INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
La PME A2V a conçu une vedette de luxe à portance aérodynamique. Crédit image : usinenouvelle.com
Les bateaux évoluent en design en technologie et en mode de propulsion tout comme le reste des moyens de transport. La France n’entend pas accumuler du retard sur ses concurrents. En effet, les médias l’usine nouvelle et mer et marine annoncent que la société française A2V a réalisé une série de navires ultrarapides à portance aérodynamique. Il s’agit de l’Evian One, vedette de luxe commandée par la société Pro Yachting. D’une longueur de 11.5 mètres et d’une capacité de 12 passagers, et sera capable d’atteindre la vitesse de 50 nœuds (93 km/h). En utilisant le vent généré par la vitesse ceci crée une dépression allégeant le bateau, qui peut atteindre de très grandes vitesses, avec une consommation modérée.
Une alternative , une autre technique pour propulser les navires voit le jour. Les innovations continuent et les moyens technologiques aussi. La vitesse des vedettes même de luxe augmente certes, mais elle est encore limitée. L’ère hypersonique attend encore , du moins au niveau commercial.
Le bateau français de luxe futuriste
Vidéo
Télé Matin
via Youtube
Déjà deux vedettes futuristes de luxe de 11,5 mètres de longueur ont été vendues par le bureau d’études de La Rochelle A2V.
Droits réservés , toute reprise partielle ou totale doit faire l’objet d’une demande motivée par écrit ou par e-mail sans aucune modification et en échange d’une réponse positive en retour. Merci !
Les derniers relevés du « plancher » du Léman dataient de la fin du 19e siècle Crédit dessin et texte eau-debat.fr/
Les mystères révélés du fond du Lac Léman
Article datant de 2016- source : letemps.ch
Des scientifiques genevois et bernois ont réalisé, entre 2012 et 2013, une cartographie ultra précise du fond du lac. A l’issue de l’étude des données, plusieurs structures totalement inédites sont apparues, comme des cratères, des stries, des tunnels glaciaires, de nouveaux canyons. Décryptage exclusif.
Des cratères, par dizaines, de tailles multiples allant jusqu’à 200 mètres de diamètre et à l’origine inconnue. De longues stries formant un zébrage étonnant. L’empreinte d’anciens tunnels du glacier du Rhône, qui recouvrait la région de 1000 mètres de glace. Près du Bouveret, les canyons du delta du fleuve dans d’infinis détails: les nouvelles mesures de topographie du fond du Léman, menées il y a peu par des scientifiques notamment de l’Université de Genève, révèlent petit à petit certains mystères du plus grand lac d’Europe occidentale. Autant de structures pour beaucoup totalement inédites (voir infographie) qui seront bientôt soumises à publication dans une revue spécialisée, tant elles fournissent une image géologique totalement renouvelée de ce réservoir naturel.
«A l’heure où le monde physique qui nous entoure est connu sous toutes ses coutures, décrit, photographié et géo référencé à un degré élevé de précision, il n’en va pas de même des milieux lacustres, lesquels font figure de parents pauvres et sont, vu les difficultés et les coûts inhérents, restés longtemps cartographiés de manière sommaire», rappelait Jean-François Jaton en 2014 dans le bulletin de la Commission internationale pour la protection des eaux du Léman (CIPEL). Et l’adjoint à la Direction générale de l’environnement du canton de Vaud de rappeler que la première carte complète date de 1892, avec les travaux du fondateur de la limnologie, François-Alphonse Forel.
L’avènement récent de nouvelles techniques de mesures a permis aux équipes de Walter Wildi (Université de Genève) et de Flavio Anselmetti (Université de Berne) de lancer une grande opération de mesures, durant septante-quatre jours de navigation entre 2012 et 2013; un travail mis en images dont le résultat, le film «Le Fjord du Léman», est présenté ce jeudi soir à Genève, en présence des scientifiques*.
Dix découvertes sur le fond du Léman expliquées par Stéphanie Girardclos, chercheuse à l’Université de Genève (Données bathymétriques: courtoisie Etat de Vaud)
croquis letemps.ch
1 Butte immergée
Le «relief du Haut-Mont», butte de molasse immergée et jadis non érodée par le glacier du Rhône qui recouvrait toute la région, a permis derrière lui l’accumulation d’une couche de sédiments de 100 m de profond et instable. De quoi grandement compliquer la construction, à cet endroit, de la sortie d’un éventuel tunnel sous le lac pour traverser la rade.
photo crédit : .letemps.ch
2 Tunnels glaciaires
Deux longues structures sombres inédites, qui sont les témoins de la présence de deux immenses tunnels sous-glaciaires où coulaient des flots d’eau, ont été découvertes. Ces deux tunnels ont finalement été remplis par les sédiments et apparaissent aujourd’hui comme de longues collines.
