À la recherche de la vie extra-terrestre

Un rover amphibie évolue sous la glace du lac Sukok, lors d’un test en Alaska. Des bulles de méthane et d’autres composés témoignent que la vie est présente dans ces eaux. © Mark Thiessen

Un rover amphibie évolue sous la glace du lac Sukok, lors d’un test en Alaska. Des bulles de méthane et d’autres composés témoignent que la vie est présente dans ces eaux. © Mark Thiessen

Note admoanis

 

Vendredi 12 Septembre 2014 à : 14h05:

« National geographic évoque les secteurs scientifiques pouvant dénicher la vie extraterrestre. Décryptage ci-dessous« 

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L’astrobiologiste Kevin Hand se prépare à larguer un rover sous la glace d’un lac d’Alaska. Quand une sonde atteindra Europe, elle profitera de ces tests dans sa quête du vivant. La Nasa conçoit un lanceur lourd qui, selon Hand, permettra « d’atteindre très rapidement Jupiter ou Europe ». © Mark Thiessen

L’astrobiologiste Kevin Hand se prépare à larguer un rover sous la glace d’un lac d’Alaska. Quand une sonde atteindra Europe, elle profitera de ces tests dans sa quête du vivant. La Nasa conçoit un lanceur lourd qui, selon Hand, permettra « d’atteindre très rapidement Jupiter ou Europe ». © Mark Thiessen

Article source: nationalgeographic.fr

Publié le 11 septembre 2014:

La vie existe-t-elle ailleurs que sur la Terre ? Cette question qui hante l’humanité pourrait bientôt trouver une réponse. Peut-être même dans notre système solaire.

Un signal électronique émis au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa, en Californie, parvient à un robot téléguidé, sous une couche de glace de 30 cm, dans un lac d’Alaska. Le phare du robot s’allume.

« Ça marche ! », s’exclame John Leichty, un jeune ingénieur du JPL blotti sous une tente, près du lac. Ça n’a pas l’air d’un exploit technologique, mais c’est peut-être le premier pas vers l’exploration d’une lune lointaine.

À plus de 7 000 km de là et à 15 m sous terre, une géomicrobiologiste patauge dans les eaux troubles et les ténèbres d’une grotte mexicaine. Comme chacun des scientifiques qui l’accompagnent, Penelope Boston est munie d’un respirateur et d’une réserve d’oxygène.

Du sulfure d’hydrogène et du monoxyde de carbone, deux gaz mortels, s’infiltrent souvent dans la grotte. Soudain, le rayon de sa lampe frontale se pose sur une goutte d’un fluide épais et translucide qui s’allonge en suintant d’un éboulis de craie. « N’est-ce pas mignon ? », s’écrie Boston.

Ce lac arctique et cette grotte tropicale pourraient fournir des indices sur l’un des plus vieux mystères qui hantent l’humanité : y a-t-il de la vie au-delà de notre planète ? S’il en existe, ce pourrait être dans notre système solaire ou en orbite autour d’autres étoiles.

 Suite

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Mise à jour investigation oceanographique et oanis, le: 12/09/2014 à : 14h10.

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