INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Les disparitions sont affreusement courantes dans ces lieux
Article et photos source jack35.wordpress.com – Etrange et insolite Publié le par jack35.
Le stand des OANIS au salon du paranormal de Dijon les 8 et 9 septembre 2018, tenu par Era & Sylvain administrateurs du site web spécialisé Investigation Océanographique et OANIS.
Les mystères marins englobent aussi des disparitions étranges, certaines ici sont plus ou moins mentionnées dans mon premier ouvrage, cette petite sélection démontre que bien des énigmes résistent .
Aux quatre coins du monde, on trouve des endroits où des disparitions se sont produites dans d’étranges circonstances. De nombreuses personnes se sont volatilisées après avoir traversé ou visité ces régions mystérieuses, sans laisser la moindre trace ou explication. La série d’images suivante vous emmène au cœur de l’énigme!
Triangle des Bermudes
Cette localisation a vu de nombreuses disparitions survenir, qu’il s’agisse de navires de croisière ou de simples chalutiers. Les épaves n’ont jamais été retrouvées. En 1918, l’USS Cyclops s’y est aussi volatilisé, avec à son bord 309 hommes d’équipage.
Ces lignes imaginaires, qui dessinent un triangle reliant Miami, Porto Rico et les Bermudes est bien plus qu’une simple zone marine. Ce lieu, dans la culture populaire, est le théâtre d’accidents et de mystérieuses disparitions d’avions et de navires.
Pour tenter d’élucider ces événements intrigants, toutes sortes d’explications ont été apportées. Des portails aux autres dimensions, en passant par des champs de méthane, à ce jour, aucune de ces théories n’a été formellement prouvée.
Mer des Sargasses
La mer des Sargasses, située dans l’océan Atlantique, fut le théâtre d’un intrigant spectacle: le passage du Mary Céleste, un bateau fantôme.
Le navire sera retrouvé en 1872, totalement déserté, mais encore chargé de denrées et de combustible. À ce jour, on ignore encore ce qu’il est advenu de l’équipage.
Lac Supérieur, États-Unis
Le Lac Supérieur est le plus profond des Grands Lacs, entre le Canada et les États-Unis. De nombreuses disparitions ont été enregistrées dans les parages.
Un record impressionnant de naufrages a eu lieu dans le Lac Supérieur où pas moins de 200 navires se sont échoués. La plupart des épaves n’a jamais été retrouvée ou renflouée.
Anomalie magnétique de l’Atlantique sud
La ceinture de Van Allen est une zone constituée de particules énergétiques, retenue par le champ magnétique de la Terre. Son point le plus proche de la surface terrestre se situe non loin du Brésil, dans l’océan Atlantique.
Ces fortes radiations seraient peut-être responsables du crash du vol Air France 447, le 1er juin 2009, où plus de 200 personnes ont perdu la vie.
Lac Angikuni, Canada
Le lac Angikuni se trouve dans la région du Kivalliq, à Nunavut, au nord du Canada. En 1930, un homme est tombé nez à nez avec un village abandonné au bord du lac.
Le plus fascinant c’est que des marmites de nourriture se trouvaient toujours au-dessus de feux éteints. De nombreuses tâches et activités semblaient avoir été abandonnées en urgence. Les villageois n’ont jamais été retrouvés et la raison de leur fuite reste inexpliquée.
Îles Flannan, Écosse
Au large des côtes écossaises, les îles Flannan, aussi appelées Hébrides extérieures, abritent un phare singulier.
En 1900, l’équipage d’un navire a remarqué que la lumière du phare ne fonctionnait plus et a décidé d’enquêter. Les trois gardiens du phare s’étaient évanouis dans la nature et ne furent jamais retrouvés.
Mer du Diable, Japon
La mer du Diable, aussi connue sous le nom de Triangle du Dragon, est célèbre suite à plusieurs incidents impliquant des disparitions de navires.
Un jour, en 1952, le gouvernement japonais a dépêché une trentaine de personnes sur les lieux afin d’enquêter. Malheureusement, elles furent elles aussi victimes des eaux tumultueuses de la mer du Diable.
L’une des lunes de saturne,Enceladus par la sondeCassini renifle l’habitabilité dans les jets jaillissant de la surface lunaire. Crédit image : crashdebug.fr
Des lacs sous-glaciaires pourraient nous aider à chercher la vie extraterrestre
Article source : futura-sciences.com/
Publié le 17/04/2018 par: Laurent Sacco
Par sérendipité, une équipe internationale de chercheurs vient de découvrir le premier lac sous-glaciaire arctique canadien. Grande nouveauté, il est hyper-salé, ce qui en fait un environnement sur Terre similaire à l’océan sous la banquise d’Europe. De quoi exciter les exobiologistes voulant explorer la lune de Jupiter.
