INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
La société de Boston Regent construit un véhicule électrique à effet de sol capable de voler 180 miles à 180 mph RégentAFFICHER 3 IMAGES
La société basée à Boston, Regent, a pris 465 millions de dollars en précommandes pour son « Seaglider » électrique ultra-rapide. Utilisant l’effet d’aile dans le sol, cette bête de 290 km / h promet le double de l’autonomie d’un avion électrique et une révolution dans le transport côtier.
« La vitesse, le confort et les systèmes de navigation d’un avion avec la commodité, la manoeuvrabilité et l’accessibilité d’un bateau », lit-on dans le communiqué de presse de Regent, marquant à peu près la première fois que des bateaux ont été qualifiés d’abordables ou de manœuvrables.
Alors, quelle est cette chose? Eh bien, c’est la dernière incarnation d’un véhicule à effet de sol, ou GEV – avec quelques rebondissements. Les GEV sont des avions conçus pour voler si bas (à moins d’une envergure de la surface de l’eau) qu’ils roulent sur un coussin de pression d’air entre l’aile et la surface, ce qui leur donne une portance supplémentaire et augmente radicalement leur efficacité. Ils ne peuvent pas – ou du moins, ne volent pas en dehors de l’effet de sol, ce qui leur permet d’être certifiés et enregistrés en tant que bateaux dans certaines zones.
Il y a eu plusieurs itérations de cette idée depuis les années 1960. Le GEV le plus célèbre est probablement le géant soviétique Ekranoplan , capable de soulever 600 tonnes de marchandises et d’atteindre des vitesses allant jusqu’à 500 km / h. Les choses ont été beaucoup plus humbles ces dernières années; en 2018, nous avons écrit sur le Wigetworks Airfish-8 à ailes delta inversées de Singapour , qui est déjà opérationnel. Mais Regent ajoute de nouveaux éléments au mélange.
La propulsion électrique gardera les choses simples et bon marché, et un hydroptère donnera au design Regent des avantages dans l’eau
Pour commencer, il est entièrement électrique et sans émissions. Ce n’est pas seulement important en raison de l’angle de transport propre, ou du prix réduit qu’il devrait offrir grâce à une énergie bon marché et à un faible entretien. Son rendement élevé et son absence de besoin de niveaux de réserve de puissance pour les avions lui permettent d’extraire le double de l’autonomie d’une batterie de taille donnée en tant qu’avion électrique – le Seaglider initial promet 180 miles (290 km) à 180 mph. Ainsi, alors que son utilisation sera limitée aux déplacements entre les zones côtières, il devrait être capable de joindre des points que les avions conventionnels propres ne peuvent pas.
Deuxièmement, il ajoute un peu plus de confort et d’efficacité dans les phases de décollage et d’atterrissage, puisqu’il monte hors de l’eau sur un hydroptère avant de décoller sur l’aile. À des vitesses comprises entre 32 et 72 km / h (20 et 45 mph), la machine de Regent sera sur son foil, réduisant radicalement la traînée contre l’eau et glissant en douceur sur le dessus des vagues où quelque chose comme l’Airfish pourrait obtenir une conduite beaucoup plus cahoteuse. .
Regent dit qu’il a « reçu 465 millions de dollars de commandes provisoires de certaines des plus grandes compagnies aériennes et compagnies de ferry du monde. Les exploitants d’aéronefs sont enthousiastes parce que les planeurs de mer représentent la moitié du coût d’exploitation des avions, et les exploitants de ferry sont excités parce que les planeurs de mer sont six fois plus rapides. Ils peuvent opérer à partir des quais existants et les passagers bénéficieront d’une expérience de style marin bien plus que les indignités qui leur sont imposées dans un aéroport.
Avant qu’il ne décolle, les hydroptères « seaglider » de Regent pour plus d’efficacité et pour le sortir des vagues
Traverser la surface de l’eau à trois fois la vitesse de l’autoroute offrira également un frisson, bien que les GEV ce rapide ajouteront certainement un élément d’excitation au trafic maritime partageant les mêmes eaux. Ils ne seront pas particulièrement rapides à tourner à cette vitesse, et votre groupe moyen de pêcheurs six bières après-midi peut être pardonné de ne pas voir cette chose venir et tourner sur son chemin. Certains chapeaux de disquettes vont se faire sauter.
