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Vie Sous marine, OANI : fosse des Mariannes

Bonjour à tous, je vous propose cet article publié par le MUFON France et Territoires Ultramarins, dont je le rappelle la direction a été reprise il y a quelques mois par l’efficace Janny Charrueau tout droit venue du MUFON Québec.

Article Publié par Bruno Dupont, Enquêteur Certifié MUFON France

Complément par Sylvain Matisse, Enquêteur Certifié MUFON France

Source : Ouest France

Un sous-marin chinois s’est posé au fond de la fosse océanique la plus profonde sur Terre

Le « Fendouzhe » s’est posé ce vendredi à 10 909 mètres de profondeur lors d’une de ses plongées effectuées avec trois chercheurs à bord. Le submersible chinois a atterri à près de 11 km de la surface du Pacifique, sur le point le plus profond connu de la célèbre fosse des Mariannes, Challenger Deep.

C’est ce qu’on appelle un direct peu ordinaire. Car, ce vendredi 20 novembre 2020, la Chine a diffusé en live des images de son nouveau submersible habité, stationné à près de 11 km sous la surface du Pacifique, posé au fond de la Fosse des Mariannes dans le cadre d’une mission historique dans les eaux les plus profondes de la planète.

Le Fendouzhe, nom qui signifie « lutteur » en chinois, est descendu à 10 909 mètres dans cette fosse sous-marine située dans le Pacifique occidental, avec trois chercheurs à son bord, a rapporté la télévision publique chinoise CCTV.

Un croissant de plus de 2 500 kilomètres de long

Seule une poignée de personnes ont déjà visité le fond de la Fosse des Mariannes, une tranchée dans la croûte terrestre en forme de croissant qui fait plus de 2 500 kilomètres de long et dont la profondeur dépasse la hauteur du mont Everest.

Les premiers explorateurs ont atteint la fosse en 1960 lors d’une brève expédition, après quoi il n’y a plus eu de missions jusqu’à la descente effectuée en 2012 par le cinéaste américain James Cameron, réalisateur de « Titanic ».

Ce dernier avait fait une descente en solitaire à près de 11 000 mètres dans cette fosse et évoqué un environnement « désolé » et « extraterrestre ».

Les vidéos tournées cette semaine par une caméra sous-marine montrent le submersible chinois vert et blanc se déplaçant dans les eaux obscures, entouré de nuages de sédiments alors qu’il se pose lentement sur le fond marin.

Le Fendouzhe, qui a effectué plusieurs plongées ces derniers jours, a établi le record national de 10 909 mètres pour la plongée en eaux profondes habitée après avoir atterri sur le point le plus profond connu de la fosse, Challenger Deep.

Le record du monde absolu, de 10 927 mètres, aurait été établi par un explorateur américain en 2019, mais la mission chinoise a diffusé la première vidéo en direct au monde de Challenger Deep.

Des animaux… et des matériaux miniers

Le Fendouzhe, troisième submersible habité en eaux profondes de Chine, observe « les nombreuses espèces et la répartition des êtres vivants dans les fonds marins », ont déclaré des scientifiques à bord à CCTV. Les chercheurs chinois vont collecter des spécimens pour leurs recherches, selon CCTV.

Des études antérieures ont permis de trouver des communautés florissantes d’organismes unicellulaires survivant sur des déchets organiques qui s’étaient installés sur le fond de l’océan, mais très peu de gros animaux.

La mission mènera également des recherches sur les « matériaux des eaux profondes », alors que la Chine progresse dans l’exploitation minière des eaux profondes.

Pékin a mis en place en novembre un centre de formation et de recherche conjoint avec l’Autorité internationale des fonds marins, qui formera des professionnels sur la technologie des grands fonds marins et mènera des recherches sur l’exploitation minière de minéraux précieux au fond de l’océan.

Le Fendouzhe est censé établir des normes pour les futurs navires en eaux profondes de la Chine.

