INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
Nous sommes toujours attentifs à l’actualité plus ou moins dissimulée et aux différentes informations qui nous parviennent et tout ce qui peut amener à de la réflexion.
Notre ami du MUFON des caraïbes Hugues Noel nous transmet cet article qui curieusement va dans notre secteur de recherche ce qui démontre que plusieurs personnes pensent plus ou moins comme nous.
Nous remercions Hugues pour ce partage.
CERTAINS UFOLOGUES PENSENT QUE DES EXTRATERRESTRES SE CACHENT DANS LES OCÉANS
Crédit article et illustration : fredzone.org
Article de YOUSSOUF
Une mystérieuse anomalie sonore découverte au large de la Caroline du Nord a déclenché un débat sur les OVNIS parmi les théoriciens du complot. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a lancé une expédition pour résoudre le mystère entourant cette étrange anomalie sonore.
Mercredi dernier, le submersible Okeanos Explorer de la NOAA a été envoyé en plongée pour déterminer si l’anomalie était le résultat d’un naufrage ou d’une formation rocheuse.
Structure géologique ou ancienne épave ?
Tout en effectuant la recherche, la NOAA a diffusé en direct l’exploration sur son site Web et sur les plateformes de médias sociaux. L’organisation a révélé que son véhicule d’exploration avait atteint des profondeurs de 250 à 4000 mètres.
L’endroit où les chercheurs ont repéré l’anomalie est maintenant protégé par la NOAA. Cependant, mercredi soir, l’organisation a clairement indiqué que l’anomalie détectée, connue sous le nom de « Big Dipper Anomaly », semblait être d’origine géologique.
Les théoriciens du complot mettent en avant la théorie des extraterrestres
Les théoriciens du complot de leur côté affirment haut et fort que des extraterrestres très avancés pourraient vivre dans les profondeurs de l’océan. Selon les amateurs d’ovnis et d’aliens, des êtres extraterrestres ont construit des abris dans les profondeurs des océans, et ils possèdent cette technologie avancée qui leur permet de résister aux conditions océaniques difficiles.
Certains théoriciens du complot affirment que la vidéo d’un objet non identifié qui est traîné par un US Navy Jet au-dessus de l’océan est une indication que des extraterrestres vivent dans les océans. Cette vidéo publiée par le Pentagone suite à la révélation du « Advanced Aviation Threat Identification Programme » (AATIP)montre un objet volant bizarre qui vogue à travers le ciel défiant toutes les lois de la physique. Après avoir analysé le mouvement de l’objet repéré, les experts et les chercheurs d’OVNIS ont affirmé qu’aucun avion n’est capable d’effectuer de telles manœuvres erratiques dans l’air.
La théorie des épaves de navires:
La côte de la Caroline du Nord est souvent surnommée le « Cimetière de l’Atlantique ». Pendant les périodes de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux navires ont coulé dans cette zone. Certains experts estiment ainsi que les restes de ces navires pourraient être la raison de ces anomalies.
Illustration OVNI dans le Maryland. Crédit dessin : atest-ufo-sightings.net/
Article source: latest-ufo-sightings.net
Merci à Gilles Thomas ( ODHTV) pour cet envoi.
Traduction Era pour
Après plus de 50 ans, l’événement est encore un mystère pour beaucoup, car ils pensent que le gouvernement couvre la première visite des aliens. Maintenant, l’ufologue, Tyler Glockner, prétend avoir découvert un événement dérangeant similaire, qui a eu lieu juste un mois avant l’incident de Roswell. Glockner a réalisé une vidéo affirmant que le crash avait le même mystère et la même étrangeté que l’affaire de Roswell. La vidéo rappelle l’histoire de l’incident de Maury Island où Fred Crisman et Harold Dahl ont affirmé avoir vu des débris noirs tombant des cieux sur l’île de Maury à Puget Sound à Washington. Il a été signalé que l’événement impliquait un ou plusieurs OVNIS qui s’étaient soit écrasés et désintégrés ou avaient laissé tomber quelque chose. Le bateau de Crisman aurait été endommagé par les fragments,tuant même un chien et selon certaines versions, ils ont également blessé quelqu’un. Les récits du prétendu incident extraterrestre restent controversés jusqu’à aujourd’hui. Certains disent que Crisman et Dahl racontent la vérité, mais d’autres croient que l’histoire est un canular.
