Viso conférence .
D’abord la conférence de Sylvain Matisse avec le concours de Thierry Larquet « Le point sur les Oanis. Ensuite la vidéo des débats, avec la présence de Jean-Claude Bourret.
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D’abord la conférence de Sylvain Matisse avec le concours de Thierry Larquet « Le point sur les Oanis. Ensuite la vidéo des débats, avec la présence de Jean-Claude Bourret.
Publié 5 mars 2021 par Era dans Actualité /Agenda/ Evènement, OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s), reportages documentaires et vidéos
Tag(s) associé(s) : AUTEC, AUTEC - zone 51 des océans ? OVNI/OANI - Plongée dans les mystères des océans avec Sylvain Matisse et Emma, Eupen, oanis, oanis bretagne, objets submergés, porte-avions Foch, soirée ovnis Paris, usos, vague belge
Dossier
Région de Eupen ( Belgique)
L’observation a eu lieu sur la commune de Baelen-Membach, sise au NORD-EST de la province de Liège, fait partie du canton de Limbourg et de l’arrondissement administratif et judiciaire de Verviers.
OVNIS triangulaires à Eupen (Belgique) – 1989
Le 29 novembre 1989
Résumé :
Mercredi 25 janvier 2017-à 12h20:
Cette fameuse soirée du 29/11/1989, des agents de la police fédérale belge patrouillaient près de la frontière allemande,dans la ville d’Eupen lorsque, tout à coup, ils aperçoivent un O.V.N.I, de forme triangulaire évoluant silencieusement dans le ciel et en se dirigeant vers le lac de la Gileppe.
Cette affaire est intéressante car elle met en scène un O.V.N.I de type triangulaire en Belgique qui suit son trajet vers le lac de la Gileppe. Cette affaire n’a sans doute pas d’analogie dans ce pays puisque les étendues d’eau ne sont pas aussi nombreuses qu’en France par exemple. Toutefois les lacs sont assez concernés par ce genre de visite inattendue. Au départ nous avons affaire à des O.V.N.I, de ce point de vue cela concerne l’ufologie, il n’ y pas de doute. Ce qui rend ce cas assez original, c’est l’intérêt que semble porter ces O.V.N.I ou vaisseaux au lac de la Gileppe. En examinant cette histoire, nous pouvons penser qu’il soient venus sonder l’eau ou récupérer quelque chose dans ce lac artificiel qui alimente un barrage hydraulique. Cette soirée du 29 novembre 1989 a été un véritable festival d’objets vus plusieurs fois en Belgique près de la frontière allemande.
Daniel( ufologue et témoin de la vague belge) notre contact en Belgique, nous a confirmé les faits.
La performance autant que la nature structurelle des « vaisseaux » ne ressemble en rien de connu sur Terre. Alors avec son autorisation nous reprenons ce qui a été mentionné sur son forum.
Un reportage via you tube parlera de ce fameux cas des triangles qui sont restés un petit moment au-dessus du lac de la Gileppe.
J’ai effectué une petite recherche simple concernant ce lac afin de voir ce qui pouvait y avoir d’intéressant au fond de celui-ci pour d’éventuels visiteurs.
lac de la Gileppe:
Présentation simple de ce lac:
D’une superficie de 130 hectares, le lac a une capacité de 26 millions de mètres cubes d’eau potable pour la région ! Au pied du mur, la profondeur est proche de 68 mètres et le barrage peut évacuer au maximum 185 mètres cubes/seconde.
L’ eau est chargée, elle présente une couleur rougeâtre sur les 6 premiers mètres (l’eau du lac est ferrugineuse), puis obscurité total au-delà, la vie dans cette eau est très limitée, peu fréquente. (larves d’insectes)
– Contenu dans sa profondeur: ( Quelques souches d’arbres, mais surtout des ordures et de la vase).
La région:
Baelen-Membach est bornée au NORD par la commune de Welkenraedt, à l’EST par celles de Kettenis (commune d’Eupen), d’Eupen et de Waimes (qui a annexé Robertville). Au SUD, par les communes de Waimes, Jalhay, Goé (commune de Limbourg), à l’OUEST, par celles de Bilstain (commune de Limbourg), et Henri-Chapelle (commune de Welkenraedt). A noter que Robertville et Jalhay ne touchent que la grande partie forestière du territoire de Membach, seuls Eupen, Goé et Baelen sont proches de la partie habitée.
