INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Une épave retrouvée dans l’Arctique résout un »grand mystère » vieux de 170 ans
Des archéologues auraient-ils résolu la disparition mystérieuse de l’expédition Franklin ?
En septembre 2014, le gouvernement canadien a annoncé la découverte de l’emplacement de l’un des plus célèbres navires perdus au 19e siècle dans l’Arctique. L’ancien Premier ministre Stephen Harper s’était empressé de déclarer que « l’un des plus grands mystères du Canada » avait été résolu.
L’épave marque le lieu de la fin du voyage de l’un des deux navires ayant mystérieusement disparu il y a près de 170 ans au cours d’une expédition navale britannique menée par Sir John Franklin dans le but de naviguer et de cartographier le passage du Nord-Ouest.
Les deux navires royaux HMS Erebus et HMS Terror ont disparu en 1846 avec leur équipage. Les tombes de certains membres de l’équipage furent découvertes sur terre plus tard, et des Inuits locaux affirmèrent avoir assisté au naufrage de l’un des deux bateaux. Pourtant, le sort exact de l’expédition funeste fait l’objet d’intenses débats et de spéculations depuis toutes ces années.
Les autorités canadiennes ont publié des images d’un navire qui semble être globalement intact au large de l’île du Roi-Guillaume dans le territoire du Nunavut. Ces images furent capturées avec le sonar d’un véhicule piloté à distance appartenant à l’agence Parcs Canada.
« Il ne fait aucun doute » que ce navire est l’Erebus ou le Terror, affirme James Delgado, historien maritime des naufrages à l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique. Delgado avait déjà pris part à une opération de recherche des navires dans l’Arctique, mais n’a pas participé à celle du Canada. Cette dernière est en préparation depuis des années », dit-il.
« Je pense qu’elle va être l’une des plus importantes découvertes d’archéologie maritime de notre époque, » commente Delgado, auteur du livre Across the Top of the World: The Quest for the Northwest Passage. »
UNE EXPÉDITION MAUDITE
Delgado explique que l’expédition Franklin était parmi les mieux équipées et plus expérimentées à s’attaquer au passage du Nord-Ouest au milieu du 19e siècle. Cela faisait longtemps que la quête d’une route tout en haut de l’Amérique du Nord était considérée comme le saint-Graal des marins cherchant à rejoindre plus rapidement le Pacifique depuis l’Atlantique.
Menés par Sir John Franklin au milieu du 19e siècle, les navires royaux HMS Erebus et HMS Terror ont disparu au cours d’une tentative tragique de découvrir le passage du Nord-Ouest. L’un d’eux a maintenant été retrouvé. Crédit dessin: PHOTOGRAPHIE DE ILLUSTRATION PAR LONDON NEWS VIA GETTY IMAGES via nationalgeographic.fr
« Ce n’était pas exactement une mission sur la Lune, mais pas loin, » commente Delgado.
L’expédition partit d’Angleterre en 1845. Les navires croisèrent des baleiniers en entrant dans les eaux froides du nord du Canada. Après cela, un monde plein d’espoir s’étendait devant eux dans un silence profond. »
« Elle a fini par devenir une enquête des plus captivantes, » dit Delgado. De nombreuses tentatives de sauvetage puis de recherches archéologiques se rendirent sur place dans les années qui suivirent, avec des équipes en provenance de plusieurs pays.
On a fini par retrouver les tombes de quelques membres de l’équipage sur l’île Beechey. Des traces de couteau retrouvées sur des os humains sur l’île du Roi-Guillaume ont été interprétées comme des signes de cannibalisme de la part des survivants.
Une note écrite par un membre de l’équipage indiquait que Franklin était mort et les navires abandonnés sans donner plus de détails. Des Inuits affirmèrent avoir vu l’un des bateaux couler rapidement dans l’eau. Plus tard, des historiens soutinrent plutôt que les navires avaient très probablement été détruits par la glace.
ESPOIRS EN EAU FROIDE
Pour Delgado, le fait que l’épave semble globalement intacte est bon signe pour en savoir plus sur ce qui est arrivé à l’expédition.
