INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa Crédit : ouest france
La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès
Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour ouest-france.fr
Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.
Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.
Nous incluons ce complément hors article en guise de support cette vidéo de la NASA via YouTube
La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès
La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech
Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur, solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici sur notre site web . Merci pour votre fidélité.
Petits repères
La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.
L’ EAU EN état liquide:
L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).
L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :
-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.
Références/IFREMER – Mer & et marine – ECA group – CORAL project
Crédit photp ECA group
La société ECA Group a remporté l’appel d’offres international lancé par l’Institut français de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer) pour le développement d’un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur. Ce drone sous-marins sera utilisé dans le cadre de missions de cartographie et d’inspection. L’engin réalisera ses premières plongées en 2019 après 3 ans de développement.
Voici encore une preuve qu’ECA Group est l’un des leaders des drones sous-marins. La filiale du groupe Gorgé vient de décrocher un contrat de 2 millions d’euros pour fournir une solution innovante à l’Institut de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer). L’objectif est de créer un drone capable d’atteindre une profondeur de 6 000 mètres afin de cartographier les océans. Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
Je n’ai jamais signalé cet incident. Je ne me souviens pas de la date exacte et je n’ai qu’un mois et une année approximatifs. Cela s’est passé à l’automne, en septembre entre 1998 et 2000. C’était vers 23h00, mon petit ami et moi étions assis sur le pont, il faisait froid et nous pensions rentrer au chaud. Nous vivons près d’ un lac d’une superficie d’environ 16 hectares et il y a un petit lac derrière d’environ 3 hectares au sud-ouest. Le littoral sud-ouest du lac principal est bordé d’arbres. Il n’y a pas de construction sur les 250 hectares de derrière, là où se trouve le petit lac , il y a de la végétation et un chemin de terre. Cette nuit là, au sud-ouest derrière les arbres,un flash bleu vif illumina l’horizon tout entier et la zone au sol . La lumière était assez vive pour qu’on puisse distinguer tout le contour de la cime des arbres dans le ciel nocturne, pendant environ 3 secondes. Juste après cela, un peu plus au nord, toujours au-dessus de la cime des arbres, j’ai vu ce qui ressemblait à une étoile brillante dans le ciel. Je la regardais et d’un seul coup la lumière s’éteignit , elle était partie. La lumière ne s’est pas déplacée dans le ciel. En ce qui concerne le flash bleu, la seule chose à laquelle je pourrais le comparer , ce serait à un transformateur en feu, mais il n’y a pas de lignes électriques dans ce secteur. Je travaille également pour la compagnie d’électricité et le lendemain j’ai recherché d’éventuels incidents, il n’y en avait aucun.
Après en avoir appris plus à propos des O.A.N.I.S, je pense que quelque chose s’est produit concernant le lac arrière.
J’aimerais aussi ajouter, qu’ à proximité, à un pâté de maison se situe la centrale nucléaire de Braidwood.
Le premier salon du paranormal pour la ville de Dijon a été un succès, bravo à tous.
Ce week-end du 2 et 3 septembre 2017, j’ai présenté les O.A.N.I s avec un stand et deux conférences, une donnée le samedi et l’autre le dimanche.
J’ai animé deux conférences devant un public attentif . Il y avait certes des connaisseurs mais aussi des témoins ou des gens tout simplement curieux.
Le stand que j’ai tenu pendant toute la durée des ces deux journées a permis d’établir des contacts, des retrouvailles mais également aux témoins de me rencontrer pour livrer leur témoignage, pour s’informer et découvrir les OANIS .
Je mesure combien il est difficile pour certains témoins de s’exprimer sur leur expérience avec un O.V.N.I, car le sujet est tabou et laisse quelquefois un traumatisme insoupçonné. Alors merci à ces gens qui ont franchi le pas pour me livrer en toute simplicité leur observation dont certains ont été témoins à plusieurs reprises de choses inconnues plus ou moins marquantes et qu’ils ne sont pas prêts d’oublier .
Le domaine du paranormal est particulier et peut surprendre. Ainsi la rencontre avec d’autres disciplines est tout aussi intéressante. La bonne humeur des gens a rendu ce rendez-vous positif.