Regent semble également avoir un investissement solide derrière lui, avec Mark Cuban, Thiel Capital, Y Combinator et Caffeinated Capital, entre autres. Il n’a pas encore nommé les clients de la prévente, ni proposé un calendrier prévu pour le prototypage, les tests, la production ou la mise en service, donc vraisemblablement, cela prendra du temps avant de faire nos premiers tours.
Ce type de technologie pourrait présenter un intérêt bien au-delà de ce type de transport côtier de moyenne distance de 8 à 10 places. Le programme soviétique Ekranoplan a démontré que les GEV peuvent devenir de plus en plus efficaces à grande échelle, ouvrant le potentiel à des paquebots électriques à plus longue portée et plus rapides transportant des centaines, voire des milliers de passagers. La portée ressemblant à une barrière insurmontable pour les avions de ligne intercontinentaux électriques à batterie, peut-être que l’effet de sol pourrait encore avoir une chance de changer le monde.
Merci à notre ami Claude Cathala pour le partage de cette information
Le Titanic Explorer de Triton atteindra de nouvelles profondeurs pour les sous-marins à bulles de luxe
Par LozBlain24 février 2021– Source: Sous-marins Triton
Le nouveau sous-marin Titanic Explorer de Triton berce un ensemble soigné d’ailes de mouette extensibles et est évalué à plus de 13000 pieds de profondeur, ce qui en fait le seul sous-marin à billes en acrylique capable de visiter l’épave du TitanicSous-marins Triton
La Floride Triton fabrique des sous-marins civils haut de gamme depuis plus d’une décennie maintenant, divisant ses ventes entre les explorateurs scientifiques, les clients commerciaux et cinématographiques et les propriétaires de superyachts ultra-riches qui cherchent à embellir leurs garages humides avec quelque chose de plus intéressant qu’un jet ski. .
La clé de la domination du marché de Triton a été sa maîtrise de la sphère acrylique. Ses bulles-sous-marins offrent aux conducteurs et aux passagers une vue panoramique ultra-large du monde sous l’eau, sans aucune distorsion optique.
Project Natick, Vessel retrieval Stromness, Orkney. Microsoft – Tuesday 7th to Wednesday 15th of July 2020 Les membres de l’équipe de Project Natick nettoient le centre de données sous-marin des îles du Nord, qui a été récupéré du fond marin au large des îles Orcades en Écosse. Deux ans sous l’eau ont donné le temps à une mince couche d’algues et de balanes de se former sur le tube d’acier, et pour que les anémones de mer atteignent la taille d’un cantaloup dans les recoins abrités de sa base triangulaire remplie de ballast. Photo de Jonathan Banks.
Article source :futura-sciences.com
Publié le 15/09/2020 par Fabrice Auclert
Pour aller plus loin que le simple refroidissement des data centers avec l’eau de mer, Microsoft a lancé le projet Natick en 2018. L’idée est de placer les serveurs au fond de l’eau. Ainsi, il y a deux ans, au large de l’Écosse, la firme a ainsi placé à 35 mètres de profondeur plus de 800 serveurs pour un total de 27,6 pétaoctets de stockage. L’objectif : prouver que c’est à la fois écoénergétique mais aussi plus fiable que sur la terre ferme.
En effet, sur terre, les data centers souffrent de la corrosion due à l’oxygène ambiant, l’humidité et aux variations de température, et Microsoft souhaitait observer si les serveurs sont mieux protégés dans un caisson étanche, sous l’eau, avec des conditions climatiques qui varient très peu. Deux ans plus tard, Microsoft a remonté à la surface son caisson et les premières conclusions sont très encourageantes.
Microsoft révèle les résultats du projet Natick, son centre de données expérimental sous-marin.