crédit image: Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
Un article de Ken Pfeifer – TraductionEra pour Investigation Océanographique et Oanis
Un mécanicien de bord, sergent retraité de la marine américaine qui m’a demandé de l’appeler seulement « Brian. » Il a vécu des expériences de la plus haute étrangeté alors qu’il participait à des opérations de fret et de sauvetage en Antarctique durant la période de 1983 à 1997, incluant plusieurs observations de disques volants argentés étincelants au dessus des montagnes Transantarctiques. Lui et son équipage ont vu aussi un grand trou dans la glace à environ cinq à dix miles seulement du pôle Sud géographique (cercle rose sur la carte) qui était censé être une zone d’exclusion aérienne. Mais lors d’une situation d’évacuation sanitaire d’urgence, ils sont entrés dans la zone d’exclusion aérienne et ont vu ce qu’ils n’ étaient pas censés voir: l’entrée présumée d’une base de recherche scientifique humaine et extraterrestre créée sous la glace. Puis, dans un camp près de la Terre Marie Byrd, une douzaine de scientifiques disparurent pendant deux semaines et quand ils reparurent, l’équipage de vol de Brian reçut l’assignation d’aller les récupérer. Brian dit qu’ils ne voulaient pas parler et que «leurs visages étaient effrayés. » Brian et son équipage reçurent à plusieurs reprises l’ordre de ne pas parler et on leur dit sévèrement qu’ils n’avaient pas vu ce qu’ils avaient vu. Mais on ne lui a jamais demandé de signer une déclaration de non-divulgation officielle. Alors maintenant qu’il est à la retraite, il a décidé de partager ce qu’il a vu et vécu parce qu’il sait que des êtres qui ne sont pas humains travaillent sur cette planète.
Date : 2 janvier 2015
Déclaration du témoin
J’étais mécanicien à bord d’un Lockheed LC-130 de la marine américaine. J’ai pris ma retraite après 20 années de service en 1997. Pendant longtemps j’ai eu envie de vous écrire à propos de mon expérience sur le continent antarctique avec des véhicules volants dont on m’a dit de ne pas parler. J’ai servi une partie de mes 20 années dans la marine dans un escadron appelé Escadron de Développement Antarctique Six aussi connu comme VXE-6. J’ai servi dans cet escadron de 1983 jusqu’à ce que je prenne ma retraire en mars 1997. Etant mécanicien de bord avec plus de 4000 heures de vol à ce titre, j’ai vu des choses que la plupart des des gens n’ont même pas imaginé sur le continent de l’Antarctique. La terre là-bas semble plus extraterrestre que terrienne. Nos déploiements sur cette terre ont commencé à la fin Septembre et se sont terminés à la fin de Février de chaque année jusqu’à ce que l’escadron soit dissout en 1999. Cette période de l’année est propice aux expériences scientifiques en raison des températures plus clémentes et des journées de 24 heures de lumière du jour. Pendant mon séjour dans l’escadron je me suis envolé vers presque toutes les parties du continent de l’antarctique, y compris le pôle Sud plus de 300 fois. La station Mc Murdo, qui est à 3,5 heures de vol de la station du pôle Sud a été le point névralgique de l’escadron lors de nos déploiements annuels. Entre ces deux stations se trouve une chaîne de montagnes appelée TransAntarctique et avec ce que nous appelions Temps clair sévère, de McMurdo au Pôle Sud, les Transantarctiques sont visibles depuis les altitudes où l’avion a volé entre 25 000 à 35 000 pieds (entre 7620 mètres et 10.668 mètres) . Lors de plusieurs vols vers et à partir du Pôle Sud, notre équipage a observé des véhicules aériens virevoltant autour de la cime des TransAntarctiques presque exactement au même endroit à chaque fois où nous volions et les visualisions. Ceci est très inhabituel pour le trafic aérien là-bas parce que les seuls avions qui survolaient le continent étaient ceux de notre escadron. Chaque aéronef savait où se trouvaient les autres à cause du suivi des horaires de vol. Une autre question unique avec la station du pôle Sud est que notre avion n’était pas autorisé à survoler une zone désignée à 5 miles de la station. On nous a déclaré que c’était en raison d’un camp d’échantillonnage de l’air dans cette région. Cela n’avait aucun sens pour aucun de nous dans l’équipage parce qu’en deux occasions nous avions du survoler cette zone. Une fois en raison d’une évacuation médicale du camp australien appelé Camp Davis. Il était sur le côté opposé du continent et nous avons dû faire le plein à Pôle Sud et le trajet direct vers Camp Davis passait juste au-dessus de la station d’échantillonnage de l’air. La seule chose que nous avons vu en survolant ce camp était un très grand trou qui entrait dans la glace. Vous auriez pu faire voler un de nos LC130 dans cette chose.
crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
C’est après cette mission d’évacuation sanitaire que nous avons été brieffés par quelques « fantômes » (agents de renseignements je suppose) de Washington DC et on nous dit de ne pas parler de cette zone que nous avions survolée. L’autre fois où nous avons approché « Le Camp d’échantillonnage de l’air » nous avions eu des pannes de navigation et des pannes électriques à bord de l’avion et on nous a dit de quitter immédiatement la zone et de faire un rapport à notre chef d’escadron dès notre retour à McMurdo. Pas la peine de vous dire que notre pilote (commandant de bord) s’est fait botter les fesses et que notre équipage est resté hors des approvisionnement du Pole Sud pour plus d’un mois. Il y a eu plein d’autres fois où nous avons vu des choses qui sortaient de l’ordinaire. Un camp à la périphérie (près de la terre Marie Byrd) où nous avions laissé des scientifiques et leur équipement n’a plus communiqué avec Mc Murdon pendant deux semaines. Notre équipage est retourné au camp pour voir si les scientifiques allaient bien. Nous n’avons pas trouvé âme qui vive. La radio fonctionnait bien puisque nous avons appelé McMurdo pour vérifier qu’elle fonctionnait correctement. Nous avons quitté le camp et avons regagné McMurdo suivant les ordres de notre commandant. Une semaine plus tard les scientifiques se sont montrés de retour à leur camp et on appelé McMurdo pour que quelqu’un vienne les récupérer. Notre équipage vola de nouveau là bas pour les récupérer puisque nous les y avions déposés et que nous connaissions le terrain et l’endroit. Aucun des scientifiques n’a voulu parler aux membres de l’équipage et pour moi ils semblaient effrayés. Dès notre retour à McMurdo, on les a mis (les scientifiques) dans un autre avion de notre escadron et ils ont été conduits à Christchurch en Nouvelle Zélande. On n’a plus jamais entendu parler d’eux. Leur équipement qu’on avait rapatrié du camp fus mis en quarantaine et renvoyé par bateau aux Etats Unis escortés par les mêmes agents de renseignements qui nous avaient débriefés à propos du survol du camp d’échantillonnage de l’air/grand trou dans la glace. Je pourrais continuer indéfiniment de parler des choses et situations que j’ai observées lors de ma tournée avec VXE-6. En bavardant avec les équipages, il ressort qu’il y a une base OVNI au Pôle Sud et certains membres d’équipage ont entendu des scientifiques qui travaillent au Pôle parler d’EBEs (Entité Biologique Extraterrestre) qui travaillent en interaction avec les scientifiques dans ce camp d’échantillonnage de l’air ou grand trou dans la glace.
crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News
Remarque : Les deux premières images sont des illustrations
Cette information nous a été envoyée par M. Gérard Lebat et nous la publions avec son aimable autorisation
L’OANI DU LAC LALLA TAKERKOUST (MAROC)
A la fin des années 90, probablement vers le mois d’octobre 1999, un ouvrier rendant visite à sa famille observe un objet dans le ciel, au loin. L’objet arrive de la vallée de l’oued N’Fis, plonge dans le lac formé par le barrage « Lalla Takerkoust » et ressort de l’eau environ 2 Kms plus loin. Il s’élève alors à grande vitesse vers l’espace.