PUBLIÉ LE 10/02/2017 À 06H56, MIS À JOUR LE 10/02/2017 À 12H53
Deux bombardiers russes de type Tu-160 Blackjack ont été interceptés aux larges des côtes françaises jeudi 9 février. Ils ont notamment été escortés par deux Mirage 2000-5. Les bombardiers russes n’en sont pas à leur coup d’essai.
Nos capacités de défense ne sont -elles pas mises à l’épreuve ? La Russie n’espionne-t-elle pas nos installations et notre capacité de réaction par la même occasion?
Alors vu le contexte actuel, une guerre froide qui a repris de plus belle même si celle-ci n’ a jamais réellement cessée, nous pouvons légitimement nous interroger sur les réelles intentions de la Russie.
Je vais pousser le bouchon plus loin.
Les drones survolant nos sites nucléaires civils et militaires ne sont -ils pas aussi concernés?
L’origine même de ces survols intempestifs et échappant à en croire certains à notre contrôle sont-ils militaires d’origine russes , chinoises ou américaines ?
Les ufologues y voient une toute autre origine, ils pensent grandement à une intervention de type exogène.
Alors si nous restons attentifs à l’actualité de cet acabit, nous pourrions peut-être avoir des éléments de réponse . Si d’aventure, après cette énième incursion russe, dans quelques jours nos installations stratégiques étaient encore survolées par des « drones ».
Je remarque que peu de temps après, le survol d’avions russes près de nos côtes, au maximum sur une période d’un trimestre, suit des intrusions de » drones » indésirables sur notre territoire.
Je vous laisse messieurs et mes dames à votre propre analyse et réflexion.
« Le Brésil est un pays en constante évolution et même si les médias parlent très peu de son potentiel dèjà pas mal avancé pour ce qui concerne le secteur spatial, nous remarquerons que les secteurs maritime et militaire ne sont pas en reste. Cet article ci-dessous publié par la voix de la Russie,intéressant pour se faire une idée plus précise de ce pays en » expansion », aidé par une coopération internationale.«
Article source: french.ruvr.ru/
Par La Voix de la Russie | Le Brésil construira sont premier sous-marin nucléaire vers 2023. Le pays maitrise désormais tout le cycle technologique pour la fabrication des réacteurs nucléaires qui sont installés sur les sous-marins. C’est la France qui fournit son aide à l’élaboration du système de contrôle sur l’équipement du nouveau sous-marin.
La décision de passer un partenariat avec ce pays européen s’explique par sa volonté de transmettre au Brésil les technologies.
La longueur des frontières maritimes du Brésil atteint plus de 8000 kilomètres. Actuellement les eaux territoriales du pays sont patrouillées à l’aide des sous-marins diesel-électriques, construits d’après des projets allemands. A la première vue, le pays n’est pas menacé par des porte-missiles des autres pays, et il peut assurer la protection de ses plateaux continentaux, riches en hydrocarbures, avec des sous-marins non-nucléaires. Toutefois, les intérêts géopolitiques du Brésil sont en train de s’élargir, et ce pays se considère désormais comme l’un des principaux pays de l’Atlantique Sud, souligne le vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques Konstantin Sivkov.
« Le Brésil fait partie des pays BRICS. Les dirigeants brésiliens comprennent que dès que le Brésil va commencer à étendre son influence et protéger ses intérêts nationaux et ceux de ses activités dans les régions éloignées, il lui faudra une flotte. Pour assurer ses activités dans toute la région de l’Atlantique Sud, le pays aura besoin de sous-marins. Selon certaines informations, le Brésil aurait besoin au total de 4-5 sous-marins nucléaires. »
Par ailleurs, le pays envisage également de renforcer son aviation embarquée. Actuellement, le Brésil possède un seul porte-avions – le vieux navire français Foch, capable de réaliser un spectre étroit de missions. Ce navire ne répond pas aux exigences modernes, et son parc d’avions est représenté uniquement avec 20 appareils de type Skyhawk. Il s’agit de vieux avions d’assaut américains datant de l’époque de la guerre du Vietnam. Il est probable que le Brésil puisse décider la construction de deux autres porte-avions, ce qui lui permettra de défendre plus efficacement ses intérêts dans les régions éloignées de l’Atlantique Sud. C’est très important pour le Brésil, compte tenu du fait que les Etats-Unis ont ressuscité la 4e Flotte de la marine, qui a notamment pour mission de contrôler ce qui se passe en Amérique du Sud. De nombreux experts estiment que les Etats- Unis ont complètement perdu aujourd’hui le contrôle de l’Amérique du Sud. Les pays avec une position pro-américaine ne jouent plus aucun rôle dans ce processus, note Konstantin Sivkov.