Cette commune est dotée d’une station géophysique de pointe dans les domaines de la sismologie et de la gravimétrie.
A noter également à titre de curiosité que la ville d’Eupen est située au dessus d’une anomalie gravimétrique négative (en profondeur). ( Source adelmon.free.fr/)
Source article et illustrations :ovni-belgique.xooit.be/
Observation d’eupen le 29 novembre 1989
Cette observation remarquable réunis pas moins de 17 témoins, dont 9 sont des gendarmes : Les gendarmes Hubert von Montigny et Heinrich Nicoll, de la Brigade d’Eupen
Le gendarme Günther Justen, au poste frontière de Lichtenbush
Les gendarmes Peter Nicoll (aucun lien de parenté avec le précédent) et Dieter Plumans, de la Brigade de Kelmis :
le gendarme Albert Creutz
le gendarme Willems Robert, de la caserne d’Eupen
l’adjudant gendarme Joseph Schmitz
le douanier Charles Nicolaes
Les autres témoins :
Monsieur X (officiel ville d’Eupen) et un collègue
Monsieur G. (technicien, Eupen)
Monsieur D1. (directeur d’école)
Monsieur D2. (surveillant dans une entreprise à l’entrée d’Eupen)
M. et Mme A.
Monsieur S. (brigadier des eaux et forêts)
Entre 17h00 et 17h30 Le gendarme Gunther Justen.Il fait encore jour même si l’on se trouve en phase crépusculaire. Affecté au contrôle des passeports au poste frontière, il aperçoit « à 500 m de moi et une centaine de m. d’ALT, venant d’Allemagne, un objet volant insolite qui comporte 2 ou 3 phares très brillants allumés. Vitesse : 50-60 km/h. » (Vague d’ovni sur la belgique 1,16).
Vers 17h20, alors qu’ils roulaient en patrouille sur la N68 vers Eynatten, les gendarmes Hubert von Montigny et Heinrich Nicoll aperçoivent l’ovni pour la première fois.
Et quel ovni ! Une immense plateforme triangulaire, avec trois feux à chaque angle et une lumière rouge clignotante au centre, éclairant la prairie en dessous plus fort qu’en plein jour (lors de la reconstitution pour l’émission « Unsolved Mysteries », des projecteurs d’une puissance totale de 140 000 Watts avaient été utilisés, et jugés encore « en dessous de la réalité » par les témoins !). Pour mieux visualiser l’impression qu’ont eu les témoins, voici quelques vues d’artistes de l’ovni :
Cette prairie se situait à droite de la N68 quand on roule vers Aix-la-Chapelle, entre Kettenis et Merols. C’était derrière Libermé et en fait, un peu plus loin que le petit chemin qui mène à une ferme (Gut Luft), en face d’une croix de l’autre côté de la route. A cet endroit, on a effectivement une vue bien dégagée sur la prairie, située un peu plus bas.Altitude de l’engin : 120 m ; Eloignement de l’engin : 130 m
A 17h24 précisément, tout en roulant vers Merols pour attendre l’ovni sur le petit chemin qui mène de Merols à Raeren, ils alertent la caserne d’Eupen et demandent de prendre des renseignements auprès du camp d’entraînement voisin d’Elsenborn, sur la possibilité d’une manœuvre militaire. Cette demande leur est refusée, « c’est sans doute St Nicolas qui va atterrir » plaisante A. Creutz (SFS1,3, VOB1,23).
Vers 17h30, alors que les gendarmes voulaient devancer l’objet volant, pour se poster à un endroit où il aurait dû les survoler, l’ovni s’est arrêté et a fait demi-tour avant d’arriver à la hauteur du Eierhof (« ferme des oeufs »).
Voyant la manœuvre de l’engin, von Montigny et Nicoll ont décidé de l’observer plus discrètement et plus à l’aise par rapport au trafic, en empruntant la Hochstrasse (route de crête), plus propice pour une bonne observation quasi-continue.
Il y avait parfois des arbres et des maisons, mais l’objet était toujours facilement repérable. Les gendarmes ont quitté la N68 au carrefour Eierhof-Belven.
