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Ovnis sur le Morbihan

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Ajoutée le 20 mars 2015

ODH Doc’s Saison 5.2
Tour de France des Ovni 2015
#09. Ovnis sur le Morbihan avec la participation de Joël Mesnard.

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 20/03/2015 à : 09h55.

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Le voilier de Tara Oceans s’apprête à explorer l’Arctique

Tara est un voilier en aluminium conçu pour la navigation en mers polaires. La forme de sa coque lui permet d'être pris par la glace de la banquise. Dans cette situation, il serait simplement soulevé. © Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Tara est un voilier en aluminium conçu pour la navigation en mers polaires. La forme de sa coque lui permet d’être pris par la glace de la banquise. Dans cette situation, il serait simplement soulevé. © Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences

Article source: futura-sciences.com

Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences, le :Le 23 avril 2013 à 17h56.
 FuturaSciences

Branle-bas de combat pour l’équipe de Tara Oceans Polar Circle : le navire océanographique va repartir en mer, vers le nord, cette fois, pour des études du plancton, bactéries comprises, tout autour de l’océan Arctique. La région est mal connue et l’enjeu scientifique est considérable. Le travail ne manquera pas pour les océanographes, durant les sept mois de ce voyage.

Le 19 mai 2013, la goélette Tara quittera le port de Lorient et fera route vers Tromsö, en Norvège, un peu au-delà du cercle polaire arctique. À bord, des biologistes et océanographes, notamment du CNRS, de l’EMBL (European Molecular Biology Laboratory) et du CEA, effectueront des analyses de plancton. Que ce soit par la photo où la génétique, ils en étudieront tous les organismes, virus, archées, bactéries, algues et petits animaux. Il n’est pas si fréquent qu’un navire si bien équipé reste si longtemps dans ces régions, qui restent très mal connues alors qu’elles évoluent rapidement sous l’effet du changement climatique.

L’équipage et les scientifiques entameront le contournement de l’océan Arctique dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, commençant par le mythique « passage du nord-est », le long des côtes de la Sibérie. Ils termineront par le non moins célèbre « passage du nord-ouest », à travers l’archipel du Grand Nord canadien, qui ne fut franchi pour la première fois qu’entre 1903 et 1906 par Roald Amundsen sur un petit voilier, le Fram.

 Tara Oceans, une épopée scientifique

Le navire de Tara Oceans est conçu pour ces mers froides et encombrées de glaces puisqu’il a été réalisé pour Jean-Louis Étienne. Le grand explorateur polaire a navigué entre 1991 et 1996 sur cette goélette en aluminium de 36 m, à fond assez plat et double quille relevable, qui s’appelait alors Antarctica.

Sous le nom de Tara, le voilier a pris la mer durant deux ans et demi pour une vaste expédition que nos lecteurs ont pu suivre. Le long des 115.000 km parcourus, 126 scientifiques se sont succédé à bord, multipliant les mesures, océanographiques mais surtout biologiques et focalisées sur leplancton. Des caméras ont filmé, des appareils ont réalisé des analyses génétiques, des biologistes ont effectué des comptages et des identifications : le bilan scientifique est énorme. « Nous en avons pour plus de cent ans à travailler sur ces résultats », nous expliquait Gabriel Gorsky, directeur de l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-mer, l’un des coordinateurs de l’expédition, alors que son collègue Christian Sardet, hyperpassionné de plancton, nous parlait d’un « trésor ».

Au cours de ce long périple, seules les mers arctiques avaient été délaissées. C’est donc la continuité de cette expédition océanographique qui va être réalisée à partir de mai prochain, pour se terminer le 6 décembre par une arrivée dans le port de Lorient. L’ampleur de l’enjeu scientifique et la richesse de la moisson accumulée par la première partie de l’expédition Tara Oceans méritent que l’on suive cette expédition. Ce que Futura-Sciences ne manquera pas de faire. Restez en ligne et vous découvrirez les coulisses de cette épopée océanographique.

 

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le : 24/04/2013 à : 10h25.

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SMX 24, le sous-marin avec des ailes et le SMX-25.

illustration:ar-maroc.forumpro.fr

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ar-maroc.forumpro.fr

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Note adm:

26/02/2013, 19h35:

Nous vous proposons un projet de type nouveau concernant la classe des  submersibles.

