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Europe, une lune de Jupiter du sel de table détecté intrigue les scientifiques.

Des images capturées par Galileo. À gauche, Europe en couleurs naturelles. À droite, une version qui fait ressortir les différences de couleurs et sur laquelle on perçoit la zone jaune — au centre gauche — qui révélerait la présence de chlorure de sodium. © Nasa, JPL, Université de l’Arizona

Article et image  source : futura-sciences.com

Nathalie Mayer

Journaliste

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Mise à jour investigation Océanographique et O.A.N.I.S le- 14/ 06/2019 à 10h55.

La découverte d’eau sur certaines certaines planètes pourrait bouleverser la recherche de vie extraterrestre.

Vue d’artiste représentant le système Trappist-1, composé de sept planètes orbitant autour d’une « naine rouge », une étoile moins lumineuse et moins massive que notre Soleil. NASA/JPL-Caltech/R. Hurt – lexpress.fr

Vendredi 9 février 2018 à 17h00:

« L’eau existe sous différentes formes ici sur notre planète. Dans le cosmos elle se dévoile un peu plus au gré des découvertes faites par différents moyens de détection.

Nous ouvrons cette rubrique spéciale ( L’eau dans l’espace)  avec un premier article pour justifier cela.

Nos recherches ont déjà commencées et pris en compte ces paramètres. Simplement l’eau dans l’espace aura sa rubrique dédiée aux découvertes de cet élément ailleurs que sur Terre. Ceci sera plus facile de retrouver ce sujet  et ce genre d’informations nous parvenant parmi les autres, ici sur notre site web. »

Era & Sylvain

De la roche et beaucoup d’eau: les planètes de Trappist-1 livrent leurs secrets

Article source: 7sur7.be 

Lundi, 5 février 2018

De nouvelles études dévoilent notamment que les sept exoplanètes du système TRAPPIST-1 sont globalement rocheuses et jusqu’à 5% plus riches en eau que la Terre, indique lundi l’Université de Liège dans un communiqué. L’an dernier, une équipe internationale chapeautée par l’astronome liégeois Michaël Gillon avait annoncé la découverte de quatre nouvelles exoplanètes – des planètes situées hors du système solaire – autour de l’étoile naine ultra froide TRAPPIST-1. Elles s’ajoutaient aux trois autres détectées précédemment.

Des observations intensives ont été effectuées par les télescopes terrestres (notamment TRAPPIST et SPECULOOS) et spatiaux (HUBBLE et SPITZER). 

Selon une étude publiée dans la revue Astronomy & Astrophysics, les planètes du système TRAPPIST contiennent jusqu’à 5% d’eau en plus que la Terre. « C’est nettement plus d’eau que celle contenue dans nos océans, qui ne représentent que 0,02 % de la masse de notre planète », explique Simon Grimm, post-doctorant à l’Université de Berne, en Suisse. Ce constat a pu être mis en évidence grâce à une mesure précise des masses et des dimensions des planètes.

Une autre étude, dirigée par Valérie Van Grootel (STAR Research Institute, ULiège) et parue dans The Astrophysical Journal, dévoile que des observations ont permis d’en savoir plus sur les propriétés de l’étoile du système, TRAPPIST-1, notamment sa distance, sa température, son rayon et sa masse, qui est 10% plus élevée que ce qui avait été estimé. 

L’habitabilité potentielle confirmée
Par ailleurs, la présence d’une atmosphère riche en hydrogène a été exclue pour trois des quatre planètes du système les plus susceptibles d’être habitables, selon une troisième étude publiée dans Nature Astronomy. « La présence d’atmosphères étendues dominées par l’hydrogène sur les quatre planètes les aurait présentées comme des mondes gazeux inhospitaliers comme Neptune« , souligne Julien de Wit, chercheur au Massachusetts Institute of Technology et auteur principal de l’étude. « Rassemblés, les résultats de nos recherches confirment la nature terrestre et l’habitabilité potentielle des planètes du système. »

Enfin, des données récoltées grâce au télescope spatial de la Nasa SPITZER, montrent que les futures études de l’atmosphère des planètes « ne seront pas affectées de façon significative par l’activité de l’étoile, ce qui est encourageant pour la suite », commente Laetitia Delrez, post-doctorante de l’ULiège à l’Université de Cambridge et auteure d’une dernière étude (Monthly Notices of the Royal Astronomical Society). 