Vidéo Microsoft via YouTube
Plus tôt cet été, des spécialistes de la marine ont monté un centre de données de la taille d’un conteneur d’expédition recouvert d’algues, de bernacles et d’anémones de mer du fond marin au large des îles Orcades en Écosse. La récupération du centre de données des îles du Nord a lancé la phase finale du projet Natick, un effort de recherche de plusieurs années qui a prouvé que le concept de centres de données sous-marins est faisable tant sur un plan logistique, écologique que économique.
premier ouvrage avait esquissé une partie de mes recherches. Il fallait simplement développé un peu ou un peu certains critères afin de combler une sorte de vide .
Parmi le catalogue en ma possession figurent les concepts futuristes d’habitats en milieu aquatique et plus particulièrement sous-marin pour deux raisons.
La première c’est d’entrevoir l’avenir de l’humanité surtout en se référant à l’aspect climatique, la tournure que prend notre planète ainsi que les activités humaines combinées. Il est acquis que l’homme finira tôt ou tard sous l’eau pour survivre avant de coloniser soit une lune soit une planète ou une exoterre,ou tout simplement de périr si le temps nous rattrape. A la vitesse où vont les choses rien n’est interdit.
La seconde raison concerne plus les objets aquatiques non-identifiés ( OANI).
En se basant sur l’idée que l’homme ( à commencer par les privés milliardaires d’une part et les industriels d’autre part), se projette sur le futur, en investissant sur des réalisations innovantes et inédites pour des fins commerciales et aussi pour aider l’humanité à perdurer le plus longtemps possible sur notre planète il paraît tout aussi évident que logique, de se lancer dans des concepts de laboratoires, d’hôtels, de capsules ,formant à plus ou moins long terme des petites villes sous marines. Pour cela il faut des machines et des moyens de transport adéquat pour naviguer en toute sécurité dans les fonds marins. Et c’est là que l’une de mes hypothèses est intéressante. Nous pouvons en effet estimer que des vaisseaux et des machines aux allures futuristes sont déjà testées et sans doute que parmi ces réalisations certaines sont dores et déjà opérationnelles . Voilà le rapport entre certains OANI et l’idée de technologies et de structures futuristes. Bien entendu ça n’élimine d’aucune façon les modèles militaires de cet acabit ni les choses potentiellement de nature plus exogène.
Pour conclure je vous invite à lire ci-dessous avec quelques images l’un de ces projets afin d’agrémenter mes allégations. Pour celles et ceux qui ont la chance d’avoir entre leurs mains mes livres vous aurez ainsi une idée encore plus concrète et précise de mes options dans mes recherches. Merci à vous, place à l’article ci-dessous .
Toutes les images: Courtesy Proteus / Yves Béhar / Fuseproject
« L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’exploration spatiale. »
VICTOR TANGERMANN -le
Fabien Cousteau, le petit-fils du légendaire explorateur océanique Jacques Cousteau, veut construire l’équivalent de la Station spatiale internationale (ISS) – mais sur le plancher océanique profondément sous la surface, comme le rapporte CNN .
Avec l’aide du designer industriel Yves Béhar, Cousteau a dévoilé son audacieuse ambition: un laboratoire de 4000 pieds carrés( 1219,2 m carré) appelé Proteus qui pourrait offrir à une équipe de jusqu’à 12 chercheurs du monde entier un accès facile au fond de l’océan. Le plan est de le construire en seulement trois ans.
L’élément de conception le plus frappant de leur vision est un certain nombre de cosses saillantes en forme de bulles, s’étendant à partir de deux structures circulaires empilées l’une sur l’autre. Chaque pod est conçu pour être assigné à un objectif différent, allant des baies médicales aux laboratoires et aux quartiers personnels.
Toutes les images: Courtesy Proteus / Yves Béhar / Fuseproject
«Nous voulions que ce soit nouveau et différent, inspirant et futuriste», a déclaré Béhar à CNN . «Donc [nous avons examiné] tout, de la science-fiction aux logements modulaires en passant par les hôtels japonais.»
L’équipe affirme que Proteus comportera la première serre sous-marine au monde, destinée à la culture de nourriture pour quiconque y est stationné.
L’énergie proviendra de l’énergie éolienne, thermique et solaire.
