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Objets sous-marins non identifiés et OVNIS en Argentine entre investigations et suspicions.

OANIS en Argentine
Crédit illustration-
Luis Burgos – « Ovnis Siglo XXI » © 2017

 


Gilles Thomas nous a déniché cet article que nous avons traduit au mieux. Nous remercions gilles pour son entière coopération. Ceci apporte de l’eau ( jeu de mots ) à notre moulin et c’est peu de le dire, concernant d’une part notre orientation et d’autre part  nos investigations.


Article source: inexplicata.blogspot.fr/

Par Luis Burgos-« OVNIS Siglo

Jeudi 30 novembre 2017 -THURSDAY, NOVEMBER 30, 2017

À la suite des événements tragiques impliquant le sous-marin Ara San Juan le 15 novembre 2017, beaucoup de gens nous ont contactés en  demandant si [la tragédie] pouvait être liée à un aspect de notre recherche. inutile  de vous dire qu’ insinuer une telle chose est extrêmement dangereux. Le temps nous dira ce qui s’est réellement passé après la fin des opérations de recherche et de récupération. Tout ce que nous pouvons faire, c’est théoriser et offrir des opinions. Voilà donc notre contribution.

Causes de l’explosion

En interne, la raison d’une panne de batterie , « officiellement » ceci est accepté.

Les causes:  4 possibilités qui ont pu conduire à l’incident.

A :panne de batterie

B. en raison de la descente à des profondeurs critiques à la suite de l’insuffisance de l’équipement.

C. collision avec un «objet inconnu»

D. attaque par un «objet inconnu»

Sans aucun doute, c’est le point le plus inquiétant. L’ARA San Juan était sur le trajet  de retour ayant partcipé à l’opération Cormorant dans les mers du Sud avec les forces internationales. Sa destination, ostensiblement Mar del Plata, l’a rapprochée de la zone d’exclusion imposée par les forces britanniques [pendant la  guerre des Malouines en 1982  ] et en dépit du fait que nous sommes en paix et non en guerre, » l’ hypothèse de conflit » peut être écartée.

La période de confusion généralisée est maintenant derrière nous (sept appels [du sous-marin], des bruits biologiques, des anomalies hydroacoustiques, des radeaux flottants et des bouées, etc.) et la nature de l’incident étant une certitude, le sujet a deux aspects fondamentaux: la nature de l’explosion et des opérations de récupération.

Mission de rétablissement.

Un éventail impressionnant de pays offrent une assistance logistique et humanitaire à l’Argentine, parmi eux quatre des cinq membres du Conseil de sécurité des Nations Unies (les États-Unis, la Russie, la France, le Royaume-Uni et la Chine). C’est extrêmement important, mais nous ferions bien d’envisager une possibilité qui couvre trois hypothèses, telles que:

A. cette aide est offerte sans contrepartie parce que ce sont des « bons gars ».

B. cette aide est offerte, mais en vue de profiter de la situation-ressources marines, espionnage, futurs traités, etc.

C. ils veulent savoir ce qui s’est réellement passé en utilisant le «danger pour la sécurité » comme excuse.

Une fois de plus, nous devons faire une pause pour méditer: l’Argentine est signataire du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP-1968) avec les puissances mondiales. Plusieurs de ces pays se sont déployés vers notre Patagonie dès que les nouvelles sont répandues, une opération massive impliquant 4000 personnes. Ils resteront là, en fait, jusqu’à ce que l’on sache ce qui est arrivé au San Juan ,  puisque l’on parle du décès de 44 membres d’équipage . Dans cet état de faits, il devient évident que quelque chose ne colle pas pour eux. Le communiqué officiel de la marine Argentine est effrayant: «un événement anormal, unique, court, violent et non nucléaire», d’autant plus dans la prise de conscience que l’onde de choc a été ressenti aussi loin que l’Afrique du Sud et probablement  jusqu’ à l’océan Indien.