Les chercheurs attendent maintenant avec impatience l’observation spectroscopique des atmosphères des planètes avec le nouveau télescope spatial James Webb, qui sera lancé l’an prochain par la NASA et l’ESA.

Source

En bonus peur ceux qui souhaitent plus de précisons scientifiques voici une conférence filmée.

Vidéo via youtube

CEA Sciences

Ajoutée le 13 mars 2017

Conférence d’actualité du 6 mars 2017 du CEA Paris-Saclay Un système extrasolaire extraordinaire vient d’être découvert à 40 années-lumière de nous : sept planètes tempérées et de taille proche de celle de la Terre orbitent autour d’une petite étoile très froide appelée Trappist-1. Trois de ces planètes pourraient avoir des conditions à leur surface propices à la présence d’eau liquide. Les perspectives d’observations complémentaires rendent ce système particulièrement excitant : en particulier l’atmosphère de ces planètes pourra être sondée grâce au télescope spatial James Webb auquel le CEA contribue activement. Intervenant(e)s : – Emeline Bolmont, post-doctorante au Laboratoire dynamique des étoiles, des exoplanètes et de leur environnement (LDEE) à l’Irfu, parle de la découverte des planètes de Trappist-1; – Stéphane Mathis, chercheur au Service d’astrophysique de l’Irfu, explique les résultats des forces de marées considérables qui s’exercent sur ces exoplanètes; – Antoine Strugarek, post-doctorant au LDEE à l’Irfu, montre l’influence des champs magnétiques des étoiles et des planètes sur l’organisation des systèmes d’exoplanètes; – Pierre-Olivier Lagage, chercheur au Service d’astrophysique de l’Irfu, explique la mission du télescope spatial James Webb (JWST) pour analyser les atmosphères de ces exoplanètes. Durée de la conférence : 1h20min Copyright CEA / DRF

Les planètes exotiques de Trappist-1

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 09/02/2018 à : 17h00.

Cérès libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau et intrigue les scientifiques.

Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa
Crédit : ouest france

La NASA affirme que « quelque chose bouge » à l’intérieur de la planète Cérès

Publié le 02/12/2017 à 13:34 par Hervé Hillard pour  ouest-france.fr

Elle est la plus petite planète naine reconnue de notre système solaire, avec un diamètre de 950 km seulement. Située entre Mars et Jupiter, c’est aussi l’une des plus énigmatiques. Parce qu’elle est dotée d’une atmosphère ténue. Parce qu’elle libère en permanence deux geysers de vapeur d’eau. Et, surtout, parce que quelque chose bouge à l’intérieur, si l’on en croit les ingénieurs de la Nasa. Explications.

Une gueule couturée, boursouflée, pleine de creux et de bosses, de rides et de cicatrices. Comme tous les corps célestes, Cérès montre sans fard aux télescopes terrestres et à la sonde spatiale Dawn, lancée en 2007 pour l’observer, les ravages du temps. Seulement voilà : d’après les spécialistes de la Nasa, ses reliefs, ses failles et certains de ses petits cratères ne sont pas la conséquence de collisions avec d’autres astéroïdes ou des comètes, mais le fruit d’un matériau qui a germé de l’intérieur de Cérès vers la surface. Pour eux, « quelque chose bouge » à l’intérieur.