Toutes les images: Courtesy Proteus / Yves Béhar / Fuseproject
«L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’exploration spatiale pour – égoïstement – notre survie, pour notre trajectoire dans le futur», a déclaré Cousteau à CNN . «C’est notre système de survie. C’est la raison même pour laquelle nous existons en premier lieu. »
L’exploration spatiale reçoit beaucoup plus de financement que son homologue océanique, selon CNN , malgré le fait que les humains n’ont exploré qu’environ 5% des océans de la Terre – et cartographié seulement 20%.
Le Proteus ne rejoindrait qu’un seul autre habitat sous-marin permanent, l’Aquarius au large de la Floride, qui a été utilisé par la NASA pour simuler la surface lunaire .
Alors que mon second ouvrage est sur le point d’être publié, la recherche ne s’arrête pas pour autant.
En fouinant ça et là voici quelques articles pouvant se révèle à terme, être des archives intéressantes .
Lire article du SUN ci-dessous ( après l’image de mon second livre)
La vérité est là bas : L’US Navy lance un programme Top-Secret pour détecter un vaisseau spatial extraterrestre sous l’océan ,affirme un expert en OVNI.
Article source : thesun.co.uk/
Par – Emma Parry
Digital US Correspondent
Wyoming
19 Sep 2017, 11:04
La US Navy exécute un programme très secret pour détecter des objets immergés non identifiés – ou USOs – sous la mer, selon un expert en OVNIS. Marc D’Antonio, astronome et analyste vidéo en chef pour l’organisation le MUFON, a déclaré avoir été témoin de ce qu’il pensait être un vaisseau extraterrestre voyageant à des vitesses impossibles alors qu’il était à bord d’un sous-marin de la US Navy dans l’Atlantique Nord.
Marc a ensuite entendu un officier de la marine ordonner à l’opérateur de sonar de consigner l’objet non identifié – qui se déplaçait à « plusieurs centaines de nœuds » – dans le cadre du «programme Fast Mover». Actuellement, la plupart des sous-marins et des torpilles ne peuvent atteindre que 40 nœuds, en raison de la résistance de l’eau.
Les Russes auraient une torpille pouvant dépasser les 200 nœuds – mais une vitesse de « plusieurs centaines de nœuds » semblerait être impossible pour les embarcations construites par l’homme.
Marc, qui dirige une société d’effets spéciaux appelée FX Models qui sous-traite des contrats avec la Navale, a déclaré: «En guise de remerciement, elle a demandé à la Navy de me demander si je voulais aller faire un tour dans un sous-marin, alors j’ai dit oui.
«Une fois que nous sommes arrivés, j’étais assis à la station de sonar et l’opérateur de sonar était assis juste à côté de moi.
-Les sous-marins sont bruyants – les gens pensent qu’ils sont très calmes et c’est vrai qu’ils sont à l’extérieur car le son ne sort pas. Mais à l’intérieur, vous entendez du bruit – c’est un vacarme constant sur un sous-marin.
«J’étais assis là à zoner un peu parce que j’avais le mal de mer et tout à coup le gamin sonar a crié: » je bouge vite, je bouge vite « et je me suis réveillé en me réveillant en pensant: » Qu’est-ce qui se passe? Est-ce une torpille?
«Le cadre supérieur sort et l’opérateur lui montre le chemin de l’objet et l’agent dit« à quelle vitesse cela va-t-il ?
«Et le gamin a dit ‘plusieurs centaines de nœuds’. Je commence à me pencher pour écouter – et l’officier dit: « Pouvez-vous le confirmer? »
«Alors, il a consulté un autre sonar et a confirmé que ce n’était pas une anomalie: c’était réel. Je me suis dit « Waouh, c’est incroyable ».
«Quand le gars du sonar a dit ‘Qu’est-ce que je fais avec ça?’ l’officier a dit: « connecte-le et garde-le » – en d’autres termes, connecte-le et enterre-le. «
Quatre ans plus tard, Marc a déclaré qu’il travaillait sur un contrat pour la Marine lorsqu’il a parlé de ce qu’il a vu à une personnalité de la marine.
«Je lui ai demandé » Pouvez-vous me parler du programme Fast Mover? « , A expliqué Marc.
«Il m’a regardé et a dit:« Désolé Marc, je ne peux pas parler de ce programme ».
