INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Les drones sous-marin bluefin en action dans la recherche d’épaves. Crédit image :frandroid.com
L’ONERA met de l’intelligence artificielle sur les drones maritimes
Article source : meretmarine.com
Publié le 24/10/2017 par Vincent Groizeleau
Défense
Offshore
Science et Environnement
Etudes hydrographiques et océanographiques, inspection d’infrastructures offshore, détection de pollution, recherches suite à des crashs, surveillance, guerre des mines… Les drones maritimes peuvent avoir de nombreuses applications civiles et militaires, notamment s’ils sont employés de manière groupée et coordonnée sur plusieurs dimensions. Des concepts de meutes de drones sont en cours de développement mais, pour l’heure, il s’agit essentiellement de formations prédéfinies articulées autour d’un engin « maître » sur lesquels les autres véhicules sont asservis. L’étape technologique suivante consistera à pouvoir déployer dans différents milieux (sous, sur et au-dessus de la mer) une flottille dont chaque membre, grâce aux progrès réalisés en matière d’intelligence artificielle, disposera d’un très haut degré d’autonomie décisionnelle, pourra interagir avec les autres et faire face, de manière indépendante ou coordonnée, à tout type de situation et aléas afin de mener à bien sa propre mission comme celle du groupe.
Nous vous présentons ici un produit français. Nous remarquons que notre pays a des arguments pour se défendre le cas échéant, mais aussi pour remplir certaines missions délicates et dangereuses.
En ce qui nous concerne ce fait nous livre une idée sur les performances actuelles de nos embarcations qui sont cependant loin de rivaliser avec des « objets sous-marins non-identifiés »( OSNI), relevés par les rares militaires ( marins et sous-mariniers en particulier) et qui osent témoigner.
Selon le site web mer et marine, le SMX Ocean a été révélé à l’occasion du salon Euronaval en octobre 2014. Il est issu du programme Barracuda qui a donné la Classe Suffre
Ce vaisseau est une plateforme techniquement réalisable dès aujourd’hui .Il est conçu pour effectuer des missions allant jusqu’à 90 jours, soit le double du Scorpene, avec une vitesse de transit de 14 nœuds (25,928 km/h) , ce qui ne s’est encore jamais vu sur un sous-marin classique. Pour obtenir de telles performances, DCNS s’appuie sur ses dernières innovations en matière de propulsion. En plus de ses six moteurs diesels de 1250 kW chacun, le SMX Ocean est équipé de deux systèmes de piles à combustible et trois batteries lithium-ion. L’emploi de ce système anaérobie de nouvelle génération permet au sous-marin de réaliser en plongée deux transits d’une semaine et, une fois sur le théâtre d’opération, de rester immergé durant un mois. Source
Le futur SMX-Ocean peut se déplacer à une vitesse de 20 nœuds ( 37,04km/h) en plongée et s’immerger à 350 mètres de fond pour un déplacement en surface de 4 750 tonnes.
Nous remarquons qu’en terme de vitesse nous sommes loin des 230 nœuds ( 425,96km/h) observés par des structures mobiles marines inexpliquées encore à ce jour.
PUBLIÉ LE 10/02/2017 À 06H56, MIS À JOUR LE 10/02/2017 À 12H53
Deux bombardiers russes de type Tu-160 Blackjack ont été interceptés aux larges des côtes françaises jeudi 9 février. Ils ont notamment été escortés par deux Mirage 2000-5. Les bombardiers russes n’en sont pas à leur coup d’essai.
Nos capacités de défense ne sont -elles pas mises à l’épreuve ? La Russie n’espionne-t-elle pas nos installations et notre capacité de réaction par la même occasion?
Alors vu le contexte actuel, une guerre froide qui a repris de plus belle même si celle-ci n’ a jamais réellement cessée, nous pouvons légitimement nous interroger sur les réelles intentions de la Russie.
Je vais pousser le bouchon plus loin.
Les drones survolant nos sites nucléaires civils et militaires ne sont -ils pas aussi concernés?
L’origine même de ces survols intempestifs et échappant à en croire certains à notre contrôle sont-ils militaires d’origine russes , chinoises ou américaines ?
Les ufologues y voient une toute autre origine, ils pensent grandement à une intervention de type exogène.
Alors si nous restons attentifs à l’actualité de cet acabit, nous pourrions peut-être avoir des éléments de réponse . Si d’aventure, après cette énième incursion russe, dans quelques jours nos installations stratégiques étaient encore survolées par des « drones ».
Je remarque que peu de temps après, le survol d’avions russes près de nos côtes, au maximum sur une période d’un trimestre, suit des intrusions de » drones » indésirables sur notre territoire.
Je vous laisse messieurs et mes dames à votre propre analyse et réflexion.
Article repris par Jack comme mentionné sur son commentaire
« Il y a complément de cet article qui est programmer à 07h00 aujourd’hui chez moi »
L’André Malraux, du DRASSM crédits : MER ET MARINE – JEAN-LOUIS VENNE
Pour faire suite à l’article d’hier sur le sujet d’une opération unique de fouilles sous-marines qui a débuté hier, au large de Toulon, sur un ancien vaisseau de la flotte de Louis XIV, qui sombra face au cap de Carqueiranne en novembre 1664..La Lune, dont la disparition fut cachée par les autorités au moment du drame, a été découverte en 1993. Mais, jusqu’ici, aucune exploration n’avait été menée sur l’épave, qui repose par 90 mètres de profondeur. Disposant désormais des moyens techniques appropriés, le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) du ministère de la Culture se lance donc dans une grande opération à la découverte de La Lune, pilotée par son directeur, Michel L’Hour, qui a présenté l’opération vendredi dernier en compagnie de l’amiral Tainguy, préfet maritime de la Méditerranée.
Le DRASSM, qui collabore sur cette opération avec la Marine nationale, la Comex et Dassault Systèmes, met en œuvre son tout nouveau navire de recherche, l’André Malraux, entré en service l’an dernier. Il travaillera avec le bâtiment de soutien Jason et la cellule de plongée humaine et d’intervention sous la mer (CEPHISMER) de la Marine nationale, ainsi que le Minibex de la Comex. D’importants moyens sous-marins seront engagés, avec la participation de robots télé-opérés et de scaphandriers.