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Nous incluons ce complément  hors article en guise de support cette  vidéo de la NASA via YouTube

La carte des zones d’ombres permanentes sur Cérès

La NASA a publié une vidéo montrant l’emplacement des zones d’ombres permanentes sur Cérès. Les scientifiques pensent que de la glace d’eau pourrait y être piégée. L’étude porte principalement sur l’hémisphère nord de la planète naine. Crédits: NASA/JPL-Caltech

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Nous ouvrons une rubrique consacrée aux corps célestes contenant de l’eau sous toutes ses formes ( liquide, gazeuse ou de vapeur,  solide c’est à dire en état de glace etc, ceci complète ainsi les données et les différentes informations que nous partageons ici  sur notre site web . Merci pour votre fidélité.

Petits repères

La glace : elle résulte du gel de l’eau, elle se forme à 0° Celsius.

L’ EAU EN état liquide:

L’eau est à l’état liquide pour des températures oscillant entre 0° et 100° Celsius à une pression normale (1 bar).

L’eau en l’état gazeux ou en état de vapeur :

-Dès 100° Celsius à pression normale. Mais elle peut l’être aussi à température inférieure : c’est ce qui se passe au-dessus des océans lors de l’évaporation.

©décembre2017  voir mentions légales 


 

Références

NASA

JPL (NASA/Caltech)

ouest france

Investigations océanographique et oanis.


 

© 19/12/2017 

 


 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 19/12/2017 à :19h40.

 

1963- l’armée américaine aurait détecté- un appareil sous-marin de type inconnu se déplaçant à plus de trois cent kilomètres par heure, une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins de fabrication humaine !

 

Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.

Sur l’une des deux  vidéos où nous sommes interviewés par Yves Herbo, je précise que des ufologues et des chercheurs se sont intéressés au milieu marin concernant l’ufologie. Notre ami Tyron du site web la taverne de l’étrange est l’une de ces personnes.

Alors nous reprenons ici ce qui nous intéresse en la matière.  En occurrence ce petit résumé agrémenté d’une photo d’un cas survenu en 1963. Cette affaire concerne l’US NAVY puisque l’objet a été repéré sur l’un de leur sonars plusieurs jours durant. C’est ce type de témoignage qui nous intéresse  grandement ici  pour nos investigations. Merci à Tyron pour ce travail et le partage de l’information.

OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin


Photographie d’un OVNI sortant de l’eau dans le golfe San Matias à Porto-Rico.

Tyron administrateur du site web la taverne de l’étrange a repris ceci:

 L’hypothèse de l’existence de bases sous-marines occupées par des intelligences non-terrestres a été notamment relayée par Ivan T. Sanderson, un naturaliste américain renommé, qui fut l’un des pionniers de la cryptozoologie, une discipline s’intéressant à l’étude des espèces inconnues ou supposées éteintes.

Dans l’un de ses ouvrages spécialisés sur le sujet, il relate une affaire datée de 1963 et qui fait désormais souvent office de preuve irréfutable dans les milieux ufologique: l’armée américaine aurait détecté- un appareil sous-marin de type inconnu se déplaçant à plus de trois cent kilomètres par heure, une vitesse bien supérieure à celle des sous-marins de fabrication humaine ! Repéré sur le sonar de la Navy pendant plusieurs jours, l’étrange objet submersible aurait finalement disparut des écrans en plongeant à une profondeur de plus de huit mille mètres, zone où la pression interdit normalement tout déplacement

Source

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :22/11/2017 à :15h40.

 

Etude de l’effet d’ondes électromagnétiques sur le fonctionnement de circuits électroniques pour comprendre certaines performances des observations inexpliquées.

 

Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS

En 2012 –
selon le Sunday Times, Israël envisageait de lancer une impulsion électromagnétique (IEM) sur l’Iran pour paralyser l’ensemble de ses réseaux de transports et de communications.
Crédit -Le Monde.fr/ sunday-times

OANI/ OVNI enquête méthode réflexion – 2016
Crédit:
éditions Saint-Martin

Notre étude continue.

