






Vidéo qui résume ici nos activités liées au thème OANI et océanographie – réalisée par Emilie Athenour enquêtrice certifiée de Mufon France que nous remercions pour cette belle réalisation «
– Era & Sylvain
Vidéo qui résume ici nos activités liées au thème OANI et océanographie – réalisée par Emilie Athenour enquêtrice certifiée de Mufon France que nous remercions pour cette belle réalisation «
– Era & Sylvain
Publié 22 juin 2022 par Era dans Journal de Bord, reportages documentaires et vidéos
Tag(s) associé(s) : Investigation Océanographique et Oanis, O.A.N.I, oani, oanis, osni, osnis, U.S.O, uso, usos
Information envoyée par notre contact et ami Patrick Lambert
Il n’y a pas encore de dugong le long des côtes réunionnaises même si quelques dizaines de spécimens subsistent à Mayotte. Crédit image : https://www.zinfos974.com
Stéphanie et sa famille étaient aux premières loges. Crédit photo : https://www.zinfos974.com
Publié 10 avril 2019 par Era dans documents et articles divers, Témoignages
Tag(s) associé(s) : Cap Lahoussaye, oanis, osnis, soucoupe sous-marine
Au salon paraexperience 2 à Dijon 8 & 9 septembre 2018 . Jean-Louis Lagneau LDLN et Sylvain Matisse auteur des livres sur les OANIS et webmaster.
©2018
Par ailleurs nous en profitons pour vous annoncer la sortie de LDLN n°432 juillet 2018.
Le site web LDLN accessible en cliquant sur la bannière ci-dessous.
Vidéo LDLN via Youtube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Mise à jour investigation Océanographique et O.A.N.I.S le 17/09/2018 à 12H20.
Publié 17 septembre 2018 par Sylv1 dans Actualité /Agenda/ Evènement, Journal de Bord, time laps / vidéos
Tag(s) associé(s) : Entretien ( vidéo ) pour la revue LDLN sur le sujet des OANI ( Observations Aquatiques Non -Identifiées ), LDLN, osnis, salon du paranormal Dijon, salon para expérience 2 de Dijon, ufo, uso
Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
© ECA group
Références/IFREMER – Mer & et marine – ECA group – CORAL project
Crédit photp ECA group
Voici encore une preuve qu’ECA Group est l’un des leaders des drones sous-marins. La filiale du groupe Gorgé vient de décrocher un contrat de 2 millions d’euros pour fournir une solution innovante à l’Institut de recherche pour l’exploration de la mer (Ifremer). L’objectif est de créer un drone capable d’atteindre une profondeur de 6 000 mètres afin de cartographier les océans. Dénommé A6K, ce drone sera également utilisé par l’Ifremer pour « l’exploration minière en haute mer, les inspections de pipeline de pétrole ou de gaz, les missions de sauvetage et l’exploration des ressources minérales », détaille Claude Cazaoulou, le directeur commercial et développement des affaires du pôle robotique d’ECA Group, dans un communiqué.
Remarque
Pour mon « projet Aquasystème » un spécimen est réalisable mais il y a un problème de taille. Le coût astronomique pour ce genre d’acquisition.
©2017
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 8 décembre 2017 par Sylv1 dans Projets- ingénierie/prototypes/ engins marins et sous-marins/ drones/ habitats sous-marins futuriste
Tag(s) associé(s) : AUV, capable d’atteindre 6 000 mètres de profondeur., CORAL project, Dénommé A6K un nouveau véhicule sous-marin autonome (AUV) innovant, ECA group, ifremer, Investigation Océanographique et Oanis, Marine, mer, Mer et Marine., Monde, O.A.N.I, O.A.N.I.S, oani, oanis, océan, océanographie, océans, osni, osnis, ovni, ovnis, Sci-Tech, science, Société, U.S.O, uso, usos, véhicule sous-marin autonome
Références :
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 1 décembre 2017 par Sylv1 dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s)
Tag(s) associé(s) : Ara Cervantes, Argentine, Arturo, Arturo Frondizi, baie de San Blas, base d'Almirante ZAR à Trelew, Buenos Aires, Caleta Oliva, Carlos corosan, Chubut, des anomalies hydroacoustiques, Des objets sous-marins non identifiés, général Juan Carlos Onganía, Golfo Nuevo, Investigation Océanographique et Oanis, L'ARA San Juan, lac, le paradis des pêcheurs, le pétrolier «Puerto Rosales», Luces en Los Lagos, lumières dans les lacs, Mar Argentino, Marine, mer, Monde, O.A.N.I, O.A.N.I.S, O.V.N.I, oani, oanis, objet flottant, Objets sous-marins non identifiés et OVNIS en Argentine entre investigations et suspicions., océan, océanographie, océans, orvette «Grandville», osni, osnis, ovni, OVNI Marin, ovnis, Pedro Trachlsle, phare de Segunda Barranca, port Madryn, Préfecture navale uruguayenne, Puerto Coig, Puerto Deseado, Puerto Nuevo, Rio de la Plata, Rio Grande, Santa Cruz, sous-marin, SS coracero, Tierra del Fuego, U.F.O, U.S.O, ufo, UFO-Water, ufos, Unidentified flying object, US NAVY, uso, usos
Source Area 51 Blog
Une rencontre avion-OVNIS très bien documentée est celle du Lieutenant J. O’Farrell dans la nuit du 31 Août, 1954, alors qu’il pilotait un avion Sea Fury au-dessus de la Nouvelle-Galles du Sud méridionale en Australie. Deux objets ont été non seulement aperçus par le pilote, mais ont été également dépistés par le radar à l’aéroport de la Royal Australian Navy à Nowra. Les objets volaient à une vitesse incroyable, et il est plus qu’improbable qu’il y ait eu quelque engin terrestre que ce soit même expérimental et secret capable de ces performances en 1954.
