
Sylvain Matisse au bois des Eldars le 31 mars 2017 à lille
©2017 photo investigation oceanographique et oanis
Nous vous présentons ici un produit français. Nous remarquons que notre pays a des arguments pour se défendre le cas échéant, mais aussi pour remplir certaines missions délicates et dangereuses.
En ce qui nous concerne ce fait nous livre une idée sur les performances actuelles de nos embarcations qui sont cependant loin de rivaliser avec des « objets sous-marins non-identifiés »( OSNI), relevés par les rares militaires ( marins et sous-mariniers en particulier) et qui osent témoigner.
Selon le site web mer et marine, le SMX Ocean a été révélé à l’occasion du salon Euronaval en octobre 2014. Il est issu du programme Barracuda qui a donné la Classe Suffre
Ce vaisseau est une plateforme techniquement réalisable dès aujourd’hui .Il est conçu pour effectuer des missions allant jusqu’à 90 jours, soit le double du Scorpene, avec une vitesse de transit de 14 nœuds (25,928 km/h) , ce qui ne s’est encore jamais vu sur un sous-marin classique. Pour obtenir de telles performances, DCNS s’appuie sur ses dernières innovations en matière de propulsion. En plus de ses six moteurs diesels de 1250 kW chacun, le SMX Ocean est équipé de deux systèmes de piles à combustible et trois batteries lithium-ion. L’emploi de ce système anaérobie de nouvelle génération permet au sous-marin de réaliser en plongée deux transits d’une semaine et, une fois sur le théâtre d’opération, de rester immergé durant un mois. Source
Le futur SMX-Ocean peut se déplacer à une vitesse de 20 nœuds ( 37,04km/h) en plongée et s’immerger à 350 mètres de fond pour un déplacement en surface de 4 750 tonnes.
Nous remarquons qu’en terme de vitesse nous sommes loin des 230 nœuds ( 425,96km/h) observés par des structures mobiles marines inexpliquées encore à ce jour.
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Vidéo DCNSgroup via Youtube
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