INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Engin discoïdal -Crédit illustration: documystere.com
J’aime ressortir des affaires enfouies surtout lorsque celles-ci présentent beaucoup d’éléments qui accrédite un dossier d’un côté et le discrédite de l’autre. Cet article ci-dessous est une véritable enquête digne de ce nom car elle présente des faits et les controverses.
Au final une idée se dégage pour dire si le dossier est une véritable affaire insolite ou une supercherie bien montée.
Aux dernières « révélations au sujet de ce dossier il semblerait que celui-ci est une invention et que rien n’ait été observé.
Toutefois prenons garde aux écrans de fumées !
Pour autant permettez moi ce bémol sous forme d’interrogation : ( conseil de ma part tout lire et pas qu’en diagonal le dossier ci-dessous)- Pouvons nous être certain que cette affaire soit fausse ? Les éléments qui mettent en avant des contradictions font le jeu des sceptiques ( à tort ou à raison) . Pouvons nous y déceler une autre option ? C’est à dire de la désinformation pure et simple ? En admettant que cette affaire soit un canular,ceci aurait-il été ficelé pour occuper les esprits ailleurs afin de dissimuler de vrais faits dans ce secteur géographique ou non loin ?
Il existe toujours des doutes pour des affaires bien documentées, c’est ceci qui rend notre tâche d’enquêteur compliqué. Nous devons recueillir et analyser les données qui nous sont transmises en gardant un esprit neutre . Alors il faut rencontrer les témoins afin de nous rendre compte à qui sommes confrontés. Mais si vous n’êtes pas aux premières loges et au bon moment c’est compromis. Dans cette situation vous ne pouvez pas affirmer ce qui est vrai ou faux, vous êtes réduits à votre intuition et votre propre analyse, erronée ou non.
Ce dossier traité ci-dessous est intéressant car il représente bien notre difficulté à disséquer le vrai du faux.
Le lot des ufologues est confronté à certains rouages ,certaines manipulations qui peuvent venir des autorités afin d’étouffer une affaire plus qu’embarrassante, mais ceci peut venir aussi des sceptiques pour prouver que l’ufologue est un croyant facilement manipulable . Sans oublier que d’autres personnes sont prêtes à tout pour obtenir de la reconnaissance et faire parler d’elles car elles ont un vide dans leur vie. Alors ayant connaissance de cela, il faut s’accrocher lorsque l’on désire s’occuper de ce type d’affaires encore tabous à l’heure actuelle.
Outre l’article repris ( sur lez site web Rr0 )ici partiellement je glisse en guise de bonus une vidéo Youtube afin de compléter le dossier.
Baraúna au Poste Océanographique de Praia dos Portugueses. En fond l’Almirante Saldanha ancrée . Crédit image : rr0.org/
L’observation de l’île de la Trinité.
Article source : rr0.org/
Un cas photographique qui restera longtemps exceptionnel par l’incapacité à prouver un faux, le nombre et la qualité des témoins. Ces derniers, souvent contraints au silence par leur fonction militaire, resteront longtemps difficiles à retrouver hormis les proches du photographe.
L’Île de Trinidad (Brésil) ou de Trinidad appartient au Brésil. Située à 20° 30′ latitude sud et 29° 20′ longitude ouest au large de la côte brésilienne à près de 1 millier de km de Rio de Janeiro), c’est un rocher désert de l’Atlantique Sud ayant servi de base sous-marine américaine durant la deuxième guerre Mondiale.
Premières observations Il sert maintenant d’observatoire météo, et une station océanographique (POIT) s’y est développée suite à l’IGY. Le capitaine de corvette Carlos Alberto Ferreira Bacelar, responsable de ces installations sur l’île.
Par 2 fois, Bacelar a cependant vu un ovni au-dessus de l’île, notamment une fois au théodolite le lundi 6 janvier 1958.