«Les officiers ont fait cette déclaration aujourd’hui lors d’une inspection de la base aérienne par le ministre de la Marine, M. J. Francis. «Mis à part admettre l’observation de ces objets, les officiers de marine ont déclaré aux journalistes accompagnant M. Francis que les enquêtes sur l’incident étaient« secrètes ». La Base n’a pas encore établi la nature des objets observés il y a trois mois, «rapporte le Herald.
Le pilote qui a rapporté cette observation était aux commandes d’un Sea Fury la nuit dans la région de Goulburn. « Il dit que les objets étaient éclairés. Ils se déplaçaient plus vite que son avion [220 noeuds] » 407,44 Km/h » et l’on dépassé, volant près de son avion à environ 15.000 pieds( 4570 mètres ). Le pilote a signalé pendant son vol les objets à la base Nowra par radio.
« Les opérateurs de radar ont ensuite suivi le Sea Fury et ont localisé deux autres objets en vol. Les Renseignements ont établi plus tard qu’il n’y avait aucun avion volant dans la région à l’époque. Le pilote a depuis fait un rapport complet sur l’incident aux officiers supérieurs de la base Nowra. «
Cette affaire importante impliquant des OVNI et du personnel expérimenté de la RAAF été étudiée par Bill Chalker et le pilote du Sea Fury, le lieutenant JA O’Farrell a été interviewé par le célèbre enquêteur ufologue américain Dr Hyneck lors de sa visite en Australie en 1973.
REMARQUE: L’image ci-dessus est une illustration d’un avion militaire Sea Fury.
KEN PFEIFER WORLD UFO PHOTOS ……….. WWW.WEIRDAUSTRALIA.COM
Complément d’informations
L’incident concernait un jeune pilote naval, le lieutenant Shamus Farrell, âgé de 25 ans au moment des faits.
Lors d’une interview plus récente, il raconta:
« J’étais sur le point d’appuyer sur le bouton et de dire à Nowra que les deux engins partaient quand Nowra m’a appelé et dit, « les deux autres avions semblent partir à grande vitesse au Nord-Est. Est ce correct? » et je leur ai dit, « oui! » Et ils ont dit, « Roger, nous verrons si nous pouvons les dépister. » Ils les ont dépistés pendant un moment et les ont ensuite perdus. « Je suis rentré et j’ai atterri à 07:30 (19:30) et quand je suis arrivé il y avait là un certain nombre de gens qui m’attendaient. J’ai pensé que c’était un peu étrange et donc ils ont approché, et ils ont dit, « vous êtes sûr qu’il y avait eu des engins là dehors? » et j’ai dit oui. » Quand il a atterri, O’Farrell a été méticuleusement interrogé et contrôlé médicalement, et il a été clair qu’il n’avait pas bu. La direction du renseignement naval a alors écrit que O’Farrell était « un témoin totalement crédible » et qu’il « avait été visiblement secoué par son expérience, mais demeure ferme sur le fait qu’il a vu ces objets. »
Le ministère Australien de la Marine fut immediatement alerté, et la même année, le Ministre de l’air, William McMahon, a ordonné des recherches sur ce cas et d’autres cas semblables.
Le consultant en matière scientifique du Projet Blue Book de l’US Air Force, le Dr. J. Allen Hynek, a interviewé le pilote en 1973. Le cas a été méticuleusement détaillé par l’ufologue Australien Bill Chalker (« The Oz Files – l’histoire australienne »).
