Article source: ovnis-direct.com/
Publié le 27/06/2014
Les scientifiques du « Jet Propulsion Laboratory » de la Nasa testent une première version d’un rover sous-marin qui pourrait un jour être utilisé pour la recherche de vie extraterrestre, en explorant les océans d’exoplanètes.Vidéo youtube
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Le « Time Magazine » explique que ce prototype, appelé le « Buoyant Rover for Under-Ice Exploration » (« Rover dynamique pour l’exploration sous-glaciaire »), « BRUIE », est exploité par liaison satellite et conçu pour s’accrocher sur la face inférieure de la glace à l’aide de pneus en métal, et transmettant les données directement aux scientifiques.
L’exobiologiste de la Nasa Kevin Hand déclare au « National Geographic » : « C’est la première fois qu’un véhicule sous-marin, sous la glace, a été exploité par liaison satellite. » Une équipe de scientifiques a récemment testé « BRUIE » dans les lacs congelés d’Alaska.
Ils souhaitent envoyer le mobile dans un monde glacial tel que la lune de Jupiter, Europe.
Le rover a atteint les eaux d’Alaska relativement facilement.
Atteindre l’océan sous la surface d’Europa se révélera beaucoup plus difficile, étant donné que les experts estiment que la couche de glace sur cette planète atteindrait vingt-quatre miles d’épaisseur.
Les experts estiment qu’Europe possède deux à trois fois le volume de l’eau liquide sur Terre.
En raison de la forte présence d’eau sur cette planète, Kevin Hand et d’autres l’exobiologistes estiment qu’Europe » représente une opportunité incroyable pour découvrir de quelconques formes de vie. »
Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 28/06/2014 à : 11h15
Archives de juin 2014
Le robot sous-marin de la NASA en quête de vie
OANI Tv
Une nouvelle page s’ouvre sur notre site qui sera alimentée en grande partie par notre ami Gilles Thomas créateur de ODHTV et OANI TV.
Notre partenaire Gilles Thomas propose ce document O.A.N.I
Vidéo : OANI TV
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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le: 19/06/2014 à : 17h40.
Un marin de la garde côtière révèle une rencontre avec un humanoïde
Cutter est le terme utilisé par la Garde côtière des États-Unis pour désigner ses navires en service. Un Cutter mesure 65 pieds ou plus de longueur, avec un équipage affecté de façon permanente, ainsi que leurs logements à bord.
(Crédit: Wikimedia Commons)Article source: ovnis-direct.com/
Publié le 16/06/2014Un ancien marin de la Garde côtière des États-Unis rappelle un incident impliquant un objet de forme ovale qui se déplaçait à 200 mètres de son navire et dans lequel il aperçut un « pilote humanoïde » avant de disparaître rapidement.
Le témoignage a été publié le 13 juin 2014 par le Mutual UFO Network (Affaire l’affaire 57018).
L’incident s’est produit à la fin de l’année 1978 ou au début de l’année 1979, près de Cuba. Le témoin se trouvait à côté d’un de ses collègues au moment de l’observation.« J’ai été témoin d’un engin de forme ovale et transparent qui survola l’arrière du navire, puis 100 à 200 mètres plus loin, » a déclaré le témoin.
« Je ne pouvais voir clairement l’intérieur de l’engin, mais je vis le pilote humanoïde se retourner brusquement pour nous regarder. »
L’apparition fut furtive.Le témoin dans l’affaire 57018 a déclaré que le navire de la Garde côtière était près de Cuba. (Crédit: Google)
« Plusieurs années plus tard, j’ai trouvé quelque chose sur le NET qui ressemblait exactement à la créature dont j’ai été témoin » déclara le témoin.
Aucune image ou illustration n’a été incluse dans le rapport du MUFON.United States Coast Guard Cutter Ariadne, basé à St. Petersburg, en Floride, en patrouille dans le détroit de Floride, automne 1965, est un exemple du type de navire sur lequel le marin se trouvait durant l’observation.
(Crédit : Wikimedia Commons)Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 16/06/2014 à : 21h00.
Compte rendu du repas « Ovni à Table » du 6 juin 2014 à Bourg-en-Bresse
Matisse sylvain
crédit:investigation oceanographique et oanisNote sylain adm:
Vendredi 13 Juin 2014 à 10h45:
« Compte rendu de Didier Charnay de « ovni à table » . Je remercie Didier et son équipe pour son travail, le nombre de personnes présentes ne cesse de croître , ce qui veut dire que la qualité des repas, des conférences, de l’organisation est sérieuse et conviviale et que les gens aiment à se retrouver pour entendre des sujets liés aux OVNI et aussi les gens savent qui’ls vont être écoutés sans que l’on se moque d’eux, ce qui est important.
