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L’Atlantide, Cité Perdue

L’Atlantide et Platon
Crédit image : lesavoirperdudesanciens.com

Les OANI présents au salon du paranormal à Dijon les 8&9 septembre 2018 .
Era & Sylvain adm du site web investigation océanographique et OANIS.
Crédit photo ERA
©2018

Est-il encore utile de  présenter l’Atlantide ?

Entre légende et réalité cette énigme de Platon résiste au temps sur Terre.

Un article( cliquez sur le titre L’Atlantide selon Platon) résume un certain historique. 

Hier nous avons assisté  à Sanvignes les mines (71) avec Era et Yves Herbo à une conférence de Emilie Mondoloni ( Docteur en Sciences Humaines et Sociales, diplômée de l’Université de Grenoble, elle a toujours été passionnée par l’être humain. « J’ai d’abord approfondi cette passion par plusieurs formations et une expérience diversifiée en communication auprès d’entreprises privées, d’associations et de laboratoires de recherche dont plusieurs rattachés au CNRS. Mon parcours s’est enrichi de techniques de développement personnel, afin de prendre en compte l’humain dans sa globalité. J’ai ainsi suivi des cursus en géobiologie, Reiki Usui et lithothérapie holistique. »), dont le titre de sa conférence était :

Conférence : l’Atlantide d’hier à aujourd’hui

Elle a proposé son travail et ses arguments. Pour elle, cette cité a existé mais pas à l’époque présumée des historiens, bien avant. Cette civilisation a obtenu beaucoup de connaissances à son âge d’or et puis, elle est devenue belliqueuse , c’est ce qui a causé sa perte. Un manque de maturité et d’humilité aurait été fatal à cette cité aujourd’hui engloutie quelque part sur notre planète.

Ci -dessous nous partageons ce reportage que Emilie nous a conseillé .

James Cameron réalisateur et explorateur océanographe a toujours été fasciné par l’Atlantide.

Era et moi nous apprécions  vraiment James Cameron, aussi bien le réalisateur que l’aventurier, l’explorateur.

L’Atlantide nous séduit ce n’est pas un scoop pour les personnes qui nous côtoient.

Alors continuons nos investigations grâce à celles et ceux qui voyagent et partagent leurs explorations .

Ces supports vidéo et l’article ci-dessus permettent déjà une certaine approche de cette énigme compliquée qui divise encore à l’heure actuelle les courants de pensée.

*Nous remercions Yves Herbo d’être venu avec nous à la conférence de Emilie ainsi que Emilie pour sa disponibilité et sa simplicité.

© 21-10-2018 – Respecter les droits d’auteur, merci. 

L’Atlantide, Cité Perdue

Reportage de National Geographic via Youtube 

Si cette vidéo ne fonctionne pas cliquez ici

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Mise à jour investigation Océanographique et O.A.N.I.S le- 15/ 10/2018 à 14H00.

Pourquoi un nouveau bathyscaphe russe ?

Photo : RIA Novosti

Photo : RIA Novosti

Article source:french.ruvr.ru/

Le tout nouveau bathyscaphe (sous-marin autonome) capable de conquérir la fosse des Mariannes, d’une profondeur de 11 km, a été élaboré en Russie. Le projet est étudié par des structures anonymes, qui sont des clients potentiels. La décision de lancer la construction du bathyscaphe dépend d’eux.

C’est le bureau d’étude de constructions maritimes Malakhite de Saint-Pétersbourg qui a travaillé sur ce projet. Ce bureau d’études élaborait déjà des sous-marins en 1948. Vladimir Dorofeïev, directeur général de Malakhite, a expliqué que la création d’un nouvel appareil était prévue par le Programme fédéral finalisé de développement de la construction maritime civile.

« Plusieurs variantes d’avant-projets de sous-marins pouvant manœuvrer à une profondeur de 11 km ont été étudiées. L’appareil sera habitable, mais au vu de la tendance de la navigation marine, une version non habitable est prévue. Il est tout d’abord destiné à des travaux scientifiques, bien qu’il soit équipé de technologies à double usage. Il peut donc servir d’appui hydrographique à une flotte militaire ».

Vladimir Dorofeïev explique que le bathyscaphe peut s’immerger à 11 km, mais il peut également travailler à d’autres profondeurs.

« À la différence des bathyscaphes prévus pour descendre à 11 km et remonter, il peut être utilisé à faible profondeur. Il peut tout aussi bien travailler à une profondeur d’un kilomètre, de deux, de trois, jusqu’à son maximum. Il peut aider les recherches scientifiques grâce à ses capteurs. Il peut s’agir d’identifier les caractéristiques de l’environnement ou de prélever des échantillons du fond de la fosse des Mariannes grâce à un équipement spécialisé ».