Lorsqu’il s’agit de rechercher de la vie sur Mars, les exobiologistes et les planétologues testent leurs théories et leurs stratégies dans des environnements terrestres, au moins depuis les années 1970. Carl Sagan a ainsi largement relayé dans le grand public les travaux du microbiologiste Wolf Vladimir Vishniac, mort en 1973 alors qu’il effectuait ses recherches en Antarctique, qu’il considérait comme un environnement similaire à celui de certaines régions de Mars. Les idées de base sont bien sûr de vérifier si des micro-organismes peuvent survivre et prospérer dans des conditions similaires, et enfin de découvrir où l’on peut le plus facilement les mettre en évidence et avec quelles techniques.
L’île Devon, un environnement martien au Canada
Les exobiologistes ont continué à explorer la voie ouverte par Vishniac en Antarctique mais aussi dans le désert de l’Atacama et même en Arctique sur l’île Devon qui est située dans une partie isolée du territoire du Nunavut au Canada. Elle est généralement considérée comme la plus grande île inhabitée du monde. Ainsi, chaque été depuis 1999, des chercheurs du projet Haughton-Mars de la Nasa et de la Mars Society résident dans cet endroit pour étudier les caractéristiques géologiques et environnementales d’un site considéré comme un excellent analogue de Mars, notamment parce qu’il se trouve à proximité d’un cratère d’impact, le cratère Haughton.
Toutefois, la découverte qui vient d’être annoncée par une équipe de chercheurs dans un article de Science Advances, et qui concerne les exobiologistes en quête de vie ailleurs dans le Système solaire, n’a pas été faite dans le cadre du projet Haughton-Mars, même si elle concerne également l’île Devon.
Elle prend racine dans le travail de thèse de la géophysicienne Anja Rutishauser qui s’occupait de sondages radar de la couverture glaciaire du Canada pour des études de glaciologie à l’université de l’Alberta. Il s’agissait en l’occurrence de regarder de plus près les données radar collectées depuis un avion par la Nasa et l’Institut de géophysique de l’université du Texas (UTIG) pour décrire les conditions du substratum rocheux sous la calotte glaciaire du Devon.
Des analogues des lacs d’Europe sous la banquise de l’île Devon
La chercheuse a alors mis en évidence ce qu’elle ne cherchait pas à prouver au départ, l’existence de deux lacs situés sous la calotte glaciaire de l’île entre 550 et 750 mètres de profondeur. Des lacs sous-glaciaires ont déjà été découverts en Antarctique, comme le célèbre lac Vostok, et même quelques-uns sous l’Inlandsis du Groenland, mais c’est la première fois que l’on en découvre dans l’Arctique canadien. Le résultat le plus étonnant, c’est qu’à ces profondeurs, les eaux des deux lacs doivent être à -10° C environ et même en tenant compte de la pression, pour rester liquide à cette température, elles doivent également être hyper-salées (ces lacs doivent contenir des concentrations importantes de chlorure de sodium ou d’autres sels, avec des concentrations salines supérieures à celles de l’eau de mer, soit 35 grammes par litre), ce qui ne s’était encore jamais vu avec les environ 400 autres lacs sous-glaciaires connus.
Envoyer un sous-marin dans l’océan d’Europe
Vidéo NASA Jet Propulsion Laboratory via Youtube
Les scientifiques croient qu’il y a un océan caché sous la surface de la lune Europa de Jupiter. L’astrobiologiste de la NASA-JPL Kevin Hand explique pourquoi les scientifiques sont si excités par le potentiel de ce monde couvert de glace à répondre à l’une des questions les plus profondes de l’humanité. Images sous-marine fournies par John Delaney, Université de Washington.
Les deux lacs hypersalins révélés par les ondes électromagnétiques ont des surfaces d’environ huit et cinq kilomètres carrés respectivement et ils ne semblent pas reliés à des sources d’eau marine ou à des eaux de surface. Ils doivent donc leur salinité à des affleurements géologiques salifères sous la glace. On peut raisonnablement avancer que ces lacs sont isolés depuis au moins 120.000 ans d’après les chercheurs.
Voilà qui est très intéressant pour l’exobiologie car une telle éventualité ouvre une fascinante possibilité. Si des formes de vie ont été piégées dans ces lacs et ont évolué en survivant jusqu’à nos jours, leur étude serait riche d’enseignements pour mieux évaluer la possibilité d’une vie dans les océans d’Europe, sous la banquise de la lune de Jupiter.