Un pilote naval qualifié et expérimenté+confirmation de l’opérateur radar au sol de la Nowra Naval Air-Station, et la possibilité de deux témoins indépendants au sol, qui ont confirmé avoir vu la présence de deux feux lumineux. À ce jour, aucune explication rationnelle pour expliquer cet incident qui est considéré comme l’un des meilleurs cas d’OVNI avec trace radar à ce jour. Bill Chalker a été l’un des premiers chercheurs civils (ufologue) à étudier le cas et à le porter à l’attention du public. Si bien qu’un livre a été publié en 1991 par Ken Llewelyn intitulé «incroyables histoires vraies des aviateurs sur le plan terrestre et au-delà» qui a été cité comme une source crédible de l’incident radar Nowra.
Ken Llewelyn était officier des relations publiques avec le commandant. Bill Chalker a mentionné cet incident dans son livre, »The oz Files » paru en 1996. Depuis lors, Bill Chalker a rédigé un certain nombre d’articles en ligne qui ont été copiés et collés par de nombreux sites Web ufologiques.
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 22 novembre 2017 par Sylv1 dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s)
Tag(s) associé(s) : a eu lieu le 31 août 1954, Australian UFO Research Association, Australie, Des rapports australiens de visualisation radar/visuel impliquant des objets volants non identifiés, Dossier- Des rapports australiens de visualisation radar/visuel impliquant des objets volants non identifiés, Dr. J. Allen Hynek, extraterrestres, incroyables histoires vraies des aviateurs sur le plan terrestre et au-delà, Investigation Océanographique et Oanis, Keith BELLONGHOT, Ken Llewelyn, Marine, mer, Monde, O.A.N.I, O.A.N.I.S, O.V.N.I, oani, oanis, océan, océans, osni, osnis, ovni, OVNI en Australie, ovnis, Projet Blue Book, Projet Blue Book de l'US Air Force, The oz Files, U.S.O, ufo, ufologue Australien Bill Chalker, ufos, Unidentified flying object, US NAVY, uso, usos
Article source : french.almanar.com.lb & Source: Sputnik
Un sous-marin fantôme russe a impressionné des marins Américains, qui ont pu constater sa capacité de menacer un grand porte-avions US.
Le Wall Street Journal (WSJ) relate l’effet produit par le sous-marin Krasnodar sur les marins du porte-avions américain USS George H.W. USS George H.W. Bush.
Le Krasnodar, qui n’était armé que de torpilles et de missiles de croisière, a néanmoins attiré l’attention du porte-avions américain, avec lequel il a joué à cache-cache.
Le sous-marin d’attaque a quitté la côte libyenne à la fin du mois de mai et s’est dirigé vers sa base de Sébastopol en mer Noire. Passant, silencieux comme une souris, par la Méditerranée, il a tiré des missiles de croisière sur des positions des terroristes en Syrie.
Dans les jours qui ont suivi, le sous-marin a été poursuivi sans grand succès par le porte-avions USS George H.W. Bush, ses cinq navires de guerre d’accompagnement, des hélicoptères Seahawk MH-60R et des avions de lutte anti-sous-marine Poseidon P-8 en provenance d’Italie.
Le WSJ a cité le capitaine Bill Ellis, qui a constaté la capacité du petit sous-marin Krasnodar de narguer le grand porte-avions américain et éviter sa détection.
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 26 octobre 2017 par Sylv1 dans documents et articles divers
Tag(s) associé(s) : Bill Ellis, Bush, capitaine, capitaine Bill Ellis, côte libyenne, H.W. Bush, hélicoptères Seahawk MH-60R, Investigation Océanographique et Oanis, Le Wall Street Journal (WSJ) relate l’effet produit par le sous-marin Krasnodar sur les marins du porte-avions américain USS George H.W. Bush., Le WSJ, Monde, O.A.N.I, O.V.N.I, oani, oanis, osni, osnis, porte-avions US, Poseidon P-8, russie, sous-marin fantôme russe, sous-marin Krasnodar, U.F.O, U.S.O, ufo, Unidentified flying object, US NAVY, uso, usos, USS George H.W. Bush, Wall Street Journal
L’ONERA met de l’intelligence artificielle sur les drones maritimes
Article source : meretmarine.com
Etudes hydrographiques et océanographiques, inspection d’infrastructures offshore, détection de pollution, recherches suite à des crashs, surveillance, guerre des mines… Les drones maritimes peuvent avoir de nombreuses applications civiles et militaires, notamment s’ils sont employés de manière groupée et coordonnée sur plusieurs dimensions. Des concepts de meutes de drones sont en cours de développement mais, pour l’heure, il s’agit essentiellement de formations prédéfinies articulées autour d’un engin « maître » sur lesquels les autres véhicules sont asservis. L’étape technologique suivante consistera à pouvoir déployer dans différents milieux (sous, sur et au-dessus de la mer) une flottille dont chaque membre, grâce aux progrès réalisés en matière d’intelligence artificielle, disposera d’un très haut degré d’autonomie décisionnelle, pourra interagir avec les autres et faire face, de manière indépendante ou coordonnée, à tout type de situation et aléas afin de mener à bien sa propre mission comme celle du groupe.