« Il faut plus de deux essais avant que nous puissions parler d’un véritable succès », a déclaré à CCTV Zhu Min, un chercheur à l’Académie chinoise des sciences impliqué dans la mission.

Complément par Sylvain Matisse :

La fosse des Mariannes peut nous renseigner !

Des points chauds sur la planète concernant les OVNIS ne manquent pas.

Les endroits maritimes ont aussi leurs anomalies, nommons les ainsi.

Ici je met le cap précisément sur le point océanique le plus profond du monde semble-t-il.

Challenger Deep ou la zone hadale, qui va de 6000 m et plus !

Autrement dit le challenger deep, est le point le plus profond jamais mesuré dans les océans.

La fosse des Mariannes et la zone la plus profonde du globe avec ses 11kilomètres !

Focus sur cet endroit :

La fosse des Mariannes dans le Pacifique, le long de l’archipel des îles Mariannes, est la fosse sous-marine la plus profonde avec ses 11’033 mètres.

C’est aussi l’endroit le plus profond de la croûte terrestre. Elle est située dans la partie nord-ouest de l’océan Pacifique, à l’est des Îles Mariannes aux coordonnées 11° 21′ N, 142° 12′ E, à proximité de l’île de Guam.Afin de vous donner une idée précise, l’Everest est le plus haut sommet du globe, avec un pic à 8848 mètres d’altitude. Il est situé sur la frontière entre la zone de Sagarmatha, au Népal, et au Tibet en Chine, et fait partie de la chaîne de montagnes de l’Himalaya, et cette montagne tient sans commune mesure dans la fosse des Mariannes.

La fosse des Mariannes, est une sorte de tranchée étendue sur près de 2 550 km de long dans le nord-ouest de l’océan Pacifique.

90 % de nos fonds marins restent à explorer, et parmi eux il y a cette fosse qui ,n’a été explorée qu’à environ 1% !

Elle fut découverte lors de l’exploration de l’océan Pacifique par l’équipage du navire de recherche Challenger en 1875.

Première expédition sous-marine :

Date : 23 janvier 1960 Position : Océan Pacifique : La Fosse des Mariannes, à 200 miles approximativement de l’île de Guam. Engin utilisé : le bathyscaphe Trieste dont l’épaisseur des parois en acier étaient de 13 centimètres d’épaisseur .

Descente effectuée en 5 heures.

Profondeur atteinte : 10 916 mètres, un exploit inégalé à l’époque !

Durée de la plongée ; 12 minutes Découverte scientifique : Une vie marine florissante en l’absence totale de lumière –

Fixé sur sa coque, un prototype expérimental Oyster, baptisé Deep Sea Special.

La pression est supérieure à une tonne par centimètre carré,.

Cependant ce n’est que en 1960 que les hommes descendent dans de telles profondeurs. Le bathyscaphe Trieste. L’expédition dirigée par le lieutenant Don Walsh (USN), accompagné de Jacques Piccard, a atteint la profondeur de presque 11 000 mètres, une performance !

Géologie:

À savoir :

Il existe au moins deux processus créant des fosses océaniques:

▪l’écartement de deux plaques océaniques au niveau d’une dorsale, on trouve dans ce cas deux types de fosses, les fosses le long des limites de plaques lithosphériques perpendiculaires à la dorsale océanique ou encore les fossés d’effondrement que l’on trouve au niveau de la dorsale elle-même;

▪le rapprochement d’une plaque océanique avec une plaque continentale ou une autre plaque océanique, la fosse est alors créée par la plongée d’une des deux plaques sous l’autre plaque. Il s’agit d’une fosse de subduction. (-Crédit La géologie sous-marine- Auteurs: Samantha & Dominique)

L’ étrange !

Des sons inexpliqués ont été relevés.

