INVESTIGATION OCEANOGRAPHIQUE ET OANIS Nos questions Ufologiques nous orientent vers le cosmos, cependant certaines réponses pourraient venir des Abysses
Outre ma formation pour devenir enquêteur du MUFON, je ne néglige pas le secteur recherches d’informations pour notre base de données ici classées dans les catégories adéquat.
Nous avons rencontré ERA ( Emma et moi ) un de nos fidèles lecteurs, Claude qui est venu à mes conférences afin de nous rencontrer et échanger avec nous les 8 et 10 août 2020 au domaine de la Salz commune de Sougraigne département de l ‘Aude ( 11 ). Cette rencontre parmi les autres nous ont fait plaisir surtout que Claude est un connaisseur ce qui a élevé le niveau des discussions autour des OANI , des secteurs points chauds( zones hot spot abordées lors de mes deux interventions ) en matière d’observation, mais aussi sur le terrain technico-scientifique.
Claude nous a livré quelques dossiers d’études qui pourraient nous aider pour certaines analyses concernant les anomalies maritimes ou aéronavales.
Nous le remercions pour sa contribution toujours bienveillante.
Parmi les dossiers il a publié en guise de commentaire sur notre groupe interactif Facebook en partageant un dossier qui semble sortit tout droit de la science-fiction . ( Comment ne pas penser au film de James Cameron Abyss dont un extrait vidéo figure sur notre page d’accueil , ou le Gif animé en entête de l’article en guise d’illustration animée ) et que j’ai légèrement abordé dans l’un de mes deux ouvrages, La ventilation liquidienne mais pas sous ce titre, peu importe, l’article ci-dessous nous apporte un indice précieux et expliqué par des professionnels , voyons ensemble cet article.
Après les rats, la ventilation liquidienne sur des chiens.
Article source : techniques-ingenieur.fr
Posté le 27 juillet 2016 par Pierre Thouverez dans Insolite
La ventilation liquidienne est une technique alternative à la respiration consistant à remplir les poumons avec un composé perfluorocarbure liquide à haute teneur en oxygène. La Russie a réalisé une expérience avec succès sur des chiens.
Pour les fans de science-fiction, le concept de ventilation liquidienne n’est pas inconnu. Dans une scène du film Abyss, on observe un rat immergé dans un fluide de perfluorocarbure rester en vie, sans trucage. Au-delà de l’effet cinéphile, la technique a inspiré les chercheurs se consacrant à réduire la mortalité, notamment autour des métiers liés à la mer.
La Russie teste sur des chiens
Le Fonds russe de la recherche avancée a commencé à tester la technologie de respiration liquidienne avec l’aide de chiens, a déclaré à TASS Vitaly Davydov, le directeur général adjoint dudit fonds. Les chercheurs ont créé une capsule spéciale et l’ont immergée dans une chambre hydraulique à haute pression. « Pour l’instant, les chiens peuvent respirer pendant une demi-heure à une profondeur allant jusqu’à 500 mètres sans conséquence sur la santé. Tous les testeurs canins ont survécu et se sentent bien après cette immersion et la séance de respiration liquide », tient à rassurer Vitaly Davydov.
Les recherches sont menées à destination des équipages de sous-marins russes et de leurs équipes de secours. Les avantages d’un système efficace de ventilation liquidienne pourraient diminuer la mortalité liée aux procédures de décompression et aux caissons.
Bien que cette technologie fasse l’objet d’un intérêt certain, sa mise en œuvre a toujours été son talon d’Achille. Pour que le projet soit viable, il faut encore créer l’appareil pour injecter et retirer du corps le liquide, tout en assurant l’élimination du dioxyde de carbone, et le soutien médical. Et Vitaly Davydov de conclure : « Une barrière psychologique de taille devra enfin être surmontée : se noyer volontairement pour commencer à respirer avec le liquide remplissant ses poumons ».