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 24 octobre 2017 par Sylv1 dans Projets- ingénierie/prototypes/ engins marins et sous-marins/ drones/ habitats sous-marins futuriste
Tag(s) associé(s) : (NOAA, (Robot System Onboard Architecture RSOA, Alister, Autonomous Underwater Vehicles, AUV, Bluefin 21, démonstrateur de la société ECA, DCNS, Defense, DGA, Direction Générale de l’Armement (DGA), drone, drones, drones plongeurs, ECA, Etudes hydrographiques et océanographiques, Groupe d'études sous-marines de l'Atlantique, ifremer, Investigation Océanographique et Oanis, L’ONERA, Le Daurade, Le Gesma, Marine, Marine nationale, mer, Monde, Naval group, O.A.N.I.S, oani, oanis, océan, océans, Offshore, ONERA, osni, osnis, ovnis, programme européen H2020, recherche d’épaves, RSOA, SATRAP, Science et Environnement, SWARMs, SWARMs Project, U.F.O, U.S.O, Unidentified flying object, US NAVY, uso, usos
Dimanche 22 octobre 2017
OANI/ OVNI enquete méthode réflexion
Crédit:
éditions Saint-Martin
Cette fois je vous propose une énigme qui peut ressembler à un accident ou un incident comme il y en a quelquefois avec des avions ou des bateaux. Cette histoire laisse une petite place à autre chose pour certains théoriciens.
Dans cette région du globe des embarcations tel des bateaux disparaissent sans raison apparente pour ne plus jamais réapparaître.
Voici l’affaire.
James W. DuVall déclare le 24 juillet 2015-
« L’USS Cyclops n’était pas en état de fonctionner, il perdait de l’énergie et, avec lui, le pouvoir d’actionner et de faire fonctionner les pompes qui le maintenaient à flot était impossible, dans une mer forte qui a inondé vraisemblablement les cales. Ainsi, le bateau était perdu corps et biens. Aucun petit homme vert, juste une tempête« .
Vidéo de complément via YouTube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
©2017
Cet article peut -être partagé si la source et la référence sont indiquées.
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 22 octobre 2017 par Sylv1 dans Mystères Marins et Légendes
Tag(s) associé(s) : accident, acier, Allemagne, Amérique latine, Atlantic Ocean, Barbade, Brésil, communauté allemande, consulat général américain de Rio, Cuba, cyclope, Des objets sous-marins non identifiés, Disparition inexpliquée d'un navire américain pendant la première guerre mondiale., dossier, Gottschalk, guerre, incident, Investigation Océanographique et Oanis, James W. DuVall, L’USS Cyclope une disparition étrange, Marine, marins, mer des Caraïbes, Nervig, Norfolk, O.A.N.I, oani, oanis, osni, osnis, Porto Rico, Rio, Triangle des Bermudes, triangle du diable, U.S.O, uso, usos, USS Cyclops, Worley
Article source : fightersweep.com traduction Era pour
mis en ligne le 14 mars 2015 par la source citée ci-dessus.
événement du 14 novembre 2004
Lieu : Californie du Sud
Témoins : la marine américaine.
Visuel : cigare.
Paco Chierici l’auteur est un pilote expérimenté plus de 20 ans de vol à son actif,il était pilote de chasse avant de devenir pilote de ligne, Paco a écrit des articles pour divers magazines internationaux et nationaux ainsi que des contributions régulières à Fighter Sweep.
crédit photo et texte fightersweep.com
Un bon copain et ancien compagnon d’escadron, Dave « Sex » Fravor, relate l’une des histoires les plus étonnantes de tous les temps concernant l’aviation. C’est une histoire difficile à croire, alors je vais commencer par prouver la bonne foi de Dave.
Pour ce que ça vaut, je le connais personnellement – très bien. Nous avons piloté des A-6 ensemble pour un voyage dans la périodes sombre avant qu’il ne soit entré dans le monde de Hornet. C’est un mec drôle. Intelligent, avec une surestimation de ses compétences par rapport à un pilote de chasse typique. (Il avait lu l’article de la SHB et m’assurait que sa façon de faire était bien meilleure que tout ce que Nasty pouvait faire, je l’appelais B.S.). En l’air, Dave était tout ce qu’il y a de plus professionnel.
Il est facile d’avoir une idée de qui et de ce qu’il est parce que son escadron a été présenté sur la minisérie en 10 parties Carrier qui a été diffusée sur PBS. Vous obtenez une impression excellente et précise de lui en tant que commandant de VFA-41.