La question brûlante serait: les super puissances  travaillant à Ground Zero (Etats-Unis, Russie, France, Grande-Bretagne et Allemagne) soupçonnent qu’il y a quelque chose de plus ? Hypothétiquement, est-ce que ces gens débattent sur la possibilité que l’ARA San Juan ait pu transporté en son sein une sorte d’armement nucléaire qui mettrait en péril non seulement l’écosystème marin, mais aussi la politique internationale en matière d’armement  ?

Un problème de base peut être retenu contre nous en tant que nation, et peut avoir pour incidence que les autres nous regardent  de travers. Le sujet infâme du missile Condor II et ses conséquences (1989). Plus triste encore, c’est que nous ne pouvons jamais connaître les véritables causes d’un tel incident, mais cette hypothèse, juste une parmi beaucoup d’autres, pourra  peut-être servir de raccourci vers le dénouement  de l’énigme , pourquoi[tous ces pays] sont ici dans nos eaux  territoriales.

Nous ne pouvons pas ignorer le récit de l’«objet sous-marin» détecté par l’avion américain à 300 kilomètres de port Madryn, Chubut,  estimé à une profondeur de 70 mètres, un fait  qui a été mis de côté le lendemain, lorsqu’on on appris que la trajectoire  du sous-marin  l’a pris en ligne droite  vers le golfe de San Jorge, en d’autres termes, à quelques 140 milles nautiques au sud. 

Pour terminer, tout ce que nous pouvons dire, c’est que l’Argentine doit réévaluer ses forces armées. Une réévaluation sérieuse qui doit être prise en tant que telle par les autorités impliquées. En d’autres termes, les trois branches du gouvernement (exécutif, législatif et judiciaire) et les trois branches des services (Force aérienne, armée de terre  et  la marine). C’est une priorité pour aujourd’hui, pas pour demain ou pour les années à venir. Ce n’est pas une plaisanterie. Malheureusement, et bien qu’il soit difficile à admettre, le parti responsable de l’état de nos forces armées est aujourd’hui … la démocratie. 34 années se sont écoulées depuis la restauration de la règle démocratique instaurée en 1983 et aucun gouvernement n’a fait quelque chose à ce sujet, ils ont plutôt, travaillé contre elle: les coupes budgétaires, le manque d’entretien adéquat, le démantèlement, etc. Il était surprenant de voir d’innombrables politiciens des trois dernières décennies s’exprimer au cours des derniers jours, en montrant des inquiétudes et en préférant des explications. « La corruption tue » est une vérité qui s’applique à tous. Le trou béant dans les forces armées est maintenant relégué en arrière, ceci est une  énorme bévue .

Ensuite, nous examinerons le sujet du trafic non identifié dans ces eaux lointaines. De la naissance du phénomène impliquant les soucoupes volantes d’antan et les OVNIS d’aujourd’hui-sont intimement liés à l’eau. Il y a une prolifération d’événements dans les histoires mondiales impliquant des objets volants non identifiés émergeant de l’eau  ou plongeant dans les rivières, les lacs, les lagunes et les mers. Il n’y a pas beaucoup de théories  qui admettent  la possibilité de bases dans les zones lacustres, donnant lieu à des objets submersibles (USOs)-non identifiés. D’autres chercheurs ont fait une référence tacite aux sous-marins ou aux objets subaquatiques. Ce qui importe, c’est que notre pays n’était pas libre de ces événements, et les incidents ont été signalés remontant aussi loin que les années 1940 se situant dans les zones aqueuses à travers l’Argentine. Mon article « Luces en Los Lagos » (lumières dans les lacs) est en ligne et discute des incidents avec ces caractéristiques, suggérant la possibilité qu’ils utilisent   des abris comme des emplacements permanents ou temporaires .

Pas une semaine s’était écoulée depuis le « premier cas impliquant une soucoupe volante en Argentine » (10 juillet 1947 à la Plata, Buenos Aires) quand la connexion UFO-Water ( OVNI et eau) a déjà été envisagé. En effet, à 09h00 heures le 15 juillet de cette année-là, l’équipage d’un navire polonais amarré à Puerto Nuevo, ainsi que du personnel de la Préfecture navale uruguayenne, a détecté un «étrange artefact semblable à un avion» qui plonge dans  la rivière de la Plata. Les entreprises de transport aérien ont été interrogées sur la perte éventuelle d’un de leurs aéronefs, avec des résultats négatifs. La question inquiétante  était posée concernant les eaux de Rio de la Plata. Quel genre d’objet volant tombait du ciel ce jour là ? 