Un extrait de l’article de Le point . fr publié Par  le  18 mai 2010, pour le SMX 24 la suite sera à lire sur le site de cette même source. 

De même pour la présentation du SMX 25, artilce du télégramme.com.(du 27 octobre 2010).

D’ après DCNS, Au sein d’une force navale, le SMX-25 est plutôt vu comme un éclaireur, chargé par exemple de recueillir des renseignements, ou bien, grâce à ses moyens d’action vers la terre (nettoyage de plages par des commandos ou frappes contre des cibles terrestre via ses missiles de croisière) de préparer une zone à l’arrivée d’une force de projection. Il n’est, en revanche, pas optimisé pour le combat sous-marin, sa dotation, défensive, se limitant à quatre torpilles prêtes à tirer dans quatre tubes situés à la proue.

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source:lepoint.fr/

Dans sa revue Naval Experts, la société DCNS revient sur son concept de sous-marin du futur, le SMX 24, dont nous publions ci-dessous quelques images conçues sur ordinateur. Ce « gros » sous-marin (3.500 tonnes), qui n’existe pour l’instant qu’au stade de projet et cherche encore son premier client, présente la particularité d’être modulaire et adaptable à toutes sortes de missions. Suitelogo_le_point1-300x64

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Mi-bateau, mi-submersible, le SMX-25, imaginé par le bureau d'ingénierie de DCNS Lorient, a été présenté en avant-première au salon Euronaval du Bourget. (crédit DCNS)

Mi-bateau, mi-submersible, le SMX-25, imaginé par le bureau d’ingénierie de DCNS Lorient, a été présenté en avant-première au salon Euronaval du Bourget. (crédit DCNS)

DCNS-Lorient (56). Un sous-marin de surface présenté à Euronaval

C’est le dernier né des bureaux d’ingénierie de DCNS Lorient: SMX-25 a été présenté en avant-première au salon Euronaval du Bourget. Le concept? Un sous-marin de surface.

SMX-25. Un nom futuriste pour un projet qui ne l’est pas moins: un sous-marin de surface aussi rapide sur l’eau qu’efficace en plongée. Mi-bateau, mi-submersible, SMX-25, sorti tout droit de l’imagination des ingénieurs de DCNS Lorient, veut marquer les esprits. «On s’impose tous les deux ans un projet un peu provocateur. Ce salon est le moment idéal pour sortir des sentiers battus», affirme Xavier Itard, le directeur de la ligne de produit sous-marins de DCNS, en marge du rendez-vous international. Une vitesse record 
La première tôle de ce bâtiment, de 109 mètres de long pour un déplacement de 2.800 tonnes en surface (4.700 en plongée), n’est sans doute pas prête d’être découpée. «Mais ce concept peut exprimer un besoin du marché et l’intérêt de futurs clients». SMX-25, c’est d’abord un monstre de rapidité. Le bâtiment, avec sa carène profilée (en perce-vagues) et spécialement adaptée à la navigation de surface, est capable d’atteindre des vitesses de 38 noeuds. Un record pour un sous-marin conventionnel qui atteint en général péniblement 8à 10 noeuds. Puissant, le sous-marin, manoeuvré par 27 hommes d’équipage, revendique aussi une autonomie de 2.000 milles nautiques. «Avec ce bâtiment, doté d’une propulsion de trois hydrojets et de trois turbines à gaz, on veut changer l’ordre des choses». Dans l’esprit des ingénieurs, SMX-25 devient l’avant-garde d’une force navale, capable de se déployer rapidement sur une zone de conflit. Discret et d’une réelle furtivité (sa signature radar ne dépasse pas celle d’un bateau de pêche en surface), le bâtiment se révèle redoutable pour faire du renseignement ou utiliser ses 16 missiles de croisière antiaériens, terrestres ou contre des navires. Sa plateforme d’ascenseur de 7 mètres peut servir de force de projection à des commandos ou de rampe de lancement à des drones aériens et sous-marins.

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Le SMX-25crédits : DCNS

Le SMX-25
crédits : DCNS

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Mise  à  jour investigation océanographique et oanis, le :26/02/2013 à : 19h35.

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