Le matin du 14 novembre 2004, Dave et son officier du système d’armement (WSO -Weapon Systems Officer) se lançaient dans le ciel bleu clair au sud de la Californie , à une centaine de kilomètres au sud-ouest de San Diego. Leur code d’appel était FASTEAGLE 01. Son équipier et son WSO se sont lancés juste après eux dans le FASTEAGLE 02. Ils ont grimpé au-dessus du navire et se sont rencontrés de façon normale avant de partir vers leur zone de travail assignée dans l’océan au sud de l’USS Nimitz. Jour normal, opérations normales pour le pré-déploiement du cycle de travail au milieu duquel ils se trouvaient.
Le groupe d’attaque du porte-avions Nimitz était déjà en poste depuis quelques semaines et travaillait à intégrer les opérations du transporteur avec ses différents navires de soutien, y compris le croiseur de missiles guidés de classe Ticonderoga, USS Princeton. En ce qui concerne Dave, c’était un jour banal dans un cycle de travail normal. Une autre étape dans le long voyage pour la préparation des navires du groupe d’attaque et les avions de l’Escadre aérienne pour travailler harmonieusement lors de leur prochain déploiement de combat.
Ce que Dave ne savait pas, c’était qu’au cours des derniers jours, Princeton avait ramassé des retours bizarres sur leur radar SPY-1 digne de l’Etoile de la mort. À plusieurs occasions, à compter du 10 novembre, l’officier de contrôle des incendies et le chef expérimenté de la lutte contre les incendies ont détecté de nombreux retours qui se situaient bien au-dessus du volume de balayage du radar, quelque part à plus de 80 000 pieds(24384m) . Les cibles, surnommées Véhicules Aériens Anormaux (VAA) tombaient d’en haut des 80 000 pieds ( 24384m) pour planer à environ 50 pieds (15 mètres) de l’eau en quelques secondes.
Toujours au même endroit, à une Latitude / Longitude d’environ 30NM au large de la côte de Baja, à environ 70nm au sud-ouest de Tijuana. À l’époque, le SPY-1 était le radar tactique le plus sophistiqué et le plus puissant de la planète. Avec lui, ils ont pu suivre ces VAAs pendant qu’ils descendaient, tournaient et glissaient à des vitesses, des taux de rotation et des accélérations plus rapides que n’importe quel avion ami ou ennemi connu. Incroyablement rapides.
Une fois les avions de l’escadre aérienne arrivés à bord du Nimitz, l’équipe de contrôle des incendies de Princeton a vu l’opportunité d’utiliser ces atouts et ces yeux pour aider à résoudre le mystère des VAAs.
Au même moment, le vol FASTEAGLE terminait son entraînement prévu, le cmdt de l’escadron VMFA-232 de Marine Hornet, le lieutenant-colonel «Cheeks» Kurth, effectuait un vol de vérification post-maintenance pas très loin. Il était le premier moteur rapide contacté par Princeton. La communication était étrange et intrigante. On lui a demandé d’enquêter sur un contact aérien non identifié. Ce n’était pas une demande terriblement inhabituelle alors qu’un groupe d’attaque était en transit ou déployé loin des eaux territoriales, mais c’était plus qu’un peu étrange pratiquement en vue du port d’attache de San Diego. Pour ajouter aux communications inhabituelles, on lui demandait quelle munition il avait à bord.
“Aucune.”
Alors que Princeton communiquait avec Cheeks, ils tentaient également de transmettre leur contact avec les VAAs à l’E-2C Hawkeye de l’escadrille, également en vol à l’époque. L’équipage du VAW-117 avait fourni un contrôle d’interception pour le vol FASTEAGLE pendant leur entraînement. Princeton souhaitait maintenant que l’E-2 guide les Super Hornets vers un point d’interception avec le contact des VAAs, planant actuellement au dessus de leur position préférée, mais maintenant à environ 20 000 pieds au-dessus de l’océan.
Les retours des Véhicules Aériens Anormaux (VAA) n’avaient pas été assez forts pour apparaître sur le large balayage de l’E-2, mais une fois qu’ils ont concentré leur radar sur les coordonnées transmises par Princeton , ils ont capté un faible contact. Les retours radar du contact ne suffisaient pas pour générer une trace de la cible. Princeton a donc coupé l’E-2 du contrôle et a contacté directement FASTEAGLE. Bien qu’il n’ait pas pu verrouiller la cible aérienne, le contrôleur E-2 est resté sur la fréquence et a écouté toute l’évolution qui a suivi.
Alors que Cheeks s’approchait de l’endroit où il était dirigé, Princeton lui conseilla de rester au-dessus de 10 ooo pieds ( 3048 m) alors que la section des Super Hornets s’approchait de la cible. Son radar a pris les deux avions FASTEAGLE, mais pas d’autres contacts. Un moment plus tard, Princeton lui ordonna de le «sauter» et de retourner au navire. Comme il était si proche, il a décidé de survoler l’action et de jeter un coup d’œil.