Ces épisodes se sont poursuivis au cours des années suivantes. Les Articles de nouvelles du littoral de Patagonie ont parlé d’objets bizarres sortant de la mer ou plongeant dedans, comme  ceci s’est produit dans Rio Grande (Tierra del Fuego) et Puerto Coig (Santa Cruz) en 1950 ou dans comodorant Rivadavia (Chubut) en 1953. Ce qui est vraiment déconcertant, c’est que des incidents ont aussi été signalés à la porte de la capitale fédérale .

Un curieux objet ressemblant à une «mine de mer»,  de couleur rouge, a été vu flottant près du ponton Recalcada dans  la rivière de la Plata, le 19 février 1953. Il était situé à 35 degrés de longitude Sud et 56 degrés de longitude ouest, confirmé par le skipper du navire « San Jorge » et  de l’équipage du SS coracero un autre bateau. La fouille était vaine.

Au cours du mois de juin 1959, selon les sources officielles, un objet submersible non identifié ressemblant à «un dirigeable» a plongé dans la  la rivière de la Plata.

Article de la presse argentine.
Crédit photo-inexplicata.blogspot.fr
Luis Burgos – « Ovnis Siglo

Les années 1960 mystérieuses:

Ainsi, nous arrivons à la décennie controversée qui a été témoin de nombreuses «persécutions» d’objets étranges et insaisissables par la marine Argentine dans nos golfes de Patagonie, en particulier dans les eaux du Golfo Nuevo, dans la péninsule Valdés et dans le Golfo San Jorge. Tout cela a pris fin lors la création des commissions officielles notoires ainsi que trois présidents-Arturo Frondizi, Arturo et le général Juan Carlos Onganía-prenant de l’intérêt en la matière. Toutes les interceptions et les bombardements avec des charges profondes fuirent vains. Pendant des années, les objets sous marin non-identifiés erraient libre dans ces eaux jusqu’à ce que les incidents s’éclaircissent et diminuent  les décennies suivantes. Par conséquent, la marine s’est détachée de la situation et tout événement impliquant des objets plongeant ou se levant de la côte fut limité au témoignage des pêcheurs, des touristes, des conducteurs ou des habitants.

Peut-être le cas dont on se souvient le mieux est celui impliquant un agriculteur  répondant au nom de Carlos corosan, qui a été témoin d’un grand objet en forme de cigare, d’aspect  métallique , qui a plongé dans la mer près de Puerto Deseado (Santa Cruz), émettant de la fumée en plein jour. Il a causé  un grondement tumultueux  dans l’eau. (1966). Les hypothèses concernant l’existence de tanières permanentes sous nos mers, ayant la fonction de véritables bases d’OVNI, ont commencé à prendre de la vigueur. En bref, une activité biologique intense  est à l’abri de tout danger dans ces profondeurs …

Anecdotique, mon frère Pedro Trachlsler effectuait son service militaire à bord du destroyer Ara Cervantes durant ces années. L’équipage a été mis en alerte lorsqu’un objet volant non identifié a été détecté dans les eaux du Golfo Nuevo. Il a été intercepté et des charges de profondeur ont été lâchées, suivie d’une salve de torpilles. Lorsque ceux-ci n’ont pas atteint leur cible prévue, ils ont été récupérés de la surface et montés à bord. Avant de disparaître, dit-il, l’objet sous-marin non-identifié «passa juste sous le navire de guerre».