«Il m’a donc essentiellement confirmé que le programme existe – il a tout dit sans rien voir.
« Ce qui m’a été dit, c’est que les obligations de service universel sont communes – nous avons même un programme en place pour classer et consigner et déterminer leur vitesse, qui va dans un coffre-fort. »
Marc a fait ces déclarations au Rendez-vous UFO de la Devil’s Tower, à Hulett, dans le Wyoming – où des passionnés d’OVNI de partout en Amérique se sont réunis sur le site de Close Encounters Of The Third Kind pour discuter des découvertes relatives aux extraterrestres.
Il a également révélé qu’il travaillait actuellement sur un projet avec le superviseur des effets visuels de Close Encounters, Douglas Trumbell, qui, il l’espère, prouverait scientifiquement l’existence d’une vie extraterrestre.
La paire a conçu des unités au sol détectant les OVNIS qu’elle espère pouvoir placer dans des pays du monde entier.
Marc, qui dirige également la chaîne YouTube SkyTour LiveStream, où il emmène les téléspectateurs pour des visites en direct du ciel nocturne, teste actuellement les unités dans son observatoire.
Il a déclaré: « Le système UFOTOG II fera entrer l’ufologie dans le 21ème siècle en mariant une science réelle à une observation standard.
« Le système cherchera des phénomènes dans le ciel et s’il trouve quelque chose qui n’est pas un satellite, un avion ou un objet connu auquel nous pouvons accéder dans une base de données, il nous alertera en envoyant un message par satellite GPS à notre téléphones portables.
« Nous rendrons toutes les données que nous recueillons ouvertes et accessibles à tous.
« Nous sommes ouverts d’esprit et croyons que les visites d’une race extraterrestre avancée ne sont pas une improbabilité scientifique. »
Dipper, le robot qui vole comme un avion et nage comme un pingouin
Fabrice Auclert
Journaliste
Il existe de nombreux d’appareils volants, du simple avion téléguidé à des drones beaucoup plus complexes. Il existe également des machines capables de plonger sous l’eau. Des étudiants de l’école polytechnique fédérale de Zurich ont décidé de combiner les avantages des deux et de créer un appareil autant capable de se mouvoir dans l’eau que dans l’air.
Le projet s’inscrit dans le cadre d’un programme appelé « Focus Roll-out » au cours duquel les étudiants mettent en pratique leurs connaissances, pour ensuite présenter leurs résultats au public. Le développement de leur robot téléguidé a nécessité le travail de huit étudiants, deux en ingénierie électrique et six en ingénierie mécanique.
Un drone capable de s’envoler depuis la surface de l’eau
Dans une vidéo, les étudiants ont montré leur prototype qui a nécessité neuf mois de travail. Malgré l’utilisation de l’impression 3D, ils ont rencontré beaucoup de difficultés à le rendre étanche. Baptisé Dipper, il ressemble de prime abord et davantage à un simple avion radiocommandé qu’à un drone. Il est cependant capable de plonger depuis les airs directement sous l’eau et de se déplacer. Pour réduire la résistance de l’eau, Dipper replie ses ailes en carbone laminé.
La partie la plus impressionnante du projet reste cependant l’opération en sens inverse. Pour s’envoler, Dipper remonte à la surface et déploie ses ailes, puis parvient à s’envoler directement. Les étudiants ont imaginé ce projet notamment pour venir en aide dans le cadre de la surveillance de la faune marine ainsi que dans les opérations de recherche et de sauvetage.
Des documents révèlent que la marine américaine a secrètement conçu un avion futuriste ultra-rapide ressemblant à un OVNI.
