INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Une discipline controversée pas très alimentée ici. Alors pour étoffer un peu la rubrique cryptozoologie sur notre site web , voici cet article ci-dessous. Nous pensons possible qu’il existe des espèces sous-marines pas encore découvertes à travers le monde marin sur notre planète. Les légendes , les histoires ont -elles un fond de vérité ? La question reste pertinente et mérite d’être posée.
La mystérieuse histoire du poisson-évêque
Crédit-Image : gravure par Guillaume Rondelet
Article source : .hellystar.com/
La cryptozoologie est un domaine d’étude de la biologie consacré à des espèces ou créatures qu’on désigne sous le nom de cryptides qui ne sont pas reconnues par la science comme étant existantes.
Aujourd’hui, nous avons décidé de consacrer un article sur un cryptide méconnue de tous : le poisson-évêque. Découvrons ensemble sa mystérieuse histoire.
Commençons par la description physique de cette intrigante créature. Elle serait mi-homme mi-poisson et est souvent considérée comme proche d’une autre créature marine : la sirène. On l’appelle poisson évêque à cause des écailles de sa tête qui forment une sorte de mitre et de ses nageoires qui étrangement simulent la fameuse soutane que porteraient les prêtres durant les offices religieux. Certaines personnes disent avoir aperçu certains de ces spécimens portaient une crosse, bien sûr ceci est à prendre avec des pincettes car on ne peut vérifier la fiabilité de ses différents témoignages qui sont très variables les uns des autres. Certains pêcheurs disent même avoir eu l’occasion de dialoguer avec les poissons évêques.
Les premières mentions faisant état de la présence de ces créatures dateraient du 16 ème siècle. En effet, des pêcheurs auraient capturé un poisson évêque en 1531 dans la mer Baltique. Le spécimen fut amené à la cour royale de Pologne et le roi ordonna à ce que ce dernier soit enfermé. Cependant, le poisson évêque accepte très mal son emprisonnement et devant la pression des prêtres ecclésiastiques, le roi décida de le relâcher en mer. En guise de remerciement, le spécimen fit un signe de croix avant de regagner les fonds marins. Une autre apparition de poisson évêque aurait été découverte au large des côtes allemandes, il aurait vécu les mêmes conditions d’incarcération que le premier mentionné mais contrairement à ce dernier, son histoire se termina mal puisqu’il mourut en prison en refusant de s’alimenter.
Le naturaliste et fondateur de la biologie marine Guillaume Rondelet raconte dans son ouvrage l’Histoire entière des poissons, les témoignages recueillis sur les poissons évêques.
Si l’on s’intéresse à présent aux légendes consacrées aux poissons évêques, on constate que certaines d’entre elles semblent indiquer que ces créatures rempliraient les mêmes fonctions que les prêtres humains auprès des populations de sirènes et tritons qui supposément vivraient aussi dans tritons.
Pourtant et comme la plupart des sujets traitant de cryptozoologie, ils ne font pas l’unanimité auprès des scientifiques. En effet selon certains spécialistes, les légendes qui se sont construites autour des poissons évêques seraient en réalité des observations effectuées sur des espèces animales siréniennes comme par exemple les lamantins ou encore les marsouins et/ou sur des anges de mer. D’autres études ont été menées afin de démontrer que le poisson évêque serait en fait un grenadier qui est un poisson vivant essentiellement dans les eaux norvégiennes et qui si l’on fait des comparatifs notamment avec son museau, cela fait étrangement penser à une mitre.
Quelque soit votre avis sur le sujet, l’interrogation reste encore présente.
Hier nous avons assisté à Sanvignes les mines (71) avec Era et Yves Herbo à une conférence de Emilie Mondoloni ( Docteur en Sciences Humaines et Sociales, diplômée de l’Université de Grenoble, elle a toujours été passionnée par l’être humain. « J’ai d’abord approfondi cette passion par plusieurs formations et une expérience diversifiée en communication auprès d’entreprises privées, d’associations et de laboratoires de recherche dont plusieurs rattachés au CNRS. Mon parcours s’est enrichi de techniques de développement personnel, afin de prendre en compte l’humain dans sa globalité. J’ai ainsi suivi des cursus en géobiologie, Reiki Usui et lithothérapie holistique. »), dont le titre de sa conférence était :
Elle a proposé son travail et ses arguments. Pour elle, cette cité a existé mais pas à l’époque présumée des historiens, bien avant. Cette civilisation a obtenu beaucoup de connaissances à son âge d’or et puis, elle est devenue belliqueuse , c’est ce qui a causé sa perte. Un manque de maturité et d’humilité aurait été fatal à cette cité aujourd’hui engloutie quelque part sur notre planète.
Ci -dessous nous partageons ce reportage que Emilie nous a conseillé .
James Cameron réalisateur et explorateur océanographe a toujours été fasciné par l’Atlantide.
Era et moi nous apprécions vraiment James Cameron, aussi bien le réalisateur que l’aventurier, l’explorateur.
L’Atlantide nous séduit ce n’est pas un scoop pour les personnes qui nous côtoient.
Alors continuons nos investigations grâce à celles et ceux qui voyagent et partagent leurs explorations .
Ces supports vidéo et l’article ci-dessus permettent déjà une certaine approche de cette énigme compliquée qui divise encore à l’heure actuelle les courants de pensée.
*Nous remercions Yves Herbo d’être venu avec nous à la conférence de Emilie ainsi que Emilie pour sa disponibilité et sa simplicité.
Une magnifique structure, immense, camouflée à cinq kilomètres sous la surface de l’Atlantique, et qu’aucun phénomène géologique ne peut expliquer. De quoi alimenter de nombreux fantasmes… (Capture de Google Earth.) Crédit : futura-sciences.com
Un article intéressant datant de l’année 2009.
Google Earth a-t-il permis de découvrir l’Atlantide ?
Publié par Jean-Luc Goudet – futura-sciences.com
Après les canaux de Mars, les sillons de l’océan… Google Earth, comme chacun peut le constater, montre quelque part au large des îles Canaries, une bien étrange formation de lignes perpendiculaires. Son emplacement correspond vaguement à celui de l’Atlantide, si l’on se fie à Platon. Accordons-nous quelques minutes de rêve et profitons de l’occasion pour mesurer combien nous connaissons bien mal l’océan.
« Notre ami du Québec Jean-Marc nous partage ce reportage, il fait suite à celui que nous avions inclus il y a un moment déjà , certains voyant une vaste supercherie. Dans ce documentaire le principal intéressé est interviewé par l’animateur de la chaîne, chacun se fera son opinion, bon visionnage. »