Nous savons que certains OVNI  inférèrent sur certaines installations tels : 

-des systèmes de navigation,

-les communications,

-les téléviseurs,

-les appareils électroniques et l’armement.

 

Deux cas très connus ont rencontré ce genre d’ anomalies.

Ceci est arrivé pour l’affaire de Téhéran dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976, lorsque le pilote Parviz Jafari a perdu le contrôle de son appareil  incluant le contrôle du système de navigation d’une part et le système d’armement d’autre part.

Selon le compte-rendu de vol, le premier appareil est victime d’une panne de communications radio et rentre à la base.

  • Un second F-4 décolle peu de temps après, avec la même mission
  • La lumière donne l’impression de reculer lorsque le second pilote tente de s’en approcher..
  • Le pilote se sent agressé et décrit l’envoi d’un missile.
  • Il veut alors riposter avec un missile AIM-9 Sidewinder mais les commandes d’armement tombent en panne.
  • J’ai esquissé le problème dans mon ouvrage O.A.N.I/O.V.N.I , enquête ,méthode, réflexion ( éditions SAINT MARTIN -Janvier 2016) et mes recherches continuent à ce propos.
  •  autre cas:
  • Le 27  Septembre 2010, six anciens officiers de l’ U.S. Air Force et un ancien homme de troupe ont rompu leur silence au National Press Club, concernant les objets volants non identifiés et des missiles nucléaires abattus. Ils ont exhorté le gouvernement à confirmer publiquement l’incident, indiquant qu’ils ont reçu l’ordre de ne jamais discuter des événements.
  • Des OVNIS ont attaqué les armes nucléaires à Malmstrom Air Force Base dans le Montana, « L’OVNI a été signalé par mon garde. Un objet ovale rouge vif  planant en dehors de la grille d’entrée. Il était très agité, effrayé, quand il m’a dit  ça au  téléphone. La raison pour laquelle je crois que ce qu’il m’a dit est vrai, c’est parce qu’ils n’avaient pas accès à notre système de défense antimissile. Ils n’avaient aucun moyen de le contrôler. Et tandis que cet objet était là-haut, nos missiles se sont éteints.Salas, un ancien officier de lancement de missiles nucléaires de l’US Air Force, a présenté l’événement avec le chercheur Robert Hastings, auteur de « Les OVNIS et des armes nucléaires:. Rencontres extraordinaires sur les  Sites d’ armes nucléaires  » J’étais en service quand un objet est venu et a plané directement sur le site « , a déclaré Salas, concernant l’événement du 16 Mars , 1967, à Malmstrom AFB dans le Montana. » Les missiles se sont fermés, 10 missiles Minuteman. Et ce fut  la même chose sur un autre site une semaine plus tard, dit-il.
  • Le témoignage de sept anciens militaires à la conférence de presse à Washington DC, qui ont affirmé, « les OVNIS ont désactivé des dizaines de missiles nucléaires  à travers les États-Unis. Il est également prouvé que les OVNIS sont apparus sur les installations nucléaires dans l’ex-Union soviétique et le Royaume-Uni.   Robert Hastings l’expert de recherches a indiqué qu’ a lui seul il a interrogé plus de cent militaires qui ont une connaissance de premier plan sur les ovnis et que  leur gouvernement refuse de divulguer les détails de ces incursions ovni et de l’arrêt des missiles  – beaucoup  sentent que  les grands médias ont été invités  à discréditer ces rapports à tous prix…
  • Voir
  • Ces allégations mettent en évidence une certaine technique employée.
  • Que ceci soit de nature exogène ou humaine n’a pas d’importance pour l’instant.
  • Le tout étant d’abord de comprendre comment des machines, des outils informatiques protègés ou non par une cage de Faraday  peuvent être endommagés totalement ou désactivés temporairement.
  • Je met à disposition un travail de base effectué par  l’ Académie de Montpellier
    Institut d’Electronique du Sud ― UMR CNRS 5214
    Université Montpellier 2
    – Sciences et Techniques du Languedoc .
  •  Ce document au format PDF  nous apprend certains fonctionnements concernant  une étude de l’effet d’ondes électromagnétiques sur le fonctionnement
    de circuits électroniques – Mise en place d’une méthode de test
    des systèmes.
  • Je pense que ce travail est une assez bonne approche pour nous instruire un peu et ensuite nous permettre de nous concentrer sur un travail plus avancé.
  • Article Matisse sylvain pour ©2017
  • Document PDF source: tel.archives-ouvertes.fr/
  • Cliquez sur l’image PDF pour lire le document 
  • Rejoignez nous sur notre groupe facebookoanisgeysergif

    Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :25/08/2017 à :19h30.

Un sous-marin pour explorer les lacs de méthane de Titan

Prototype du sous-marin destiné à plonger dans les mers de Saturne. Capture d'écran You Tube

Prototype du sous-marin destiné à plonger dans les mers de Saturne. Capture d’écran You Tube

Article source: sciencesetavenir.fr/

Les ingénieurs de la Nasa ont dévoilé un projet de véhicule sous-marin capable de plonger dans les mers de CASSI de Titan, une des lunes de Saturne.

CASSINI. Depuis 2004, la sonde Cassini est en orbite autour de Saturne, la planète aux anneaux. Grâce aux photos fournies par l’appareil, les astronomes ont pu confirmer la présence de lacs ou de mers d’hydrocarbures à proximité des pôles de Titan, la plus grosse lune de Saturne. Un milieu intriguant que les spécialistes rêvent de sonder plus en détails. Leurs désirs pourraient bien se concrétiser grâce à la Nasa qui projette d’y envoyer un sous-marin.

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 15/02/2015 à : 18h10.

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Mars : le robot Curiosity a trouvé un grand lac

Une analyse effectuée par le robot Mars Curiosity a permis de découvrir que le sol martien contenait de l'eau. (NASA / AFP)

Une analyse effectuée par le robot Mars Curiosity a permis de découvrir que le sol martien contenait de l’eau. (NASA / AFP)

Article source: francetvinfo.fr

La Nasa a découvert les traces d’un lac peut-être alimenté par des rivières sur Mars, prouvant une nouvelle fois que la planète rouge a été propice à l’existence d’une vie microbienne.

Suite

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 09/12/2014 à : 10h40.

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UN ASTRONAUTE SOUS-MARIN SUR LA LUNE

Apollo 11 Sous la Mer crédit :ESA

Apollo 11 Sous la Mer Crédit :ESA

 

Article source: esa.int/

ESA

UN ASTRONAUTE SOUS-MARIN SUR LA LUNE

11 septembre 2013

L’astronaute de l’ESA Jean-François Clervoy et l’instructeur d’astronautes Hervé Stevenin ont endossé les rôles de Neil Armstrong et de Buzz Aldrin la semaine dernière pour une simulation sous-marine de l’historique mission lunaire.

Entraîner des astronautes sous l’eau est un moyen efficace de les habituer aux sensations procurées par le fait de travailler en apesanteur pendant de longues périodes de temps.

Récolte sous-marine d'échantillons Crédit: esa

Récolte sous-marine d’échantillons
Crédit: esa

La semaine dernière, le concept d’entrainement sous l’eau a été étendu jusqu’à la simulation de gravité lunaire par la Comex, les spécialistes français de la plongée en grande profondeur. La gravité lunaire peut être simulée en ajustant la flottabilité de l’astronaute – notre Lune n’a qu’un sixième de la gravité que nous ressentons sur Terre.

La mission Apollo 11 Sous la Mer a prouvé qu’il était possible de simuler sous l’eau les opérations typiques des sorties spatiales effectuées par les astronautes de la NASA sur la Lune il y a 44 ans.

Les premiers tests avant la mission ont été effectués dans l’une des piscines de la Comex à Marseille. Le véritable test a été réalisé le 4 septembre dans la Mer Méditerranée, au large de Marseille, et comprenait deux simulations lunaires.