Quelques jours avant l’arrivée de l’Almirante Saldhana l’ovni a été photographié par un des témoins, un sergent de la Marine. L’homme prenait des photos sur l’île avec un appareil (box camera) lorsqu’il repéra l’ovni se déplaçant dans le ciel. Il prit un cliché avant qu’il ne disparaisse. Le négatif fut immédiatement demandé par le commandant Bacelar et le film fut développé le même jour.
Arrivée de l’Almirante Saldanha
Le mardi 14, le voilier hydrographe brésilien Almirante Saldanha mouille aux abord de l’île pour effectuer des mesures et relevés dans le cadre de l’IGY.
Parmi les 300 personnes à bord se trouve une équipe civile de plongée sous-marine, invitée pour collecter des espèces rares de poissons non trouvées sur la côte. Parmi eux :
Almiro Baraúna, photographe professionnel doté de son Barasub, une boîte étanche qu’il a mis au point pour la photographie sous-marine
José Teobaldo Viegas, moniteur du Club Aéronautique de Niteroi et capitaine de réserve de l’armée de l’air brésilienne (témoin). Industriel et ami de Baraúna
Mauro Andrade, cadre de la Banque de Londres d’Amérique du Sud.
Aloísio, employé municipal au district fédéral
Cible radar
Le lendemain vers 12:00, le radar du navire détecte une cible radar non identifiée. Pensant à un défaut du radar, l’homme de quart effectue une vérification de l’appareillage, qui fonctionne normalement.
L’observation
Le lendemain, après avoir réalisé l’ensemble de leurs missions jusqu’en fin de matinée, l’équipe de plongée rentre sur l’Almirante Saldanha, qui a jeté l’ancre dans l’Entrée des Portugais. Baraúna ne se sent pas très bien. Il a mal à la tête et a la nausée. Il s’allonge sur le pont.
Se trouve sur le pont, ainsi que :
Mauro Freitas
le capitaine-1er lieutenant Homero Ribeiro, dentiste du navire (témoin d’après Baraúna), attiré par l’agitation des témoins de l’observation
l’équipe de géologie venu faire des relevés topographiques de l’île :
le géologue et ses 2 assistants ont quitté le navire et se sont rendus sur l’île.
Peu après , d’autres membres de l’équipe s’apprêtent à monter sur un bateau à moteur pour rejoindre l’île. Baraúna se trouve à la poupe du navire, en train de photographier la remontée de ce dernier, quand il entend Heho un disque ! Le capitaine Viegas, sur le pont, ainsi que plusieurs scientifiques et membres de l’équipage, viennent de voir un objet en forme de Saturne arriver de l’Est. Viegas court chercher Baraúna qui est dans l’entrepont, et lui dit de prendre son appareil pour venir photographier un disque volant : Apporte l’appareil, apporte l’appareil.Plus tard Baraúna racontera : J’ai pris le Roleiflex près de moi (malheureusement le Leica avec téléobjectif était loin, dans la cabine). Tous montrent dans le ciel un objet brillant qui s’approche.
Baraúna raconte :
« Cela m’a prit près de pour voir l’objet. Sa lueur semblait ou ressemblait aux rayons du Soleil sur un pare-prise. Je l’ai alors remarqué se détachant sur le fond nuageux. J’ai pris les 3 premières photos. A ce moment, envoyant une lumière à haute vitesse le disque a disparu derrière le Pic Desejado. 2 s plus tard, cependant, il est réapparu volant horizontalement et très bas. Il s’est arrêté environ 5 s au-dessus de la ligne d’horizon et a disparu à nouveau. J’étais si excité que j’ai raté les photos suivantes. «
Celui-ci prend son appareil, saute sur le pont, et parvient à prendre plusieurs clichés. A la hauteur du pic, l’objet fait un virage brutal et repart en direction Est-Nord-Est. 6 photos sont prises. Le photographe Farias de Azevedo plus éloigné (…) n’est pas arrivé à temps pour prendre des photos 3 .
Maura Andrade lui, n’a rien vu : Je n’ai pas été témoin de l’observation car j’étais à l’intérieur du navire, pas sur le pont 4 .