Merci à tous ces gens et à l’organisation et plus particulièrement à Didier pour son dévouement et son travail qui se fait sans dénigrer qui que ce soit et ça c’est rare dans notre filère pour être signalé.«
Document Didier Charnay
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Quand les baleines à fanons avaient des dents
Article source: technofuture.canalblog.com/
Les cétacés seraient apparus voilà 53 à 54 millions d’années. Ils se sont depuis séparés en deux grandes lignées il y a 35 millions d’années, que l’on peut toujours observer de nos jours : les odontocètes et les mysticètes. Le premier groupe inclut des mammifères marins pourvus de dents comme les dauphins, les marsouins ou les orques épaulards. Le second taxon, celui des mysticètes, comprend quant à lui les baleines à fanons, tels la baleine bleue ou le rorqual commun. Ces mammifères sont dépourvus de dents et se nourrissent donc en filtrant l’eau de mer grâce à des lames cornées appelées fanons.
Pourtant, les premiers mysticètes possédaient eux aussi des dents, comme leurs ancêtres. Pour preuve, des quenottes se développent toujours in utero chez des embryons de rorqual commun, mais elles se résorbent rapidement durant la croissance au profit des fanons. Quatre nouvelles espèces de mysticètes à dents viennent dernièrement d’être présentées lors de la rencontre annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science (AAAS) par Meredith Rivin du John D. Cooper Archaeological and Paleontological Curation Center (Californie, États-Unis).
Plusieurs surprises ont accompagné ces découvertes. En effet, les mysticètes à dents se seraient éteints voilà 25 millions d’années, sur la base des enregistrements fossiles connus. Or, les nouveaux ossements sont vieux de 17 à 19 millions d’années. Ce groupe a donc survécu bien plus longtemps qu’on ne le pensait jusqu’alors. Ce n’est pas tout…
Ces dents appartiennent à l’un des mysticètes découverts le long de la California State Route 133. Son propriétaire n’a pas encore reçu de nom scientifique, mais il vient de repousser de cinq millions d’années l’époque à laquelle les derniers ætiocètes ont disparu. © John D. Cooper Archaeological and Paleontological Center, États-UnisLes dernières baleines ætiocètes
Les fossiles ont été mis au jour entre 2000 et 2005 un peu par hasard, selon Meredith Rivin. En effet, ils n’ont pas été trouvés sur un site paléontologique classique, mais sur le chantier d’élargissement de la California State Route 133, précisément dans un affleurement rocheux du Laguna Canyon. Près de 30 crânes complets de cétacés ont été exhumés, mais le site renfermait en réalité les restes de plus d’une centaine de mammifères marins. Des fossiles de requins ont également été mis au jour.
Trois des quatre nouvelles espèces appartiennent au genre Morawanocetus, qui a été décrit pour la première fois au Japon en 1995. Elles correspondraient aux derniers ætiocètes, une famille de mysticètes qui a coexisté avec les premières baleines à fanons au sens strict. Elles ne sont donc pas les ancêtres des cétacés à fanons modernes.
Willy le mangeur de requins
Willy, le représentant de la quatrième nouvelle espèce, présenterait lui aussi plusieurs singularités. Selon la paléontologue, il serait notamment bien plus grand que ses congénères de l’époque. Pour information, les mysticètes actuels ont acquis leur grande taille (la baleine bleue peut atteindre 30 m de long) seulement au cours de ces dix derniers millions d’années. Willy aimait également manger des requins ; c’est du moins ce que suggère l’usure de ses dents. Les orques du grand large modernes présentent pour la plupart des marques similaires sur leurs dents : elles sont engendrées par la rugosité de la peau des squales qu’ils consomment.
Les trois premières espèces devraient être décrites (et nommées) plus officiellement dans une revue scientifique d’ici la fin de l’année. Le cas de Willy sera présenté plus tard, l’animal étant toujours partiellement emprisonné dans une gangue de pierre.
Mise à jour Investigation Océanographique et OANIs le 7-6-2014 à 16h35
Une boule de feu sort d’un Lac et se divise en 6 boules de Lumière – Chronique Ovni -1860
Un article du Belfast Morning Northern Ireland News du 28-9-1860
Lundi soir dernier, un phénomène singulier a été vu par W. Studdert, Esq., et par plusieurs de ses collègues, à Carumore. Il A vu une grande boule de feu sortir du « lac de Tom Steel », qui s’est par la suite divisée en six petites boules de lumière, et est restée divisée pendant plus d’une demi-heure, elle flottait sur le champ comme poussée par un tourbillon. A la fin , les particules de lumière se sont réunies, et sont restées en vue pendant plus de vingt minutes. . . .
* Remerciements spéciaux à Kay Massingill & Le Projet d’Echange Magonia
Source de l’article : Theufochronicles.com
Mise à jour Investigation Océanographique et OANIs le 7-6-2014 à 16h35
Conférence sur les OVNIS et O.A.N.I à Bourg en Bresse ( 01)
Sylvain Matisse Enquêteur
Crédit PhotoInvestigation océanographique et Oanis
Repas conférence sur les OVNIS
Didier Charnay et l’équipe « Ain Ovni » organisent un repas-conférence sur les ovnis à Bourg-en-Bresse
le vendredi 6 juin 2014 à partir de 19h00
Restaurant Bon Accueil,
13 rue Gabriel Vicaire
01000 BOURG-EN-BRESSE
références GPS : 46.20775491, 5.22425652
Titre de la conférence :
Les ovnis et les observations aquatiques non-identifiées » par : Sylvain Matisse
A propos de la conférence :
Sylvain Matisse s’intéresse tout particulièrement aux ovnis en rapport avec le milieu aquatique, que ce soient des engins
Sylvain Matisse Enquêteur
Crédit Photo : Investigation Océanographique et Oanis
que des témoins ont pu voir se poser sur l’eau, entrer ou sortir d’un lac, de la mer ou de l’océan, que ce soient des engins aperçus sous l’eau, des phénomènes sous-marins mystérieux, des échos radar étonnants, des structures englouties…
Pourrait-il y avoir une…
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Le chant des baleines à bosse cache-t-il un langage ?