Les avancées concernant la technologie de ventilation liquidienne intéressent probablement davantage le secteur médical que militaire. Celui-ci expérimente des traitements à destination d’adultes ou d’enfants atteints de syndromes de détresses respiratoires sévères. Enfin, certaines recherches suggèrent des avantages potentiels pour des usages non respiratoires comme le refroidissement du cerveau, l’administration de médicaments, le transfert de gènes ou comme agent de contraste pour échographie.
Hier nous avons assisté à Sanvignes les mines (71) avec Era et Yves Herbo à une conférence de Emilie Mondoloni ( Docteur en Sciences Humaines et Sociales, diplômée de l’Université de Grenoble, elle a toujours été passionnée par l’être humain. « J’ai d’abord approfondi cette passion par plusieurs formations et une expérience diversifiée en communication auprès d’entreprises privées, d’associations et de laboratoires de recherche dont plusieurs rattachés au CNRS. Mon parcours s’est enrichi de techniques de développement personnel, afin de prendre en compte l’humain dans sa globalité. J’ai ainsi suivi des cursus en géobiologie, Reiki Usui et lithothérapie holistique. »), dont le titre de sa conférence était :
Elle a proposé son travail et ses arguments. Pour elle, cette cité a existé mais pas à l’époque présumée des historiens, bien avant. Cette civilisation a obtenu beaucoup de connaissances à son âge d’or et puis, elle est devenue belliqueuse , c’est ce qui a causé sa perte. Un manque de maturité et d’humilité aurait été fatal à cette cité aujourd’hui engloutie quelque part sur notre planète.
Ci -dessous nous partageons ce reportage que Emilie nous a conseillé .
James Cameron réalisateur et explorateur océanographe a toujours été fasciné par l’Atlantide.
Era et moi nous apprécions vraiment James Cameron, aussi bien le réalisateur que l’aventurier, l’explorateur.
L’Atlantide nous séduit ce n’est pas un scoop pour les personnes qui nous côtoient.
Alors continuons nos investigations grâce à celles et ceux qui voyagent et partagent leurs explorations .
Ces supports vidéo et l’article ci-dessus permettent déjà une certaine approche de cette énigme compliquée qui divise encore à l’heure actuelle les courants de pensée.
*Nous remercions Yves Herbo d’être venu avec nous à la conférence de Emilie ainsi que Emilie pour sa disponibilité et sa simplicité.
Un mystérieux château de 3000 ans a été découvert dans les profondeurs d’un lac en Turquie
Article source :trustmyscience.com par Julien Claudet
Les villes englouties font généralement partie des légendes, mais à présent, des archéologues ont découvert les ruines d’un ancien château mystérieux, construit entre le IXè et le VIè siècle avant J.-C., se cachant dans les profondeurs du lac Van, en Turquie.
Après plus d’une décennie de recherches dans le deuxième plus grand lac du Moyen-Orient, les vestiges d’un royaume perdu ont été retrouvés sous la surface du lac. Ce sont des archéologues de l’Université Van Yüzüncü Yıl qui ont annoncé cette incroyable découverte : un vaste château vieux de 3000 ans, très bien préservé, dans les profondeurs du lac. Les chercheurs ont travaillé en étroite collaboration avec une équipe indépendante de plongeurs afin de découvrir le château.
Vidéo youtube
Underwater Fortress Discovered Under Turkish Lake | National Geographic
Les villes ou les châteaux sous-marins perdus sont assez populaires dans le folklore et les légendes à travers le monde. Il en va de même pour les diverses histoires de monstres sous-marins se cachant dans les abysses des lacs profonds. Le chef de l’équipe de plongée, Tahsin Ceylan, était dans un premier temps à la recherche du monstre du lac Van. Mais, à la place, il a découvert une ville perdue. « Il y avait une rumeur selon laquelle il pourrait y avoir quelque chose sous l’eau mais la plupart des archéologues et des responsables de musées nous ont dit que nous ne trouverions rien », a-t-il expliqué.