AU MAROC DANS UNE VALLEE SACREE…..
Le Maroc, c’est le pays des légendes des milles et une nuit, le pays ou les histoires mystérieuses et insolites de D’jinn et autres créatures imaginaires sont nombreuses. A 35 kms au Sud Ouest de Marrakech, un lieu se prête à merveille à ces légendes, le Lac formé par le Barrage Lalla Takerkoust. (À l’origine dénommé « Barrage Cavignac », du nom de l’ingénieur Français qui l’a conçu). A l’emplacement de ce lac, avant 1929, date ou du temps du protectorat les Français ont construit ce barrage, se situait le Marabout et la mosquée Lalla Takerkoust. Une source sacrée faisait également partie du décor. Lalla, qui veut dire entre autre « sainte », était une femme bonne, généreuse, dotée de certains pouvoirs et on venait à son mausolé, prier, faire des offrandes, surtout les femmes pour être fécondes et avoir des enfants, des garçons de préférence car ils sont les garant de la survie de la famille, une fois que les parents ont pris de l’âge. Ce nom est aussi donné à un point d’eau, situé en amont de la montagne. La tradition veut que ce point d’eau soit le lieu cité dans un passage du Coran, celui des 7 dormants de la Sourate XVIII de la Caverne. Ce passage raconte précisément l’aventure de jeunes chrétiens d’Ephèse que Dieu plongea dans un sommeil mystique après qu’ils eurent été emmurés dans une caverne par leurs persécuteurs païens. Non loin de là, dans le village d’Amizmiz, se trouve sept tombes alignées proche de la source de Lalla Takerkoust, connue pour ses effets thérapeutiques : des malades y viennent parfois s’y faire mordiller les pieds enduits de pain, par des tortues d’eau. (1) Enfin dans la région j’ai retrouvé une légende qui s’exprime localement : afin de faire peur aux enfants, on leur raconte, s’ils n’obéissent pas, s’ils sortent la nuit, que le monstre du lac qui rôde la nuit dans la région leur lancera d’un coup donné avec sa queue couverte de « pointes » une « gifle » qui leur fera très mal, occasionnant de nombreuses plaies !…..
La vallée du mausolé de « Lalla Takerkoust » était sacrée, les croyances et légendes y étaient nombreuses. Pourtant, le progrès a sacrifié sans remord, ce lieu religieux, prisé par les berbères de la région. Le mausolé fut reconstruit non loin du barrage, dans le nouveau village de Lalla Takerkoust. Un second village, fut également construit pour loger les nombreux habitants de la vallée : Agargoure. Il se situe à coté du barrage.
Le barrage a été construit de 1929 à 1935 dans le but de produire de l’électricité, alimenter en eau potable la région et irriguer la grande plaine du Haouz. Il produit environ 13 millions de kWh et irrigue aujourd’hui près de 10 000 hectares. Toutefois, l’envasement du lac réduit ses capacités et il fut décidé entre 1977 et 1982 de le surélever de 9 m, portant ainsi sa hauteur finale à 71 m. Long de 357 m, il a été nécessaire d’utiliser pour sa construction plus de 150 000 m3 de béton et le volume utile du réservoir est de quelque 78 000 000 m3. Le lac formé par le barrage est long de 7 kms. Le lac est longé sur sa droite, par une route qui se prolonge jusqu’à la moitié environ de sa longueur. (Jusqu’au « Chalet du Lac » un restaurant fréquenté par la bourgeoisie de Marrakech et par de nombreux visiteurs et touristes. Ensuite, c’est une piste longée parfois de mûrs en pisé, que l’on peut emprunter avec des véhicules adaptés. Elle se prolonge jusqu’à la fin du lac, se poursuit dans la vallée du N’Fis vers des villages perdus dans la campagne. On peut, en la suivant, déboucher près d’Amizmiz.
