INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Hier nous avons assisté à Sanvignes les mines (71) avec Era et Yves Herbo à une conférence de Emilie Mondoloni ( Docteur en Sciences Humaines et Sociales, diplômée de l’Université de Grenoble, elle a toujours été passionnée par l’être humain. « J’ai d’abord approfondi cette passion par plusieurs formations et une expérience diversifiée en communication auprès d’entreprises privées, d’associations et de laboratoires de recherche dont plusieurs rattachés au CNRS. Mon parcours s’est enrichi de techniques de développement personnel, afin de prendre en compte l’humain dans sa globalité. J’ai ainsi suivi des cursus en géobiologie, Reiki Usui et lithothérapie holistique. »), dont le titre de sa conférence était :
Elle a proposé son travail et ses arguments. Pour elle, cette cité a existé mais pas à l’époque présumée des historiens, bien avant. Cette civilisation a obtenu beaucoup de connaissances à son âge d’or et puis, elle est devenue belliqueuse , c’est ce qui a causé sa perte. Un manque de maturité et d’humilité aurait été fatal à cette cité aujourd’hui engloutie quelque part sur notre planète.
Ci -dessous nous partageons ce reportage que Emilie nous a conseillé .
James Cameron réalisateur et explorateur océanographe a toujours été fasciné par l’Atlantide.
Era et moi nous apprécions vraiment James Cameron, aussi bien le réalisateur que l’aventurier, l’explorateur.
L’Atlantide nous séduit ce n’est pas un scoop pour les personnes qui nous côtoient.
Alors continuons nos investigations grâce à celles et ceux qui voyagent et partagent leurs explorations .
Ces supports vidéo et l’article ci-dessus permettent déjà une certaine approche de cette énigme compliquée qui divise encore à l’heure actuelle les courants de pensée.
*Nous remercions Yves Herbo d’être venu avec nous à la conférence de Emilie ainsi que Emilie pour sa disponibilité et sa simplicité.
Un mystérieux château de 3000 ans a été découvert dans les profondeurs d’un lac en Turquie
Article source :trustmyscience.com par Julien Claudet
Les villes englouties font généralement partie des légendes, mais à présent, des archéologues ont découvert les ruines d’un ancien château mystérieux, construit entre le IXè et le VIè siècle avant J.-C., se cachant dans les profondeurs du lac Van, en Turquie.
Après plus d’une décennie de recherches dans le deuxième plus grand lac du Moyen-Orient, les vestiges d’un royaume perdu ont été retrouvés sous la surface du lac. Ce sont des archéologues de l’Université Van Yüzüncü Yıl qui ont annoncé cette incroyable découverte : un vaste château vieux de 3000 ans, très bien préservé, dans les profondeurs du lac. Les chercheurs ont travaillé en étroite collaboration avec une équipe indépendante de plongeurs afin de découvrir le château.
Vidéo youtube
Underwater Fortress Discovered Under Turkish Lake | National Geographic
Les villes ou les châteaux sous-marins perdus sont assez populaires dans le folklore et les légendes à travers le monde. Il en va de même pour les diverses histoires de monstres sous-marins se cachant dans les abysses des lacs profonds. Le chef de l’équipe de plongée, Tahsin Ceylan, était dans un premier temps à la recherche du monstre du lac Van. Mais, à la place, il a découvert une ville perdue. « Il y avait une rumeur selon laquelle il pourrait y avoir quelque chose sous l’eau mais la plupart des archéologues et des responsables de musées nous ont dit que nous ne trouverions rien », a-t-il expliqué.
La vie existe-t-elle ailleurs que sur la Terre ? Cette question qui hante l’humanité pourrait bientôt trouver une réponse. Peut-être même dans notre système solaire.
Un signal électronique émis au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa, en Californie, parvient à un robot téléguidé, sous une couche de glace de 30 cm, dans un lac d’Alaska. Le phare du robot s’allume.
« Ça marche ! », s’exclame John Leichty, un jeune ingénieur du JPL blotti sous une tente, près du lac. Ça n’a pas l’air d’un exploit technologique, mais c’est peut-être le premier pas vers l’exploration d’une lune lointaine.
À plus de 7 000 km de là et à 15 m sous terre, une géomicrobiologiste patauge dans les eaux troubles et les ténèbres d’une grotte mexicaine. Comme chacun des scientifiques qui l’accompagnent, Penelope Boston est munie d’un respirateur et d’une réserve d’oxygène.
Du sulfure d’hydrogène et du monoxyde de carbone, deux gaz mortels, s’infiltrent souvent dans la grotte. Soudain, le rayon de sa lampe frontale se pose sur une goutte d’un fluide épais et translucide qui s’allonge en suintant d’un éboulis de craie. « N’est-ce pas mignon ? », s’écrie Boston.
Ce lac arctique et cette grotte tropicale pourraient fournir des indices sur l’un des plus vieux mystères qui hantent l’humanité : y a-t-il de la vie au-delà de notre planète ? S’il en existe, ce pourrait être dans notre système solaire ou en orbite autour d’autres étoiles.