Nous connaissons environ 400 lacs sous-glaciaires sur Terre mais nous venons de découvrir les tout premiers sous la glace de l’Arctique canadien, par hasard, lors de travaux de glaciologie avec des sondages radar.
Les deux lacs découverts sont hypersalins et ils pourraient être isolés depuis 120.000 ans sur l’île Devon, un environnement qui sert déjà d’analogue à Mars pour les planétologues et les exobiologistes.
Ils pourraient contenir des formes de vie microbienne qui seraient adaptées à ces lacs, ce qui en ferait, peut-être, des équivalents de l’océan d’Europe, la lune de Jupiter.
Lac-au Saumon entre deux rangées de montagnes, la rivière Matapédia qui s’élargit en cet endroit en un lac. Crédit: lacausaumon.org
Un témoignage déposé sur le site web du MUFON .
L’observation remonte au 20 février 2017.
Lieu: situé vers Le Bas-Saint-Laurent au Québec le lac-au-Saumon qui est un plan d’eau.
Témoignage :
« Vers les 20:30 heures, mon chien s’est mit à aboyer en regardant dehors. J’ai regardé et je n’ai rien vu. Alors je suis sorti dehors avec mon chien à l’avant de la maison mais il n’ y avait personne. En retournant vers l’arrière de la maison, j’ai levé les yeux vers l’ouest pour observer Vénus qui était très brillante. C’est à ce moment-là que j’ai aperçu l’objet en question. Il avait une lumière blanche au centre qui flashait, et de chaque côté de cette lumière il y en avait de plusieurs couleurs: bleu, vert, jaune, orangée… Je suis entré dans la maison pour aller chercher mon cellulaire et filmer l’objet mais ça n’a pas vraiment fonctionné. Trop sombre. Alors j’ai continué d’observer l’objet et ça ressemblait beaucoup à ce que j’avais déjà vu auparavant. (J’avais 14 ans et un objet était près de la maison en hauteur. Nous étions 11 personnes à l’avoir vu. Même ma mère l’a vu. Nous l’avons observé avec des jumelles et ont distinguait très bien la forme de l’objet qui était cylindrique).
L’objet a continué son chemin en ligne droite en direction de l’est et la je l’ai perdu de vue près de la tour de communication. J’étais content d’avoir vu l’objet ça me rappelait ce que j’ai déjà vu mais en plus petit parce qu’il était plus éloigné. J’ai parlé avec un de mes amis qui lui aussi est un passionné d’OVNI comme moi. Je lui ai raconté ce que j’avais vu. Le lendemain il m’a raconté que sur sur le coup de midi en allant au travail vers la ville de Causapscal (située vers l’est ,une ville de la province de Québec, au Canada, située dans la municipalité régionale de comté de La Matapédia, au Bas-Saint-Laurent ), il a vu 2 avions qui semblait patrouiller dans le secteur où j’avais vu l’objet disparaître. Assez intriguant ? Voila c’est mon histoire … »
S’il n’est pas en approche, le bateau en question existe en revanche bel et bien: il s’agit du Lyubov Orlova, ancien bâtiment soviétique en perdition dans les mers depuis février 2013, sans âme qui vive à bord –à part éventuellement celle des rats. Existe-t-il beaucoup de bateaux-fantômes qui dérivent ainsi sur les mers et les océans du globe?
La réponse est non. Désolé pour les amateurs de grands frissons, mais ce phénomène est extrêmement rare. Le cas du Lyubov Orlovaest une exception qui confirme la règle.
Lorsqu’il s’est retrouvé il y a un an à dériver au large du Canada, leLyubov Orlova faisait son dernier voyage: il était sur le point d’être démantelé. Vendu à une société de déconstruction, il n’avait alors plus de propriétaire, de coque, ou de pavillon. Une coquille vide que le remorqueur a perdu, en raison de très mauvaises conditions météorologiques. Ne parvenant pas à le rattacher, le bâtiment a été laissé à la dérive, sans que quiconque ne vienne le récupérer.
En temps normal, une telle situation ne peut se produire: quand un bateau rencontre des difficultés en mer, c’est à son propriétaire (ou armateur) qu’il incombe de réagir. Le droit maritime le somme de faire cesser le danger à la navigation. Cette règle est valable dans toutes les mers et océans puisqu’elle dépend de règlementations maritimes internationales, telles que la Convention de Montego Bay.