En 1996, les explorateurs chercheurs ont entendu un son qui ressemblait un cliquetis de métal , le vaisseau été remonté à la surface et l’équipage constate que la structure a été endommagée dont un câble d’acier de 20 centimètres d’épaisseur presque sectionné en deux ! Alors nous ne savons pas qui a croisé la soucoupe sous-marine en chemin. Un «monstre « des mers comme le mégalodon par exemple ou un calmar géant ou autre chose qu’un animal ?

Appareil High Fish au début des années 2000 :

Des scientifiques allemands disent avoir été confrontés à des événements incroyables de nature inexpliquée. Lors de la descente de l’engin dans la fosse des Mariannes celui-ci s’est mis à trembler, ils ont vu la silhouette d’une énorme créature , l’appareil alors émis une décharge électrique pour se défaire de l’attaque et la créature a disparue. Certains scientifiques émettent la possibilité que ce soit le mégalodon ,cet animal préhistorique, qui était le prédateur des océans, il y a environ deux millions d’années , que l’on prétend avoir disparu, mais qui se serait réfugié dans ces profondeurs.

2012 – Titan :

Cet engin dirigé par des scientifiques qui assurent avoir rencontré « des extraterrestres « , alors que le vaisseau était censé filmer et prendre des photos du monde du «silence «. A un moment donné les caméras ont enregistré des objets étranges. Des cylindres métalliques auraient été aperçus autour de Titan, ils étaient immobiles suspendus, le vaisseau s’est rapproché et les chercheurs ont dit que ces sortes de cylindres rappelaient les soucoupes volantes ! Le Titan est resté échoué au fond et les supposés enregistrements avec !

Projet Aqua-Systéme :

Ces objets étranges aperçus , mais trop brièvement ,car surgit de nulle part de manière aléatoire et surprenante. Alors dans ces conditions il est bien difficile d’interpréter avec exactitude ces choses étranges qui méritent à elles seules, une étude approfondie avec des moyens de surveillance munis de divers capteurs, d’instruments de mesure et de caméras étanches afin de capturer en temps réel ces structures ou ces phénomènes à des fin d’analyses rigoureuses. C’est en outre ce que je propose dans mon projet Aqua – Système mentionné sur notre blog investigation océanographique et OANIS .

( https://investigationsoanisetoceanographiee.com/projet-aqua-systeme/ ) et dans mon second ouvrage .

Océanographie :

Des études révèlent que l’absence de lumière et la pression énorme de l’eau atteint 108,6 mégapascals, ceci représente 1072 fois la pression plus élevée que la pression atmosphérique.

Pourtant des organismes survivent.

Des animaux insoupçonnés vivent dans les enfers abyssales.

Une sélection naturelle stricte dans cet endroit plutôt hostile .

Dans cet environnement sans lumière, il n’y a que des micro-organismes ou des animaux, aucune plante.

Biologie sous-marine :

Les espèces présentes dans cette fosse, du moins celles qui ont été découvertes peuvent présenter le portrait robot d’un extraterrestre sur une lune, une planète ou une exoterre ( exoplanète) dont les conditions de profondeur, pression, températures ressembleraient à celles qui sont les caractéristiques de la fosse des Mariannes.

Quelques spécimens:

Des poissons plats d’environ 30 centimètres ont été découverts mais aussi

Le poisson-fantôme.

Ce petit poisson d’une dizaine de centimètres, aux yeux jaunes et au corps totalement transparent et incroyablement fragile, et quand il nage. Découvert pour la première fois en décembre 2014.

*Monterey Bay Aquarium Research Institute (MBARI) a réussi à étudier le Barreleyes du Pacifique, en 2004. Ces poissions mesurant 15 cm vivent à plus de 600 mètres de profondeur, dans la fosse des Mariannes. Il possède une tête bombée qui est entièrement transparente , ce qui permet de distinguer deux yeux verts remplis d’une substance faisant penser à du gel et qui fait office de filtre optique essentiel pour voir dans les abysses dont la lumière est exclue. Ceci le favorise pour éviter ses prédateurs ou bien pour capturer ses proies.

