Article et image : NUFOC
En juin 1986, aux Bermudes, le 24e Escadron effectue une patrouille pour surveiller les sous-marins soviétiques qui transportent de nouvelles nucléaires meurtrières visant l’Amérique. Nous avons décollé à 22 h à bord de notre avion Orion P-3 et j’ai entendu mon pilote demander par radio : « Avez vous un trafic sur notre position à 1 heure ?
J’ai vu une lumière très vive venant du poste de pilotage, puis du hublot des navigateurs. Quelques secondes plus tard, la lumière arrivait dans le hublot du préposé aux munitions.Je me suis levé et j’ai couru vers l’avant pour voir le pilote, le copilote et le mécanicien dans un éblouissement ou une transe. L’appareil était en montée abrupte avec toute la puissance militaire.
J’ai ramené les manettes des gaz à la poussée normale et j’ai poussé le manche vers l’avant pour mettre fin à la montée abrupte afin d’empêcher l’avion de décrocher. J’ai dû secouer et crier aux pilotes de se réveiller et de piloter l’avion. Quand ils sont revenus à eux, j’ai travaillé sur les deux autres. Quand je fus sûr qu’ils allaient bien, je suis parti et j’ai commencé à réveiller les autres.
J’étais le seul qui ne regardait pas directement l’ovni Foo fighter. Il a quitté la zone et nous avons terminé notre mission.
Le lendemain, j’ai questionné un contrôleur aérien sur la fréquence des événements OVNI. Il m’a répondu au moins une ou deux fois par semaine concernant la navigation aérienne civile ou militaire.