Ils regagnent leur caserne pour tenter de convaincre le responsable du dispatching, le gendarme Albert Creutz, que quelque chose d’anormal se promène dans le ciel.
Au même moment sur la N68, M. X. (exerçant une fonction officielle à Eupen), roule avec un collègue vers Eynatten en venant d’Eupen. Un peu au-delà de Kettenis ils voient un objet volant, doté de phares très puissants.
Il avance lentement vers Eupen, à droite de la route N68 et assez près de celle-ci. Le conducteur pense qu’il doit s’agir d’un hélicoptère mais il s’étonne lui aussi de la lenteur du vol, de la très basse altitude et surtout des phares excessivement lumineux.
Croisant l’objet il perçoit clairement trois faisceaux qui éclairent le sol et une forme triangulaire sombre se déplaçant pointe en avant. Un petit clignotant rouge clignote à fréquence constante entre 1 ou 2 fois par seconde.
Ayant rempli sa mission à Eynatten, le témoin reverra l’objet en le croisant dans l’autre sens (coté est de la N68 cette fois-ci), ce qui prouve que celui-ci se déplaçait très lentement.
A peu près au même moment (~17h30) M. G. (ayant des responsabilités techniques très importantes à la ville d’Eupen) se trouve à Nispert, une hauteur au Nord-Est d’Eupen. Il voit arriver de Kettenis un objet volant doté de trois gros phares brillants disposés en triangle qui passe silencieusement à 200 ou 300 m de lui. Encore au même moment, M. D1., directeur d’école, voit « un peu après 17h15 », alors qu’il range sa voiture, un objet de forme imprécise, doté de 3 ou 4 puissants phares blancs et d’un clignotant jaune-orange au milieu, se déplacer à 100 ou 150 m du sol et à 800 m de lui.
Toujours aux alentours de 17h30, M. D2., surveillant dans une entreprise, aperçoit par sa fenêtre, et venant de Kettenis, une lumière blanche extraordinairement intense silencieuse qui, en se rapprochant, révèle une surface plane portant 3 grands phares circulaires en triangle. La pointe avant est arrondie. Au milieu se trouve une petite lumière rouge qui clignote environ 2 fois par seconde. Le témoin estime la vitesse de l’objet à 60 ou 70 km/h et sa hauteur à moins de 200 m. Il est très impressionné par la largeur de l’objet, « massif et puissant » dira-t-il (wuchtig, en allemand).
Sortant d’un magasin de la rue Pavée à Eupen, M. et Mme A. voient un très grand objet volant avec des phares excessivement lumineux, en le prenant d’abord pour un gros hélicoptère, mais rejettent aussitôt cette hypothèse, en raison du silence absolu de son déplacement.
En outre cet engin a la forme d’un triangle à pointe arrondie et coins arrières coupés. M. A. connait bien les AWACS qu’il observe souvent, ceci est autre chose.
Si c’est bien le même objet que les observations précédentes, celui-ci a allumé d’autres lumières : 2 puissantes à l’avant, une plus faible à l’arrière.
L’objet s’incline en prenant un virage et en s’éloignant, révélant sa structure supérieure. L’objet est très plat mais surmonté d’un dôme.
M. A. regarde sa montre il est exactement 17h30, l’observation (« très impressionnante ») n’a duré que 45 à 60 s.
Entre 17h30 et 18h00, M. S., brigadier des eaux et forêts rentre chez lui en voiture et aperçoit un ensemble de lumières se déplaçant dans le ciel à environ 200 m du sol à environ 1 km de lui.
Il distingue 4 ou 5 lumières pas très éclairantes formant un losange, et se déplaçant tellement lentement vers Membach qu’il trouve cela anormal.
Ayant coupé le moteur et étant sorti de sa voiture le témoin constate que l’objet est totalement silencieux. Il le perd de vue après environ 1 minute.
Vers 17h45, von Montigny et Nicoll signalent par radio la présence de cet engin aérien étrange à leur caserne d’Eupen, tout en continuant à le suivre sur la Hochtstrasse (rue haute).
Vers 18h00, von Montigny et Nicoll arrivent à leur caserne d’Eupen (située au n°12 de la Herbesthaler Strasse et donc à gauche, quand on sort d’Eupen).