Le lac est aujourd’hui un endroit touristique ou les Marrakchis viennent l’été passer une agréable journée au bord de l’eau pour fuir la chaleur de la ville. Quelques petits restaurants, hôtels, complexes touristiques se sont développés, surtout ces dernières années, pour faire face à ce besoin de quitter la ville. Toutefois, si un certain nombre de personnes téméraires s’y baignent, le lac est dangereux (présence de vase), on signale des noyades et il est officiellement interdit de s’y baigner. La vue sur le lac avec comme fond, les hauts sommets de l’Atlas est exceptionnelle.
(Notre photo : une vue du Lac formé par le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine « barrage Cavignac ».)
UNE OBSERVATION SIGNALEE AU GROUPE OVNI MAROC A MARRAKECH
C’est dans ce décor féérique qu’un témoin a observé lors d’une soirée d’automne 1999, un phénomène insolite, qu’à ce jour, on n’a pas encore été en mesure d’expliquer.
C’est à la suite de rapports d’observation publiés par le groupe OVNI Maroc Internationalde Marrakech sur divers forums, blogs et sites sur Internet au Maroc que Mohamed M, nous contacta. Mohamed M travail dans l’immobilier, il réside dans la Palmeraie de Marrakech et il y a plusieurs années il a entendu de la bouche même du témoin, la description d’une observation d’un phénomène qu’il n’a pu identifier. Il a toujours en mémoire cette observation, cela l’intrigue et en mai 2012 il décide de nous contacter par téléphone. Cultivé, à la pointe de l’information et de tout ce qui se passe dans le monde, il nous raconte la scène : une personne qu’il connaît bien,Youssef G., lui a raconté il y a quelques années qu’il avait observé un objet qui a plongé dans le lac Lalla Takerkoust et en est ressorti plus loin, s’élevant alors à la verticale à une vitesse rapide pour disparaître dans le ciel.
Le cas est intéressant, même s’il n’est pas récent et il mérite une enquête approfondie afin d’en relever un maximum de paramètres. Les objets plongeant dans la mer, dans des lacs sont des cas que l’on a souvent rencontrés. Nous convenons d’une entrevue à notre domicile à Marrakech, avec Mohamed M. qui nous explique ce qu’il sait de cette affaire. Cela semble digne de foi, même si les informations sont anciennes, susceptibles de s’être modifiées avec le temps. Les bases fondamentales sont là. Le témoin présente toutes les caractéristiques d’une personne qui n’invente pas une histoire, mais qui a seulement observé un phénomène rare. Il ne cherche pas la publicité et raconte d’ailleurs avec peu de conviction ce qu’il a vu, comme si cela n’avait aucune importance. Nous convenons avec Mohamed M de rencontrer le témoin afin qu’il nous donne plus de détails sur ce qu’il a observé. Le rendez-vous n’a pas été immédiat, c’est seulement au mois de septembre 2012 que la rencontre a lieu, à Marrakech, dans un petit café.
Un objet plonge dans le lac………. Il en ressort environ deux kilomètres plus loin s’élançant vers le ciel.
Dessin : Détails de l’objet :
1) lors de l’apparition
2) lorsqu’il est sortie de l’eau
UNE OBSERVATION EN DEUX PARTIES
Youssef G. est originaire d’un petit village situé à environ une dizaine de kilomètres du lac, dans la vallée de l’oued N’Fis. Il a une cinquantaine d’année et il a quitté très jeune la campagne pour tenter de gagner sa vie sur Marrakech, ville située à environ 40 Kms de son village. Il bricole, tantôt peintre en bâtiment, électricien ou encore maçon, il a son petit réseau de clients qui font appel à lui pour toutes les tâches qui entrent dans ces domaines. Il habite dans la médina de Marrakech et survit car ici, ce travail n’est guère payé, la population est en générale pauvre, avec toutefois depuis une vingtaine d’années l’arrivée d’européens qui ont remis en état de nombreux ryads dans la médina, les transformant en véritables palais. Il parvient alors à faire de « bonnes affaires » comme il dit, avec ce nouveau type de clients souvent fortunés qui aujourd’hui l’emploi occasionnellement pour des travaux relevant d’un savoir faire unique dans le domaine de la réhabilitation de ce patrimoine exceptionnel. Le phénomène OVNI, il ne le connaît pas car il ne sait pas lire ni écrire et sa principale préoccupation est d’avoir un minimum d’argent pour manger.
