié dans les profondeurs du lac, a été enregistrée par un bateau skipper. L’étrange forme a été vue à une profondeur de 75 pieds (environ 23 mètres) et mesure près de 5 pieds de large (environ 1,5 mètre).

M. Atkinson, 43 ans, habitué du lac et qui a pris la photo raconte : « Il n’y a  rien de si grand dans le Loch. J’étais sous le choc car il ressemblait à un gros serpent, c’est incroyable. Vous ne pouvez pas truquer une image sonar. Je n’ai jamais rien vu de tel ».

Si les experts restent encore sceptiques, et pencheraient plutôt pour un amas d’algues, le marin et de nombreux autres navigateurs du lac, croient dur comme fer à cette nouvelle découverte…

 nessie

Le Loch Ness est un lac écossais. C’est l’une des étendues d’eau les plus importantes de Grande Bretagne. Selon la légende, un monstre y vivrait. Chaque lac en Ecosse serait habité par un « kelpie », un monstre lacustre. Ils sont assimilés à des esprits démoniaques qui tueraient les voyageurs en les noyant.
Le monstre du Loch Ness est une légende qui a débuté en 565. Le premier témoin de la créature fut un moine irlandais, Saint Colomban. Depuis, beaucoup ont cherché à prouver l’existence du monstre par des photographies et des vidéos dont l’authenticité est difficile à prouver.

Un monstre marin aperçu en Sibérie

Un monstre marin se cacherait-il en Sibérie? De nombreux témoins affirment avoir aperçu une étrange silhouette dans un lac situé non loin de la ville la plus froide de la planète. Des scientifiques confirment, une « chose » longue de dix mètres aurait bien été perçue par leurs scanners.

Les fans de mystère en tout genre apprécieront la nouvelle. Une étrange créature a été aperçue dans le lac Labynkyr situé non loin d’Omymyakon, à savoir la ville habitée la plus froide de la planète, dans l’extrême nord-est de la Russie.

Cela fait de nombreuses années que les locaux racontent cette légende selon laquelle un monstre marin coulerait des jours paisibles dans cette eau glaciale. Une équipe de chercheurs s’est donc mis à la recherche de la créature. Le professeur Emily Lyudmila Anova de l’Université de Moscou a passé le Lac Labynkyr au sonar et les résultats sont surprenants. Les scanners ont, en effet, révélé une longue forme sous l’eau. « C’était notre cinquième jour sur le lac. Nos appareils ont détecté un énorme objet dans l’eau sous le bateau. Il est clair que c’était une créature vivante. Elle est trop grande que pour être un poisson », confie la chercheuse.

« Je ne peux pas affirmer avec une certitude scientifique qu’il s’agit bien d’un animal », ajoute-t-elle. « Mais en tant que chercheur, je ne peux pas vraiment expliquer ce que c’était. Je pense qu’il y a un mystère dans ce lac », dit-elle en revenant sur l’histoire de ces pêcheurs dont le bateau aurait été renversé par un gigantesque animal. « Les pêcheurs étaient terrifiés mais ne voyaient rien », explique-t-elle. Un autre témoin raconte l’histoire d’un groupe de géologues russes qui a vu surgir une énorme créature. « Même les gens qui se trouvaient sur la rive ont vu le monstre. Ils ont tous crié pour l’effrayer ».

En 1953, le géologue Viktor Tverdokhlebov avait déjà indiqué avoir détecté un monstre sur un lac voisin, le lac Vorota. Mais les autorités soviétiques avaient clos le dossier. Selon certaines théories, ces deux lacs seraient reliés par des tunnels.

 

 Source : 7s7

Les sirènes, c’est comme les zombies, ça n’existe pas selon communiqué du National Ocean Service (NOS)

Photo d’illustration. © TORSTEN BLACKWOOD / AFP

Les sirènes, tout comme les zombies, n’existent probablement pas, a assuré mardi une organisation dépendant du gouvernement américain. « Les sirènes – ces espèces mi-femmes mi-poissons – sont des créatures des mers légendaires », peut-on lire dans un communiqué en ligne du National Ocean Service (NOS), chargé des réponses aux « changements climatiques et aux risques naturels tels que les ouragans et tsunamis ». « Aucune preuve de l’existence d’humanoïde aquatique n’a été découverte », ajoute le texte.

L’organisation aurait reçu plusieurs lettres de citoyens concernant l’existence potentielle de ces créatures mythologiques peu après la diffusion en mai, sur la chaîne Animal Planet de Discovery Channel, du documentaire « Sirènes : Le corps retrouvé ». Le film « brosse un tableau très convaincant de l’existence des sirènes, de ce à quoi elles pourraient ressembler, et pourquoi elles seraient restées cachées… jusqu’à présent », indique un communiqué de Discovery Channel. Le communiqué du National Ocean Service n’offre en échange aucune preuve pour nier l’existence de ces êtres mi-femmes mi-poissons.