La mer était calme, presque vitreuse et on était en fin de matinée par une belle journée au sud de la Californie. Des conditions parfaites. Alors que Cheeks survolait l’endroit, il a vu une perturbation à la surface de l’océan sur une zone circulaire d’eau turbulente d’environ 50 à 100 mètres de diamètre. C’était le seul secteur de ce qu’il appelait «eau vive», il semblait qu’il y avait quelque chose sous la surface comme un banc de poissons, cela ressemblait au bouillonnement laissé par un navire qui coule rapidement, d’après ce qu’il avait entendu dire..
Il a survolé la perturbation et a fait demi-tour en direction du Nimitz sans jamais voir ce qui a fait mousser l’eau. Comme il se détournait, ce qui arrivait au moment où les Super Hornets convergeaient vers l’endroit, l’écume s’est dégagée et la surface de l’océan est revenue à son état lisse. L’endroit de la perturbation précédente était complètement indiscernable.
À quelques milliers de mètres au-dessous de lui, Dave avait vécu l’expérience surréaliste similaire de se voir demander par Princeton si les jets FASTEAGLE transportaient des munitions. L’officier de système d’armement (Weapon Systems Officer) dérouté par Dave a rapporté que tout ce qu’ils avaient, était deux missiles d’entraînement captifs. On leur a donné des vecteurs de portée et un ensemble de coordonnées, et on leur a dit d’enquêter sur un contact aérien inconnu au dessus de cette position.
Sans plus d’informations sur le contact, ils sont descendus dans les 20 premières minutes et ont balayé avec un radar, ne récoltant rien. Aucun avion de ce vol ne portait de girouette FLIR, ce qui limitait le type de capteurs avec lesquels il pouvait effectuer des recherches; mais les deux avions étaient neufs, selon les termes de Dave: «Ils avaient toujours cette odeur de voiture neuve». Les radars APG-73 étaient à la fois neufs et avaient parfaitement fonctionné durant l’entraînement de l’heure précédente. Pourtant, les écrans des deux avions étaient propres jusqu’au point que Princeton appelait « Merge plot! »
Les quatre membres d’équipage étaient des yeux à partir de ce point. La première indication inhabituelle que Dave constata était la zone agitée de l’eau sur la surface. Cheeks regardait par-dessus son épaule alors qu’il s’envolait. Il se souvient avoir pensé qu’il s’agissait de la taille d’un 737 . Peut-être que le contact sur lequel ils étaient dirigés , était un avion de ligne qui venait de s’écraser. Il a manœuvré son F-18 plus bas pour mieux voir. Comme il descendait à travers environ 20 000 pieds il a été surpris par la vue d’un objet blanc qui se déplaçait juste au-dessus de l’eau moussante. Il était tout blanc, sans relief, oblong et effectuait des mouvements latéraux mineurs tout en restant à une altitude constante au-dessus du disque d’eau turbulente.
Dave a mis FASTEAGLE 02 en haute couverture, évoluant par environ 4572 m . Lui et son officier du système d’armement (WSO) ont eu un point de vue parfait pour assister aux événements. Dave a poursuivi sa plongée plus bas vers l’objet, essayant maintenant d’asservir le radar par l’intermédiaire de son NCSM pour atteindre une distance de courte portée. Pas de chance. Son intention était de faire passer l’objet à près de 350 nœuds, mais à mesure qu’il se rapprochait, il remarqua que le Véhicules Aérien Anormal (VAA) avait orienté l’une de ses extrémités minces vers lui, comme si, selon ses mots, «Il venait de nous remarquer»,il était maintenant en train de nous pointer.
Le VAA a alors commencé à prendre de l’altitude. L’objet, qu’il décrira plus tard comme un tic tac, s’est élevé en décrivant deux cercles à droite à environ un mile du cercle croisé du Hornet de Dave. Les instincts du pilote de chasse prirent le dessus et Dave plongea en piqué pour couper le bas du cercle (la trajectoire). Alors qu’il regardait le VAA et redressait le nez de l’appareil, il a tenté à nouveau d’asservir son radar via le NCSM. Encore une fois, l’APG-73 n’a pas pu verrouiller l’objet volant blanc de la taille d’un chasseur à quelques milliers de pieds de là.
Tout au long de ces manœuvres, l’officier du système d’armement (OSM) de Dave transmettait les événements en temps réel de l’interception à Princeton. Les opérateurs radar de l’E-2 ont écouté sur le réseau sécurisé ce qui ressemblait à l’une des centaines d’interceptions qu’ils avaient entendues au fil des ans. À l’exception notable que les voix des équipages étaient plus stressées et que le verbiage pour identifier la cible était différent de ce qu’ils avaient entendu auparavant.