*Monterey Bay Aquarium Research Institute (MBARI) : Centre de recherche océanographique privé à but non lucratif à Moss Landing, en Californie. MBARI a été fondée en 1987 par David Packard et est principalement financée par la Fondation David et Lucile Packard.

Le requin lutin vit dans ces eaux ( 45 exemplaires découverts à ce jour), le poisson vipère peu ouvrir sa bouche à plus de 100 degré, sa mâchoire s’étend ver l’avant, la nature dote de capacités démentielles les espèces de ce milieu . Les ressources limitées dans cet endroit semble avoir engendré des espèces féroces , de véritables prédateurs .

Le sous-marin chinois spécialisé Jiaolong en plongée dans la fosse des Mariannes, dans l’océan Pacifique, le 27 juin 2012, RELÈVE des niveaux remarquablement élevés d’activité microbienne ont été relevés dans la fosse océanique la plus profonde actuellement connue, selon des travaux de recherche publiés dimanche 17 mars dans la revue Nature Geosciences.

L’équipe conduite par Ronnie Glud (université du Danemark du Sud) a cependant eu la surprise de découvrir que la matière organique y était en réalité abondante. Les chercheurs y ont constaté un taux de consommation biologique d’oxygène deux fois plus élevé que sur un site voisin, profond de seulement 6 000 mètres. Les analyses des sédiments prélevés sur les deux sites révèlent également des concentrations plus élevées de cellules microbiennes à Challenger Deep.

« Nous avons trouvé un monde dominé par les microbes, qui se sont adaptés pour fonctionner efficacement à des conditions extrêmement inhospitalières pour des organismes plus développés », explique Ronnie Glud. ( Crédit France Info)

Le monde du silence a encore tant à nous révéler, et à ce titre cet environnement n’ a rien à envier au cosmos, explorons d’abord sous nos pieds , chez nous, ici sur notre planète qui n’a pas encore livrée tous ses secrets.

Auteur Matisse sylvain à l’aide de supports

Wikipédia

esge.ch/Solar

ohchouette.com

Source

La géologie une discipline scientifique au service de l’exobiologie.

Âge de la croûte océanique en millions d’années avant le présent. Les zones bleues foncées sont les endroits où la croûte océanique est vieille de 100 millions d’années. En rouge, les plus jeunes. La croûte océanique au niveau de la plaque de Juan de Fuca est jeune, elle a 3,5 millions d’années. © NOAA, DP via .futura-sciences.com

Article sources: futura-sciences.com/

Par Laurent Sacco, Futura publié le 12/04/2017

Des échantillons d’une roche appelée serpentinite, ramenés en surface par l’activité d’un volcan de boue de la fosse des Mariannes, se sont révélés bavards. Les molécules organiques qu’ils contiennent pourraient provenir de l’activité de bactéries vivant à 10 km de profondeur dans la croûte océanique.

  • Les géologues découvrent de plus en plus de formes vivantes en profondeur dans la croûte terrestre.

  • Des échantillons de roches appelées serpentinites (qui ont dû se former à plusieurs kilomètres sous la croûte océanique du fond de la fosse des Mariannes) ont récemment été analysés.

  • Ils contiennent des molécules organiques qui pourraient provenir de l’activité de bactéries vivant jusqu’à 10 km de profondeur sous la surface de cette croûte.

  • On ne sait pas vraiment quand ni comment la vie est apparue sur Terre. Les archives géologiques de l’Hadéen et du début de l’Archéen sont parcellaires et difficiles à déchiffrer. Il y a des raisons de penser que c’est au fond des océans, dans les parois des cheminées hydrothermales, que la matière inanimée s’est suffisamment complexifiée pour faire un bond dans le domaine de la matière vivante. Certains supposent que cela n’a été possible qu’il y a seulement 3,8 milliards d’années car auparavant, le bombardement météoritique en surface ne devait pas être propice à la conservation des fragiles édifices moléculaires que la vie a pu ébaucher.