« Le Brésil, l’Argentine et le Venezuela mènent une politique intérieure et étrangère complètement indépendante des États-Unis. Donc, les Américains sont en train de tenter maintenant de résoudre le problème de la restauration du contrôle de ces pays dans cette zone. Pour ce faire, ils provoquent un chaos économique et des troubles sur le territoire du Venezuela. Sans exclure la possibilité de la dissuasion militaire, les Etats-Unis sont en train de créer une quatrième flotte de la marine militaire ».
Le Brésil et la France ont signé en 2008 un accord sur la coopération en matière de la construction des sous-marins. En 2009, la société brésilienne Odebrecht, spécialisée dans les projets dans le domaine de la défense et de la sécurité, a signé un contrat avec le français DCNS (Direction des constructions navales) pour la construction de quatre sous-marins diesel-électriques de type Scorpène, et la conception conjointe d’éléments pour les sous-marins non-nucléaires. La participation de DCNS dans ce projet se limite à l’aide apportée lors de la construction de la coque et l’équipement de plusieurs compartiments du sous-marin nucléaire. Selon les sources ouvertes, le nouveau navire brésilien sera équipé des systèmes français de contrôle de combat et de sonars fabriqués par une autre société française, Thalès. Toutefois, les experts estiment qu’il est peu probable que la France puisse être d’accord pour transmettre eu Brésil ses toutes récentes technologies. Ce sont des technologies de la génération précédente qui seront transmises. Source
Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le: 15/03/2014 à : 11h15.
Un groupe de chercheurs russes est revenu des rives du lac mongol Khyargas Nuur. Ils ont essayé de découvrir d’où venaient les traces qui apparaissent régulièrement sur les rives du lac. Elles pourraient appartenir à un grand reptile.
Les grandes traces sur les rives du lac Khyargas Nuur ont été découvertes au milieu des années 1980 lorsque des membres d’une expédition géologique soviético-mongole dirigée par Viktor Iarmoliouk s’étaient arrêtées là pour se reposer. Les années suivantes, les géologues y ont encore fait une halte à plusieurs reprises. Des zoologues y sont allés aussi. À chaque fois, les scientifiques ont vu des groupes de traces relativement fraîches, s’étalant à plus d’un kilomètre et demi de l’eau, comme si un reptile était sorti de l’eau et était resté un bon moment sur le sable. Les hypothèses voulant que ces traces proviennent d’un animal habitant sur la terre ferme ou qu’elles aient été laissées par l’homme ont été réfutées. Celle sous-tendant qu’elles aient pu être formées par les vagues ou le vent a aussi été écartée. Le rivage du lac Khyargas Nuur est un lieu désert et inhabité, se trouvant à une centaine de kilomètres du village le plus proche. Les nomades avec leurs animaux et les clients de l’auberge de tourisme à proximité ne passent pas près des rives. De plus, les géologues ont une nuit entendu des mugissements provenant du milieu du lac.
Toutefois, aucune expédition zoologique ou hydrologique sérieuse ne s’est rendue sur les rives du lac mongol. Il y a cependant des amateurs qui explorent différents sites étranges. L’écrivain et homme public Igor Grichine s’est rendu au lac Khyargas Nuur avec le groupe cet été. C’est la deuxième fois qu’il y va, la première était en 2010. Cette année, ils se sont armés de bon matériel, dont une sonde acoustique de dernière génération.
« La dernière fois, à côté des traces de tailles différentes, nous avons trouvé des os qui ne peuvent pas appartenir à un autre animal en Mogolie. Nous pêchons assez souvent des poissons avec des traces de dents. Tout le monde sait qu’il n’y a qu’un seul genre de poisson, Oreoleuciscus, qui vit dans ce lac, et il n’a pas de dents. Cette année, à l’aide d’un catamaran et d’une sonde acoustique, nous avons pu trouver les traces au fond du lac. Cela nous pousse à penser que soit elles appartiennent à plusieurs individus de tailles différentes, soit qu’elles proviennent de différentes parties du corps d’un même animal, » raconte Igor Grichine.