L’intrus 1975:

Parmi les nombreux témoignages des années 1970, l’un se distingue en raison de la qualité des témoins,  et ce, malgré le fait qu’ils ont choisi de rester anonymes. Aux environs de 01h30 heures le 16 juillet,  quatre personnes-deux hommes d’affaires et deux vendeurs ambulants pêchaient à la jetée de Caleta Oliva (Santa Cruz). La nuit était calme. Soudain, l’un d’eux a vu une étrange silhouette en forme de cigare  évoluer sous l’eau à 100 mètres de leur position. Il mesurait environ 10 mètres de long,  il était complètement silencieux, avait des contours bien  définis et  il était de couleur vert-jaune. Pendant une vingtaine de minutes, l’objet sous-marin non -identifié a voyagé lentement le long de la côte vers le sud jusqu’à sa disparition. Le lendemain, plusieurs résidents de Caleta Olivia ont confirmé la découverte d’un grand nombre de poissons morts sur leurs rives , ainsi que des mouettes et des Albatros . La pêche fut impossible toute  la journée.

L’incident de San Blas

La présence  des O.A.N.I  a été officiellement corroborée au milieu des années 1980. Cette fois-ci, c’était la baie de San Blas, au sud de Buenos Aires, connue sous le nom de « le paradis des pêcheurs ».

Dans la nuit du 3 juin 1988, le pétrolier «Puerto Rosales» a avisé la Préfecture navale qu’il avait détecté un objet flottant non identifié à quelque 20 milles de la côte, d’abord sur le radar et ensuite visuellement. L’objet n’a pas répondu aux signaux envoyés. Un état d’alerte a été déclaré et la marine Argentine a envoyé une force qui comprenait des avions de la base de commandement  d’Espora, la corvette «Grandville», le destructeur «Sarandi» et un Electra 6 P-101 qui a décollé de la base d’Almirante ZAR à Trelew, Chubut. Il convient de noter que la zone dans laquelle l’objet se déplaçait, face au phare de Segunda Barranca, est assez peu profonde. C’est peut-être pour cette raison que le rapport de la marine remplaçait le mot «sous-marin» par «objet flottant».

Épilogue :

Il y a une trentaine d’années, l’existence de ces «bases sous-marines» a été soutenue dans divers médias. Peu ou rien n’a changé aujourd’hui. Ces USOs ( OANI/ OSNI « Objets sous-marin non-identifiés ») continuent de bouger et se comportent comme ils l’ont fait durant les années 1940 ou 1950, avec la même impunité comme jamais, comme si le territoire était le leur ou s’ils l’avaient occupé sous l’eau pendant une très longue période. Ils voyagent profondément dans la mer, renversant de grands bateaux, ou seulement à quelques mètres de la rive,  surprenant des pêcheurs ou des résidents locaux. Par conséquent, l’existence d’une intelligence inconnue opérant sous les eaux de la Mar Argentino  ( mer d’ Argentine) et donc, l’océan Atlantique, est loin d’être une simple hypothèse, c’est un fait. Nos histoires de cas attestent cela et ces événements continueront à se répéter … une fois de plus, il est démontré que malgré les prouesses technologiques des grandes puissances, capables de localiser un enjoliveur de voiture ou une balle de tennis au moyen de satellites,  il existe une différence considérable qui apparaît quand on la compare au phénomène O.V.N.I.

Source

©2017


Références :

Credit:
Boletín UFO PRESS Nº 13, October 1979.
“Clarín”, 5 June 1988.
“Expedientes OVNIs” (Los Archivos Clasificados Argentinos) Luis Burgos, October 2015.[Translation © 2017 Scott Corrales (IHU) for Inexplicata: The Journal of Hispanic Ufology]


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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :01/12/2017 à :19h40.

Les O.A.N.I. traités dans la revue LDLN

 

Le nouveau LDLN sort. J’ai abordé dans ce numéro le sujet des OANI .

10 découvertes sur le fond du Léman expliquées par Stéphanie Girardclos, chercheuse à l’Université de Genève

Les derniers relevés du « plancher » du Léman dataient de la fin du 19e siècle
Crédit dessin et texte
eau-debat.fr/

Les mystères révélés du fond du Lac Léman

Article datant de  2016-  source : letemps.ch

Des scientifiques genevois et bernois ont réalisé, entre 2012 et 2013, une cartographie ultra précise du fond du lac. A l’issue de l’étude des données, plusieurs structures totalement inédites sont apparues, comme des cratères, des stries, des tunnels glaciaires, de nouveaux canyons. Décryptage exclusif.