Ces dessins ont été déposés dans le cadre du brevet et montrent un vaisseau qui ressemble beaucoup à un OVNI (Photo: Salvatore Cezar Pais / Google)
Par :Jasper Hamill Jeudi 18 avril 2019 18h51 -crédit : metro.co.uk
Traduction Era pour
La marine américaine a obtenu un brevet pour un avion perfectionné ressemblant à une soucoupe volante. Les inventeurs militaires ont déposé des plans pour une machine volante très inhabituelle qui utilise un «dispositif de réduction de masse inertielle» pour se déplacer à des «vitesses extrêmes». Cela signifie que l’aéronef utilise une technologie complexe pour réduire sa masse et, ainsi, réduire l’inertie (résistance d’un objet au mouvement) afin qu’il puisse effectuer monter en flèche à grande vitesse. Le brevet est extrêmement complexe et décrit des méthodes de réduction de la masse d’un avion utilisant diverses techniques, notamment la génération d’ondes de gravité, détectées pour la première fois en 2016 après avoir été produites lors de la collision de deux trous noirs.
Ces dessins ont été déposés dans le cadre du brevet et montrent un vaisseau qui ressemble beaucoup à un OVNI (Photo: Salvatore Cezar Pais / Google)
« Il est possible de réduire la masse inertielle et donc la masse gravitationnelle d’un système / objet en mouvement, par une perturbation abrupte du fond non linéaire de l’espace-temps local », indique le brevet. L’engin décrit dans le brevet présente une paroi creuse remplie de gaz, qu’on fait ensuite vibrer à l’aide d’ondes électromagnétiques puissantes. Cela crée ensuite un vide autour de l’engin, lui permettant de se propulser à grande vitesse. Le vaisseau qui ressemble à un ovni peut être utilisé dans l’eau, l’air ou même l’espace. « Il est possible d’envisager un engin hybride aérospatial / sous-marin (HAUC) qui, grâce aux mécanismes physiques activés avec le dispositif de réduction de masse inertielle, peut fonctionner comme un engin submersible capable de vitesses extrêmes sous l’eau… et de capacités furtives améliorées », explique le brevet. « Cet engin hybride se déplacerait très facilement à travers les milieux air / espace / eau en étant enfermé dans une bulle / gaine de plasma sous vide. » Bien que la US Navy ait demandé le brevet en 2016 et que celui-ci ait été accordé l’année dernière, cela ne signifie pas nécessairement que le vaisseau ait été construit et testé.
Cependant, la technologie est une preuve supplémentaire de l’intérêt de l’armée pour le développement de technologies « exotiques ».
Un peu plus tôt cette année, il a été révélé que des chercheurs du gouvernement américain avaient enquêté sur les trous de ver, l’antigravité, le camouflage par invisibilité, la distorsion spatio-temporelle (warp-drive*permet d’effectuer des voyages supra-luminiques) et les armes laser à haute énergie au cours d’une enquête sur des «phénomènes aériens inexpliqués» appelée Programme d’identification des menaces aérospatiales avancées (AATIP).
Les détails de l’AATIP ont été publiés pour la première fois en 2017, y compris les rapports d’une observation faite par des pilotes de chasse de l’USS Nimitz. Ces pilotes ont vu une énorme nappe d’eau turbulente et volumineuse de la taille d’un Boeing 737, laissant supposer qu’il y avait quelque chose sous la surface, ainsi qu’un engin en forme de «tic tac» qui a décollé à une vitesse incroyable.
Nous avons parlé à Nick Pope, ancien enquêteur sur les OVNIS au ministère de la Défense, et lui avons demandé s’il voyait des similitudes entre le dessin breveté et le Tic Tac du Nimitz.
« Un engin hybride, capable à la fois de voler dans les airs et de naviguer sous l’eau, est étrangement similaire à ce qui avait été rapporté lors de l’incident du USS Nimitz en 2004 », a-t-il déclaré.
« En 2013 Il y a eu un incident similaire d’ovni naviguant sous l’eau à Porto Rico. Le lien possible entre l’incident de l’USS Nimitz et ce brevet est intriguant, et il est intéressant de noter que la marine américaine semble être le lien ici.
«Il est possible que le brevet s’inspire de l’incident. A partir de là, il serait possible que des test aient été effectués tentant de reproduire la technologie des objets poursuivis par les F-18 de la Marine. C’est ce qu’on appelle la «rétro ingénierie».