Qui plus est, les trappeurs ont aperçu sur le rivage des sillons, comme si quelqu’un avait tiré une barge ou un canot sur le sable. Mais il y a nulle part où prendre un tel engin au Khyargas Nuur. Les chercheurs en ont donc conclu qu’il s’agissait de traces de pierres que les animaux auraient pu bouger. En fouillant un peu dans la littérature, ils ont appris que les habitants préhistoriques des fonds marins, comme les plésiosauriens, avalaient des pierres. Sans elles, ils ne pouvaient pas digérer.
Valéri Nikolaïev, zoologue et chercheur à la réserve de Valdaï, qui n’a pas eu l’occasion d’aller au Khyargas Nuur, partage l’hypothèse de l’existence d’un reptile préhistorique géant. Il explique que les gens ne vont pas près du lac parce qu’ils ont peur d’un animal inconnu, qu’ils appellent « baleine ».
« La population locale mongole, même si elle ne passe pas très loin du rivage, ne s’intéresse pas du tout au lac. De plus, ceux qui vivent assez près du Khyargas Nuur disent que d’énormes créatures y vivent. C’est évidemment une légende, un mythe, mais il y a de nombreux cas dans l’histoire de la science où des animaux ont été découverts grâce à de tels incroyables récits. Prenons par exemple le panda ou le « fossile vivant », le cœlacanthe, un poisson qui n’a pas changé depuis 400 ans, l’okapi de la famille des Giraffidés. Ils étaient tous une légende au début. »
Le maitre du Khyargas Nuur pourrait être un animal vestige, qui pourrait dater de la période préglaciaire. Dans les régions sud de la planète, en Asie centrale y compris, tous les animaux n’ont pas eu à subir la glaciation. Les chercheurs pensent que les fleuves mongols de la région sont des restes d’une mer pléistocène préhistorique et que le poisson Oreoleuciscus, dont pourrait se nourrir le mystérieux reptile, est un genre vestige.
Des observations ultérieures de scientifiques chevronnés et d’équipements de haute qualité pourraient bien sûr résoudre ce mystère de la nature. Cependant, l’audacieux groupe d’Igor Grichine n’a pas encore réussi à s’agrandir. Il est convaincu que le rivage désert du lac, semblable à la surface de Mars, effraie et n’est pas très accueillant.
« Aussi étrange que cela puisse paraître, tous les zoologues qui devaient partir avec nous pour l’expédition se sont désistés au dernier moment. Honnêtement, cet endroit n’est pas très accueillant. Nous avons l’impression que tous les éléments réagissent à notre présence. Cette région est très sèche, mais dès que nous nous sommes installés, il y a eu des bourrasques et de la pluie pendant quatre jours. Il y avait de l’orage. Mener des recherches dans le lac est difficile, et même risqué à cause des tempêtes et des rafales de vent. On peut être emporté en une seconde à un endroit d’où on ne peut pas se sortir. »
Cependant, les trappeurs n’abandonnent pas et espèrent que l’année prochaine ils pourront relancer une expédition avec des scientifiques.
Vu sur SOTT.NET
Source : Daria Denissova La Voix de la Russie jeu., 29 août 2013 12:45 CDT
Des chercheurs originaires des États-Unis et d’Europe ont fait une découverte surprenante.
Ils ont découvert trois objets sur le territoire de l’Antarctique qui rappellent par leur forme des pyramides. Cependant, les chercheurs estiment que ces monuments anciens ont une origine artificielle.
Les chercheurs ont découvert qu’une pyramide se trouve presque sur la rive. Deux autres sont situés à 16 kilomètres de la côte. Visuellement, les vestiges découverts ressemblent aux pyramides d’Egypte, dont la plus ancienne date de l’année 2070 av. J.-C.
L’information diffusée hier soir sur La Voix de la Russie n’est pas toute récente et remonte à Août 2012 :
Découvertes d’anciennes pyramides en Antartique
2012 – Année de révélations anciennes pyramides dans l’Antarctique !
Une équipe de chercheurs déclarent qu’ils ont découvert trois pyramides antiques sur le continent couvert de glace de l’Antarctique.