Des cratères, par dizaines, de tailles multiples allant jusqu’à 200 mètres de diamètre et à l’origine inconnue. De longues stries formant un zébrage étonnant. L’empreinte d’anciens tunnels du glacier du Rhône, qui recouvrait la région de 1000 mètres de glace. Près du Bouveret, les canyons du delta du fleuve dans d’infinis détails: les nouvelles mesures de topographie du fond du Léman, menées il y a peu par des scientifiques notamment de l’Université de Genève, révèlent petit à petit certains mystères du plus grand lac d’Europe occidentale. Autant de structures pour beaucoup totalement inédites (voir infographie) qui seront bientôt soumises à publication dans une revue spécialisée, tant elles fournissent une image géologique totalement renouvelée de ce réservoir naturel.

«A l’heure où le monde physique qui nous entoure est connu sous toutes ses coutures, décrit, photographié et géo référencé à un degré élevé de précision, il n’en va pas de même des milieux lacustres, lesquels font figure de parents pauvres et sont, vu les difficultés et les coûts inhérents, restés longtemps cartographiés de manière sommaire», rappelait Jean-François Jaton en 2014 dans le bulletin de la Commission internationale pour la protection des eaux du Léman (CIPEL). Et l’adjoint à la Direction générale de l’environnement du canton de Vaud de rappeler que la première carte complète date de 1892, avec les travaux du fondateur de la limnologie, François-Alphonse Forel.

L’avènement récent de nouvelles techniques de mesures a permis aux équipes de Walter Wildi (Université de Genève) et de Flavio Anselmetti (Université de Berne) de lancer une grande opération de mesures, durant septante-quatre jours de navigation entre 2012 et 2013; un travail mis en images dont le résultat, le film «Le Fjord du Léman», est présenté ce jeudi soir à Genève, en présence des scientifiques*.

 Dix découvertes sur le fond du Léman expliquées par Stéphanie Girardclos, chercheuse à l’Université de Genève
(Données bathymétriques: courtoisie Etat de Vaud)

 croquis  letemps.ch

leman

 1  Butte immergée 

Le «relief du Haut-Mont», butte de molasse immergée et jadis non érodée par le glacier du Rhône qui recouvrait toute la région, a permis derrière lui l’accumulation d’une couche de sédiments de 100 m de profond et instable. De quoi grandement compliquer la construction, à cet endroit, de la sortie d’un éventuel tunnel sous le lac pour traverser la rade.

piste1

photo crédit : .letemps.ch

 2  Tunnels glaciaires 

Deux longues structures sombres inédites, qui sont les témoins de la présence de deux immenses tunnels sous-glaciaires où coulaient des flots d’eau, ont été découvertes. Ces deux tunnels ont finalement été remplis par les sédiments et apparaissent aujourd’hui comme de longues collines.

Suite

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :22/10/2017 à :17h20.

Un OANI ou un OVNI autour de la centrale nucléaire de Braidwood ?

Représentation du phénomène.
Crédit : thenightsky.org

   Information envoyée par notre ami Gilles Thomas. Traduction Era pour

Article source : thenightsky.org/braidwood.html

Date: septembre entre 1998 et 2000

Lieu: Braidwood, IL

Pays : USA

Braidwood est située dans l’Illinois. 

BRAIDWOOD LAKE

Braidwood Lake

Braidwood, Illinois

Je n’ai jamais signalé cet incident. Je ne me souviens pas de la date exacte et je n’ai qu’un mois et une année approximatifs. Cela s’est passé à l’automne, en septembre entre 1998 et 2000. C’était vers 23h00, mon petit ami et moi étions assis sur le pont, il faisait froid et nous pensions rentrer au chaud.  Nous vivons près d’ un lac d’une superficie d’environ 16 hectares et il y a un petit lac derrière d’environ 3 hectares au  sud-ouest. Le littoral sud-ouest du lac principal est bordé d’arbres. Il n’y a pas de construction  sur les  250 hectares de derrière, là où se trouve  le petit lac , il y a de la végétation et un chemin de terre. 
Cette nuit là,  au sud-ouest  derrière les arbres,un flash bleu vif illumina l’horizon  tout entier et la zone au sol . La lumière était assez vive pour qu’on puisse  distinguer tout le contour de la cime des arbres dans le ciel nocturne, pendant environ 3 secondes. Juste après cela, un peu  plus au nord, toujours au-dessus de la cime des arbres, j’ai vu ce qui ressemblait à une étoile brillante dans le ciel. Je la regardais et d’un seul coup la lumière s’éteignit , elle était partie. La lumière ne s’est pas déplacée dans le ciel. En ce qui concerne le flash bleu, la seule chose à laquelle  je pourrais le  comparer , ce serait à  un transformateur en feu, mais il n’y a pas de lignes électriques dans ce secteur. Je travaille également pour la compagnie d’électricité et le lendemain j’ai recherché d’éventuels incidents, il n’y en avait aucun.