L’observation n’a pas duré plus de . Durant celle-ci, tous les appareils électriques du navire étaient hors service, les ampoules électriques ont faibli, et la radio n’avait plus de signal.
Egalement à bord mais pas sur le pont, Bacelar, déclarera : Je n’ai pas été témoin de l’événement car j’étais dans ma cabine à ce moment-là 5 . Il dira : J’ai été appelé sur le pont immédiatement après l’événement. Le fait causa une excitation naturelle et la la course des gens vers le pont du navire, attirés par les cris de ceux qui voyaient l’objet.
En tout, 48 personnes auraient vu l’objet 6 (Lorenzen parlera de 150) en 2 groupes (proue, poupe). Une grande émotion est constatée chez eux, y compris Baraúna, les civils et les membres de l’équipage, certains tremblant encore, et ayant du mal à se remettre.
-C’est une île au large du Brésil où de curieuses observations ont été faites. Des témoignages troublants et même des clichés photographiques font l’objet . En octobre 2011, une équipe de télévision néerlandaise a filmé un OVNI filant à grande vitesse, le long des côtes des Pays-Bas, au-dessus de la mer des . Voici ce que j’ai pu voir un soir en faisant des photos d’un couché de lune le 13 juillet 2013 vers 22h40. Environ 20 lueurs sont apparues puis disparues.
Cette fois je vous propose une énigme qui peut ressembler à un accident ou un incident comme il y en a quelquefois avec des avions ou des bateaux. Cette histoire laisse une petite place à autre chose pour certains théoriciens.
Dans cette région du globe des embarcations tel des bateaux disparaissent sans raison apparente pour ne plus jamais réapparaître.
Dossier non classé:
Voici l’affaire.
L’USS Cyclope une disparition étrange.
Le 8 janvier 1918, le bateau a commencé à naviguer depuis le port de la marine de Norfolk couvert de neige vers Rio au Brésil sous le commandement du lieutenant-commandant Worley. Le navire n’avait que quelques années. Le but de ce voyage était de décharger le charbon à Rio et de charger les minerais de manganèse utilisés principalement pour la fabrication de l’acier.
Le 28 janvier, le navire atteint Rio au Brésil. Il était amarré au port pendant deux semaines. Et comme prévu, une grande quantité de charbon a été déchargée et 10 000 tonnes de minerai de manganèse ont été chargées dans le navire. Donc, le bateau était lourd et plein. Le jour de son départ, il a été étonnamment demandé à 73 marins locaux de monter à bord du navire. Et de manière plus surprenante, le consulat général américain de Rio, Gottschalk, est également monté à bord du navire. On lui a demandé pourquoi ? Il a mentionné qu’il voulait enrôler son nom dans l’armée américaine pour servir la nation pendant la guerre.
L’USS Cyclope a ensuite repris la mer le 16 février avec 309 personnes à son bord et une énorme cargaison de marchandises. Direction Baltimore via Bahi. Maintenant, il y avait un autre tournant bizarre à l’histoire. Après que le navire ait quitté Bahi, au lieu de mettre le cap directement vers Baltimore, le capitaine l’a emmené à la Barbade aux Antilles le 3 mars. Il a dit qu’ils avaient besoin de plus de carburant et de fournitures. Bien que le consul général des États-Unis à la Barbade n’ait pas ressenti la nécessité de charger plus de charbon et de fournitures, le capitaine a insisté, et cela a finalement été fait.
Le 4 mars, l’USS Cyclops a remis les voiles et devait arriver à Baltimore le 13 mars. Mais … on n’en a plus jamais entendu parler.
Quand le navire n’est pas arrivé à Baltimore comme prévu, une recherche intensive a été lancée tout le long du parcours présumé que devait emprunter ce navire. Chaque navire de Cuba à Porto Rico a cherché tous les débris possibles en pensant qu’il était tombé face aux sous-marins allemands. Cependant, il n’y avait aucune trace de l’USS Cyclope.
