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Créatures extraterrestres en antarctique et leurs vaisseaux

crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News

crédit image: Ken Pfeifer World Ufo Photos and News

Un article de Ken Pfeifer – Traduction Era pour Investigation Océanographique et Oanis

oanis 

Un mécanicien de bord, sergent  retraité de la marine américaine qui m’a demandé de l’appeler seulement « Brian. » Il a vécu des expériences de la plus haute étrangeté alors qu’il participait à des opérations de fret et de sauvetage en Antarctique durant la période  de 1983 à 1997, incluant plusieurs observations de disques volants argentés étincelants au dessus des  montagnes Transantarctiques.  Lui et son équipage ont vu aussi un grand trou dans la glace à environ cinq à dix miles seulement du pôle Sud géographique (cercle rose sur la carte) qui était censé être une zone d’exclusion aérienne. Mais lors d’une situation d’évacuation sanitaire d’urgence, ils sont entrés dans la zone d’exclusion aérienne et ont vu ce qu’ils n’ étaient pas censés voir: l’entrée présumée d’une base de recherche scientifique humaine et extraterrestre créée sous la glace.  Puis, dans un camp près de la Terre Marie Byrd, une douzaine de scientifiques disparurent pendant deux semaines et quand ils reparurent,  l’équipage de vol  de Brian reçut l’assignation d’aller les récupérer.  Brian dit qu’ils ne voulaient pas parler et que «leurs visages étaient effrayés. » Brian et son équipage reçurent à plusieurs reprises l’ordre de ne pas parler et on leur dit sévèrement qu’ils n’avaient pas vu ce qu’ils avaient vu. Mais on ne lui a jamais demandé de signer une déclaration de non-divulgation officielle. Alors maintenant qu’il est à la retraite, il a décidé de partager ce qu’il a vu et vécu parce qu’il sait que des êtres qui ne sont pas humains travaillent sur cette planète.

Date : 2 janvier 2015

Déclaration du témoin

J’étais mécanicien à  bord d’un Lockheed LC-130 de la marine américaine. J’ai pris ma retraite après 20 années de service en 1997. Pendant longtemps j’ai eu envie de vous écrire à propos de mon expérience sur le continent antarctique avec des véhicules volants dont on m’a dit de ne pas parler. J’ai servi une partie de mes 20 années dans la marine dans un escadron appelé Escadron de Développement Antarctique Six aussi connu comme  VXE-6. J’ai servi dans cet escadron de 1983 jusqu’à ce que je prenne ma retraire en mars 1997. Etant mécanicien de bord avec plus de 4000 heures de vol à ce titre, j’ai vu des choses que la plupart des des gens n’ont même pas imaginé sur le continent de l’Antarctique. La terre là-bas semble plus extraterrestre que terrienne. Nos déploiements sur cette terre ont commencé à la fin Septembre et se sont terminés à la fin de Février de chaque année jusqu’à ce que l’escadron soit dissout en 1999. Cette période de l’année est propice aux expériences scientifiques en raison des températures plus clémentes et des journées de 24 heures de lumière du jour. Pendant mon séjour dans l’escadron je me suis envolé vers presque toutes les parties du continent de l’antarctique, y compris le pôle Sud plus de 300 fois. La station Mc Murdo, qui est à 3,5 heures de vol de la station du pôle Sud a été le point névralgique de l’escadron lors de nos déploiements annuels. Entre ces deux stations se trouve une chaîne de montagnes appelée TransAntarctique et avec ce que nous appelions Temps clair sévère,  de McMurdo au Pôle Sud, les Transantarctiques sont visibles depuis les altitudes où l’avion a volé entre 25 000 à 35 000 pieds (entre 7620 mètres et 10.668 mètres) . Lors de plusieurs vols vers et à partir du Pôle Sud, notre équipage a observé des véhicules aériens virevoltant autour de la cime des TransAntarctiques presque exactement au même endroit à chaque fois où nous volions et les visualisions. Ceci est très inhabituel pour le trafic aérien là-bas parce que les seuls avions qui survolaient le continent étaient ceux de notre escadron. Chaque aéronef savait où se trouvaient les autres à cause du suivi des horaires de vol. Une autre question unique avec la station du pôle Sud est que notre avion n’était pas autorisé à survoler une zone désignée à 5 miles de la station.  On nous a déclaré que c’était en raison d’un camp d’échantillonnage de l’air dans cette région. Cela n’avait aucun sens pour aucun de nous dans l’équipage parce qu’en deux occasions nous avions du survoler cette zone. Une fois en raison d’une évacuation médicale du camp australien appelé Camp Davis. Il était sur le côté opposé du continent et nous avons dû faire le plein à Pôle Sud et le trajet direct vers Camp Davis passait juste au-dessus de la station d’échantillonnage de l’air. La seule chose que nous avons vu en survolant ce camp était un très grand trou qui entrait dans la glace. Vous auriez pu faire voler un de nos LC130 dans cette chose.

crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News

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C’est après cette mission d’évacuation sanitaire que nous avons été brieffés par quelques « fantômes » (agents de renseignements je suppose) de Washington DC et on nous dit de ne pas parler de cette zone que nous avions survolée. L’autre fois où nous avons approché « Le Camp d’échantillonnage de l’air » nous avions eu des pannes de navigation et des pannes électriques à bord de l’avion et on nous a dit de quitter immédiatement la zone et de faire un rapport à notre chef d’escadron dès notre retour à McMurdo. Pas la peine de vous dire que notre pilote (commandant de bord) s’est fait botter les fesses et que notre équipage est resté hors des approvisionnement du Pole Sud pour plus d’un mois. Il y a eu plein d’autres fois où nous avons vu des choses qui sortaient de l’ordinaire. Un camp à la périphérie (près de la terre Marie Byrd) où nous avions laissé des scientifiques et leur équipement n’a plus communiqué avec  Mc Murdon pendant deux semaines. Notre équipage est retourné au camp pour voir si les scientifiques allaient bien. Nous n’avons pas trouvé âme qui vive. La radio fonctionnait bien puisque nous avons appelé McMurdo pour vérifier qu’elle fonctionnait correctement. Nous avons quitté le camp et avons regagné McMurdo suivant les ordres de notre commandant. Une semaine plus tard les scientifiques se sont montrés de retour à leur camp et on appelé McMurdo pour que quelqu’un vienne les récupérer. Notre équipage vola de nouveau là bas pour les récupérer puisque nous les y avions déposés et que nous connaissions le terrain et l’endroit. Aucun des scientifiques n’a voulu parler aux membres de l’équipage et pour moi ils semblaient effrayés. Dès notre retour à McMurdo, on les a  mis (les scientifiques) dans un autre avion de notre escadron et ils ont été conduits à Christchurch en Nouvelle Zélande. On n’a plus jamais entendu parler d’eux. Leur équipement qu’on avait rapatrié du camp fus mis en quarantaine et renvoyé par bateau aux Etats Unis escortés par les mêmes agents de renseignements qui nous avaient débriefés à propos du  survol du camp d’échantillonnage de l’air/grand trou dans la glace. Je pourrais continuer indéfiniment de parler des choses et situations que j’ai observées lors de  ma tournée avec VXE-6. En bavardant avec les équipages, il ressort qu’il y a une base OVNI au Pôle Sud et certains membres d’équipage ont entendu des scientifiques qui travaillent au Pôle parler d’EBEs (Entité Biologique Extraterrestre) qui travaillent en interaction avec les scientifiques dans ce camp d’échantillonnage de l’air ou grand trou dans la glace.

crédit image Ken Pfeifer World Ufo Photos and News

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 Remarque : Les deux premières images sont des illustrations

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Remerciement spéciaux à   Linda Moulton Howe

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 22/02/2015 à : 23h40.

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Découvrez les curieux spécimens qui peuplent les fonds de l’océan Antarctique

Animaux des fonds marins antarctiques : la collection se limite à tous les organismes vivant sur les fonds marins, à près de 800 mètres de profondeur, et assez grands pour être visibles à l'oeil nu

(crédits photo : Julian Gutt, Alfred Wegener Institute)

Article source: maxisciences.com

Publié le 20 février 2013 par Emmanuel Perrin

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Des chercheurs de Institut Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine, en Allemagne, viennent de finaliser une base de données répertoriant les étranges créatures vivant dans les profondeurs de l’océan Antarctique.

Quel genre de créatures peuvent se permettre de peupler des zones aussi hostiles que les profondeurs de l’océan Antarctique ? Pour le savoir, une équipe de chercheurs de Institut Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine, en Allemagne, se sont attelés à créer une base de données en ligne recensant toutes les espèces répertoriées dans la région. La collection se limite pour le moment à la faune macrobenthique, à savoir tous les organismes vivant sur les fonds marins, à près de 800 mètres de profondeur, et assez grands pour être visibles à l’œil nu.

Le catalogue, présenté dans la revue Nature, décrit en détail des spécimens étranges appartenant à la famille des échinodermes, des éponges, des crustacés et même de certains poissons. Ces derniers sont spécifiquement adaptés à la vie en eaux glaciales grâce à des protéines antigel présentes dans leur sang et des fluides corporels. La base de données s’appuie sur des informations récoltées au cours de 90 expéditions différentes depuis 1956. Les photographies sous-marines remontent quant à elles au milieu des années 1980.

Chaque espèce est géoréférencée en fonction de la zone précise où elle a été observée. « Le plus grand intérêt de cette archivage, est que les données ont été recueillies sur plusieurs années et par diverses institutions. Elles sont maintenant non seulement disponibles gratuitement pour quiconque souhaite les télécharger et les utiliser, mais également bien documentées pour faciliter leurs réutilisation dans de futures études » explique dans un communiqué Julian Gutt, directeur du projet.

Un outil précieux pour définir des aires protégées en Antarctique

La collection, au premier abord à destination des chercheurs et des professionnels de la biodiversité, devrait s’avérer également un outil précieux pour aider les autorités à définir des aires marines protégée et notamment en mer de Ross. L’an dernier, les Etats-Unis avaient présenté une proposition visant à préserver la région couvrant près d’1,8 millions de kilomètres carrés. Celle-ci prévoit notamment de limiter la pêche à certaines zones de la baie afin de préserver l’habitat d’espèces emblématiques comme les baleines et les manchots empereurs tout en maintenant des stocks viables de poissons ayant une valeur commerciale.

La proposition, appuyée par la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni, a été mise de côté lors de la réunion de la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l’Antarctique qui s’est tenue à Hobart, en Australie. Toutefois, la question devrait être abordée de nouveau lors d’une session spéciale en Allemagne.

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Mise  à jour investigation océanographique et oanis, le  : 21/02/2013 à : 18h15.

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