Il situe le phénomène dont il a été témoin à la fin des années 90, probablement à l’automne 1999 vers 16 h 00. Ce jour là, il a décidé de quitter Marrakech pour rendre visite à famille, restée au « bled ». Il a pris le bus pour Agargoure, puis un taxi qui l’a emmené jusqu’au chalet du lac, fin de la route « goudronnée ». Il poursuit alors son chemin par la piste, profite éventuellement d’un transport par camion ou automobile si l’occasion se présente. Rare sont les véhicules à emprunter cette piste qui mène au bout du lac, puis dans les divers villages, en général construits en pisé, qui existent depuis des siècles le long de l’oued N’Fis.
Après avoir parcouru à pied la piste sur un kilomètre environ, il se retrouve alors surplombant le lac avec une vision qui lui permet de voir la totalité du lac ainsi que le début de la vallée de l’oued N’Fis. Son regard est à ce moment là attiré par un objet lumineux qui vient à partir de la vallée, à 15/30° de hauteur par rapport à la vallée, dans sa direction. L’objet d’apparence arrondie, gros comme le quart de la pleine lune se déplace lentement, devient plus volumineux en se rapprochant, perd régulièrement de l’altitude jusqu’à son point de chute dans le lac. Il est lumineux sur son pourtour, d’une couleur jaune très clair, pratiquement blanc et en son centre une couleur grise comme du métal, qui brille légèrement. Un cercle plus orangé aux contours « vaporeux » semble délimiter l’objet gris de son pourtour lumineux jaune très clair. Il observe cet objet qui descend lentement, jusqu’au moment ou cet objet entre en contact avec l’eau du lac, disparaissant alors sous l’eau. Il ne remarque pas de mouvements spécifiques à la surface de l’eau, mais l’observation de l’objet qu’il a suivi auparavant sur deux ou trois kilomètres est alors situé à environ des trois quarts du lac lorsqu’il a pénétré dans l’eau, à deux kilomètres environ de sa position d’observateur.
Il contemple alors ce spectacle insolite sans pouvoir déterminer s’il a à faire à un phénomène naturel ou à la présence d’un objet manufacturé. Il pense toutefois que c’est quelque chose de solide et il l’a alors observé durant au moins 5 secondes à partir du moment ou il l’a vu et le moment ou l’objet a pénétré dans le lac. L’hypothèse d’un bolide, d’une météorite ne résoud pas cette vision, l’objet se déplaçait trop lentement et surtout sa trajectoire était horizontale tout en perdant de l’altitude provenant non pas de l’espace, mais de la vallée, sans traînée lumineuse ou matérielle sur l’arrière. L’hypothèse d’un petit avion ne convient pas, cela n’en avait pas la forme etla chute d’un tel appareil aurait alors fait la une de la presse. Il a seulement observé un objet rond, aux bords lumineux. Rien de plus.
APRES AVOIR PLONGE DANS LE LAC, L’OBET SORT DE L’EAU 2 KMS PLUS LOIN !
Mais l’observation ne s’arrête pas là, car deux secondes plus tard, il voit ce qui pour lui est le même objet ressortir de l’eau, s’élever à une grande vitesse vers le ciel. L’objet disparaît rapidement à la verticale dans l’espace. La sortie de cet objet, qu’il situe aux environs de la moitié du lac, voir un peu plus par rapport à sa position d’observateur, se fait sans mouvement apparent de l’eau. L’objet s’élève très rapidement à une vitesse constante, similaire à une étoile filante, il le voit disparaître en une seconde ! La forme de l’objet est alors allongée, arrondie aux extrémités qui est pointée vers le ciel pour sa partie supérieure, toujours estimé à la grosseur du quart de la pleine lune. L’objet à un contour bien défini, de couleur grise comme de l’aluminium qui a vieilli. Il ne brille pas, malgré le soleil. Le ciel est d’un bleu pur, sans nuage et il fait très chaud ce jour là.