Ils tentent de convaincre leurs collègues, les gendarmes Albert Creutz et Willems Robert. Et à ce moment, par la fenêtre, ils revoient tous les quatre l’ovni très distinctement se déplacer à travers les branches dénudées d’un arbre distant d’une dizaine de mètres.
Il vole lentement, et se trouve déjà relativement loin d’eux (sa structure n’est plus visible). Son azimut est d’environ 166° (direction Rotenberg d’après les témoins) et il semble se diriger lentement vers le barrage de la Gileppe (à 8 km d’Eupen, direction SSO).
Le Maréchal des Logis chef Creutz, chargé du dispatching à la caserne ce soir là, parle dans un rapport adressé à son supérieur (12/12/89), d’une « masse volumineuse éclairée dans la direction Sud », alors que selon von Montigny il s’agit seulement d’une lumière blanche.Impression confirmée par le témoignage de Nicoll : « Nous nous sommes placés à la fenêtre et on voyait alors l’objet.
Il passait très très lentement, en étant facilement repérable par ses lumières. Observé à distance, c’était une masse lumineuse. Cela avait une certaine extension. »
Ce n’est en tout cas pas Vénus, qui est à ce moment là à un azimut de 210°, et qui ne se déplace pas aussi vite à travers les branches d’un arbre.
Hubert von Montigny et Heinrich Nicoll quittent la caserne et reprennent la route dans cette direction.
Vers 18h15
Von Montigny et Nicoll prennent la Hochstrasse (rue Haute) pour tourner vers Garnstock.
L’objet était resté suspendu. Quand les gendarmes arrivent entre la route de Herbesthal et celle de Verviers, l’ovni se remet en mouvement.
Il se déplace à présent en direction du barrage de la Gileppe.
Ils traversent la rue de Verviers, vers Membach, en empruntant la route de Roereken puis du Giesberg.
Les gendarmes s’arrêtent « plusieurs fois » pour observer l’ovni, notamment près des anciennes bornes kilométriques allemandes un peu avant d’arriver à la chapelle de Kortenbach.
Vers 18h00 (ou 18h20)
A. Creutz prend contact avec le camp militaire d’Elsenborn qui lui confirme qu’il n’y a aucune manoeuvre militaire en cours.
Vers 18h10 (ou 18h30), A. Creutz téléphone à l’aéroport de Bierset pour leur signaler la chose et s’enquérir d’explications éventuelles.
Bierset n’en a aucune, mais un AWACS aurait été mobilisé. A. Creutz signale l’information aux deux gendarmes en patrouille et leur demande donc de continuer la « poursuite »
. Par la suite Bierset a précisé qu’ils ne détectaient rien sur leur radar, et que donc l' »objet » devait être en dessous de 1000 m d’altitude.
Le Pr Meessen a ultérieurement interrogé le gendarme Creutz pour savoir s’il avait eu confirmation de l’envoi d’un AWACS.
Il n’en est rien et personne d’autre ne l’a signalé au cours de cette soirée ; on ne bouscule pas ainsi les plans des militaires pour des ovnis, fussent-ils signalés par des gendarmes locaux. À noter d’ailleurs que les AWACS étaient aux mains des Américains et stationnés à Geilenkirchen (NATO Air Base), à 20 km au nord de Aachen. Ils s’entraînaient parfois en Belgique à cette époque, pour préparer la guerre au Moyen Orient.
Vers 18h30 von Montigny et Nicoll arrivent au lieu-dit « chapelle de Kortenbach », sur une hauteur d’où ils dominent la vallée et le lac de la Gileppe.
Ce point de vue idéal, le fait qu’ils soient toujours de garde (on peut les appeler à tout moment pour une intervention) et en limite de leur district (Eupen), les pousse à stationner là et à observer le phénomène.
On arrive au point d’observation par un petit chemin ; les gendarmes ont arrêté leur camionnette à un endroit où elle pouvait facilement stationner.
Le gendarme Heinrich Nicoll, ayant froid, est resté dans la voiture, pour veiller aux communications radio, mais il pouvait voir la scène, tandis que le gendarme von Montigny l’observait de l’extérieur. Cela s’est passé assez près de l’endroit où la pente commence, et près d’une petite chapelle.