    Mais si l’on se base sur une récente découverte faite par une équipe internationale de chercheurs en géosciences menée par le géologue Oliver Plümper de l’université d’Utrecht, en Hollande, et qui vient d’être publiée dans le journal Pnas, il ne serait pas nécessaire d’être si pessimiste. La vie semble pouvoir exister en profondeur, sous la surface de la croûte océanique, ce qui veut dire qu’elle aurait très bien pu prospérer et évoluer, malgré tout, pendant une période s’étendant de l’Hadéen à l’Archéen, à l’abri des impacts de comètes et d’astéroïdes et ce, jusqu’à ce que ce feu du ciel devienne plus clément.

  • Des extrêmophiles vivants à 10 km de profondeur ?

    Les géologues sont arrivés à cette conclusion en étudiant 46 échantillons prélevés par forage profond dans la croûte océanique d’un volcan de boue au sein de la célèbre fosse des Mariannes, le South Chamorro. Ces échantillons contiennent de la serpentinite qui a été ramenée en surface par l’activité volcanique de cette zone de subduction. Les serpentinites (parfois aussi appelée serpentine en raison du nom d’un groupe de minéraux la constituant) sont issues des péridotites du manteau qui se transforment en ces roches vert sombre sous l’action de la chaleur et de l’eau de mer circulant dans des failles au niveau des fonds marins, sous la croûte océanique et dans les zones de subduction. Il se produit alors un processus dit de « serpentinisation » générant de l’hydrogène et du méthane qui permet à des microbes de prospérer dans les évents hydrothermaux.

  • Comme cette serpentinite constitue une sorte de forage naturel apportant des échantillons des profondeurs de la croûte, elle peut donc nous renseigner sur ce qui s’y passe à plusieurs kilomètres de profondeur. En l’analysant, Oliver Plümper et ses collègues ont été surpris d’y trouver des acides aminés, des lipides et des hydrocarbures qui pourraient bien être le résultat de l’activité debactéries. L’absence de carbonates associés aux échantillons de serpentinite laisse penser qu’ils n’ont pas été contaminés par des formes de vie locales vivant à la surface du volcan de boue. Par contre, il n’est pas exclu que ces molécules organiques ne soient pas simplement le produit d’une chimie abiotique, ce qui serait de toute façon, là aussi, très excitant puisque cela apporterait de l’eau au moulin de ceux qui pensent que la vie a pu apparaître dans des serpentinites.

    En tout état de cause, en se basant sur les limites connues de températures et de pressions autorisant l’existence de formes de vie extrêmophiles (une température de 122 °C et une pression équivalente à 3.000 atmosphères), Plümper en conclut que des bactéries pourraient vraisemblablement exister jusqu’à 10 kilomètres de profondeur dans la croûte océanique. Cette possibilité est intéressante pour les exobiologistes spéculant sur l’apparition de formes de vie dans les océans d’Europe et d’Encelade, deux lunes glacées en orbite autour, respectivement, de Jupiter et de Saturne.

  • Les premiers indices de vie sous le fond des océans

  • Article de Delphine Bossy publié le 17/03/2013

    Dans le basalte enfoui sous la croûte océanique, des micro-organismes vivent et se développent. Cet écosystème encore méconnu se dévoile peu à peu.

    Tandis que certains espèrent trouver des traces de vie sur Mars, ou sous 4.000 m de glace, d’autres cherchent dans les profondeurs de la croûte terrestre. Et ils trouvent ! Les scientifiques ont prouvé la présence de microbes profondément enfouis. Ces micro-organismes survivent à des conditions extrêmes : sous terre, il n’y a pas de photosynthèse, et le milieu est anoxique. Pourtant, la vie existe dans les sédiments marins et dans la croûte océanique, jusqu’à 1,5 km de profondeur. Au sein des continents, le ver Mephisto vit à 4 km sous la surface et uncollembole, proche des insectes, s’épanouit à 2,5 km de profondeur.