Cette seconde phase de l’observation ne trouve aucune explication et contribue à renforcer l’intérêt de cette vision. On trouve dans les témoignages recueillis sur les cinq continents fréquemment des observations d’objets plongeants dans la mer, dans des lacs, ou encore des témoignages faisant état d’objets sortant de l’eau, mais plus rarement des cas ou l’objet plonge dans l’eau pour en ressortir plus loin. On peut estimer, compte tenu de la longueur du lac, à environ deux kilomètres la distance qu’il semble avoir parcourue sous l’eau. La couleur de l’objet, au moment de l’apparition, jusqu’à sa disparition n’a pas variée par rapport à ce qui est décri. Aucune modification ou transformation des couleurs ou de sa luminosité, ces paramètres semblaient figés. La durée totale de l’observation a été rapide, décomposée, on arrive à environ 8 secondes. Les trajectoires étaient rectilignes, sans aucun « zig zag » dans les deux phases de l’observation et lorsque l’objet est entré dans l’eau puis en est ressorti, la trajectoire sous l’eau semblait elle aussi rectiligne.
Youssef a observé ce phénomène dans un parfait silence, c’est la seule fois au cours de sa vie qu’il est témoin d’une observation d’un objet qui se déplace dans l’espace et qui est pour lui inconnu. L’objet à aucun moment n’a émis un bruit quelconque lors de ses déplacements. Compte tenu de l’éloignement, il ne peut pas dire si pénétrant dans l’eau ou en sortant de l’eau, il y a eu émission de son ou que ces actions aient provoqués du bruit. Pour Youssef, aucun remous sur l’eau, aucun bruit, tout s’est déroulé sans que l’environnement ait été perturbé par les actions diverses de l’objet dont il a suivi l’évolution. Youssef à une bonne vue, ce qui est encore le cas au moment de cette rencontre.
ICI LES D’JINNS SONT LES MAITRES DES LIEUX !
Youssef a été le seul témoin de cette observation, le lieu est d’autre part très peu peuplé et il n’y avait pas d’autres personnes dans l’environnement proche. D’ailleurs, exception la traversée des villages, il ne rencontrera personne sur sa route qui doit le mener au domicile de sa famille, situé au delà d’Aït Ben Ali, l’un des petits villages en pisé situé sur sa route. Ne comprenant pas ce qu’il a observé, il pensa avoir été témoin d’une expérience secrète de la part de l’armée. Mais il ne chercha pas à comprendre et immédiatement après son observation, il a repris sa marche, comme si de rien n’était, par la piste qu’il a l’habitude d’emprunter depuis de nombreuses années. Il ne parla pas de cette observation à sa famille, on se serait moqué de lui. Il a évoqué seulement à deux ou trois reprises cette scène, en présence d’amis et lors de discussions ou ont été évoquées des informations qui ont un rapport avec le ciel, les étoiles ou les missions spatiales. Dans les villages éloignés de la civilisation, autrefois, pas d’école, la majorité de la population ne sait ni lire, ni écrire. Tout ce qu’on observe et qui semble anormal est alors rapidement assimilé à des légendes, des croyances où interviennent les pouvoirs surnaturels des d’jinns, évoqués dans le coran. Les djinns sont des créatures surnaturelles dont les histoires se transmettent oralement au sein des familles et ils servent à expliquer beaucoup de chose, car souvent invisibles, ils peuvent prendre diverses formes : animales, végétales voir matérielles. Dans le cas présent, sensibilisé par la télévision, la ville, le témoin a une plus large connaissance de son environnement et fait intervenir une explication en rapport avec des expériences militaires. Selon la tradition, les Djinns habitent des endroits déserts, des forets, des cimetières, mais aussi des points d’eau, ce qui explique pourquoi dans cette vallée ou l’eau est présente, on évoque fréquemment leur présence. (Les Djinns qui habitent près des cours d’eau sont appelés « Maritins »). Enfin pour en terminer avec les d’jinns dont le monde musulman admet l’existence, il est évoqué parfois le fait que ces « êtres surnaturels » présents avant l’homme sur terre, qui ont donc acquit des connaissances supérieures aux humains, sont en fait à l’origine du phénomène ovni ! Voilà une explication à laquelle on ne pense que rarement pour donner une solution à ce dossier, véritable énigme de notre temps. Mais évidemment elle est loin de tout expliquer ! Tous nos remerciements à Mohamed pour n’avoir pas hésité à nous contacter afin de nous faire connaître cette observation, à Youssef, de nous avoir reçu, expliqué ce qu’il avait vu mais pour qui ce phénomène n’a guère d’importance et qui inlassablement poursuit son travail contribuant ainsi largement à la mise en valeur d’un patrimoine marocain exceptionnel.