Si un propriétaire ne peut mettre fin aux ennuis rencontrés par son bateau dans les eaux territoriales françaises, c’est l’Etat qui prend le relais, via ses préfectures maritimes qui coordonnent l’action en mer sur l’ensemble des littoraux. Il envoie alors des remorqueurs, ses «Abeilles», dont le coût d’intervention reviendra néanmoins à l’armateur et à ses assurances.
Dans le cas du Lyubov Orlova, le Canada avait dans un premier temps tenté de le récupérer, avant d’arrêter les frais. Une fois dans les eaux internationales, personne n’avait intérêt à dépenser de l’argent à tenter de récupérer ce bâtiment. Par contre, s’il venait à s’approcher des côtes françaises, l’Etat devrait agir pour faire cesser le danger et le remorquage serait alors aux frais des contribuables –puisqu’imputables à personne d’autre.
Par ailleurs, toujours en France, un poste est chargé de surveiller tous les bateaux battant pavillon français dans le monde: en cas de problème, il prévient le Maritime Rescue Coordination Centre (MRCC)du pays le plus proche afin de mettre en place une coordination maritime. De telle sorte qu’aucun navire ne se retrouve laissé à l’abandon.
Dans le cas du Lyubov Orlova , en revanche, complètement dépouillé, il n’est pas question de GPS à bord. Impossible de le détecter par ailleurs via d’autres technologies telles que les photos satellites: la résolution des appareils étant bien trop faible pour cibler un bateau. De plus, pour trouver ce navire, il faut aussi savoir où pointer le dispositif dans l’Atlantique.
Quant à la question des rats, sachez que les navires ont développé des solutions de conditionnement pour éviter que les rongeurs, comme d’autres animaux, montent à bord. S’il arrive d’en trouver, notamment en région tropicale, à bord de cargos commerciaux transportant des denrées alimentaires, le stockage des poubelles en frigo (pour les plus petits bateaux), l’incinération des matières organiques (pour certains bateaux de la marine nationale) comme le placement de la nourriture dans des capacités spéciales hermétiques, permettent d’éviter la prolifération des rats. En revanche oui, ils peuvent s’entre-dévorer. Mais comme tout mammifère placé en situation de stress.
Andréa Fradin
L’explication remercie le Lieutenant Ingrid Parrot, porte-parole de la Préfecture maritime de l’Atlantique, ainsi queBernard RICHELET, capitaine de frégate et chef de cabinet du Secrétariat général de la mer. Article également réalisé avec l’aide duCentre de Biologie pour la Gestion des Populations de Montpellier, ainsi que des articles de la BBC et The Guardian.
Certes, la vie basique mono cellulaire est apparue avec les premiers habitants de notre planète, les bactéries il y a 3,8 milliards d’années.
Cependant pour info, le plus extraordinaire dans l’article que je partage aujourd’hui, c’est lorsque l’on prend conscience de ce que représente une date aussi lointaine dans l’histoire de la Terre. Pour certains, il y a 1,5 milliards d’années, il y avait peut être déjà des ancêtres hominidés ? non ! ou des dinosaures alors ? Non plus ! Au moins des forêts ? Que néni … Des fougères ??? Heu… ???
NON … Non et non, il faut savoir avant de lire et de comprendre la portée de la découverte que l’apparition de la vie sur terre (un tant soit peu développée) remonte avec l’arrivée des méduses et autres algues, éponges à moins de 600 000 000 d’années, c’est à dire que les premiers organismes pluricellulaires apparus sur Terre sont deux fois plus jeunes que cette eau …
C’est pourquoi je vous fais part de cette extraordinaire article découvert sur le site » Notre planète info » à partager sans modération…
Une découverte extraordinaire faite au Canada :
Au fond d’une mine de cuivre canadienne, la plus ancienne réserve d’eau libre connue à ce jour fait l’objet d’analyses afin de déterminer les conditions propices à la vie. Isolée depuis au moins 1,5 milliard d’années, une telle découverte ravive l’espoir que de l’eau propice à la vie puisse avoir été préservée également sous la surface d’autres planètes, comme Mars.
A 2,4 km de profondeur, dans la mine de cuivre de Timmins (Ontario – Canada), des chercheurs britanniques et canadiens se sont penchés sur une réserve d’eau restée totalement isolée du monde extérieur depuis le Précambrien[1] et découverte par des mineurs. Cette eau s’écoule très lentement, avec un débit de 2 litres par minute, dans un trou de forage.