Il y a de fortes chances que des livres et des lettres à bord aient été préservés dans l’eau froide, dit-il. On sait également que l’équipage avait emporté un daguerréotype. « Nous savons que ce type de plaques photographiques a survécu sur d’autres épaves dans des conditions froides, alors pourquoi pas celles-ci aussi ? » se demande Delgado.
Il ajoute que le navire pourrait devenir une sorte de « capsule témoin » qui éclaircirait non seulement le destin de son équipage, mais aussi apporterait des informations sur l’époque. La quête de ce trésor constitue un véritable défi depuis toutes ces années, à cause des basses températures, de la banquise et de la vaste étendue de cette région isolée.
« Si les Canadiens décident de faire plus de recherches, je pense que le navire se fera le porte-parole de ces hommes. Et si l’on retrouve leurs écrits, ils parleront de leur propre voix », conclut Delgado.
Au cours de l’annonce de la découverte, le Premier ministre a souligné que les navires de l’expédition Franklin « sont une part importante de l’histoire du Canada, car ces expéditions (…) ont posé les bases de la souveraineté arctique canadienne. »
Era & Sylvain investigation océanographique et OANIS
Nous sommes toujours attentifs à l’actualité plus ou moins dissimulée et aux différentes informations qui nous parviennent et tout ce qui peut amener à de la réflexion.
Notre ami du MUFON des caraïbes Hugues Noel nous transmet cet article qui curieusement va dans notre secteur de recherche ce qui démontre que plusieurs personnes pensent plus ou moins comme nous.
Nous remercions Hugues pour ce partage.
CERTAINS UFOLOGUES PENSENT QUE DES EXTRATERRESTRES SE CACHENT DANS LES OCÉANS
Crédit article et illustration : fredzone.org
Article de YOUSSOUF
Une mystérieuse anomalie sonore découverte au large de la Caroline du Nord a déclenché un débat sur les OVNIS parmi les théoriciens du complot. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a lancé une expédition pour résoudre le mystère entourant cette étrange anomalie sonore.
Mercredi dernier, le submersible Okeanos Explorer de la NOAA a été envoyé en plongée pour déterminer si l’anomalie était le résultat d’un naufrage ou d’une formation rocheuse.
Structure géologique ou ancienne épave ?
Tout en effectuant la recherche, la NOAA a diffusé en direct l’exploration sur son site Web et sur les plateformes de médias sociaux. L’organisation a révélé que son véhicule d’exploration avait atteint des profondeurs de 250 à 4000 mètres.
L’endroit où les chercheurs ont repéré l’anomalie est maintenant protégé par la NOAA. Cependant, mercredi soir, l’organisation a clairement indiqué que l’anomalie détectée, connue sous le nom de « Big Dipper Anomaly », semblait être d’origine géologique.
Les théoriciens du complot mettent en avant la théorie des extraterrestres
Les théoriciens du complot de leur côté affirment haut et fort que des extraterrestres très avancés pourraient vivre dans les profondeurs de l’océan. Selon les amateurs d’ovnis et d’aliens, des êtres extraterrestres ont construit des abris dans les profondeurs des océans, et ils possèdent cette technologie avancée qui leur permet de résister aux conditions océaniques difficiles.
Certains théoriciens du complot affirment que la vidéo d’un objet non identifié qui est traîné par un US Navy Jet au-dessus de l’océan est une indication que des extraterrestres vivent dans les océans. Cette vidéo publiée par le Pentagone suite à la révélation du « Advanced Aviation Threat Identification Programme » (AATIP)montre un objet volant bizarre qui vogue à travers le ciel défiant toutes les lois de la physique. Après avoir analysé le mouvement de l’objet repéré, les experts et les chercheurs d’OVNIS ont affirmé qu’aucun avion n’est capable d’effectuer de telles manœuvres erratiques dans l’air.
La théorie des épaves de navires:
La côte de la Caroline du Nord est souvent surnommée le « Cimetière de l’Atlantique ». Pendant les périodes de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux navires ont coulé dans cette zone. Certains experts estiment ainsi que les restes de ces navires pourraient être la raison de ces anomalies.
À l’occasion du centenaire du tragique naufrage duTitanic, des listes officielles, des photographies et des testaments de passagers ou de membres d’équipage viennent d’être mis en ligne. L’Unesco vient également d’inscrire l’épave sur sa liste du patrimoine culturel subaquatique afin de la protéger des pillages.
Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le RMS Titanic, paquebot transatlantique hors norme pour son époque, heurta un iceberg dans l’Atlantique nord et sombra quelques heures plus tard (vers 2 h 00 du matin) à environ 650 km au large de Terre-Neuve. De source officielle, plus de 2.200 personnes auraient embarqué à bord. Seules 711 d’entre elles ont survécu. De nouvelles théories ont vu le jour dernièrement pour expliquer les causes du naufrage. Des coefficients de marée particulièrement élevés et une illusion d’optique auraient respectivement provoqué et masqué la présence du bloc de glace.
La grande majorité des survivants doivent leur sauvetage à l’intervention d’un navire anglais, le RMS Carpathia. Alors qu’il faisait route vers Gibraltar, l’opérateur radio a entendu la nouvelle de l’accident et prévenu le capitaine Arthur Rostron. Celui-ci a dérouté son navire et mis les moteurs à plein régime pour parcourir les 58 milles nautiques le séparant du lieu du naufrage. Le Carpathia a accueilli le premier passager du Titanic vers 4 h 10 du matin, deux heures après la disparition du paquebot sous la surface.
De nombreuses initiatives voient encore le jour à l’approche du centenaire du naufrage. Le navire de croisière Balmoral vient par exemple de quitter les quais de Southampton pour refaire le voyage du Titanic en direction de New York. Par ailleurs, un musée a ouvert ses portes sur les lieux de la construction du paquebot à Belfast et une exposition permanente est dorénavant accessible à la cité de la Mer de Cherbourg. Deux autres actualités méritent d’être soulignées : un site spécialisé en généalogie vient de rendre accessibles plusieurs milliers de documents relatifs au Titanic et l’Unesco a classé son épave afin de la protéger contre les pillages et les dégradations.
Les documents ont été publiés sur la version anglaise du site Ancestry. Ils se composent notamment des listes officielles des passagers et membres d’équipage ayant embarqué à Southampton et Corb (anciennement Queenstown). Elles fournissent les noms des passagers, mais aussi leur âge, leur profession, la classe qu’ils ont réservé ou encore la présence du conjoint à bord.
Le site Internet diffuse également des listes présentant les noms et informations relatives aux 1.517 passagers décédés, aux 328 corps repêchés et aux 703 personnes secourues par le RMS Carpathia. Un recensement complet des 121 victimes non identifiées ou non réclamées enterrées au cimetière de Fairview Lawn à Halifax (Canada) ainsi que plusieurs testaments (dont celui du capitaine Edward Smith) et photographies complètent les informations accessibles gratuitement jusqu’au 31 mai.
Miriam Silverman, une responsable du site, explique l’intérêt d’une telle diffusion d’informations dans un article du journal Le Monde : « De nombreuses familles ont pu avoir entendu des rumeurs selon lesquelles elles avaient un ancêtre à bord du Titanic, certaines ont pu perdre les preuves de cela […]. Nous sommes très contents de permettre au public d’avoir accès gratuitement à ces données précieuses ».
L’épave du Titanic a été découverte dans la nuit du 31 août au 1e septembre par l’équipe de Robert Ballard, qui travaillait à l’époque en collaboration avec l’Ifremer. Elle gît à 3.821 mètres de profondeur dans les eaux internationales. Elle ne dépend donc de la juridiction d’aucun pays. Plusieurs expéditions se sont succédé depuis la découverte des restes du paquebot et de nombreux objets ont été remontés à la surface. Certains spécialistes parlent même de pillage.
Heureusement, l’épave bénéficiera, à partir de son centième anniversaire, de la Convention de l’Unesco sur la protection du patrimoine culturel subaquatique. Ce traité international, entré en vigueur le 2 janvier 2009, a été ratifié par 49 États en réponse à des pillages et des destructions effectuées par des chasseurs de trésors. Selon le communiqué de l’Unesco, les États pourront « prendre toutes les mesures en leur pouvoir pour protéger l’épave et faire en sorte que les restes humains soient traités dignement ». Ce texte n’interdit toutefois pas l’accès à l’épave puisqu’il encourage les recherches archéologiques dont le caractère scientifique ou éthique n’est pas « contestable ».