Jean-François et Hervé portaient la combinaison Gandolfi d’entrainement aux sorties spatiales, conçue

Combinaison Gandolfi Crédit :ESA

Combinaison Gandolfi
Crédit :ESA

par la Comex et basée sur la combinaison spatiale russe Orlan.

Plusieurs échantillons de sol ont été récoltés par les aquanautes à l’aide d’outils similaires à ceux utilisés sur la Lune par l’équipage d’Apollo 11.

Jean-François est un astronaute expérimenté qui a volé sur trois missions en navette spatiale, dont une mission vers la station russe Mir, et une mission pour réparer le télescope spatial Hubble.

Hervé Stevenin, chargé de l’entrainement des astronautes aux sorties spatiales au Centre Européen des Astronautes (EAC – European Astronaut Center) est un instructeur expérimenté des astronautes de l’ESA, qui a été formé aussi bien à Houston par la NASA sur leur combinaison spatiale que sur la combinaison Orlan en Russie auprès du Centre Gagarine d’Entrainement des Cosmonautes.

« Le costume Gandolfi est encombrant, limite la liberté de mouvement, et demande un effort physique – exactement comme une véritable combinaison spatiale. J’ai vraiment eu l’impression de marcher et de travailler sur la Lune », explique Jean-François.

Échantillonnage Crédit: ESA

Échantillonnage
Crédit: ESA

Hervé ajoute “Cette combinaison pourrait être adaptée pour améliorer l’entrainement des astronautes au Centre Européen des Astronautes. Les terrains d’entrainement sous-marins de la Comex sont également un incroyable environnement permettant de simuler la Lune ou même Mars.  Je me sentais vraiment sur un autre monde, seule la couleur de l’eau me rappelait que j’étais sur Terre.”

Ce test sous-marin était le premier pas destiné à développer une expertise européenne dans les simulations de sorties spatiales en gravité partielle, nécessaires pour préparer une exploration de la surface de la Lune, d’astéroïdes ou de Mars par des astronautes.

Didier Schmitt, expert scientifique de la Commission Européenne, se trouvait en tant qu’observateur au centre de contrôle de la mission, situé sur le vaisseau scientifique Minibex de la Comex en surface de la Méditerranée.

La poursuite du développement de simulations de surfaces planétaires en Europe sera cofinancé par l’Union européenne dans le cadre d’un projet appelé Moonwalk.

Minibex Crédit:ESA

Minibex
Crédit:ESA

Source

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 11/09/2013 à : 22h35.

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Groenland : un canyon géant trouvé sous les glaces

Le canyon a été recouvert par les glaces il y a 4 millions d'années (photo du Groenland d'illustration) Crédit Reuters/via Atlantico.fr

Le canyon a été recouvert par les glaces il y a 4 millions d’années (photo du Groenland d’illustration) Crédit Reuters/via Atlantico.fr

Un canyon courant sur plusieurs centaines de kilomètres a été découvert sous la calotte glaciaire du Groenland.

Un canyon atteignant 800 mètres de profondeur et 10 kilomètres de largeur court sous la calotte glaciaire du Groenland, depuis la proximité du centre jusqu’à la côte Nord, soit sur plus de 750 kilomètres. C’est ce qu’ont découvert Jonathan Bamber, de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, et ses collègues.

Les chercheurs ont compilé plusieurs décennies de données radar obtenues par avion (à certaines fréquences, les ondes électromagnétiques pénètrent dans la glace et sont réfléchies par le sol). Ils ont ainsi pu reconstituer la topographie de cette partie de l’île.