J’ai eu le plaisir de rencontrer pour la première fois Michel Ribardière venu présenter Alien project, Joslan F. Keller auteur de Dossiers Inexpliqués et Jean louis Lagneau accompagné de son épouse qui présentaient LDLN. Nous avons avec Jean Louis échangé et affiné notre partenariat puisque nous soutenons cette revue ufologique
Des spécialistes plus ou moins connus ont contribué à ce que ce rendez soit un véritable succès pour l’organisation. La disponibilité de l’équipe organisatrice dirigée par Lucile Vukovic a été récompensée, ainsi que leur travail et leur générosité je pense, au regard de la fréquentation de cette première de ce style à Dijon. Le sourire qui se lisait à travers les gens, qu’ils soient visiteurs, exposants, ou conférenciers pendant tout le week-end est un indicateur qui ne trompe pas. Merci à toutes et à tous, organisateurs, exposants, conférenciers, témoins ou simples visiteurs. A refaire.
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
En 2012 – selon le Sunday Times, Israël envisageait de lancer une impulsion électromagnétique (IEM) sur l’Iran pour paralyser l’ensemble de ses réseaux de transports et de communications. Crédit -Le Monde.fr/ sunday-times
Nous savons que certains OVNI inférèrent sur certaines installations tels :
-des systèmes de navigation,
-les communications,
-les téléviseurs,
-les appareils électroniques et l’armement.
Deux cas très connus ont rencontré ce genre d’ anomalies.
Ceci est arrivé pour l’affaire de Téhéran dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976, lorsque le pilote Parviz Jafari a perdu le contrôle de son appareil incluant le contrôle du système de navigation d’une part et le système d’armement d’autre part.
Selon le compte-rendu de vol, le premier appareil est victime d’une panne de communications radio et rentre à la base.
Un second F-4 décolle peu de temps après, avec la même mission
La lumière donne l’impression de reculer lorsque le second pilote tente de s’en approcher..
Le pilote se sent agressé et décrit l’envoi d’un missile.
Il veut alors riposter avec un missile AIM-9 Sidewinder mais les commandes d’armement tombent en panne.
J’ai esquissé le problème dans mon ouvrage O.A.N.I/O.V.N.I , enquête ,méthode, réflexion ( éditions SAINT MARTIN -Janvier 2016) et mes recherches continuent à ce propos.
autre cas:
Le 27 Septembre 2010, six anciens officiers de l’ U.S. Air Force et un ancien homme de troupe ont rompu leur silence au National Press Club, concernant les objets volants non identifiés et des missiles nucléaires abattus. Ils ont exhorté le gouvernement à confirmer publiquement l’incident, indiquant qu’ils ont reçu l’ordre de ne jamais discuter des événements.
Des OVNIS ont attaqué les armes nucléaires à Malmstrom Air Force Base dans le Montana, « L’OVNI a été signalé par mon garde. Un objet ovale rouge vif planant en dehors de la grille d’entrée. Il était très agité, effrayé, quand il m’a dit ça au téléphone. La raison pour laquelle je crois que ce qu’il m’a dit est vrai, c’est parce qu’ils n’avaient pas accès à notre système de défense antimissile. Ils n’avaient aucun moyen de le contrôler. Et tandis que cet objet était là-haut, nos missiles se sont éteints.Salas, un ancien officier de lancement de missiles nucléaires de l’US Air Force, a présenté l’événement avec le chercheur Robert Hastings, auteur de « Les OVNIS et des armes nucléaires:. Rencontres extraordinaires sur les Sites d’ armes nucléaires » J’étais en service quand un objet est venu et a plané directement sur le site « , a déclaré Salas, concernant l’événement du 16 Mars , 1967, à Malmstrom AFB dans le Montana. » Les missiles se sont fermés, 10 missiles Minuteman. Et ce fut la même chose sur un autre site une semaine plus tard, dit-il.
Le témoignage de sept anciens militaires à la conférence de presse à Washington DC, qui ont affirmé, « les OVNIS ont désactivé des dizaines de missiles nucléaires à travers les États-Unis. Il est également prouvé que les OVNIS sont apparus sur les installations nucléaires dans l’ex-Union soviétique et le Royaume-Uni. Robert Hastings l’expert de recherches a indiqué qu’ a lui seul il a interrogé plus de cent militaires qui ont une connaissance de premier plan sur les ovnis et que leur gouvernement refuse de divulguer les détails de ces incursions ovni et de l’arrêt des missiles – beaucoup sentent que les grands médias ont été invités à discréditer ces rapports à tous prix…
Ces allégations mettent en évidence une certaine technique employée.
Que ceci soit de nature exogène ou humaine n’a pas d’importance pour l’instant.
Le tout étant d’abord de comprendre comment des machines, des outils informatiques protègés ou non par une cage de Faraday peuvent être endommagés totalement ou désactivés temporairement.