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  • Matisse sylvain le 31 mars 2017 à lille
    ©2017 photo emmanuelle( Era) pour investigation oceanographique et oanis

    Mercredi 19 avril 2017

  • Ces articles de ce site web sont bons pour une étude sérieuse concernant le vivant . 
  • Notre étude et nos connaissances peuvent évoluer avec ces thèmes mis en ligne par la filière scientifique, à ce titre internet est une aubaine pour nous.
  • Les critères détaillés sur ces articles sont importants pour comprendre beaucoup de choses et certains processus que dame nature engendre. Ainsi notre planète livre petit à petit ses « secrets  » aux savants qui analysent les trouvailles qui sont le fruit de la recherche. Comme je l’ai précisé dans mon premier ouvrage les résultats obtenus sur notre planète et particulièrement dans les profondeurs abyssales et les endroits gelés de notre planète profitent à la recherche spatiale. Les missions interplanétaires ainsi que les observations interstellaires grâce aux puissants et précis télescopes terrestres et également aux sondes spatiales qui récoltent des informations au fil du temps, débouchent tôt ou tard vers d’autres missions ciblées et plus précises comme ceci sera le cas pour certains corps célestes gravitant autour de Jupiter et de Saturne  situés dans notre lointain système solaire , mais aussi  au delà de celui-ci concernant d’autres systèmes stellaires.

Notre passion demeure intacte à ce jour car nous sommes plus que jamais proches d’une détection avérée de certaines formes de vie qui tendent les bras à nos scientifiques de haut niveau.  Ceci mettra ENFIN un terme aux débats parfois stériles concernant la vie extraterrestre. L’humanité pourra alors avancer et peut-être avoir d’autres priorités que de s’encombrer de banales  futilités qui parasitent sa petite existence éphémère dans ce bas monde. Alors avec un peu de chance  les gens cesseront peut-être de se chamailler pour rien , du moins c’est à espérer !

©2017

sons mystérieux dans les profondeurs maritimes.

crédit image: regardsurlemonde.fr/

crédit image:
regardsurlemonde.fr/

Articles source : Gebtside découverte ( maxisciences.com)

Premier Article:

Un mystérieux son métallique entendu dans la fosse des Mariannes enfin identifié ?

Publié par Émeline Ferard, le 21 décembre 2016

Des scientifiques américains pensent avoir identifié la nature d’un étrange son métallique enregistré dans les profondeurs de la fosse des Mariannes. Surnommé « Western Pacific Biotwang », il s’agirait en réalité d’un chant inconnu provenant de baleines. 

Les profondeurs des océans recèlent de nombreux mystères. Mais des scientifiques pensent aujourd’hui avoir percé l’un d’entre eux : celui du « Western Pacific Biotwang », en français le « Biotwang du Pacifique ouest ». Ce nom désigne un mystérieux son enregistré à quelque 1.000 mètres de profondeur dans la fosse des Mariannes. S’étendant entre le Japon et l’Australie, cette fosse océanique est considérée comme l’endroit le plus profond de la croûte terrestre, avec des profondeurs descendant jusqu’à 10.000 mètres. Afin d’étudier ses secrets, une équipe de l’Oregon State University y a envoyé entre l’automne 2014 et le printemps 2015, des dispositifs sous-marins acoustiques fonctionnant de façon autonome.

Ce sont eux qui ont enregistré un son jusqu’ici jamais entendu. Légèrement métallique, il a été capturé à plusieurs reprises, perdurant entre 2,5 et 3,5 secondes. Et chaque son montre une étonnante complexité : d’après la description faite, il se décompose en plusieurs parties et comprend des fréquences allant de 38 à 8.000 Hertz.