Alors, qu’est-il arrivé à USS Cyclops? Il y a eu beaucoup de théories, mais aucune preuve, avec des faits et des éléments réels. Même après un rapport de 15 000 pages de la marine américaine examinant le mystère du bateau USS Cyclope, la plupart des explications sont restées au stade de spéculations. Jusqu’à présent, cette disparition demeure comme l’un des plus grands mystères de l’océan. Étrangement, le navire se trouvait au milieu du triangle des Bermudes lorsque l’incident eut lieu. Voici quelques explications qui se rapprochent de ce qui s’est réellement passé sur la mer :
Le Capitaine Worley était détesté par la plupart de ses collègues et des officiers. Ils l’ont toujours accusé d’être un pro-allemand. Il a été découvert plus tard que le capitaine Worley était né en Allemagne et avait un nom différent . On ne sait pas ce qui l’a fait changer de nom. Gottschalk, le consulat général des États-Unis à Rio, qui est monté à bord du navire avec 73 autres marins locaux, a également été très populaire parmi la communauté allemande au Brésil. Pour couronner le tout, beaucoup plus de charbon et de carburant ont été chargés depuis la Barbade alors que ce n’était pas officiellement prévu ou même nécessaire. Alors était-ce un cas de sabotage? Pourquoi n’y avait-il pas d’appel SOS fait par le capitaine? Puisque la guerre entre les États-Unis et l’Allemagne devait déjà éclater d’ici là. Est-ce que le capitaine et Gottschalk ont été complices et ont coulé le navire ou l’ont détruit? Ou peut être ont-ils pris le chemin pour se rendre en Allemagne? Voici une autre théorie. Un des officiers de la marine, Nervig était à bord du Cyclope jusqu’à Rio. Il a écrit un rapport mentionnant que le pont du navire se balançait souvent lorsque de grandes vagues heurtaient ce navire. Le bateau commençait déjà à montrer des signes de faiblesses et à se fendre. Donc, il y a peut-être eu une défaillance structurelle qui a coulé le navire.
Un autre rapport indique qu’à Rio, l’ USS Cyclops a été surchargé de manganèse avec plus de carburant et de nombreuses personnes à bord. La charge était plus importante que le navire ne pouvait supporter . Un lourd orage océanique aurait pu frapper le navire et que celui-ci chavire, avec la cargaison , ainsi tout aurait été dispersé et coulé au fond de l’océan. Le vaisseau a-t-il été détruit par une mine sous-marine allemande ou torpillé par un sous-marin allemand ? L’US Navy prétend qu’une telle possibilité n’existe pas si le navire suivait le cap qui lui était destiné. Cependant, si le navire avait été très éloigné de son trajet, il y avait de fortes chances que cela se produise et le navire aurait péri.
James W. DuVall déclare le 24 juillet 2015-
« L’USS Cyclops n’était pas en état de fonctionner, il perdait de l’énergie et, avec lui, le pouvoir d’actionner et de faire fonctionner les pompes qui le maintenaient à flot était impossible, dans une mer forte qui a inondé vraisemblablement les cales. Ainsi, le bateau était perdu corps et biens. Aucun petit homme vert, juste une tempête« .
–Alors parmi les hypothèses subsiste un fait .Plus de 300 hommes de l’armée américaine en mer restent à ce jour portés disparus et rien ne fut jamais retrouvé, ni l’ épave ni les cadavres et encore moins des survivants .
« Le Brésil est un pays en constante évolution et même si les médias parlent très peu de son potentiel dèjà pas mal avancé pour ce qui concerne le secteur spatial, nous remarquerons que les secteurs maritime et militaire ne sont pas en reste. Cet article ci-dessous publié par la voix de la Russie,intéressant pour se faire une idée plus précise de ce pays en » expansion », aidé par une coopération internationale.«
Article source: french.ruvr.ru/
Par La Voix de la Russie | Le Brésil construira sont premier sous-marin nucléaire vers 2023. Le pays maitrise désormais tout le cycle technologique pour la fabrication des réacteurs nucléaires qui sont installés sur les sous-marins. C’est la France qui fournit son aide à l’élaboration du système de contrôle sur l’équipement du nouveau sous-marin.