Depuis la caserne d’Eupen, on leur assure par radio que « l’armée a été alertée et va s’en occuper ». Ils restent donc sur place. pour assister à un spectacle étonnant : des 2 côtés de la lumière émergent symétriquement à l’horizontale deux faisceaux rougeâtres « qui partent comme des harpons de pêcheur » et qui semblent très longs à von Montigny (~1 km).
Ces bandes surgissent brusquement, s’écartent très rapidement (« rasend schnell ») de l’objet principal et restent visible un certain temps. Au moment où elles disparaissent une boule rouge subsiste à leur extrémité. Ces boules reviennent vers l’objet et tournent alors pendant quelque temps autour de la boule blanche.
Ensuite le processus recommence et se déroule de manière identique.
Ce spectacle va continuer sans interruption au même endroit pendant un peu moins d’une heure.Vers 18h45, apparition d’un second objet, semblable à celui observé en début de soirée sur la N68, d’abord vu par Heinrich Nicoll qui le signale à son collègue. « On aurait dit qu’il avait été catapulté du sol, juste derrière un petit bois de sapins. Il venait de Baelen et se dirigeait vers nous et l’E40 en suivant une trajectoire incurvée. C’était un triangle, légèrement cabré. Sur le dessus on voyait une sorte de coupole avec des hublots. Depuis Eupen, par radio, les collègues nous ont averti qu’ils le voyaient aussi ».
Il reste quelques secondes, immense au-dessus d’eux, puis il s’enfuit à une vitesse prodigieuse.
Il s’agit probablement du même ovni que le 1MDL Creutz a aperçu vers la même heure depuis la fenêtre de sa caserne.
Vers 19h15 Le gendarme Robert Willems et l’adjudant Joseph Schmitz, de retour de Bruxelles (ils ont eux-même aperçus en route un autre OVNI, VOB1-29) rejoignent la caserne d’Eupen où ils retrouvent le 1MDL A. Creutz.De la caserne d’Eupen, ils aperçoivent un nouvel ovni, le troisième depuis la même fenêtre, à moins que les gendarmes aient fait une confusion dans les horaires, et qu’il s’agisse du second ovni, celui de 18h45. Mais ce dernier était triangulaire et non rectangulaire …
Robert Willems raconte : « J’étais occupé à faire le plein à la pompe d’essence de la caserne, moteur de la voiture de service éteint.
à ce moment, j’entends Nicoll à la radio : « Attention, ça s’approche de la caserne ». Le collège et moi, nous levons la tête et on voit, direction SO, un grand objet porteur d’une sorte de gros phare avec un autre rouge par-dessous.
Je me dis, c’est l’AWACS. Mais voilà, il n’y avait pas de bruit de moteur, c’était tout à fait silencieux .
Et puis il y avait des tas de lampes qui s’allumaient et s’éteignait de façon désordonnée. Ca venait de Baelen et ça a tourné au-dessus de la cour en direction de Lontzen (10 km au N d’Eupen) »
.
Vers 19h23, l’objet ponctuel que les gendarmes Hubert von Montigny et Heinrich Nicoll observent depuis environ une heure diminue progressivement de taille et disparaît en semblant s’éloigner en direction de Jalhay et de Spa.
Les gendarmes Hubert von Montigny et Heinrich Nicoll se rendent au Walhornerfeld, à l’endroit le plus élevé de la région et à partir de là, ils ont continué leurs observations, en restant en contact avec d’autres gendarmes
.
Vers 19h45, ils y observent eux aussi un objet muni de 3 phares blancs qui évolue le long de l’E40 avant de s’arrêter au-dessus d’Henri-Chapelle puis de s’éloigner en direction de la frontière hollandaise. Il est définitivement perdu de vue à 20h39
Autres observations, même jour, même secteur
19h10Les gendarmes Peter Nicoll et Dieter Plumans
Occupés à un contrôle routier à Henri-Chapelle, ont aperçu un engin aérien équipé de deux gros phares qui se dirigeait vers la gare de Montzen (NE d’Henri-Chapelle) en longeant la N3. Après avoir pris contact radio avec Albert Creutz, ils se lancent à sa poursuite.
19h10
Mr. Charles Nicolaes, douanier.