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Second article: Un mystérieux bruit entendu dans les eaux de l’Arctique intrigue le Canada

 

 datant du 8 /11/ 2016 –

Depuis des mois, un bruit mystérieux émane des eaux de la région arctique de région arctique, située au nord du Canada. Semblable à un bourdonnement, celui-ci effraie la faune et désespère les chasseurs locaux.  C’est un véritable mystère qui agite aujourd’hui la communauté locale de Nunavut, une région éloignée se situant au nord du Canada. Documenté dans les détroits de Fury et d’Hecla, en Arctique, il se manifeste sous la forme d’un bruit étrange décrit comme un tintement ou un bourdonnement. Personne ne sait de quoi il s’agit et le moins qu’on puisse dire, c’est que la situation ne semble pas s’améliorer. Le phénomène se prolonge depuis le début de l’été, donnant lieu à de nombreux témoignages rapportés notamment par les chasseurs locaux et navigateurs de passage. Selon ces derniers, le bruit semble provenir des profondeurs marines. Paul Quassa, membre de l’Assemblée législative du Nunavut, redoute que l’écosystème de la région en pâtisse. La zone en question est en effet considérée comme un refuge pour de nombreuses espèces marines.

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le :04/01/2017 à :19h35.

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Pourquoi un nouveau bathyscaphe russe ?

Photo : RIA Novosti

Photo : RIA Novosti

Article source:french.ruvr.ru/

Le tout nouveau bathyscaphe (sous-marin autonome) capable de conquérir la fosse des Mariannes, d’une profondeur de 11 km, a été élaboré en Russie. Le projet est étudié par des structures anonymes, qui sont des clients potentiels. La décision de lancer la construction du bathyscaphe dépend d’eux.

C’est le bureau d’étude de constructions maritimes Malakhite de Saint-Pétersbourg qui a travaillé sur ce projet. Ce bureau d’études élaborait déjà des sous-marins en 1948. Vladimir Dorofeïev, directeur général de Malakhite, a expliqué que la création d’un nouvel appareil était prévue par le Programme fédéral finalisé de développement de la construction maritime civile.

« Plusieurs variantes d’avant-projets de sous-marins pouvant manœuvrer à une profondeur de 11 km ont été étudiées. L’appareil sera habitable, mais au vu de la tendance de la navigation marine, une version non habitable est prévue. Il est tout d’abord destiné à des travaux scientifiques, bien qu’il soit équipé de technologies à double usage. Il peut donc servir d’appui hydrographique à une flotte militaire ».

Vladimir Dorofeïev explique que le bathyscaphe peut s’immerger à 11 km, mais il peut également travailler à d’autres profondeurs.

« À la différence des bathyscaphes prévus pour descendre à 11 km et remonter, il peut être utilisé à faible profondeur. Il peut tout aussi bien travailler à une profondeur d’un kilomètre, de deux, de trois, jusqu’à son maximum. Il peut aider les recherches scientifiques grâce à ses capteurs. Il peut s’agir d’identifier les caractéristiques de l’environnement ou de prélever des échantillons du fond de la fosse des Mariannes grâce à un équipement spécialisé ».

L’homme n’est allé que deux fois à une profondeur de 11 km. En 1960, l’océanographe suisse Jacques Piccard et le lieutenant de la marine américaine Don Walsh sont descendus dans la fosse des Mariannes à bord du bathyscaphe Trieste. Beaucoup avaient été émus par leur détermination à continuer la descente alors que, à 9 km de profondeur, un hublot s’était fissuré. En 2012, le réalisateur canadien James Cameron est descendu là-bas à bord du bathyscaphe Deepsea Challenger. N’oublions pas les expéditions non habitées : le japonais Kaikō et l’américain Nereus. Ils ont ramené des échantillons de la faune du fond marin : des bactéries, des crevettes et des vers marins.