Dans ses commentaires de débriefing, Dave, son OSM et les deux autres équipages ont déclaré que l’objet avait initialement plané comme un Harrier. Ils l’ont décrit comme étant uniformément blanc, mesurant environ 14.28 mètres de longueur (grosso modo la taille d’un chasseur), ayant un axe horizontal discernable (comme un fuselage) mais n’ayant pas de fenêtres visibles, de nacelles, d’ailes ou de systèmes de propulsion.
Alors que Dave essayait de verrouiller la cible sur son radar, l’objet a pris un virage serré, en passant derrière la queue de l’appareil de Dave et celui-ci parti en trombe à une vitesse élevée de plusieurs Machs. Dave a immédiatement interrogé Princeton pour un instantané, mais le radar SPY-1 avait également perdu le contact. Les premiers appels de Princeton étaient «image propre». Quelques instants plus tard, Princeton est revenu avec «Vous n’allez pas croire cela, c’est votre Patrouille Aérienne de Combat (CAP – Combat Air Patrol).» Princeton avait capté le VAA planant à 24 000 pieds ( 7315,2 m) à la Latitude / Longitude assignée que Dave avait utilisé plus tôt pendant l’entraînement comme son point orbital.
Bien que presque à court de carburant, le vol FASTEAGLE a basculé à travers la position de la patrouille aérienne de combat pour essayer de capter l’AAV. Ils n’ont rien vu de plus sur leur chemin de retour vers le Nimitz. Même le cercle de 100 mètres d’eau turbulente dans l’océan avait disparu. Cet endroit était maintenant indiscernable du reste de la surface de la mer. Interrogé plus tard, Dave a rapporté qu’il n’avait rien vu sur ou sous la surface de l’océan qui aurait pu causer le cercle d’eau turbulent. Il était déjà là quand ils avaient d’abord eu l’engin en visuel, puis avait disparu lorsqu’ils l’ont encerclé quelques minutes plus tard.
De retour sur le Nimitz après la récupération, les quatre membres d’équipage se sont dirigés vers le hangar pour retirer leur équipement. Les quatre équipages des VFA-41 suivants s’habillaient pour leur mission d’entraînement dans la même zone, en utilisant les mêmes Lat / Long assignées que la position de la patrouille aérienne de combat. Dave et ses membres d’équipage ont transmis ce qu’ils avaient vu aux nouveaux gars et leur ont rappelé d’obtenir des enregistrements s’ils le pouvaient.
Lorsque la nouvelle équipe se lança, se rencontrant pour un contrôle avec le E-2, c’était déjà l’après-midi 15 heures. Les avions se séparèrent, l’un se dirigeant vers la même position que l’escadrille de combat au sud. Ils volaient à 20 000 pieds (6096m) et à 300 kts (555.5km/h) , vitesse maximale. De nouveau, le jet, le radar et aussi, cette fois-ci le FLIR (imagerie infrarouge frontale) fonctionnaient parfaitement.
Le WSO a d’abord capté un contact sur le radar à une distance d’environ 30 nœuds marins alors qu’il fonctionnait en mode balayage RWS. Il a vérifié les coordonnées et l’intrus oscillait en effet sur la position précise de la patrouille de combat. Il a tenté plusieurs fois de le verrouiller en mode STT , sans succès. Plus tard, lors du débriefing, il a expliqué qu’il avait plusieurs indices révélateurs d’EA (Avion d’attaque modifié pour la guerre électronique comme le Grumman EA-6 (États-Unis))
L’image de la cible sur l’enregistrement tournait à 360 degrés avec d’autres indications de brouillage distinctes. Dans le mode de balayage moins précis, le retour indiquait que l’objet était, aux dires du WSO, « à quelques milliers de pieds au-dessous de nous. Environ 15-20 000 pieds- mais en vol stationnaire. « Le seul mouvement a été généré lorsque le chasseur a foncé sur la position de la patrouille aérienne de combat..
Le WSO a utilisé le pod FLIR (imagerie infrarouge frontale) à bord, le soumettant au faible enregistrement que le mode RWS avait pu générer. Il a enregistré la séquence suivante sur l’enregistreur de bord. En utilisant le mode infrarouge, il a pu se verrouiller sur le VAA. Il est apparu sur son écran et sur la bande comme un objet blanc dans un fond noir planant sans moyens connus. La caméra infrarouge n’a pas détecté de gaz chauds sortant de sous le VAA, comme cela aurait été le cas avec un Harrier ou un hélicoptère. Il était simplement suspendu dans les airs. Il est passé en mode TV et a pu verrouiller à nouveau le FLIR sur l’objet tout en essayant, sans succès, d’obtenir une piste STT sur le radar. Tandis qu’il le regardait, le VAA est sorti de son écran vers la gauche si soudainement qu’il sembla presque disparaître. Sur la bande, lorsqu’il est au ralenti, l’objet accélère hors du champ de vision avec une vitesse choquante. L’officier du système d’armement n’a pas été en mesure de réacquérir le VAA ni dans le mode RWS ni avec le FLIR.