Détails exacts sont sommaires, mais l’équipe a publié trois images fascinantes de leur découverte. …
L’équipe internationale comprend des chercheurs provenant des États-Unis et plusieurs autres, sont de divers pays européens. Deux des structures immenses pyramide ont été trouvés à environ 10 milles vers l’intérieur, le troisième un pas loin de la côte, clairement visible depuis l’océan.
L’équipe prévoient actuellement une expédition pour atteindre une des pyramides pour savoir si c’est naturel ou une structure artificielle. Sans autres détails ont été rapportés de l’équipe à compter du 29 août 2012. Plus de news en attente.
Dans les années 1950, Richard French est membre de l’Armée de l’Air américaine. Il était chargé par ses supérieurs d’aller enquêter sur les apparitions d’OVNI et de tout faire pour discréditer ces histoires. Aujourd’hui, Richard French raconte une de ces apparitions. Une histoire loin d’être banale et assez effrayante.
Quand des OVNI sont aperçus aux Etats-Unis, des enquêtes sont ouvertes. Le Lieutenant Richard French, de l’armée de l’air américaine était chargé de se rendre sur place dans les années 1950 pour démanteler des rapports concernant des apparitions d’OVNI. Mais un jour, ce qu’il a vu était loin d’avoir été imaginé par un petit groupe de personnes. A l’époque, il a été tenu de mentir sur ce qu’il a vu de ses propres yeux. Aujourd’hui, âgé de 83 ans et à la retraite, il a décidé de dire la vérité. Et, le moins que l’on puisse dire est que ce témoignage est assez effrayant.
Deux soucoupes et deux aliens juste sous la surface de l’eau
En 1952, Richard French est envoyé à Newfoundland pour enquêter sur l’apparition étrange d’un OVNI. « Ils m’ont dit qu’il y avait deux êtres étranges qui se trouvaient sous l’eau après être entré en collision avec l’eau à près de 160 km/h », a-t-il raconté au Huffington Post. « De nombreuses personnes étaient rassemblées au bord de l’eau. Toutes étaient en train de regarder ce qui se passait sous l’eau » a-t-il ajouté. C’est à ce moment précis que le discours de Richard French prend une tournure digne des films de Science-fiction. Selon ses souvenirs, l’eau était très claire et il pouvait voir deux embarcations circulaires mesurant chacune plus de 5 mètres de diamètre. Elles flottaient juste sous la surface de l’eau à près de six mètres du bord de l’eau. « La première chose que j’ai vu, c’était des OVNI. […]
L’eau était très claire et je pouvais vraiment voir ce qui se passait » a expliqué Richard French. Les êtres qu’il a vu « mesuraient entre 60 et 90 centimètres, ils étaient de couleur grise, une silhouette fine, de longs bras et des mains avec seulement deux ou trois doigts. […] Ils ressemblaient vraiment aux aliens qu’on avait l’habitude de voir dans les films (…) Cela a duré 20 minutes. Les deux soucoupes sont ensuite parties ensemble à une vitesse éclair. Je pense qu’ils étaient en train de réparer leurs engins pour ensuite repartir » a-t-il précisé.
Un rapport fictif
Mais à l’époque, le travail de Richard French était justement de discréditer ces théories d’aliens. Qu’a-t-il donc écrit sur son rapport concernant cette histoire ? « J’ai fait un rapport fictif. Je n’ai pas vraiment dit qu’il s’agissait d’OVNI, j’ai dit qu’il s’agissait de choses que l’on ne connaissait pas, des sortes de véhicules méconnaissables. En d’autres termes, j’étais très ambigu et je suis resté évasif » a-t-il avoué. Malheureusement pour nous, cette apparition à Newfoundland date des années 1950 et aucune image n’a pu être enregistrée.
C’est en Australie que 12 dauphins ont partagé leur meilleure récolte de thons, poulpes et autres poissons fins avec des Hommes. Il s’agit-là d’un acte de partage très rare entre deux espèces.
À Tangalooma, une station balnéaire de l’île Moreton, en Australie, des dauphins sauvages donnent de la nourriture aux humains. En effet, depuis 1998, des Hommes se voient offrir des anguilles, du thon, un calamar, un poulpe et différents types de poissons. Certains de ces cadeaux ont pourtant une grande valeur aux yeux des dauphins. Ce sont les dauphins Tursiops, les plus étudiés des cétacés, qui sont à l’origine de ces cadeaux hors du commun.