Emmène 4 enfants à un entraînement sportif. Une première fois, ils aperçoivent tous du côté droit de la route un objet qui vole très bas et lentement au-dessus des arbres d’un petit bois. Les lumières violentes qu’il porte empêchent de bien en distinguer les contours. Après avoir disparu un moment, l’objet réapparaît à l’arrière de la voiture, cette fois du côté gauche. Le conducteur arrête le véhicule, coupe moteur et radio et descend.
Après être resté immobile 4 min., l’objet, qui émet un léger sifflement, reprend sa route.
Altitude : 50 m, Eloignement : 100 m.
19h28
Les gendarmes Peter Nicoll et Dieter Plumans.
S’étant rapprochés, les deux gendarmes coupent le moteur et quittent leur véhicule à hauteur du home Beloeil.
L’objet se tient immobile, Altitude 80 m, Eloignement 100. Forme : losange, envergure : 15 m. Sa proximité permet d’apercevoir de nombreux détails.
Lorsqu’il se remet en marche, l’intensité des phares qui le délimitent diminue et les deux gendarmes perçoivent une sorte de chuintement, comme un bruit de turbine : swe, swe. L’objet s’arrête à nouveau à hauteur de l’échangeur de Battice. A 19h30, il se passe quelque chose d’étonnant : d’entre les trois phares blancs de tête, Plumans, resté au volant du véhicule, le voit expulser une boule rouge qui descend verticalement d’une dizaine de m. puis file à angle droit.
L’objet revient alors sur ses pas et survole à nouveau les gendarmes qui remontent dans leur véhicule et se lancent à sa poursuite.
Vitesse : 100 km/h .
Un peu avant 20 hrs, ils sont distancés et abandonnent la poursuite.
après 19h30
Le gendarme Robert Willems.
En rentrant chez lui à Hergenrath, il continue à écouter les communications qui continuent d’aller bon train entre ses collègues toujours en service.
Intrigué, il décide alors de se poster au Walhornerfeld, entre Kettenis et Walhorn, d’où on dispose d’une vue panoramique sur la région. Haut dans le ciel, il y aperçoit un objet volant qui ne présente pas les lumières vertes et rouges clignotantes habituelles des avions. après quelques minutes, comme il ne se passe plus rien, il décide de rentrer chez lui.
_________________
Suite
Vidéo « contact – ovni » via you tube
Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici
site web recommandé par nos contacts en Belgique
http://www.origine-26.webself.net/
« Nous remercions Daniel Stevens et son équipe pour les informations et son autorisation à reprendre l’enquête sur nos sites web. D’ailleurs une rencontre est prévue début avril 2017, avec Era ( Emmanuelle) et moi en Belgique et avec Daniel son équipe et des témoins de cette vague Belge des années 1980/1990. «
Mise à jour 25-01-2017- à 14h05 ( complément d’information – important) :
Daniel précise qu’il a été en contact avec quelqu’un proche de toutes ces sources en 1995 malheureusement l’identité des pilotes ont été mises au secret de plus les observations et films des F16 et ont été classées comme étant un phénomène météorologique
« les F16 ont bien enregistrés les ovnis ce jour la , mais bon comme tu t’en doutes les suites sont classées secret défense et la désinformation a suivie l’affaire. En outre il a aussi assisté il y a environ 5 ans à une réunion de la SOBEPS devenue (COBEPS) le commandant Debrouwer était présent et à la retraite lors de cette réunion, vu son état de retraité de l’armée belge il s’est permis quand même d’avouer ce jour la que la vague belge n’était en rien humain ! »
Publié 25 janvier 2017 par Sylv1 dans OANIS/OSNiS/USOS/Ufo/OVNI( s)
Tag(s) associé(s) : aéroport de Bierset, AWACS, Baelen, barrage de la Gileppe, Charles Nicolaes, Commandant Debrouwer, Dossier OVNI/OANI en Belgique., douanier, Eupen, F16, l'échangeur de Battice, l'E40, lac de la Gileppe, Le gendarme Robert Willems, N68, O.A.N.I, O.V.N.I, OANI/OVNI, OVNIS triangulaires à Eupen (Belgique) - 1989, Plumans, Pr Meessen, rasend schnell, route de Herbesthal, U.F.O, U.F.O/ U.SO, vague belge
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