La fosse des Mariannes est le lieu le plus profond de la planète. Pourquoi y descendre ? Pour égaler des records ou pour des recherches scientifiques ? C’est ce que se demande le héros russe Evguéni Tcherniaïev, commandant de sous-marins.

« Seront-ils vraiment utilisés ou sera-ce seulement une descente dans la fosse des Mariannes ? Ce sont des appareils coûteux. Avant de les construire et de dépenser des sommes d’argent importantes, il faut savoir à quoi ils serviront ».

Le pilote ajoute que, si l’appareil est prévu pour plonger à 11 km de profondeur, il est lourd, peu manœuvrable et sera peu pratique à faible profondeur. La Russie possède déjà un appareil à visée scientifique, le Mir. Il peut descendre à 6,5 km et étudier 98,5 % du fond océanique mondial. Il a deux alter ego militaires : le Rous et le Consoul.

Les médias précisent que les bathyscaphes militaires sont le plus souvent utilisés pour intercepter les communications ennemies en se connectant à des câbles sous-marins.

Que fera ce bathyscaphe dans la fosse des Mariannes, tout près de l’île de Guam, où se trouvent des bases militaires américaines ? C’est encore un mystère. Si la décision est prise de le construire, c’est le chantier naval de l’Amirauté de Saint-Pétersbourg qui s’en chargera.

Rédaction en ligne, 

Pavlischev Boris

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Mise à jour investigation océanographique et oanis, le :25/07/2013 à : 06h25.

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La fosse des Mariannes habitée par les microbes

Source : la voix de la russie18.03.2013, 08:32, heure de Moscou

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Марианский желоб марианская впадина

© Photо: ru.wikipedia.org/Kmusser/сс-by-sa 3.0

Des niveaux remarquablement élevés d’activité microbienne ont été relevés dans la fosse des Mariannes, dans l’océan Pacifique, le site le plus profond de la croûte terrestre actuellement connu, ont rapporté des chercheurs, ce dimanche dans la revue Nature Geoscience.

La fosse des Mariannes, sorte de longue cicatrice de 2 550 km de long dans l’océan Pacifique, atteint 11 km de profondeur au point Challenger Deep, où pourrait être englouti le mont Everest (8 850 m). En raison de son extrême profondeur, elle est enveloppée d’une obscurité perpétuelle, avec des températures glaciales.

De nombreux scientifiques considèrent que plus le fond de l’océan est profond, plus il est privé de nourriture qui doit faire son chemin depuis la surface riche en oxygène.

L’équipe conduite par Ronnie Glud (Université du Danemark du Sud, Odense) a cependant eu la surprise de découvrir que la fosse des Mariannes était en fait étonnamment riche en matière organique. Les chercheurs y ont constaté un taux de consommation biologique d’oxygène deux fois plus élevé que sur un site voisin, profond de seulement 6 000 mètres. Les analyses des sédiments prélevés sur les deux sites révèlent également des concentrations plus élevées de cellules microbiennes à Challenger Deep. Les chercheurs ont notamment utilisé un robot sous-marin spécialement conçu, avec des capteurs ultra-minces pour sonder la consommation d’oxygène des fonds marins. L’équipe a également réalisé des vidéos du fond de la fosse.

« Nous avons trouvé un monde dominé par les microbes qui sont adaptés pour fonctionner efficacement à des conditions extrêmement inhospitalières pour des organismes plus développés », a déclaré Ronnie Glud. « Notre conclusion est que l’important dépôt de matière organique à Challenger Deep maintient une activité microbienne accrue malgré les pressions extrêmes qui caractérisent cet environnement », ont indiqué les chercheurs. Le réalisateur canadien de Titanic, James Cameron, a été l’année dernière le premier homme à explorer pendant plusieurs heures la fosse des Mariannes, décrivant un paysage « lunaire, désert ».

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Mise à Jour Investigation Océanographique et Oanis le 18-3-2013 à 13h42

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