Après en avoir appris plus à propos des O.A.N.I.S, je pense que quelque chose s’est produit concernant le lac arrière.

J’aimerais aussi ajouter, qu’ à proximité, à un pâté de maison se situe  la centrale nucléaire de Braidwood.

Dernière mise à jour: 10/02/2017 22:41:27

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :04/10/2017 à :21h15.

Projet Aqua – Système

Projet Aqua – Système

Cliquez sur l’image PDF pour lire le document

©2017

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le :13/07/2017 à :06h40.

Dossier : Au -dessus d’un lac en Californie un O.V.N.I semble aspirer de l’eau. (mai 2015)

crédit photo:
ufosightingsdaily.com

 

Date de l’observation: Mai 2015
Lieu de l’observation: Comté du Nevada, Californie

Source: UFO Sightings Daily, 25 mai 2015

Vidéo  crédit ufosightingsdaily.com via  youtube

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

Article ci -dessous traduit par  : nouvelordremondial.cc/

Références: ufosightingsdaily.com & scooper64.rssing.com/

Le pilote, qui a préféré rester anonyme, a dit qu’il effectuait un vol de routine tard vendredi après-midi quand il a remarqué ce qui apparaissait être un autre avion. Cependant quand il a tenté de contacter l’appareil en utilisant sa radio, il n’a pas reçu de messages en retour.
« Comme vous pouvez le constater dans la photo, j’effectuais ma descente finale au Nevada County Airport quand j’ai remarqué cet objet rouge, » a déclaré le pilote. « Alors j’ai remarqué une ‘trombe d’eau’ juste en dessous de lui. » « J’avais l’impression qu’il y avait une gigantesque paille d’eau claire sous lui. Donc j’ai effectué un contact radio pour leur faire savoir que j’étais dans les parages mais ils n’ont pas répondu à ma requête, ce qui était très inhabituel. »
crédit texte et image ufosightingsdaily.com traduction- nouvelordremondial.cc

L’observation est incroyable à tellement de niveaux. Premièrement, c’est un pilote qui a pris la photo. Deuxièmement, le pilote a essayé de contacter l’ovni en utilisant sa radio. Troisièmement, l’ovni n’est pas invisible ou même partiellement invisible, ça s’est passé en plein jour! Quatrièmement cet ovni soulève de l’eau, elle monte vers sa direction. C’est une observation qui marque les annales. Comme vous pouvez le constater c’est une zone peu peuplé et ils avaient très peu à craindre. Volent-ils vraiment notre eau et est-ce la raison pour laquelle ils viennent sur Terre? Dans tous les cas, nos frères de l’espace sont libres de faire comme chez eux. Ils vivent probablement sur la Lune ou quelque part dans notre système solaire, et la Terre est le coin le plus proche pour avoir de l’eau fraîche. SCW.

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le :10/07/2017 à :11h10.

Mars : le robot Curiosity a trouvé un grand lac

Une analyse effectuée par le robot Mars Curiosity a permis de découvrir que le sol martien contenait de l'eau. (NASA / AFP)

Une analyse effectuée par le robot Mars Curiosity a permis de découvrir que le sol martien contenait de l’eau. (NASA / AFP)

Article source: francetvinfo.fr

La Nasa a découvert les traces d’un lac peut-être alimenté par des rivières sur Mars, prouvant une nouvelle fois que la planète rouge a été propice à l’existence d’une vie microbienne.