Selon les premières analyses, cette eau est riche en gaz dissous, comme l’hydrogène et le méthane ainsi qu’en isotopes stables de gaz rares (Xénon, Krypton, Hélium, Argon, Néon). Ce qui permet aux chercheurs d’estimer l’âge de cette eau piégée sous terre à au moins 1,5 milliard d’années. Mais d’autres indices laissent penser qu’elle pourrait être vieille de près de 2,7 milliards d’années, un âge proche des roches qui la retiennent prisonnière.
Ce qui suscite l’intérêt des chercheurs c’est la présence de ces gaz et isotopes qui ont le potentiel pour fournir l’énergie nécessaire à la vie pour des micro-organismes tenus à l’écart du Soleil durant des milliards d’années. C’est en partie le cas dans les sources d’eau chaude situées au fond des océans qui sont riches en vie microscopique[2].
Ainsi, si des bactéries sont découvertes dans l’eau de la mine de Timmins, leur étude pourrait éclairer les scientifiques sur leur évolution phylogénétique de leurs descendants jusqu’à notre époque.
De plus, cette découverte devrait éclairer les scientifiques sur les limites de la vie et les conditions nécessaires à son maintien.
Enfin, cette étude relance les espoirs de trouver de la vie sur d’autres planètes comme Mars où elle aurait pu se développer de manière totalement indépendante des conditions de surface. Les analyses microbiologiques devraient prendre encore un an avant de pouvoir délivrer des conclusions définitives.
Des chercheurs originaires des États-Unis et d’Europe ont fait une découverte surprenante.
Ils ont découvert trois objets sur le territoire de l’Antarctique qui rappellent par leur forme des pyramides. Cependant, les chercheurs estiment que ces monuments anciens ont une origine artificielle.
Les chercheurs ont découvert qu’une pyramide se trouve presque sur la rive. Deux autres sont situés à 16 kilomètres de la côte. Visuellement, les vestiges découverts ressemblent aux pyramides d’Egypte, dont la plus ancienne date de l’année 2070 av. J.-C.
L’information diffusée hier soir sur La Voix de la Russie n’est pas toute récente et remonte à Août 2012 :
Découvertes d’anciennes pyramides en Antartique
2012 – Année de révélations anciennes pyramides dans l’Antarctique !
Une équipe de chercheurs déclarent qu’ils ont découvert trois pyramides antiques sur le continent couvert de glace de l’Antarctique.
Détails exacts sont sommaires, mais l’équipe a publié trois images fascinantes de leur découverte. …
L’équipe internationale comprend des chercheurs provenant des États-Unis et plusieurs autres, sont de divers pays européens. Deux des structures immenses pyramide ont été trouvés à environ 10 milles vers l’intérieur, le troisième un pas loin de la côte, clairement visible depuis l’océan.
L’équipe prévoient actuellement une expédition pour atteindre une des pyramides pour savoir si c’est naturel ou une structure artificielle. Sans autres détails ont été rapportés de l’équipe à compter du 29 août 2012. Plus de news en attente.
L’avion amphibie bombardier d’eau Be-200, produit par le constructeur aéronautique russe Beriev, est un appareil indispensable à l’Amérique latine, a estimé Sergueï Ladyguine, chef de la délégation de l’Agence russe d’exportation d’armements (Rosoboronexport) au Salon de la Défense et de la Sécurité (LAAD).
« Compte tenu de son potentiel, le Brésil pourrait devenir un centre latino-américain d’intervention lors des situations d’urgence, équipé d’avions Be-200 », a indiqué M.Ladyguine.
Le salon LAAD 2013 se déroule à Rio de Janeiro (Brésil) du 9 au 12 avril 2013.
L’avion polyvalent Beriev-200 est conçu sur la base du plus grand avion-amphibie à réaction du monde A-40 Albatros. Sa version de base est destinée à combattre les feux de forêt, mais l’appareil peut également transporter des passagers (version Be-210) et des marchandises, patrouiller des zones côtières, effectuer des opérations de recherche et de sauvetage et d’autres missions. L’avion Be-200 peut se poser indifféremment sur l’eau et sur le sol.
Ajout de notre administration cette vidéo Youtube :
C’est en Australie que 12 dauphins ont partagé leur meilleure récolte de thons, poulpes et autres poissons fins avec des Hommes. Il s’agit-là d’un acte de partage très rare entre deux espèces.
À Tangalooma, une station balnéaire de l’île Moreton, en Australie, des dauphins sauvages donnent de la nourriture aux humains. En effet, depuis 1998, des Hommes se voient offrir des anguilles, du thon, un calamar, un poulpe et différents types de poissons. Certains de ces cadeaux ont pourtant une grande valeur aux yeux des dauphins. Ce sont les dauphins Tursiops, les plus étudiés des cétacés, qui sont à l’origine de ces cadeaux hors du commun.