Je met à disposition un travail de base effectué par l’ Académie de Montpellier Institut d’Electronique du Sud ― UMR CNRS 5214 Université Montpellier 2 – Sciences et Techniques du Languedoc .
Ce document au format PDF nous apprend certains fonctionnements concernant une étude de l’effet d’ondes électromagnétiques sur le fonctionnement de circuits électroniques – Mise en place d’une méthode de test des systèmes.
Je pense que ce travail est une assez bonne approche pour nous instruire un peu et ensuite nous permettre de nous concentrer sur un travail plus avancé.
Par La Voix de la Russie | Pour le développement des ressources minérales dans l’Arctique, les scientifiques russes envisagent de construire les villes sous-marines dans les glaces, le fonctionnement desquelles sera suivi par des robots marins qui pourraient reconnaître l’un l’autre, a déclaré le vice-premier ministre Dmitri Rogozine.
Des navires sous-marins de prospection, des navires-porteurs, des moyens de forage, de la production, de la préparation des produits, de l’énergie, de la maintenance, de la réparation et de la sécurité intégrée seront les principaux éléments de ces complexes.
Selon les experts, jusqu’à 30% des réserves d’hydrocarbures au large des côtes de la planète sont stockées en Arctique.
Le tout nouveau bathyscaphe (sous-marin autonome) capable de conquérir la fosse des Mariannes, d’une profondeur de 11 km, a été élaboré en Russie. Le projet est étudié par des structures anonymes, qui sont des clients potentiels. La décision de lancer la construction du bathyscaphe dépend d’eux.
C’est le bureau d’étude de constructions maritimes Malakhite de Saint-Pétersbourg qui a travaillé sur ce projet. Ce bureau d’études élaborait déjà des sous-marins en 1948. Vladimir Dorofeïev, directeur général de Malakhite, a expliqué que la création d’un nouvel appareil était prévue par le Programme fédéral finalisé de développement de la construction maritime civile.
« Plusieurs variantes d’avant-projets de sous-marins pouvant manœuvrer à une profondeur de 11 km ont été étudiées. L’appareil sera habitable, mais au vu de la tendance de la navigation marine, une version non habitable est prévue. Il est tout d’abord destiné à des travaux scientifiques, bien qu’il soit équipé de technologies à double usage. Il peut donc servir d’appui hydrographique à une flotte militaire ».
Vladimir Dorofeïev explique que le bathyscaphe peut s’immerger à 11 km, mais il peut également travailler à d’autres profondeurs.
« À la différence des bathyscaphes prévus pour descendre à 11 km et remonter, il peut être utilisé à faible profondeur. Il peut tout aussi bien travailler à une profondeur d’un kilomètre, de deux, de trois, jusqu’à son maximum. Il peut aider les recherches scientifiques grâce à ses capteurs. Il peut s’agir d’identifier les caractéristiques de l’environnement ou de prélever des échantillons du fond de la fosse des Mariannes grâce à un équipement spécialisé ».
L’homme n’est allé que deux fois à une profondeur de 11 km. En 1960, l’océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant de la marine américaine Don Walsh sont descendus dans la fosse des Mariannes à bord du bathyscaphe Trieste. Beaucoup avaient été émus par leur détermination à continuer la descente alors que, à 9 km de profondeur, un hublot s’était fissuré. En 2012, le réalisateur canadien James Cameron est descendu là-bas à bord du bathyscaphe Deepsea Challenger. N’oublions pas les expéditions non habitées : le japonais Kaikō et l’américain Nereus. Ils ont ramené des échantillons de la faune du fond marin : des bactéries, des crevettes et des vers marins.
La fosse des Mariannes est le lieu le plus profond de la planète. Pourquoi y descendre ? Pour égaler des records ou pour des recherches scientifiques ? C’est ce que se demande le héros russe Evguéni Tcherniaïev, commandant de sous-marins.
« Seront-ils vraiment utilisés ou sera-ce seulement une descente dans la fosse des Mariannes ? Ce sont des appareils coûteux. Avant de les construire et de dépenser des sommes d’argent importantes, il faut savoir à quoi ils serviront ».
Le pilote ajoute que, si l’appareil est prévu pour plonger à 11 km de profondeur, il est lourd, peu manœuvrable et sera peu pratique à faible profondeur. La Russie possède déjà un appareil à visée scientifique, le Mir. Il peut descendre à 6,5 km et étudier 98,5 % du fond océanique mondial. Il a deux alter ego militaires : le Rous et le Consoul.
Les médias précisent que les bathyscaphes militaires sont le plus souvent utilisés pour intercepter les communications ennemies en se connectant à des câbles sous-marins.