« Notre ami du Québec Jean-Marc nous partage ce reportage, il fait suite à celui que nous avions inclus il y a un moment déjà , certains voyant une vaste supercherie. Dans ce documentaire le principal intéressé est interviewé par l’animateur de la chaîne, chacun se fera son opinion, bon visionnage. »
« Nous reprenons ce reportage que nous avons incorporé sur notre groupe facebook. Nous l’incluons ici pour celles et ceux qui ne sont pas sur ce réseau social afin que tout le monde profite de ce documentaire instructif, et intéressant. »
Reportage de France 5 via youtube
RÉSUMÉ, France 5
A bord du navire amiral de l’Ifremer, le «Pourquoi pas ?», des scientifiques explorent la vie animale à très grande profondeur au sud-ouest des Açores.
« Pour la première fois en intégralité sur France 5 le 30 août à 19h, un reportage scientifique d’une durée de 55min concernant l’étude de la vie dans les grandes profondeurs marines, près des Açores. Un reportage instructif à venir pour nos investigations.«
Le Cyclops va-t-il révolutionner l’exploration des grands fonds ? C’est probablement l’espoir des concepteurs de ce nouveau sous-marin en fibre de carbone, prévu pour emmener cinq personnes jusqu’à 3.000 m de profondeur, durant un périple d’au maximum 8 h. Il offrira alors une vision à 180° aux deux passagers avant, grâce à son grand dôme hémisphérique. Si tout va bien, l’engin subaquatique sera commercialisé en 2016.
Il existerait à ce jour plus de 700 sous-marins en circulation dans le monde, dont 600 seraient militaires, les 100 autres étant à usage civil. Voilà les chiffres avancés par Stockton Rush, qui n’est autre qu’un passionné du monde sous-marin ayant cofondé l’entreprise américaine OceanGate Inc. en 2009. Depuis, elle met le sous-marin Antidote à la disposition de ses clients, qu’ils soient industriels, cinéastes ou chercheurs. Problème : ce véhicule subaquatique doté d’un dôme en verre ne peut pas descendre au-delà de 305 m de profondeur, ce qui limite considérablement son usage.
Pour s’affranchir de cette contrainte, et par la même occasion démocratiser l’accès aux grandes
crédit: technofuture.canalblog.com/
profondeurs, OceanGate s’est associée au Laboratoire de physique appliquée de l’université Washington (APL-UW) pour développer un nouveau sous-marin qui serait léger, facile à mettre en œuvre et surtout, bien plus abordable pour les personnes en ayant besoin. Après 18 mois de recherches et plus de 20 concepts imaginés, un modèle a finalement été choisi : le Cyclops. Parmi ses spécificités principales, notons qu’il est prévu pour véhiculer cinq personnes jusqu’à 3.000 m de profondeur, là où aujourd’hui seulement quelques sous-marins habités océanographiques peuvent se rendre.
Le Cyclops aura la forme d’une balle de fusil, la pointe étant dirigée vers l’arrière. L’avant sera pour sa part occupé par un dôme hémisphérique de 1,5 m de diamètre, en verre borosilicate de 10,2 cm d’épaisseur. Il offrira une vision à 180° aux deux passagers assis sur les sièges avant, qui seront d’ailleurs entrés dans le sous-marin par ce dôme. La coque de 17,8 cm d’épaisseur ne sera pas en acier, mais bien en fibre de carbone. Des tests de résistance ont déjà été conduits en partenariat avec Boeing. Ils se sont montrés concluants, témoignant ainsi que la coque pouvait être construite avec une disposition des couches de fibres (épaisseur de 0,3175 cm) qui n’engendre pas de faiblesse dans la structure.
Un sous-marin affranchi de son navire de transport
La mise en œuvre du Cyclops, qui mesure 5,5 m de long pour 3,3 m de large et 2,3 m de haut, sera facilitée par le fait qu’il ne nécessite pas de navire de transport adapté, ce qui réduit également ses coûts d’utilisation. Une fois mis à l’eau, l’engin de seulement 8,6 t adoptera une position verticale, avant de descendre à la vitesse de 100 m/mn. Les sièges des passagers et du pilote pivoteront alors de manière à ce que l’assise reste horizontale.