Finalement, bien que ces animaux soient connus, on ignore encore beaucoup de choses sur leur biologie et leur écologie. C’est la raison pour laquelle, depuis 1992, un programme de recherche a été mis en place à Tangalooma : le Tangalooma Wild Dolphin Provisioning Program. Grâce à celui-ci les chercheurs suivent un groupe d’une douzaine de Tursiops et les nourrissent chaque soir à la nuit tombée.
C’est ainsi qu’en 1998, pour la première fois, Fred, un dauphin mâle, rapporta une murène morte à l’un des membres du programme. Depuis, 22 autres événements de ce type se sont produits. Un article paru dans le journal Anthrozoös décrit cet étonnant comportement des dauphins.
Jeu ou partage ?
En effet, le geste de partage entre espèces est assez rare et donc peu documenté. Le seul cas bien connu d’échange entre l’animal et l’Homme est celui du chat qui amène la proie qu’il vient d’attraper à son maître. Néanmoins, quelques autres cas exceptionnels sont rapportés. Ainsi, Flip Nicklin, un photographe du National Geographic, avait raconté comment, au cours d’une mission de plongée à Hawaï, il s’était vu offrir un mahi-mahi par une fausse orque (Pseudorca).
Le photographe avait accepté le présent, puis l’avait rendu à l’animal, qui s’en était allé avec.
Difficile aujourd’hui de savoir ce qui pousse ces cétacés à offrir des cadeaux si précieux à leurs yeux à l’Homme. D’autant que les dauphins de l’île Moreton sont d’âges et de sexes différents. Les scientifiques ne sont pas sûrs de leurs motivations. Il peut s’agir de montrer une volonté de jeu, d’un simple désir de partage de la nourriture ou encore l’expression de la croyance que l’autre est un chasseur incompétent. La thèse du jeu est toutefois privilégiée.
Article envoyé par notre ami Gilles Thomas – Traduction Era –
Source : http://torontoist.com/
Si votre eau du robinet a un goût d’ET, c’est peut-être parce qu’il y a une base extraterrestre dans le lac Ontario.
PAR PATRICK METZGER
Photo by SnapHappyExpat from the Torontoist Flickr pool.
Avez-vous déjà été aveuglé par un flash de lumière tout en marchant le long de la rive du lac Ontario, puis réveillé 12 heures plus tard, face cachée, dans le gravier, sans mémoire et votre pantalon à l’envers ? Vous avez sans doute pensé: «Hé, qu’est-ce qui se passe? Je n’étais pas dans le quartier des divertissements nuit dernière. «
Le mystère pourrait être résolu. Selon l’internet, il s’agit d’une base OVNI placée juste sous le lac Ontario.
C’est vrai, allez sur Ask Jeeves et recherchez « lac Ontario base d’ovnis » et vous tomberez sur de nombreuses références à l’étrangers sur la supposée base secrète comme dans le paragraphe ci-dessous, qui est censé être une liste abrégée de toutes les bases extraterrestres de la planète .
Entrées du lac Ontario avec possibles bases d’ovnis et cités sous-marines… Les Lumières de l’Ontario des sphères de couleur orangée ont été aperçues sortant/plongeant dans le Lac Ontario. La zone d’activité la plus intense se trouve entre Oakville and Toronto. Il peut y avoir une connexion à la centrale Hydro-électrique de Lakeview [Note de l’éditeur: Cette centrale est à Mississauga], car beaucoup de ces OVNIS ont été vus se dirigeant dans cette direction.
La source de cette information étonnante est le livre convenablement intitulé Les bases souterraines Extraterrestres, écrit par un «commandant X. » Le témoin oculaire livre des documents et des preuves photographiques de manigances aériennes sur et autour du lac qui sont censés avoir eu lieu pendant un certain nombre d’années .
Malheureusement, ces comptes ne sont pas confirmés par d’autres sources, et le commandant énigmatique n’a pas pu être joint pour commenter directement ou par l’intermédiaire de son éditeur, dont l’adresse e-mail est « MRUFO8@hotmail.com. » Et un tel profil est problématique quand il s’agit de vérifier les histoires.