Si vous aussi, vous connaissez le témoin d’une observation d’ovni ou si vous en avez été personnellement le témoin, n’hésitez pas à nous contacter afin de relater ces faits, qui rejoindront « L’histoire des OVNIs au Maroc » un ouvrage gratuit accessible sur le net : Notre émail : lebat1@aol.com
Gérard LEBAT – OVNI MAROC International – Paris – Marrakech
Nous étions au bord de la promenade à Seaside Heights, aussi loin dans l’océan, au bord de la jetée. C’était assez étrange. C’était juste une couverture nuageuse importante roulée en provenance de l’océan, venant vers nous. En se rapprochant c’était juste différent. L’énorme nuage s’est approché de la digue et il s’est tourné vers notre droite, et a continué en direction du sud le long de la plage mais hors de l’eau. Nous pouvions facilement distinguer 6 à 8 émissions comme celles de turbines à l’arrière mais il n’y avait pas de son. Nous étions très proches mais le bruit de tous les manèges et de la promenade était fort, avec les vagues de l’océan.
Ce véhicule était le plus étonnant que j’ai jamais vu. A cause de la lourde couverture nuageuse qui en entourait la majeure partie. L’arrière avec ses émissions de type flammes était la seule partie claire. Il a plané de 3 à 4 bons mètres hors de l’eau. Il n’y avait pas d’autres nuages dans le ciel. C’était une nuit claire. Quand je dis qu’elle avait 6 à 8 émissions comme des turbines à l’arrière, la chose la plus proche pour comparer ces émissions serait comme l’extrémité d’un chalumeau au propane. Il s’agissait d’un véhicule assez grand. Il a plané sans effort, sans déplacer l’eau en dessous.
Il a continué lentement le long du rivage planant au-dessus de l’eau, de 22 à 30 bons mètres, depuis l’endroit où l’eau rencontre le sable, toujours en direction du Sud. Alors qu’il s’éloignait, l’échappement comme du feu était finalement couvert par les nuages. Nous l’avons observé avec étonnement jusqu’à ce qu’il soit hors de vue. Nous nous sommes regardés et nous avons demandé à l’autre s’il avait vu ça. Nous avons tous deux acquiescé et nous n’en avons plus jamais parlé depuis. J’étais en admiration après l’avoir vu. Je sais que nous avons vu quelque chose de très étrange cette nuit-là. Je n’avais jamais rien vu de tel avant ou depuis. Pour vous les gens de ce milieu vous auriez aimé ça. Je ne suis pas du milieu (ufologique) et j’étais reconnaissant et étonné de le voir. Je ne suis pas sûr de comment je me serais senti s’il n’y avait pas eu quelqu’un d’autre qui a vu exactement ce que j’ai vu.
REMARQUE : pas de photo remise par le témoin. L’image ci-dessus est une illustration.
Ce cas fait l’objet d’une enquête de Ken Pfeifer du MUFON N.J.