Vendredi 24 juillet 2020 à 09h55
Lorsque j’ai rédigé mon second ouvrage, j’avais déjà une trame dont je pouvais me servir puisque mon

Matisse sylvain webmaster et auteur – Crédit photo / revue Sparse par Cédric de Montceau © 2019 photo soumise à autorisation pour être reprise.
premier ouvrage avait esquissé une partie de mes recherches. Il fallait simplement développé un peu ou un peu certains critères afin de combler une sorte de vide .
Parmi le catalogue en ma possession figurent les concepts futuristes d’habitats en milieu aquatique et plus particulièrement sous-marin pour deux raisons.
La première c’est d’entrevoir l’avenir de l’humanité surtout en se référant à l’aspect climatique, la tournure que prend notre planète ainsi que les activités humaines combinées. Il est acquis que l’homme finira tôt ou tard sous l’eau pour survivre avant de coloniser soit une lune soit une planète ou une exoterre,ou tout simplement de périr si le temps nous rattrape. A la vitesse où vont les choses rien n’est interdit.
La seconde raison concerne plus les objets aquatiques non-identifiés ( OANI).
En se basant sur l’idée que l’homme ( à commencer par les privés milliardaires d’une part et les industriels d’autre part), se projette sur le futur, en investissant sur des réalisations innovantes et inédites pour des fins commerciales et aussi pour aider l’humanité à perdurer le plus longtemps possible sur notre planète il paraît tout aussi évident que logique, de se lancer dans des concepts de laboratoires, d’hôtels, de capsules ,formant à plus ou moins long terme des petites villes sous marines. Pour cela il faut des machines et des moyens de transport adéquat pour naviguer en toute sécurité dans les fonds marins. Et c’est là que l’une de mes hypothèses est intéressante. Nous pouvons en effet estimer que des vaisseaux et des machines aux allures futuristes sont déjà testées et sans doute que parmi ces réalisations certaines sont dores et déjà opérationnelles . Voilà le rapport entre certains OANI et l’idée de technologies et de structures futuristes. Bien entendu ça n’élimine d’aucune façon les modèles militaires de cet acabit ni les choses potentiellement de nature plus exogène.
Pour conclure je vous invite à lire ci-dessous avec quelques images l’un de ces projets afin d’agrémenter mes allégations. Pour celles et ceux qui ont la chance d’avoir entre leurs mains mes livres vous aurez ainsi une idée encore plus concrète et précise de mes options dans mes recherches. Merci à vous, place à l’article ci-dessous .
Article crédit : futurism.com
images: Courtesy Proteus / Yves Béhar / Fuseproject
Traduction
« L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’exploration spatiale. »
Avec l’aide du designer industriel Yves Béhar, Cousteau a dévoilé son audacieuse ambition: un laboratoire de 4000 pieds carrés( 1219,2 m carré) appelé Proteus qui pourrait offrir à une équipe de jusqu’à 12 chercheurs du monde entier un accès facile au fond de l’océan. Le plan est de le construire en seulement trois ans.
L’élément de conception le plus frappant de leur vision est un certain nombre de cosses saillantes en forme de bulles, s’étendant à partir de deux structures circulaires empilées l’une sur l’autre. Chaque pod est conçu pour être assigné à un objectif différent, allant des baies médicales aux laboratoires et aux quartiers personnels.
«Nous voulions que ce soit nouveau et différent, inspirant et futuriste», a déclaré Béhar à CNN . «Donc [nous avons examiné] tout, de la science-fiction aux logements modulaires en passant par les hôtels japonais.»
L’équipe affirme que Proteus comportera la première serre sous-marine au monde, destinée à la culture de nourriture pour quiconque y est stationné.
L’énergie proviendra de l’énergie éolienne, thermique et solaire.
«L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’exploration spatiale pour – égoïstement – notre survie, pour notre trajectoire dans le futur», a déclaré Cousteau à CNN . «C’est notre système de survie. C’est la raison même pour laquelle nous existons en premier lieu. »
L’exploration spatiale reçoit beaucoup plus de financement que son homologue océanique, selon CNN , malgré le fait que les humains n’ont exploré qu’environ 5% des océans de la Terre – et cartographié seulement 20%.
Le Proteus ne rejoindrait qu’un seul autre habitat sous-marin permanent, l’Aquarius au large de la Floride, qui a été utilisé par la NASA pour simuler la surface lunaire .