Une autre source prétendant qu’il y a des phénomènes surnaturels dans notre approvisionnement en eau est désormais le livre sortis des presses Le Triangle des Grands Lacs, publié en 1977, lorsque le concept des triangles étant des véhicules qui disparaissent frappait toujours l’imagination du public. L’auteur Jay Gourley a affirmé que la région autour des Grands Lacs avait un taux anormalement élevé de navires et d’ avions qui disparaissent, et que les disparitions étaient parfois associées à des phénomènes aériens étranges. Cependant, les théories de Gourley ont été rapidement démenties par les sceptiques, qui ont observé que les navires disparus sont une réalité de la vie sur les grands plans d’eau soumis à de brusques tempêtes massives.
Une conversation avec André Morin, directeur canadien du Mutual UFO Network (MUFON), n’a mis au jour aucune information nouvelle. Il ne pouvait que nous indiquer plusieurs des mêmes sites mentionnés précédemment, le tout ramenant à l’insaisissable commandant X.
Bien sûr, les gens se disent encore voir des choses étranges au-dessus du lac. Toutefois, une recherche rapide sur YouTube démontre que les vidéos des événements sont généralement risiblement truquées, ou si floues et granuleuse que cela pourrait être n’importe quoi depuis une tour de téléphonie cellulaire à distance à un chien vomissant des cierges dans un placard à balais.
Angus Armstrong, maître de port et chef de la sécurité de l’Administration portuaire de Toronto, affirme que la plupart des observations de lumières non identifiées peut être expliqué par l’urbanisation rapide de la région autour du lac. « L’autre côté du lac Ontario, à St. Catharines et près de là, l’habitude d’être beaucoup plus sombre. Comme cela est passée d’une petite ville endormie, il ya beaucoup plus de lumières flottantes et le scintillement dans le ciel. Et la différence entre l’eau et température de l’air peut produire des réflexions étranges. «
Armstrong cite également le trafic aérien a augmenté en raison de signalements d’ovnis, mais reconnaît que lui-même peut se tromper. « Je suis allé là-bas pour aider ce qui ressemble à un navire en détresse, et ai fini par chasser une lumière qui ne se rapprochait jamais. »
Ainsi, les preuves d’une base extraterrestre ne sont pas fortes. Mais comme tout amateur d’OVNI vous dira, l’absence de preuve n’est pas une preuve d’absence, et le lac Ontario reste profond et sombre, avec beaucoup de place pour les mystères.
Je vous propose aujourd’hui cet article de Wikistrike, qui porte sur les Ruines sous-marines retrouvées par des chercheurs canadiens, j’avais posté au mois d’Aoûtun article traduit d’après les informations de Georges Filer à propos de trois Pyramides englouties au large de la côte atlantique de la Floride, Jack35 a repris sur son site ce matin un Article de la Voix de la Russie : Une ville immergée découverte dans le Triangle des Bermudes que Sylv1 a par ailleurs re-blogué ici, Merlin sur son site en 2009 nous parlait de ces Etranges structures sous-marines dans les Bahamas… Edgar Cayce dans son « Visions de l’Atlantide » nous révélait déjà l’existence de ces constructions sous-marines au large des côtes de la Floride. (Lecture 364-3) « Le continent de l’Atlantide occupait une position située entre le golfe du Mexique d’une part, et la Méditerranée d’autre part. On trouvera des preuves de l’existence de ce continent perdu dans les Pyrénées, au Maroc, au Honduras britannique, au Yucatan et aux Etats Unis. Il reste certaines émergences… qui devaient, à une époque ou une autre, faire partie de ce vaste continent. Les Indes Occidentales britanniques, ou Bahamas, sont parmi ces vestiges. Si l’on effectuait des sondages géologiques dans ces îles, ou dans le Gulf Stream et notamment aux abords de Bimini, on trouverait certainement des preuves déterminantes. »
Les incroyables pyramides sous-marines cubaines – Source Wikistrike
En 2001, une équipe de chercheurs canadiens a travaillé sur la côte ouest de Cuba, afin de vérifier les dires de premiers explorateurs partis en 2000 dans la même zone et qui aurait découvert une ville engloutie depuis des milliers d’années. Et l’incroyable s’est produit: La cité existe !
Les ruines d’une ville engloutie ou « l’Atlantide cubaine » ont pu être localisées grâce à des sonars sophistiqués capables de détecter des structures en pierre jusqu’à 650 pieds de profondeur. Les premiers relevés ont suscité un énorme intérêt dans la communauté scientifique, qui a bien vite mis la découverte sous silence.
Les premiers explorateurs ont repéré le complexe il y a déjà 12 ans, quand ces chercheurs ont balayé la zone par hasard. Les radars ont alors mis à jour une unité sophistiquée composée de plusieurs pierres disposées de façon symétrique.