Il intervient en outre un mois après que les centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré qu’il n’y avait pas de preuve tangible de l’existence des zombies. « Les CDC ne sont pas au courant de l’existence d’un virus ou d’une maladie susceptible de réanimer les morts », avait écrit un porte-parole dans un courriel au site The Huffington Post, alors qu’une série d’attaques cannibales ont eu lieu ces derniers mois aux États-Unis, réveillant d’anciennes peurs populaires.

Source AFP

http://www.lepoint.fr/insolite/les-sirenes-n-existent-pas-04-07-2012-1480568_48.php

 

Publié 8 juillet 2012 par Era dans Cryptozoologie Marine, Mystères Marins et Légendes

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L’expo 20.000 monstres sous les mers s’ouvre à Dinard

Info rédaction, publiée le 01 juillet 2012

L’exposition 20.000 monstres sous les mers s’est ouvert vendredi 22 juin à Dinard. Elle propose d’explorer les fonds marins avec des espèces inédites et impressionnantes.

Du 22 juin au 9 septembre se tiendra au Palais des Arts et du festival de la ville de Dinard l’exposition 20.000 monstres sous les mers. Une manifestation qui invite le public à découvrir de nombreuses espèces des fonds marins et que Maxisciences a pu découvrir en avant-première. Aussi bien fossile que naturalisée, chaque espèce présentée se veut extraordinaire, soit par son mode de vie ou par son anatomie. C’est le maire honoraire de Dinard en personne Marius Mallet et le conservateur en chef honoraire du Muséum d’Histoire Naturelle, Gilles Pacaud, qui ont dirigé cette exposition. Le but : sensibiliser le public aux questions environnementales liées à la mer en montrant son incroyable diversité.

Au cours de la première partie, l’exposition rassemble ainsi des pièces issues du Muséum d’Histoire Naturelle mais aussi de grands musées nationaux. On y retrouve des spécimens rares de calamars géants conservés dans du formol, des fossiles de Liopleurodon ou encore des poissons abyssaux. Le premier étage offre même la possibilité d’observer l’imaginaire liée aux animaux marins avec des représentations de gravure du XVe siècle. Puis, le visiteur tombe en pleine préhistoire entre fossile et mâchoire géante du Mégalodon, afin de s’immerger dans la biodiversité marine du passé.

Mais la pièce maîtresse de cette exposition est bien entendu le calamar géant. Pendant longtemps, ces créatures pouvant mesurer jusqu’à 20 mètres de long et vivant dans les abysses, étaient considérées comme des mythes. Très rares sont ainsi les personnes qui ont pu en observer en pleine eau. De nombreux spécimens sont néanmoins exposés, dont un seul avec les tentacules dépliées. Passé ce légendaire géant, c’est ensuite au tour des requins et des baleines de dévoiler leurs merveilles avec plusieurs modèles reconstitués dont un squelette de rorqual ayant été trouvé près de Perpignan.

De rares spécimens de créatures abyssales

Mais difficile d’entendre monstres marins sans penser aux créateurs abyssales. 20.000 monstres sous les mers présentent ainsi plusieurs spécimens de ces créatures fascinantes. Vivant dans des conditions extrêmes et sans lumière, la plupart ont dû s’adapter à la présence des cheminées hydrothermales, les fumeurs noirs, qui rendent l’eau sulfureuse en développant des adaptations spécifiques. Malheureusement il est actuellement impossible de ramener des spécimens vivants, le changement de pression étant trop grand entre les abysses de la surface. Malgré tout on retrouve dans l’exposition notamment des spécimens de Baudroie et de requin Lézard très bien conservés.

Le deuxième étage est consacré aux mythes. Imaginée par le musée du Fjord situé au Québec, cette partie se propose de démêler la réalité et la fiction entre les légendes comme les sirènes ou les serpents de mer et les animaux existant. Des textes agrémentés de vidéos, d’images et d’objets qui offre un tout autre regard sur la mer dans un cadre idyllique. Une très belle idée de sortie alors que les vacances viennent tout juste de démarrer. D’ailleurs, l’exposition 20.000 monstres sous les mers restera ouverte jusqu’au 9 septembre, ce qui permettra donc d’en profiter tout l’été.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site dédié : 20000monstres.ville-dinard.fr

Source : http://www.maxisciences.com/exposition/l-039-expo-20-000-monstres-sous-les-mers-s-039-ouvre-a-dinard_art25363.html