Les baleines à bosse ont un chant structuré, propre à chaque région du monde où elles se reproduisent. Par ailleurs, leur chant évolue à mesure que la baleine vieillit. © NOAA
Article source: .futura-sciences.com/
Une baleine à bosse chante durant des heures, qui peuvent se transformer en jours. Seuls les mâles chantent et élaborent un thème très structuré. Que cachent ces sons parfaitement harmonieux ?
Lors de la saison de reproduction, les baleines à bosse présentent deux caractéristiques tout à fait surprenantes. Les mâles paradent, ils sautent jusqu’à cinq mètres de hauteur pour impressionner la femelle et frappent l’eau avec leurs grandes nageoires pectorales. Puis, par moment, ils se mettent à chanter. Ils sont les seuls, la femelle reste silencieuse. La mélodie dure en général 30 à 40 minutes, mais peut parfois se répéter des heures, voire des jours. Parce que ces baleines ne chantent que durant la saison d’accouplement, les biologistes supposent qu’il s’agit d’un langage de séduction, mais il n’existe à ce jour aucune certitude malgré le grand nombre de recherches scientifiques à ce sujet.
Ces baleines à bosse chantent au large de l’est de la côte australienne. © Oceania iWhales, YouTube
Video youtube
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Le chant des baleines à bosse est hiérarchisé
Le chant a une structure bien définie, qui pousse à parler de langage. Les mâles chantent et disposent de neuf unités sonores. L’unité de base est un son continu, dont la fréquence est comprise entre 10 et 20 Hz. Le cétacé est capable de moduler la fréquence et l’amplitude de cette note et peut ainsi générer des suites de quatre à six unités sonores, qui peuvent durer une dizaine de secondes. Les biologistes attribuent à ces suites la distinction de sous-phrase, plusieurs sous-phrases constituant une phrase complète, que la baleine répète durant plusieurs minutes.
Cette phrase répétée décrit un thème, et une suite de thèmes définit le chant. La hiérarchie dessons émis par la baleine pousse certains à parler de structuration linguistique, mais le sujet est toujours vivement débattu, en raison du manque de données in situ permettant une meilleure interprétation du langage des baleines.
Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 02/06/2014 à : 21h40.
Une espèce très rare est enregistrée près du détroit d’Hudson.
Un poisson peu ordianire a été pêché dans le Détroit de Davis, à l’extrême nord du Canada. Plus précisément, dans les eaux glaciales du Nunavut.
le Rhinochimaeridae peuple les grandes profondeurs des océans. Évoluant à au moins 3.000 mètres de profondeur, il préférerait les eaux tropicales ou tempérées, rendant sa présence dans le détroit de Davis d’autant plus rare.
Chaque année de nouvelles espèces aparaissent , du moins elles ne se découvrent que maintenant, pour les milieux extrèmes comme les fond marins,notre technologie et outils le permettant.
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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 02/06/2014 à :21h05.
Expérience insolite : 31 jours sur le fond de l’océan
Article source: sciencesetavenir.fr
Le petit fils de Jacques-Yves Cousteau va tenter l’expérience avec une équipe d’océanologues.
IMMERSION. L’explorateur français Fabien Cousteau va tenter de perpétuer les exploits de son célébrissime grand-père Jacques-Yves Cousteau en plongeant pour 31 jours dans les profondeurs des eaux de Floride à des fins scientifiques.
« C’est symbolique pour moi parce que mon grand-père a passé, avec son équipe, 30 jours sous les eaux de la mer Rouge il y a 50 ans de cela », a expliqué samedi l’océanographe dans un entretien à l’AFP depuis Islamorada, une île à l’extrême sud de la Floride (sud-est des Etats-Unis).
Cousteau et son équipe séjourneront dans le laboratoire sous-marin Aquarius, situé à 20 mètres de profondeur au large de Key Largo, l’une des îles de l’archipel des Keys au sud de Miami. Ce projet scientifique vise à étudier l’impact du changement climatique et de la pollution des eaux, ainsi que tester l’effet psychologique de la vie dans les profondeurs marines.
Vidéo youtube
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Présentation de la mission aquarius.
Par rapport à l’exploit de son illustre grand-père, Fabien Cousteau a ajouté un jour à son expédition, pour arriver à 31 jours, afin de « faire honneur » à Jacques-Yves Cousteau « et à tous les +aquanautes+ avant lui qui ont fait un travail formidable« .
Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 02/06/2014 à : 20h20.