Zelitsky, ingénieur russe, ancienne espionne de la marine soviétique pendant la guerre froide, et son mari, Paul Weinzweig, un chercheur en « Communications numériques avancées » (photo ci-dessous à gauche), ayant des bureaux au Canada et à Cuba, ont parcouru et exploré avec leur navire de recherche « Ulises » les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba, dans le but de récupérer d’éventuelles épaves, quand ils se sont rendus compte que sous leur coque dormait un trésor archéologique à la fois mystérieux et incroyable :
La structure qu’ils découvrent est un complexe urbain.
Pour le vérifier, ils envoient alors un robot bourré de technologie. Ce drone, un Remotely Operated Vehicle (ROV), est capable de prendre des photos et de recueillir des échantillons de roches à de grandes profondeurs.
Pour accompagner l’expédition, des experts locaux les accompagnent, y compris le Dr Manuel Iturralde, géologue, chercheur au Muséum d’Histoire Naturelle de La Havane.
Les sous-marins envoyés confirment la présence d’énormes blocs de granit très lisse !
Selon certains de ces chercheurs, on parle ici de pyramides !
L’on y trouve aussi d’incroyables alignements circulaires.
Après analyse des échantillons et des images fournies par le robot lors des plusieurs expéditions de 2001, Iturralde révèle que ces structures se trouvaient jadis hors de l’eau et que différentes explications géologiques parlent dans leur composition. Néanmoins, si le complexe paraît naturel, leur forme et la disposition peuvent avoir été modifiées par l’homme.
Les structures remonteraient à 6000 ans, une date qui précède les grandes pyramides d’Egypte de 1500 ans, officiellement. « C’est vraiment une découverte merveilleuse que ce centre urbain », a rapporté l’Explorateur Zelitsky à Reuters.
Source image : Wikistrike
Des corrélations sont probables avec « le déluge » rapporté par la Bible, sur lequel il est dit que notre planète a été dévastée par de fortes inondations il y de cela plusieurs milliers d’années.
À ce jour, cette merveille est inconnue du grand public, presque oubliée par les médias. Le chercheur Cossano Carlo Alberto va plus loin, pour lui, les ruines submergées de Cuba peuvent réécrire l’histoire de la civilisation humaine, et même aider à percer les mystères concernant son origine.
COVER UP
Le silence est de mise autour de cette découverte, et pour cause, les énormes structures pyramidales sont similaires en taille à celles du plateau de Gizeh, en Egypte. Sous l’eau e trouve aussi plusieurs sphinx, des pierres disposées comme Stonehenge ainsi qu’une écriture gravée sur les pierres. Pourquoi tout ceci a été réduit au silence ?
Avant la découverte officielle en 2 000, Le gouvernement américain avait découvert l’endroit présumé pendant la crise des missiles à Cuba dans les années soixante, un sous-marin nucléaire ayant alors sondé la surface, pris des photos, et fait des mesures. Ils ont immédiatement créé une zone Off Limits et mis le site archéologique sous contrôle, pour le protéger de la flotte russe.
Une source de l’armée à Montego Bay, dévoile que les USA travaillent toujours sur le site et a depuis 40 ans récupérer nombre d’objets et d’instruments (certains fonctionnent encore).
Ce bassin de moins de 10.000 ans est très bien conservé. Une autre cité a d’ores et déjà été découverte à 250 km au sud de la côte des Açores, découverte confirmée par le célèbre auteur Charles Berlitz.
Dans le numéro de Septembre-Octobre américain ancient Amerca, on peut lire un court article intitulé «US Navy Atlantis Cover-up? ». Il y est dit que le 7 septembre 2001, un escadron Espagnol, à la recherche de pétrole, s’est arrêté à 250 km au sud-ouest des Açores.
L’escadron était équipé de deux submersibles de recherche. Lors de la plongée, ils y ont découverts une sorte de long mur de 90 km avec un temple central soutenu par trois plateformes de neuf piliers d‘environ 3 mètres de diamètre supportant un toit plat en pierre d’environ 20 mètres de large et 30 de long. On peut y voir aussi des restes de cinq canaux circulaires avec des ponts, ainsi que quatre anneaux, et des installations comme un temple au milieu.
Cet endroit se trouve à 2800 pieds de profondeur dans la fosse médio-atlantique. Selon les chercheurs, quand ils ont essayé d’envoyer des images photographiques du site archéologique, leurs signaux ont été bloqués par un navire de l’US Navy qui patrouillait à proximité.
Le site des pyramides cubaines, mégalihtique très probablement, fait aujourd’hui l’objet de recherches discrètes entreprises par le gouvernement américain, tandis que Cuba le réclame, à juste tître.