Finalement, bien que ces animaux soient connus, on ignore encore beaucoup de choses sur leur biologie et leur écologie. C’est la raison pour laquelle, depuis 1992, un programme de recherche a été mis en place à Tangalooma : le Tangalooma Wild Dolphin Provisioning Program. Grâce à celui-ci les chercheurs suivent un groupe d’une douzaine de Tursiops et les nourrissent chaque soir à la nuit tombée.
C’est ainsi qu’en 1998, pour la première fois, Fred, un dauphin mâle, rapporta une murène morte à l’un des membres du programme. Depuis, 22 autres événements de ce type se sont produits. Un article paru dans le journal Anthrozoös décrit cet étonnant comportement des dauphins.
Jeu ou partage ?
En effet, le geste de partage entre espèces est assez rare et donc peu documenté. Le seul cas bien connu d’échange entre l’animal et l’Homme est celui du chat qui amène la proie qu’il vient d’attraper à son maître. Néanmoins, quelques autres cas exceptionnels sont rapportés. Ainsi, Flip Nicklin, un photographe du National Geographic, avait raconté comment, au cours d’une mission de plongée à Hawaï, il s’était vu offrir un mahi-mahi par une fausse orque (Pseudorca).
Le photographe avait accepté le présent, puis l’avait rendu à l’animal, qui s’en était allé avec.
Difficile aujourd’hui de savoir ce qui pousse ces cétacés à offrir des cadeaux si précieux à leurs yeux à l’Homme. D’autant que les dauphins de l’île Moreton sont d’âges et de sexes différents. Les scientifiques ne sont pas sûrs de leurs motivations. Il peut s’agir de montrer une volonté de jeu, d’un simple désir de partage de la nourriture ou encore l’expression de la croyance que l’autre est un chasseur incompétent. La thèse du jeu est toutefois privilégiée.
Depuis une dizaine d’années, des scientifiques tentent de répertorier les espèces marines du monde entier. Cette vaste entreprise leur a permis d’estimer à deux tiers, le nombre d’organismes dans les mers encore à découvrir.
Près d’un million d’espèces vivent actuellement dans les mers, et deux tiers d’entre elles restent encore à découvrir. Cette estimation est tirée d’une nouvelle étude, tout juste parue dans la revue Current Biology. La publication suggère que les océans restent pour le moment un vaste territoire inexploré et ce manque de connaissances peut affecter sérieusement les initiatives de conservation marine. « Si vous voulez protéger l’océan, alors vous devez savoir ce que vous voulez protéger » indique àourAmazingPlanet, Ward Appeltans, membre de la Commission océanographique intergouvernementale de l’UNESCO.
Pour tenter de mettre en évidence la biodiversité qui peuplent les océans, Ward Appeltans a commencé à ériger en 1999 une liste des organismes peuplant les mers d’Europe. D’un commun accord, l’initiative a été étendue en 2007 pour englober l’ensemble des espèces marines du monde entier. Mais la tâche s’est avérée être une entreprise colossale. Plus de 250 experts internationaux ont été sollicités pour cataloguer l’ensemble des espèces connues.
La mise au point de l’inventaire a été ponctuée fréquemment par la découverte de nouveaux spécimens. Un problème de taille au regard du chemin particulièrement épineux par lequel les chercheurs doivent passer afin que ces espèces finissent par être reconnues. « Quand un enfant nait, vous devez aller à la mairie et enregistrer le nom du bébé, pour une nouvelle espèce, la seule chose à faire est de publier un article dans un journal officiel » explique Ward Appeltans. Il ajoute : « Pour cinq espèces répertoriées, seulement deux ont été décrites auparavant« .
Entre 700.000 et un million d’espèces dans les mers du globe
Pour surpasser cette difficulté, les chercheurs ont ainsi dû dupliquer le nom de nombreux organismes déjà existants. Jusqu’à présent, l’équipe a répertorié près de 226.000 espèces, excluant les bactéries marines. 65.000 autres sont actuellement en attente d’être décrites dans les musées et les collections. En utilisant une simulation par ordinateur, l’équipe en est arrivée à la conclusion que le nombre d’espèce vivant actuellement dans les mers du globe se situe entre 700.000 et un million. Parmi les organismes encore non identifiés, la plupart sont probablement des crustacés, des mollusques, des vers et des éponges de mer.
Du projet est née une nouvelle base de données. Baptisée Registre mondial des espèces marines (Worms), celle-ci a été conçue pour donner aux scientifiques un moyen universel de décrire les créatures sous-marines, et plus particulièrement celles en voie de disparition.