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Une fois arrivé au fond, le Cyclops se remettra à l’horizontale et pourra alors évoluer à la vitesse de 3,5 nœuds (soit environ 6,5 km/h), sachant que ses batteries lithium-polymères lui procureront une autonomie de 8 h. Elles serviront également à alimenter l’éclairage extérieur Led de 5.000 lumens. La vitesse de remontée sera de 100 m/mn. Détail d’importance, les réserves en air permettront aux cinq passagers de tenir bon 96 h durant en cas de problème.
Le Cyclops ne craint pas les ROV
Avec Cyclops, les deux partenaires espèrent faciliter l’accès aux abysses au plus grand nombre, en développant le marché des sous-marins privés. Ils visent tout particulièrement les industries pétrolières, gazières ou minières, ainsi que les exploitants pharmaceutiques, la recherche
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scientifique et pourquoi pas le secteur du tourisme. C’est une autre force du projet. En développant un sous-marin utile à plusieurs domaines, ses coûts de production pourraient diminuer. De quoi le rendre encore plus accessible.
Les responsables du projet croient bien évidemment en cet engin malgré la concurrence faite par lesROV(pour remotely operated vehicle), ces robots sous-marins téléguidés par un câble depuis la surface. En effet, le Cyclops permettrait aux chercheurs de réaliser des observations directes, et ainsi de se faire une idée plus précise de l’environnement qui les entoure : par exemple, mieux connaître la position de leurs sondes dans un milieu donné. En effet, leur champ de vision ne sera pas réduit à celui d’une caméra (cas pour les ROV) ou par le faible diamètre des hublots des sous-marins plus anciens. Finalement, si tout se passe bien, la construction d’un modèle pouvant descendre à 6.000 m est prévue.
A bord du « Deepsea Challenger », le cinéaste canadien James Cameron vient de battre le record mondial de la plongée solo en submersible la plus profonde, à 8.200 mètres sous la surface de l’eau, au large de Papouasie Nouvelle Guinée. Mais le réalisateur de »Abyss » et de « Terminator » ne compte pas s’arrêter là. Son prochain objectif : atteindre le point le plus profond de l’océan, la fosse des Mariannes, au cours des semaines à venir.
Le point connu le plus bas de cette fosse de l’Océan Pacifique se situe à 11.034 mètres en dessous du niveau de la mer. La première et dernière fois que des hommes ont visité ces ténèbres océaniques, il y a 50 ans, les deux explorateurs Jacques Piccard et Don Walsh ne sont restés que 20 minutes sur le plancher de l’océan. Cameron tentera l’exploit d’y passer 6 heures.
Le submersible étant équipé de plusieurs caméras et de Led, Cameron pourra filmer la vie des abysses. Car vie il y a. En 1960 Piccard et Walsh avait observé un poisson abyssal de 30 centimètres de la forme d’une sole, et une crevette.
Cameron aura beaucoup plus de temps pour observer la vie environnante. Découvrira-t-il de nouvelles espèces, voire des monstres des profondeurs océaniques qui font tant fantasmer ?
Le « Deepsea Challenger » est un submersible conçu pour plonger à pic et résister à une pression insoutenable : à 11 kilomètres de profondeurs, la pression est estimée 11.250.000 kilos par mètre carré.
Sous l’effet de la pression, le submersible devrait même se rapetisser de 6 centimètres une fois arrivé à bon port, si l’on ose dire. La descente devrait durait une heure et demie, tout comme la remontée.
Cameron n’est pas la seule célébrité fascinée par les profondeurs océaniques. Le milliardaire britannique Richard Branson affirme qu’il possède un submersible capable de réaliser le même exploit. Mais déjà bien préparé, Cameron devrait-être le premier à réaliser cet exploit.
Le cinéaste ne sous-estime cependant pas les risques de l’expédition : « Bien sur que je suis inquiet. Mais pour un explorateur, c’est plutôt bon signe ».