Nick Pope est un romancier et une autorité mondiale sur les ovnis (Crédit: David Howard / Flickr)
Selon lui, l’une des questions clés est de savoir comment les plans s’intègrent dans le projet plus large de l’AATIP. Dans le dernier brevet, l’auteur Salvatore Cezar Pais mentionne Harold Puthoff, une figure clé de l’AATIP qui a commandé les 38 articles explorant les technologies exotiques, qui ont ensuite été utilisés par la Defense Intelligence Agency lors de séances d’information déposées au Congrès des États-Unis.
«Les documents retenus par les médias portaient sur l’anti-gravité, le camouflage par invisibilité, la distorsion spatio-temporelle (warp-drive). Mais le point clé est que ces documents se réfèrent à une technologie exotique – et pas seulement de la technologie qui nous permettrait de construire un avion plus rapide. un drone ou un missile, mais la technologie dont nous aurions besoin pour les voyages interstellaires », a ajouté Nick Pope. « Ces brevets pourraient être les premières étapes pour amener l’humanité vers les étoiles. »
Nous lui avons demandé s’il pensait que l’engin de la licence a déjà été réalisé. Ce brevet pour «un appareil utilisant un dispositif de réduction de masse inertielle» est fascinant et constitue l’un des trois certificats déposés par le scientifique de la marine américaine, Salvatore Cezar Pais. «L’autre de ses brevets qui a attiré mon attention était celui d’un« générateur d’ondes gravitationnelles à haute fréquence ».
«Il est parfois difficile de dire où se situe la frontière entre science marginale et science-fiction. En outre, même si la physique théorique s’avère solide, les ingénieurs en aéronautique doivent encore être en mesure de construire quelque chose de fiable.
« S’ils ont construit la technologie décrite dans les brevets, je suis sûr que le programme est hautement classifié. L’essentiel, c’est que si cela fonctionne, nous sommes sur un terrain qui change la donne ».
Si cette révélation est exacte, ceci nous conforte Sylvain dans son orientation pour la recherche au niveau des OANIs car cela validerait nos travaux pour au moins une catégorie d’objets insolites sur la planète.
Un plus grand nombre de petits drones pourrait submerger l’ennemi en mer.
Combattants de Surface sans équipage .
La Defense News rapporte que la marine américaine envisage de libérer des combattants de surface non habités – des navires de guerre à robots militaires, essentiellement – pour accompagner d’autres bateaux contrôlés par un équipage humain.
Cette décision pourrait venir en réponse aux investissements massifs de la Chine et de la Russie dans des technologies similaires qui pourraient mettre les porte-avions américains en danger, selon l’analyse de Defense News . La supériorité navale est une priorité pour l’armée chinoise – ce que le Pentagone veut défier avec des investissements en intelligence artificielle et en automatisation.
Chasseurs en Mer
L’année dernière, la stratégie de défense nationale de la marine, annoncée début 2018, visait à sauvegarder les porte-avions existants et à renforcer les efforts de maintien de la paix. La nouvelle priorité est différente: des combattants de surface plus petits, dont beaucoup seront sans pilote, et équipés de capteurs à la pointe de la technologie.
L’idée est de submerger l’ennemi et de lui rendre difficile le suivi d’un grand nombre de navires plus petits. Avoir un plus grand nombre de navires autonomes rendra également la collecte de données de capteurs plus fiable et plus précise.
«Nous voulons que tout soit aussi grand que nécessaire. Vous la rendez plus petite et plus distribuable, étant donné que tous les dollars sont à peu près égaux »,
a déclaré Ronald Boxall, directeur de la guerre de surface de la US Navy, à Defense News lors d’un entretien en décembre. « Et quand je regarde la force, je pense: » Où pouvons-nous utiliser des embarcations sans pilote pour pouvoir la pousser sur une plate-forme plus petite? «
Un de ces navires de guerre autonome a déjà fait les gros titres dans le passé: le DARPA (Sea Advanced Research Projects) de la Défense (DARPA) est un navire de guerre de chasse au sous-marin pouvant opérer sans humains à bord pendant 60 à 90 jours consécutifs. Les détails concernant le Sea Hunter se font de plus en plus rares depuis que la Marine a récemment classé toute information concernant son avenir.
Vidéo Futurism sur Youtube
La DARPA a confié son chasseur de sous-marins autonome à la marine américaine.