Le canyon serait plus ancien que la calotte glaciaire et pourrait avoir joué un rôle majeur dans l’hydrographie du Groenland. La chaleur géothermique faisant en partie fondre la glace, de l’eau liquide se forme sur le sol de l’île. Le canyon participerait à l’évacuer, ce qui expliquerait l’absence de lacs subglaciaires comme il en existe en Antarctique. En outre, ce canyon pourrait avoir influé sur l’évolution de la calotte, dont la glace s’écoule vers la mer d’une façon qui dépend de la topographie et de l’hydrographie sous-jacentes.

Pour en savoir plus

J. L. Bamber et al., Paleofluvial mega-canyon beneath the Central Greenland ice sheet, Science, en ligne le 29 août 2013.

R. Bell, L’ eau, une menace pour les calottes polairesPour la Science n° 367, mai 2008

Vidéo source Youtube

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Sources : 

SOTT.NET

ATLANTICO.FR

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 07/09/2013 à : 12 H 00

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Antarctique : la NASA dévoile ce qui se cache sous l’immense calotte glaciaire

Publié par Emmanuel Perrin, le 13 juin 2013

 Une nouvelle modélisation mise au point par les chercheurs de la NASA met en évidence ce qui se cache sous les glaces de l’Antarctique.

C'est la première fois que la NASA réussit à faire une carte aussi précise de l'Antarctique. Crédit DR/NASA Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/sans-calotte-quand-nasa-devoile-quoi-ressemblerait-antarctique-sans-glace-755092.html#YYSvbVBW00Urocz4.99

C’est la première fois que la NASA réussit à faire une carte aussi précise de l’Antarctique. Crédit DR/NASA
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/sans-calotte-quand-nasa-devoile-quoi-ressemblerait-antarctique-sans-glace-755092.html#YYSvbVBW00Urocz4.99

Recouvert par la glace, l’Antarctique est un continent relativement mystérieux qui garde bon nombre de ses secrets enfouis sous une épaisse couche blanche. Et d’ailleurs à quoi ressemblerait cette contrée si elle n’était pas ainsi couverte ? La NASA dévoile la réponse en images grâce à une toute nouvelle modélisation conçue par ses chercheurs qu’elle vient de mettre en ligne. Pour mettre au point ces images, les équipes de l’agence spatiale américaine ont utilisé des données récoltées par l’opérateur national britannique en Antarctique : British Antarctic Survey, durant les vingt dernières années. Mais afin de développer la cartographie exacte de la calotte glaciaire, il a également fallu récolter près de 5 millions de mesures additionnelles, rendant compte de la topographie et de l’épaisseur des glaces. Ces données ont été recueillies à l’aide de satellites mais également d’analyses effectuées depuis la Terre. Par ailleurs, différentes techniques radars, électromagnétiques et acoustiques ont été utilisées afin de rendre compte des structures sommeillant sous l’épaisse couche de glace. Les résultats de cette analyse, parus dans la revue The Cryosphere, mettent en évidence de manière très détaillée et surprenant la topographie de l’Antarctique privé de sa glace. Une nouvelle vision pour affiner les modèles Ces nouvelles données sont particulièrement importantes pour les scientifiques car elles offrent une vision tout à fait unique du pôle sud et de sa calotte glaciaire. « Autrefois, nous avions une vue régionale de la topographie. Or, cette nouvelle carte – et sa résolution beaucoup plus élevée – nous permet de voir le sol en tant que tel, soit un panorama complexe composé de montagnes, de collines et de plaines onduleuses découpées de vallées et de gorges profondes », explique dans un communiqué Peter Fretwell, chercheur à la British Antarctic Survey. Le projet, baptisé BedMap2, a été lancé dans l’objectif d’estimer la taille totale de la glace présente en Antarctique. Ces résultats devraient ainsi permettre notamment d’affiner les futurs modèles destinés à prévoir la montée des océans sous l’effet du réchauffement climatique.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/antarctique/antarctique-la-nasa-devoile-ce-qui-se-cache-sous-l-immense-calotte-glaciaire_art29822.html

Copyright © Gentside Découvertes

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Mise à jour Investigations Océanographique et Oanis le 15-6-2013 à 15 heures

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