L’homme n’est allé que deux fois à une profondeur de 11 km. En 1960, l’océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant de la marine américaine Don Walsh sont descendus dans la fosse des Mariannes à bord du bathyscaphe Trieste. Beaucoup avaient été émus par leur détermination à continuer la descente alors que, à 9 km de profondeur, un hublot s’était fissuré. En 2012, le réalisateur canadien James Cameron est descendu là-bas à bord du bathyscaphe Deepsea Challenger. N’oublions pas les expéditions non habitées : le japonais Kaikō et l’américain Nereus. Ils ont ramené des échantillons de la faune du fond marin : des bactéries, des crevettes et des vers marins.

La fosse des Mariannes est le lieu le plus profond de la planète. Pourquoi y descendre ? Pour égaler des records ou pour des recherches scientifiques ? C’est ce que se demande le héros russe Evguéni Tcherniaïev, commandant de sous-marins.

« Seront-ils vraiment utilisés ou sera-ce seulement une descente dans la fosse des Mariannes ? Ce sont des appareils coûteux. Avant de les construire et de dépenser des sommes d’argent importantes, il faut savoir à quoi ils serviront ».

Le pilote ajoute que, si l’appareil est prévu pour plonger à 11 km de profondeur, il est lourd, peu manœuvrable et sera peu pratique à faible profondeur. La Russie possède déjà un appareil à visée scientifique, le Mir. Il peut descendre à 6,5 km et étudier 98,5 % du fond océanique mondial. Il a deux alter ego militaires : le Rous et le Consoul.

Les médias précisent que les bathyscaphes militaires sont le plus souvent utilisés pour intercepter les communications ennemies en se connectant à des câbles sous-marins.

Que fera ce bathyscaphe dans la fosse des Mariannes, tout près de l’île de Guam, où se trouvent des bases militaires américaines ? C’est encore un mystère. Si la décision est prise de le construire, c’est le chantier naval de l’Amirauté de Saint-Pétersbourg qui s’en chargera.

Rédaction en ligne, 

Pavlischev Boris

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :25/07/2013 à : 06h25.

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En vidéo : Neemo, quand la conquête des astéroïdes commence sous l’eau

Les astronautes (Anglais), spationautes (Français) et autres cosmonautes (Russes) s’entraînent aux missions spatiales depuis des décennies sous l’eau. En ce début de XXIe siècle, comme en prélude à la conquête de Mars, la Nasa et l’Esa se préparent à explorer les astéroïdes avec la mission Neemo, des simulations sous la surface de l’océan Atlantique.

La réalité n’a pas été à la hauteur des rêves d’Arthur Clarke décrits dans son roman 2010 : Odyssée 2. Mais il semble que toute une génération d’enfants nourris dans les années 1970 par ces rêves, et d’autres similaires, entend bien ne pas les abandonner en tentant de les réaliser elle-même. La conquête de l’espace et la colonisation du Système solaire sont donc, peut-être, en train de redémarrer grâce à certaines entreprises privées commeSpaceX. Le fondateur de Google s’est ainsi joint à James Cameron pour partir à la conquête des astéroïdes. Quelques scientifiques même, héritiers de Turing, se proposent de réaliser les rêves d’immortalité des romans de Clarke, basés sur les ordinateurs.

La Nasa et l’Esa sont-elles à la traîne ? Il semble que non car elles aussi se préparent, par exemple, à exploiter les astéroïdes ou à aller sur Mars. Elles ont même une longueur d’avance étant donné que, depuis plusieurs années, elles utilisent la base sous-marine Aquarius pour effectuer diverses missions du nom de Neemo, acronyme anglais de Extreme Environement Mission Operations.


Quelques célèbres inventions et avancées technologiques réalisées par l’équipe Cousteau : les scooters sous-marins, le navire Alcyone et ses turbovoiles, la soucoupe plongeante, les maisons sous la mer – Précontinent II et Précontinent III. Cousteau et ses équipiers ont souvent collaboré avec la Nasa, par exemple avec Sealab. © Cousteau Society 2010, YouTube

L’histoire de l’exploration spatiale et celle des fonds marins se sont croisées à de multiples reprises. Les passionnés de la conquête des océans le sont souvent aussi par celle de l’espace et inversement. Les raisons en sont simples. Plonger sous l’eau et partir dans le cosmos c’est à chaque fois comme quitter la Terre pour aller sur un autre monde. Enfin, c’est sous la surface des océans que l’on peut expérimenter, en partie, ce qu’est la vie enimpesanteur. Il ne s’agit donc pas d’un hasard si Arthur Clarke est parti vivre dès les années 1950 au Sri Lanka, en ouvrant un club de plongée.

Ainsi, bien des expériences pour coloniser le Plateau continental, comme celles de Cousteau et son équipe, ont appris des choses aux membres de la Nasa. On sait aussi que les astronautes s’entraînent depuis longtemps, en piscine, à effectuer des missions extravéhiculaires dans l’espace.

Des aquanautes de la mission Neemo 14 au fond de l'océan Atlantique. La base sous-marine Aquarius est visible en haut à gauche de l'image.
Des aquanautes de la mission Neemo 14 au fond de l’océan Atlantique. La base sous-marine Aquarius est visible en haut à gauche de l’image. © Nasa

Neemo, une mission sur un géocroiseur à 15 millions de km

Il n’est donc guère surprenant que des astronautes, en l’occurrence des aquanautes, se retrouvent périodiquement à 20 m de profondeur non loin des côtes de la Floride pour simuler les conditions de l’exploration et de l’exploitation des astéroïdes.