La marine américaine s’emploie également à mettre à jour ses méthodes de construction des navires de guerre et le fonctionnement des ordinateurs et des capteurs embarqués. La marine veut que tous les navires de guerre modernes soient construits autour d’un système de combat unique fonctionnant sur tous les navires.
«Pour que nous puissions aller plus vite, nous devons soit continuer avec le modèle que nous avions où nous avions mis à niveau nos téléphones à bascule, soit nous passons à la mentalité suivante: « Je me fiche de savoir quel modèle d’iPhone vous avez – 7 ou X ou ce que vous avez, il continuera d’exécuter Waze ou les applications que vous essayez d’exécuter », a déclaré Boxall à Defense News .
Article source : futura-sciences.com par Marc Zaffagni – Publié le 02/12/2018
Journaliste
La Chine prévoit de construire une base sous-marine robotisée Selon un article du South China Morning Post, des scientifiques de l’Académie chinoise des sciences prévoient de construire une base sous-marine de recherche et de défense en mer de Chine méridionale. Et ils veulent qu’elle soit entièrement pilotée par des robots. L’idée serait venue à l’instigation du président chinois Xi Jinping qui aurait lancé un défi aux scientifiques en leur demandant d’accomplir quelque chose qui n’a encore jamais été fait. Située entre 6.000 et 11.000 mètres de profondeur, la base aura des plates-formes d’amarrage à partir desquelles des sous-marins robotiques partiront pour des missions exploratoires afin de recueillir des données sur les formes de vie marines. Ils prélèveront également des échantillons de minéraux que la base sera capable d’analyser de façon autonome. Le coût de cette base est estimé à 160 millions de dollars.
Le navire Go Searcher Crédit photo : sciencepost.fr/
SpaceX dévoile son bateau muni d’un héliport pour récupérer les astronautes !
Article source : sciencepost.fr/
Par Yohan Demeure
Elon Musk et SpaceX ont dévoilé une évolution du projet Go Searcher, qui prend la forme d’un imposant navire ultra-moderne. Équipé d’un héliport, celui-ci aura entre autres la mission de récupérer les astronautes en provenance de la Station spatiale internationale.
Le dernier né de la flotte de SpaceX !
Selon The Verge, qui a dévoilé l’information dans un article du 5 novembre 2018, ce navire Go Searcher devrait être utilisé dès le début de l’année prochaine. Celui-ci est principalement prévu pour récupérer les capsules Dragon et bien sûr, leur équipage.
En quelques années, SpaceX s’est constitué une impressionnante flotte de navires afin de venir en aide à ses activités de conquête spatiale. En revanche, il faut savoir qu’initialement, le navire Go Searcher avait été pensé pour accompagner et soutenir les drones autonomes faisant office de plateformes d’atterrissage pour guider les fusées Falcon 9 avant leur récupération dans l’océan.
Le projet a évolué avec le temps
SpaceX a décidé – dès l’été 2018 – de prendre un important virage concernant le projet Go Searcher. En effet, un héliport a été ajouté au navire, et le système radar a été perfectionné afin de permettre une réception optimale des capsules Dragon lorsque celles-ci reviennent sur Terre. Force est de constater que SpaceX a pensé à tout, car des installations médicales seront présentes à bord – ainsi que du personnel qualifié – afin de soigner d’éventuels blessés directement sur place. De plus, ces blessés pourront – en cas de besoin – être transportés rapidement à l’hôpital par hélicoptère.
Capsule Dragon de SpaceX Crédits : Wikipedia via sciencepost.fr/
Le navire Go Searcher sera testé dès le mois de janvier 2019 avec le lancement de la capsule Dragon à vide à réceptionner. Quelques mois plus tard (en juin 2019), ce sera le tour d’une capsule similaire, mais cette fois-ci habitée. Autre partenaire NASA, Boeing pilotera sa capsule – la CST- 100 Starliner – pour la première fois sans équipage en mars 2019, tandis qu’un lancement avec équipage est prévu pour août de la même année. En revanche, la capsule Starliner a été conçue pour atterrir sur le sol américain, si bien qu’il n’y a aucun besoin de disposer d’un bateau de récupération.