Cependant, le mois dernier, lorsque j’ai appelé Dave pour me rafraîchir la mémoire avant de m’asseoir pour écrire cette rencontre bizarre, il m’a informé que la vidéo avait été retirée de YouTube. Il m’a dit qu’une agence gouvernementale avec un identificateur à trois lettres avait récemment mené une enquête sur les VAAs et avait interviewé de façon exhaustive toutes les parties impliquées.
Les sept membres d’équipage de vol, dont les six membres d’ équipage du VFA-41 et Cheeks de VMFA-232. L’officier de contrôle des incendies et le chef principal de Princeton, ainsi que l’opérateur radar de l’E-2. Ils ont même questionné l’équipage de l’USS Louisville, un sous-marin d’attaque rapide de classe Los Angeles, qui faisait partie du groupe d’attaque du porte avions Nimitz , qui a signalé qu’il n’y avait pas de contacts sonar non identifiés ou de bruits sous-marins étranges ce jour-là.
Je ne sais pas quoi faire de ces événements. J’ai aimé l’histoire à la première écoute parce que c’est tellement fou. Je n’avais jamais beaucoup réfléchi aux extraterrestres ou aux ovnis. C’était gaspiller mes méninges de réfléchir à ce genre de question. S’ils voulaient prendre contact, ils le feraient. S’ils voulaient observer de loin, alors ils seraient impossibles à discerner compte tenu de la haute technologie supposée nécessaire pour visiter.
Mais maintenant, j’ai été confronté à des témoins crédibles. Pas des cinglés portant des chapeaux d’aluminium mais des gens que je connaissais et des gens de mon monde. Il y avait plusieurs plates-formes corroborantes qui ont détecté les VAA à l’aide de capteurs variés. Et, bien sûr, les huit yeux qui ont eu un visuel sur le tic-tac blanc alors que Dave manœuvrait pour fusionner avec lui. Il n’a pas à être un étranger pour vous non plus. Regardez-le sur la série PBS, Carrier, et faites vous votre propre opinion sur son professionnalisme et sa santé mentale.
Alors envoyez-moi votre meilleur design pour un chapeau en aluminium …
Le site web Sputnik a publié ceci ( Un OVNI «se dirigeait vers le groupe de combat»: la Marine US brise le silence) le 24 octobre 2017
une vidéo Youtube en complément.
Dernière mise à jour dimanche 29 octobre 2017 à 11h10.
Nous vous rappelons qu’ici nous suivons nos informations et les partageons que ceci soit en faveur de l’article phare que nous avons relayé mis ou non. ( Nous acceptons de nous tromper mais surtout nous avons l’honnêteté de mettre une source qui dément lorsque c’est le cas)
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
Rejoignez nous sur notre groupe facebook
Publié 16 octobre 2017 par Sylv1 dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s)
Tag(s) associé(s) : 'E-2C Hawkeye, (NOAA, Atlantic Ocean, base de San Diego, Californie, côte de Baja, croiseur de missiles guidés, croiseur de missiles guidés de classe Ticonderoga, Dave, F-18, Fighter Sweep, FLIR, girouette FLIR, IFR, imagerie infrarouge, imagerie infrarouge frontale, infrarouge, Investigation Océanographique et Oanis, jets, jets FASTEAGLE, L'US Navy a filmé un OVNI défiant les lois de la physique" déclare un initié de la Zone 51, L'US NAVY et le porte avions Nimitz aux prises avec un OVNI en mer., l'USS Louisville, Les radars APG-73, Mach, Machs, manœuvres, O.A.N.I, O.A.N.I.S, oani, oanis, océan, océans, osni, osnis, ovnis, Paco Chierici, porte-avions, porte-avions Nimitz, Radar, radars, San Diego, SONAR, sonars, SPY-1, Tijuana, U.F.O, U.S.O, ufo, ufos, Unidentified flying object, United States, uso, usos, USS Nimitz, USS Princeton, VAW-117, youtube
Era dans « Investiguer les O… | |
Sylv1 dans Montceau News média ouvert pou… | |
Sylv1 dans Ce que pense un ufologue… | |
Thierry Poget dans OVNI le CIPO présent aux USA p… | |
Sylv1 dans OVNI le CIPO présent aux USA p… | |
Lisette Guay dans Mouvements étranges dans l… | |
Capucine dans événements bizarres en juillet… | |
Era dans Soirée Ovnis Paris – Le… | |
Dominique Bastos dans OVNI : L’US NAVY révèle… | |
Larquet dans OANI/OVNI : les militaires son… |