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le : 09/12/2014 à : 10h40.

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Une plongée record dans le lac au pôle du froid

© Photo : sah.wikipedia.org

© Photo : sah.wikipedia.org

Article source:french.ruvr.ru

la voix de la russie

3.02.2013, 13:51, heure de Moscou

Un groupe de scientifiques russes a terminé avec succès une plongée dans le lac froid de Labynkyr, situé au pôle du froid près d’Oymyakon, où les températures peuvent atteindre jusqu’à 89 °C au-dessous de zéro.

Le lac est également connu comme le deuxième Loch Ness, car il existe une tradition selon laquelle il hébergerait un phénomène inconnu.

Selon cette dernière au fond du lac les scientifiques auraient trouvé des fragments de mâchoires, ainsi que le squelette d’un animal de grande taille. /L

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 04/02/2013, 14h20.

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Les secrets de l’Antarctide seront dévoilés dans deux ans

© Jannej / en.wikipedia.org

© Jannej / en.wikipedia.org

Alexandra Zakharova
21.01.2013, 15:35, heure de Moscou

Dans l’eau du lac Vostok, il y a la vie. Il sera possible de prouver cela dans deux ans à peu près, quand on réussira à faire remonter des profondeurs du glacier de l’eau non glacée avec des microorganismes vivants. Et pour le moment, les savants russes, en commun avec leurs collègues étrangers, étudient la géologie du bassin et le glacier lui-même.

De l’orifice foré, les savants font remonter seulement la glace. Le fait est que l’eau du lac monte sous la pression dans le trou foré et se glace très vite. L’analyse des spécimens recueillis a montré que les microorganismes étaient ici absents. Cependant, les chercheurs russes sont assurés que dans les profondeurs du lac, il existe une vie. La température de l’eau est légèrement supérieure. C’est pourquoi il est nécessaire d’élaborer maintenant une nouvelle technologie pour faire remonter à la surface de l’eau, et non de la glace. C’est seulement de cette manière que nous pourrons apprendre tout sur la flore et la faune du lac, indique le chef du centre logistique de l’expédition antarctique russe de l’institut de l’Arctique et l’Antarctique Viacheslav Martyanov.

« Tout ce qui concerne les biotes doit être fait dans l’eau en état liquide. Pour cela, nous devons pénétrer dans le lac et faire des expériences, et puis, faire remonter l’eau en l’état, intacte. Alors seulement, on pourra faire des conclusions microbiologiques. Mais ce sera possible dans deux ans à peu près, quand on réussira à faire remonter de l’eau intacte non congelée. Il est très difficile de faire cela, parce que la température moyenne de l’année à la station Vostok est de -58 degrés. Et dans ces conditions, il faut faire remonter l’eau du forage à une profondeur de 4 kilomètres de manière qu’elle ne se glace pas ».

Dans l’expédition sur le lac Vostok, des étrangers travaillent aussi. Par exemple, à l’heure actuelle, un savant allemand étudie le système des flux et des reflux du lac subglacial. Pour les Russes, il est important que les collègues étrangers prennent part aussi aux travaux. Les résultats des études communes, en général, sont plus exacts, remarque le vice-directeur du centre de recherches de l’Arctique et de l’Antarctique Alexandre Danilov.

« Nous avons toujours été les explorateurs principaux du lac. Les Américains nous ont aidés un peu aux différentes étapes. Ils n’étudiaient rien, ils foraient seulement. Dans le travail analytique, les Français nous aident. Il faut absolument effectuer des études aussi fines avec des collègues étrangers ».

Maintenant, en Antarctide, c’est l’été. La température de l’air ne tombe pas au-dessus de moins quarante. Mais déjà dans un mois, les travaux actifs devront être suspendus à cause des grands froids. Les savants russes doivent revenir chez eux en mai à bord du navire Académicien Fiodorov. Pendant quelques mois, les échantillons de glace du lac Vostok seront étudiés dans les laboratoires de Saint-Pétersbourg. /L

Source la voix de la russie

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le 22/01/2013, 13h20.

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Publié 22 janvier 2013 par Sylv1 dans Exobiologie/Biologie

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