Plus de 80 personnes, dont des ingénieurs et des plongeurs, nécessaires aux missions Neemo, ont donc permis à des astronautes de la Nasa et de l’Esa de vivre pendant 12 jours sous la surface de l’océan comme s’ils étaient à 15 millions de km de la Terre.


Des aquanautes en pleine simulation de travaux dans l’espace à la surface d’un astéroïde dans le cadre de la mission Neemo 16. Paradoxalement, si les objets sont moins lourds dans ces conditions, le travail est plus difficile que sur Terre. © mwidic, YouTube

Quinze millions de kilomètres, cela correspond à 39 fois la distance de la Terre à la Lune, une communication radio met environ 50 secondes pour rejoindre un vaisseau spatial à cette distance. Un message de réponse de l’équipage mettrait encore 50 secondes pour atteindre la Terre. Les échanges entre les aquanautes et les membres de Neemo en surface étaient donc retardés de cet intervalle de temps afin de rendre réaliste le déroulement des missions. Le but étant de repérer les problèmes que l’on peut rencontrer avec ces délais et d’apprendre à s’y adapter.


D’autres images d’aquanautes en train de simuler l’exploration d’un astéroïde par 20 m de fond. © COEDmagazine, YouTube

Les aquanautes ont passé des heures à simuler des sorties dans l’espace, se comportant comme des géologues ou des prospecteurs de mineraisenquêtant sur le terrain à la recherche d’échantillons à extraire. Des tests de techniques d’extraction étaient bien sûr au programme. Dans l’espace, en effet, en impesanteur, même les tâches les plus simples doivent être pensées dans le détail. Par exemple, un astronaute arrachant un morceau d’astéroïde doit se tenir à un objet fixe, pour ne pas risquer de s’envoler en quittant le petit corps céleste du fait de sa très faible gravité.

Malgré la faible profondeur, une fois la mission effectuée, les aquanautes doivent attendre 17 heures avant de remonter en surface, afin d’éviter des accidents de décompression. La dernière mission Neemo s’est terminée en juin 2012. Bill Todd, un ancien responsable du programme Neemo, fait aujourd’hui partie de l’équipe de Sea Orbiter d’un vaisseau d’exploration océanique sur de très longues durées.

 Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/en-video-neemo-quand-la-conquete-des-asteroides-commence-sous-leau_40310/

James Cameron explorera le point le plus profond de l’océan

james_cameron_deepsea_challengerA bord du « Deepsea Challenger », le cinéaste canadien James Cameron vient de battre le record mondial de la plongée solo en submersible la plus profonde, à 8.200 mètres sous la surface de l’eau, au large de Papouasie Nouvelle Guinée. Mais le réalisateur de »Abyss » et de « Terminator » ne compte pas s’arrêter là. Son prochain objectif : atteindre le point le plus profond de l’océan, la fosse des Mariannes, au cours des semaines à venir.

Le point connu le plus bas de cette fosse de l’Océan Pacifique se situe à 11.034 mètres en dessous du niveau de la mer. La première et dernière fois que des hommes ont visité ces ténèbres océaniques,  il y a 50 ans, les deux explorateurs Jacques Piccard et Don Walsh ne sont restés que 20 minutes sur le plancher de l’océan. Cameron tentera l’exploit d’y passer 6 heures.

Le submersible étant équipé de plusieurs caméras et de Led, Cameron pourra filmer la vie des abysses. Car vie il y a. En 1960 Piccard et Walsh avait observé un poisson abyssal de 30 centimètres de la forme d’une sole, et une crevette.

Cameron aura beaucoup plus de temps pour observer la vie environnante. Découvrira-t-il de nouvelles espèces, voire des monstres des profondeurs océaniques qui font tant fantasmer ?

Le « Deepsea Challenger » est un submersible conçu pour plonger à pic et résister à une pression insoutenable : à 11 kilomètres de profondeurs, la pression est estimée 11.250.000 kilos par mètre carré.

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Sous l’effet de la pression, le submersible devrait même se rapetisser de 6 centimètres une fois arrivé à bon port, si l’on ose dire. La descente devrait durait une heure et demie, tout comme la remontée.

Cameron n’est pas la seule célébrité fascinée par les profondeurs océaniques. Le milliardaire britannique Richard Branson affirme qu’il possède un submersible capable de réaliser le même exploit. Mais déjà bien préparé, Cameron devrait-être le premier à réaliser cet exploit.

Le cinéaste ne sous-estime cependant pas les risques de l’expédition : « Bien sur que je suis inquiet. Mais pour un explorateur, c’est plutôt bon signe ».

Plus d’infos sur le site de National Geographic, sponsor de cette exploration.

source : http://www.sharknews.fr/societe/science/3125-james-cameron-explorera-le-point-le-plus-profond-de-locean

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