La décision de passer un partenariat avec ce pays européen s’explique par sa volonté de transmettre au Brésil les technologies.
La longueur des frontières maritimes du Brésil atteint plus de 8000 kilomètres. Actuellement les eaux territoriales du pays sont patrouillées à l’aide des sous-marins diesel-électriques, construits d’après des projets allemands. A la première vue, le pays n’est pas menacé par des porte-missiles des autres pays, et il peut assurer la protection de ses plateaux continentaux, riches en hydrocarbures, avec des sous-marins non-nucléaires. Toutefois, les intérêts géopolitiques du Brésil sont en train de s’élargir, et ce pays se considère désormais comme l’un des principaux pays de l’Atlantique Sud, souligne le vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques Konstantin Sivkov.
« Le Brésil fait partie des pays BRICS. Les dirigeants brésiliens comprennent que dès que le Brésil va commencer à étendre son influence et protéger ses intérêts nationaux et ceux de ses activités dans les régions éloignées, il lui faudra une flotte. Pour assurer ses activités dans toute la région de l’Atlantique Sud, le pays aura besoin de sous-marins. Selon certaines informations, le Brésil aurait besoin au total de 4-5 sous-marins nucléaires. »
Par ailleurs, le pays envisage également de renforcer son aviation embarquée. Actuellement, le Brésil possède un seul porte-avions – le vieux navire français Foch, capable de réaliser un spectre étroit de missions. Ce navire ne répond pas aux exigences modernes, et son parc d’avions est représenté uniquement avec 20 appareils de type Skyhawk. Il s’agit de vieux avions d’assaut américains datant de l’époque de la guerre du Vietnam. Il est probable que le Brésil puisse décider la construction de deux autres porte-avions, ce qui lui permettra de défendre plus efficacement ses intérêts dans les régions éloignées de l’Atlantique Sud. C’est très important pour le Brésil, compte tenu du fait que les Etats-Unis ont ressuscité la 4e Flotte de la marine, qui a notamment pour mission de contrôler ce qui se passe en Amérique du Sud. De nombreux experts estiment que les Etats- Unis ont complètement perdu aujourd’hui le contrôle de l’Amérique du Sud. Les pays avec une position pro-américaine ne jouent plus aucun rôle dans ce processus, note Konstantin Sivkov.
« Le Brésil, l’Argentine et le Venezuela mènent une politique intérieure et étrangère complètement indépendante des États-Unis. Donc, les Américains sont en train de tenter maintenant de résoudre le problème de la restauration du contrôle de ces pays dans cette zone. Pour ce faire, ils provoquent un chaos économique et des troubles sur le territoire du Venezuela. Sans exclure la possibilité de la dissuasion militaire, les Etats-Unis sont en train de créer une quatrième flotte de la marine militaire ».
Le Brésil et la France ont signé en 2008 un accord sur la coopération en matière de la construction des sous-marins. En 2009, la société brésilienne Odebrecht, spécialisée dans les projets dans le domaine de la défense et de la sécurité, a signé un contrat avec le français DCNS (Direction des constructions navales) pour la construction de quatre sous-marins diesel-électriques de type Scorpène, et la conception conjointe d’éléments pour les sous-marins non-nucléaires. La participation de DCNS dans ce projet se limite à l’aide apportée lors de la construction de la coque et l’équipement de plusieurs compartiments du sous-marin nucléaire. Selon les sources ouvertes, le nouveau navire brésilien sera équipé des systèmes français de contrôle de combat et de sonars fabriqués par une autre société française, Thalès. Toutefois, les experts estiment qu’il est peu probable que la France puisse être d’accord pour transmettre eu Brésil ses toutes récentes technologies. Ce sont des technologies de la génération précédente qui seront transmises. Source
Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le: 15/03/2014 à : 11h15.