Que fera ce bathyscaphe dans la fosse des Mariannes, tout près de l’île de Guam, où se trouvent des bases militaires américaines ? C’est encore un mystère. Si la décision est prise de le construire, c’est le chantier naval de l’Amirauté de Saint-Pétersbourg qui s’en chargera.
Les derniers résultats d’analyse d’échantillons du lac Vostok (Antarctique) ont révélé que ces eaux subglaciaires abritaient une grande diversité d’organismes : des bactéries certes, mais aussi d’autres organismes unicellulaires et pluricellulaires, comme des champignons.
Il semblerait que le lac Vostok ait mérité tout l’intérêt qu’on lui porte depuis des décennies. Après y avoir consacré plus de 20 ans d’efforts, des scientifiques russes ont finalement réussi en février 2012 à forer ce mystérieux lac subglaciaire, le plus étendu et le plus profond, situé en Antarctique. Ils ont ainsi pu y prélever en décembre plusieurs échantillons d’eau et de glace via une technique particulière censée empêcher toute contamination.
En effet, selon ces analyses, des échantillons de glace récoltés contiendraient l’ADN de pas moins de 3 507 organismes assez diverses. Il s’agirait pour la majorité de bactéries, mais d’autres organismes unicellulaires et multicellulaires comme des champignons y figureraient également. NSource:
Mise à jour investigations océanographique et oanis, le: 10/07/203 à : 18h20.
Le navire-laboratoire connus sous le nom d’Université flottante de l’Arctique appareille ce premier juin pour du port d’Arkhangelsk pour étudier l’hydrologie des mers Blanche et de Barents le navire porte le pavillon de la Société géographique russe.
C’est la premières des trois expéditions prévues cette année dans le cadre du projet unique « Université flottante de l’Arctique ». Le navire-laboratoire Professeur Moltchanov et le seul de sa classe à servir d’université flottante. Ce voyage permettra aux jeunes explorateurs de l’Arctique d’acquérir des connaissances nouvelles et de faire éventuellement des découvertes. Le programme scientifique de l’expédition a des déclinaisons océanologiques, météorologiques, hydro-chimiques et biologiques. Une attention particulière est accordée à la glaciologie, la science des glaces naturelles. Elle permet de mieux comprendre les changements climatiques dans l’Arctique qu’on appelle « la cuisine du temps », estime Konstantin Bogolitsyne, directeur scientifique de l’expédition et pro recteur de l’Université de l’Arctique basée à Arkhangelsk :
La glaciologie permet de suivre l’évolution de la situation en Arctique et sur les territoires insulaires. C’est très important surtout à la lumière de ce qui se passe au Groenland dont les glaces fondent rapidement sous l’effet du réchauffement global. Il nous est très important de savoir exactement ce qui se passe dans cette région.
En plus du travail de recherche et de formation, l’expédition est également chargée d’une mission diplomatique, notamment en ce qui concerne le Spitzberg qui est une des volets de coopération entre la Russie et la Norvège, – fait ressortir Elena Koudriachova, la rectrice de l’Université d’Arkhangelsk :
Nous allons consacrer une demi-journée pour discuter avec nos partenaires norvégiens des grandes orientations du travail dans le Spitzberg. Nous avons également prévu une série des rencontres et des négociations destinées à mettre au point des programmes de formations et de recherche communs. Notre université est appelée à y jouer un grand rôle conformément à la décision prise par le ministère russe de l’éducation nationale et de la recherche.
Le premier voyage de l’Université flottante au eu lieu l’été dernier. Le projet a été organisé par l’Université de l’Arctique et la Société géographique russe. L’expédition de juin 2013 durera 25 jours. Source:
Mise à jourinvestigations océanographique et oanis, le : 02 /06/2013 à : 21h45.
Aujourd’hui s’envole vers l’Afrique du Sud le plongeur et naturaliste Laurent Ballesta accompagné d’une équipe de plongeurs et de scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle et du CNRS. En compagnie de spécialistes de l’Institut Sud-Africain SAIAB (South African Institute for Aquatic Biodiversity), ils partiront à la rencontre d’un poisson géant long de deux mètres, le Gombessa ou Cœlacanthe. Jusqu’en 1938 ce poisson était considéré comme une espèce disparue depuis 70 millions d’années. Il vit à plus de 100 mètres de profondeur et a été très rarement observé. L’expédition fera l’objet d’un documentaire qui sera diffusé sur Arte.
Mise à jour Era pour Investigation Océanographique et OANIS le 5-4-2013 a 12:45