Archives de octobre 2013

Les méduses nées dans l’espace ne supportent pas la gravité de la Terre… Il en est de même pour l’Homme

mé1Un être humain né dans l’espace ne supportera pas la gravité de la Terre, c’est la conclusion que des chercheurs de la NASA viennent de découvrir. En effet, comme pour les méduses nées dans l’espace, la différence de gravité entre la Terre et l’univers fait qu’il leur est quasiment impossible de s’habituer à vivre sur notre belle planète. Explications.

Les méduses font partie de ces espèces animales qui ont été choisies pour être élevées dans l’espace dans les années 90 avec la navette spatiale Columbia. Les scientifiques voulaient tester l’incidence qu’aurait l’espace sur leur croissance, leur mode de reproduction et leur comportement en général. L’une des caractéristiques que les chercheurs ont remarquées est que ces méduses de l’espace n’avaient pas les mêmes capacités de détection de la gravité que leurs cousines qui peuplent les océans terrestres.

Les méduses possèdent des otholites (ou statholites), un conglomérat de cristaux de carbonate de calcium. Ces cristaux, qui entourent la surface supérieure de leur corps, notamment le fameux champignon, se mettent à bouger en fonction des déplacements de la méduse. Ils signalent alors à leur cerveau comment discerner le haut du bas. Le problème c’est qu’une fois amenées sur Terre, des scientifiques ont remarqué que ces méduses qui semblaient s’être développées normalement, présentaient des difficultés à se mouvoir correctement dans l’eau, avec des mouvements irréguliers et pas coordonnés.

Le rapport avec l’homme ? C’est que nous possédons nous aussi des otholites, qui se trouvent dans notre oreille interne et qui servent également à nous renseigner sur les forces de gravité et d’accélération qui sont exercées sur notre corps. Si l’on suit le raisonnement des observations de ces méduses spatiales, les scientifiques en sont donc venus à expliquer qu’il était hautement possible qu’un être humain né ailleurs que sur Terre ne puisse jamais s’adapter à la gravité terrestre.

(Source : Daily Geek Show)

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Publié 28 octobre 2013 par Sylv1 dans documents et articles divers

Le surprenant comportement alimentaire d’une espèce de calmar (vidéo)

tenGrâce à des vidéos réalisées par un robot sous-marin, une équipe de chercheurs a récemment révélé les curieuses habitudes alimentaires de Grimalditeuthis bonplandi, une espèce de calmar.

Une chose est certaine… Tous les calmars ne se ressemblent pas. Grimalditeuthis bonplandi en est l’exemple même. Ce spécimen, bien particulier, a durant des années, attisé la curiosité des biologistes et pour cause, celui-ci n’est pas doté des mêmes attributs que ses congénères pour assurer son alimentation. En effet, si les autres espèces peuvent se féliciter d’avoir développé au cours de l’évolution deux puissants tentacules destinés à capturer leurs proies, G. bonplandi lui ne semble pas avoir bénéficié de ce privilège.

Un petit calmar aux faibles tentacules

C’est du moins ce qu’ont constaté les chercheurs en observant les premiers spécimens.

 Le céphalopode vit en eaux profondes entre 500 et 1.500 mètres sous la surface de la mer. Aussi, son étude est rendue particulièrement difficile. Durant des années, seuls des organismes morts, capturés par des chaluts ou retrouvés dans l’estomac de prédateurs, ont pu être observés.

De précédents travaux de recherches révèlent qu’il s’agit d’un petit spécimen, d’environ 15 centimètres de long. Contrairement aux autres espèces, les deux tentacules principaux de G. bonplandi sont minces et fragiles. Ils ne possèdent d’ailleurs pas la musculature nécessaire pour s’étirer et se rétracter rapidement. Ces caractéristiques ont amené les chercheurs à se questionner durant de nombreuses années sur les stratégies de chasse de la créature.

Le mystère a enfin pu être résolu grâce à des vidéos capturées en 2005 par des biologistes de l’Institut de recherche de l’aquarium de la baie de Monterey (MBARI), en Californie. La prouesse technique, réalisée à l’aide d’un robot sous marin, a permis de visionner pour la première fois l’animal évoluant dans son milieu naturel. Une nouvelle étude, parue dans la revue Proceedings of the Royal Society B, révèle, séquence à l’appui, comment G. bonplandi se sert de ses deux minces tentacules.

Des tentacules comme des cannes à pêche

Selon l’article, le céphalopode les bouge en continu. Le mouvement langoureux suit une trajectoire ondulée. Pour l’heure, aucun lien entre ce mouvement et la capture de proie n’a pu être observé. Toutefois, les chercheurs ont d’ores et déjà émis l’hypothèse qu’il s’agit d’une sorte d’appât. En réalisant ce mouvement, le calamar attire de petites crevettes et autres crustacés.

En d’autres termes, les tentacules seraient utilisés comme une sorte de « canne à pêche ». Ce serait en fait les ondes créées par le mouvement ou simplement le fait de remuer la bioluminescence de l’eau qui séduiraient les proies et les amèneraient jusqu’à leur prédateur. « Il s’agit d’une tactique intéressante et inattendue », indique à Livescience Henk-Jan Hoving, co-auteur de l’étude. C’est la première fois qu’une telle stratégie est observée chez un spécimen de calmar.

Mais d’autres études sont encore nécessaires pour vérifier ces nouvelles hypothèses et en savoir davantage sur le comportement alimentaire de G. bonplandi et d’autres espèces de calmars. « Il y a beaucoup de choses que nous ignorons quant à ce qui se passe dans les profondeurs et nous ne pouvons pas faire trop de suppositions », conclut ainsi Richard Young, directeur des travaux de recherche.
(Source : Maxi Sciences)

Vidéo youtube

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Publié 25 octobre 2013 par Sylv1 dans biodiversité marine

Les mers extrême-orientales dévoilent leurs secrets

© Photo : Steven Haddock

© Photo : Steven Haddock

 

Article source:french.ruvr.ru/

Par La Voix de la Russie | Au cours de ces dernières années, les chercheurs extrême-orientaux ont découvert plus de 300 espèces vivant dans les eaux profondes, a déclaré Andreï Andrianov le directeur de l’Institut de la biologie de la mer de la filiale d’Extrême-Orient de l’Académie russe des sciences de Russie. Andrianov a fait cette annonce lors du forum international « La nature sans frontières » à Vladivostok.

Ce sont les recherches dans les eaux profondes de la fosse Kouriles-Kamtchatka qui se sont avérées les plus fructueuses. Les chercheurs ont pu découvrir de véritables oasis de vie à plus de 5 kilomètres de profondeur. Plus de 700 espèces furent remontées à bord du navire de recherche, dont la moitié est inconnue. Des recherches qui ont été menées il y a quelques années en mer du Japon ne furent pas moins productives : en tout plus de 200 espèces furent découvertes, principalement des invertébrés. Ces nouvelles découvertes offrent de nouvelles possibilités au développement de la pharmacologie et l’obtention de nouveaux types de médicaments, est persuadé l’expert de l’Institut de l’océanologie de l’Académie des Sciences de Russie Mikhaïl Flint.

« Un spectre d’antibiotiques que nous obtenons des sources terrestres, est en train de perdre son efficacité. La faune océanique, y compris celle qui vient des eaux profondes, apporte un certain nombre de substances médicales qui sont synthétisées dans des conditions de laboratoire », explique le chercheur. « Par ailleurs, nous avons découvert un certain nombre d’espèces qu’il sera possible d’élever. Nous obtiendrons alors des cultures qui peuvent être utilisées dans la fabrication des médicaments actifs dont nous avons besoin. »

Les chercheurs espèrent obtenir des organismes des profondeurs de l’océan et des récifs de corail à effet antibiotique. De nouveaux poisons peuvent également être élaborés. On peut les utiliser en petites quantités pour bloquer les processus non souhaitables pour l’organisme. Les chercheurs ont également discuté lors du forum de Vladivostok les questions de monitoring dans la zone de la centrale nucléaire de Fukushima, et ont évoqué l’influence des eaux rejetées depuis la centrale sur la faune et la flore marine. Le gouvernement devrait renforcer le contrôle de la qualité des ressources biologiques des mers d’Extrême-Orient. Des organismes gouvernementaux comme l’Agence fédérale pour la pêche (Rosrybolovstvo) ou le Service de contrôle des droits des consommateurs et de protection de la santé (Rospotrebnadzor) devraient avoir pour mission de protéger la population et la nature de la contamination radioactive et exclure toute possibilité de la consommation des produits contaminés, souligne le vice-directeur du comité de la Douma d’Etat pour les ressources naturelles et l’écologie Maxime Chingarkine.

« Il est absolument nécessaire de renforcer le contrôle. Le Japon a réduit de dix fois la norme minimale de concentration des substances radioactives dans les aliments. C’est une capitulation dans la question de la défense des intérêts des habitants du pays en ce qui concerne la concentration des radionucléides dans les fruits de mer. »

 Les chercheurs russes estiment que le monitoring par satellite des phénomènes, comme la circulation synoptique, devrait être renforcé dans l’océan. Il s’agit de l’interaction de l’océan avec l’atmosphère qui influence le mouvement des masses d’eau. Il s’agit des changements à l’échelle de quelques dizaines à quelques centaines de kilomètres. Ce type de surveillance est nécessaire pour pouvoir corriger rapidement des pollutions transfrontalières de l’eau dans les mers extrême-orientales.

Rédaction en ligne, Oleg Nekhaï


Source
la voix de la russie
geyser

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 13/10/2013 à 13h50.

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Esprits polaires ( timelaps )

crédit: sosduneterrienneendetresse.centerblog.net/

crédit:sosduneterrienneendetresse.centerblog.net/

 

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avatareraavatar i love japan

Note adm:

Dimanche 06 Octobre 2013 :

« Nous aimons beaucoup ce spectacle naturel , alors era et moi nous vous faisons partager ce time laps sublime de beauté. »

Ajout: 22h50.( 06/10/2013)

Vu aussi chez MU sur son blog:whatawonderfulworld (1)

traduction ERAoanis

« Ceci est mon troisième court-métrage sur les lumières nordiques.

Comme d’habitude, mon objectif principal est d’obtenir que les aurores se situent aussi prés que possible de la vitesse en temps réel compte tenu du temps disponible dans une courte vidéo.

Bien que dans quelques séquences j’ai accepté exagérer la vitesse afin de mieux renforcer d’autres éléments, tels que le brouillard se déplaçant, nuages, voie lactée, etc
 Dans le film, j’ai essayé de montrer la danse des lumières lentes majestueuses, ainsi que des spectacles plus rapides, spectaculaires et abstraits, et enfin les aurores en combinaison avec des lumières de la ville et des éléments urbains.« 

Time laps source: Viméo

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Une autre vidéo ( youtube ) cette fois.

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crédit: kordouane.centerblog.net/

crédit:
kordouane.centerblog.net/

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 06/10/2013 à : 21h15.

Publié 6 octobre 2013 par Sylv1 dans time laps / vidéos

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Un mystérieux lac africain pétrifie les animaux

 

© Nick Brandt.

L’étrange lac Natron semble transformer en pierre le moindre animal qui a le malheur de s’y baigner…
Situé au nord de la Tanzanie, le lac Natron a inspiré le travail du photographe Nick Brandt, connu auprès du grand public pour avoir notamment réalisé le clip « Earth Song » de Michael Jackson. A l’image du Styx, ce fleuve de la mythologie grecque qui séparait le monde des vivants du royaume des morts, cette mystérieuse étendue d’eau condamne irrémédiablement le moindre oiseau qui vient innocemment y tremper ses ailes.Terriblement hostile à la vie animale, la température du lac peut atteindre 60°C et son taux d’alcalinité varie entre pH 9 et pH 10,5, précise le magazine New Scientist. En outre, comme son nom l’indique, le lac Natron est gorgé de carbonate et bicarbonate de sodium et calcifie littéralement pour l’éternité les proies qui osent s’y aventurer. »J’ai découvert ces créatures sur le rivage du lac. Personne ne connaît les circonstances exactes de leur mort. Peut-être les oiseaux sont-ils perturbés par l’étrange reflet de ses eaux lors de son survol et viennent s’y écraser comme un insecte sur une vitre… »

Nick Brandt a décidé de replacer les oiseaux pétrifiés rejetés par les flots dans leur environnement naturel ou dans une position habituelle pour les ramener artistiquement à la vie.

Le reportage photographique de Nick Brandt en Afrique de l’est fait l’objet d’un recueil disponible sur la plateforme d’achats en ligne Amazon.

(Source : 7s7)

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Publié 3 octobre 2013 par Sylv1 dans Mystères Marins et Légendes

La nature refuse de lever le voile sur le mystère de la météorite

la voix de la russie

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© Photo : Milena Faoustova/La Voix de la Russie

La chance a de nouveau souri aux plongeurs qui cherchent au fond du lac Tchebarkoul, à côté de la ville de Tcheliabinsk, une météorite tombée en février dernier. Au cours des dernières 24 heures, les spécialistes ont remonté deux fragments de taille moyenne d’un corps céleste supposé. La sonde acoustique a déterminé la position d’un autre grand fragment. On saura sous peu si cette trouvaille est un élément de la météorite.

Marina Aleksandrova, attachée de presse du ministère de la Sécurité radioactive et écologique de la ville de Tcheliabinsk, a expliqué à La Voix de la Russie que les scientifiques pourraient d’ores et déjà étudier certains fragments de la météorite.

« Huit objets ont été remontés du fond du lac Tchebarkoul. Ils ne sont pas de la dimension espérée, mais ils existent tout de même. Tous les fragments ont été étudiés par les spécialistes de l’université de Tcheliabinsk. Ils ont affirmé que quatre d’entre eux présentent des caractéristiques démontrant leur provenance cosmique, c’est-à-dire celles d’une météorite pierreuse. Pour le moment, les travaux suivent leur cours normal »,a-t-elle déclaré.

Actuellement, les plongeurs se fraient, tous les jours sans exception, un chemin dans les ténèbres et la vase vers la pierre mystérieuse découverte par la sonde. La profondeur des recherches a dû être augmentée : les spécialistes sont descendus, des 14 mètres prévus au départ, à 18 mètres de profondeur. La température de l’eau est mesurée pratiquement toutes les heures. Les pluies matinales cèdent la place à des rafales. Il est possible d’observer des petites tempêtes même pendant les courtes périodes ensoleillées. Les habitants locaux sont persuadés que la météo veut empêcher les recherches de la météorite. Ludmila, un témoin, explique qu’ils n’oublieront jamais le jour du 15 février, lorsque le corps céleste a explosé dans le ciel au-dessus de leur ville.

« Tout d’un coup, j’ai pu voir un éclat. J’ai cru que c’était la guerre. Le nuage s’élargissait de plus en plus et j’ai eu très peur. La radio a communiqué plus tard qu’il s’agissait d’un crash aérien et seulement après, j’ai appris que c’était l’explosion d’une météorite », a-t-elle partagé.

Pour Maxime, collégien de 3e année, la chute d’une météorite dans son lac natal est la plus grande aventure de sa vie, même s’il lui reste encore beaucoup à voir.

« Nous étions en cours d’éducation physique lorsque tout d’un coup, un éclat vif a illuminé le ciel. Ensuite, il y a eu une explosion. Au départ, tout le monde croyait que c’était un accident d’avion ou un missile, mais après, notre professeur nous a expliqué que c’était la chute d’une météorite. Nous avons eu très peur. Durant le cours d’informatique, tout le monde a commencé à lire des informations sur les météorites », explique Maxime.

Le garçon a avoué qu’il attendait que les cours se terminent pour courir avec ses amis vers la clairière. Cependant, les garçons n’ont trouvé aucun fragment du corps céleste. Le poète local Alexandre, quant à lui, a eu beaucoup plus de chance.

« Lorsque la météorite tombait, je me suis approché de la fenêtre. Elle a justement cassé un tuyau au-dessus de ma maison et un de ces morceaux est tombé dans mon vasistas. Il est toujours chez moi, mais je ne le donnerai à personne », explique-t-il.

Les spécialistes supposent que le poids du fragment de la météorite se trouvant au fond du lac peut atteindre plusieurs centaines de kilogrammes. Il devrait être remonté avant le 4 octobre.  

Rédaction en ligneMilena Faoustova

geyser

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Mise à jour Era pour investigation océanographique et oanis, le : 02/10/2013 à : 23:12

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