Les premières légendes de l’Antarctique

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Article sourcesciences-fictions-histoires.com

Immense continent assez récemment (re)découvert et toujours en grande partie inexploré, l’Antarctique est pratiquement vierge de toute histoire humaine écrite ou connue mais voici qu’à peine retrouvé, les premières histoires étranges et les mystères surgissent, formant ainsi les premiers mythes, les premières légendes et mémoires de ce nouveau continent pour l’homme moderne. Voici un premier recueil de ces histoires mystérieuses, en commençant, historiquement, par les plus vieilles mentions concernant ce continent glacé. Plus vieilles mentions remontant… bien avant la découverte du même continent en question, ce qui en fait l’un des derniers grand mystère moderne :

L’Antarctique, aperçu par des yeux humains pour la première fois officiellement vers 1820, fut tout de même imaginé bien avant par les anciens Grecs. Puisqu’ils pensaient déjà que la Terre était ronde, ils imaginèrent des « Terres Australes » dans le sud, pour contre-balancer celles du nord. Notion disparue au Moyen-Age, puisque les hommes ont régressé et que la Terre est devenue plate entre-temps La renaissance et les débuts des explorations navales lointaines révélait des cartes surprenantes, avec parmi elles celles de l’Amiral Turc Piri Reis. Il semble attribuer cette carte mondiale lui-même a d’autres cartes plus anciennes (disparues) et remontant probablement jusqu’à Alexandre le Grand ! Et le fait est là, bien visible devant les yeux de tous : non seulement le continent antarctique apparaît bien sur la carte de Piri Reis, mais en plus il correspond parfaitement aux cartes modernes montrant les côtes relevées par satellite. Et d’ailleurs, l’Amérique du Sud est elle-aussi parfaitement placée géographiquement alors que cette carte est bel et bien datée de 1513, et a été elle-même recopiée d’autres cartes plus anciennes ! La carte de Piri Reis de 1513, la carte d’Oronce Fine de 1531, la carte de Gerhard Mercator de 1569 ou celle de Philippe Buache de 1754, présentent des ressemblances stupéfiantes avec la situation réelle et la forme de l’Antarctique (c’est visuellement constatable). Certains historiens supposent que l’Antarctique avait déjà été découvert longtemps avant la date officielle de 1820. Il est certain que des voyages d’exploration avaient déjà été entrepris dans les régions polaires australes mais il n’existe malgré tout aucune preuve que l’homme soit arrivé en Antarctique avant le 19e siècle.

Nos légendes commencent donc par un mystère bien réel car ces cartes « bien avant l’heure » existent bien et questionnent toujours les scientifiques. Mais la part du réel va se mêler aux secrets et aux interprétations dans le prochain sujet, ce qui nous amène bien l’une des plus étrange histoire concernant ce continent gelé : Les nazis d’Hitler ont-ils construit une base secrète sous une partie de l’Antarctique ?

Un mystère de la seconde guerre mondiale donc, et pas du moindre si on part du début. Un gros travail de dépoussièrage des données connues se trouve dans cet extrait d’un très bon et très gros article ici : http://www.karmapolis.be/pipeline/man_made_ufo.html

«  Nous pourrions faire remonter les prémisses des «Ovnis» fabriqués de la main de l’homme (Man Made UFO) à l’entre-deux guerres et plus particulièrement aux technologies développées sous les auspices de l’idéologie nazie. Le dossier des Ovnis nazis est certes un sujet extrêmement polémique sur lequel Karmapolis s’est déjà concentré. Certains auteurs et spécialistes en «Black Programs» américains ces programmes aéronautiques top secret qui échappent à la vigilance budgétaire du Congrès établissent des liens patents entre les technologies capturées par les alliés aux Nazis et les progrès fracassants de l’aéronautiques et l’aérospatiale des Américains et dans une autre mesure, des Soviétiques juste après la guerre.

Nous allons donc passer en revue brièvement certains prototypes et certaines technologies développées par une société secrète liée à la montée du nazisme mais aussi par le département recherche et développement de la SS qui avait réussi créer un véritable cartel industriel cloisonné et occulte qui se consacrait à la mise sur pied d’un programme d’armement très exotique. Ces informations, nous les devons donc principalement à trois auteurs spécialisés en ces sujets : Jean-Marc Roeder qui a rédigé une série d’articles sur les «Black Programs» pour le magazine français Top Secret, Henry Stevens, un auteur qui a publié un ouvrage spécialisé sur les «disques volants allemands de la seconde guerre mondiale» (Hitler’s Flying Saucers : A Guide to German Flying Discs of the Second World War) et un journaliste britannique, consultant pour le Janes Defense Weekly, Nick Cook, qui a surtout enquêté sur les activités de l’équipe du général SS Hans Kammler, par ailleurs l’un des organisateurs principaux du système concentrationnaire au service de l’industrie allemande.

Ovnis Nazis : les sources du savoir ?

Comment les nazis sont-ils arrivés à un tel «saut créatif» dans leur conception de la science physique et par conséquent de diverses technologies liées à l’armement ? Certains auteurs sérieux ou plus polémiques (comme Jan van Helsing ou Peter Moon du groupe «Montauk») mettent en avant le rôle joué par des sociétés secrètes : la société VriI, celle de Thulé, celle du Soleil Noir et celle des chevaliers noirs (descendant des templiers)Thulé s’avérait être le pendant matériel et politique des nazis et occultistes allemands tandis que Vril s’occupait surtout « de l’au delà » et des affaires occultes ou ésotériques, souligne van Helsing. Derrière Vril (anciennement la Loge Lumineuse ou Frères de la Lumière) créée en1919, on retrouve la figure bien connue de Karl Haushoffer qui en serait le fondateur, affilié également à la fameuse Golden Dawn (l’aube dorée). Et autour de Haushoffer évolueront des gens comme le chef du gouvernement de Dantzig, un certain Hermann Rausching, ami d’Adolf HitlerRausching «passera» chez les Anglais par la suite pour leur fournir des informations sur la psychologie d’Hitler, devenant le principal informateur de Winston Churchill qui voulait comprendre la psychologie et les motivations du dictateur. Autres personnalités présumées de la société Vril : Rudolf Hess (qui fut le dauphin du Führer, le plus mystique dans le cercle des proches de Hitler) et bien entendu Hans Horbiger, un étrange créateur d’une science nazie qui croyait dans les théories de la terre creuse et des «mondes glacés». Plusieurs films sur les Ovnis nazis évoquent également l’existence de deux femmes ayant servi de médium puisque le «mythe» nous raconte que les principes fondamentaux de fonctionnement de ces machines de l’au-delà auraient été transmis par «channeling».

C’est dans ces cercles qu’auraient été édifiés les piliers mystico-racistes du nazisme qui ont inspiré l’idéologie et le mode de fonctionnement de la SS. Mais dans un étrange film aux origines obscures «UFO of the third Reich», information reprise parVan Helsing, la société Vril aurait servi à d’autres choses: elle aurait permis à ces médiums, ces deux femmes, de rentrer en contact avec des entités extraterrestres d’Aldébaran (entités subdivisées en deux groupes: les maîtres qui sont des hommes-dieu Aryens d’une part et d’autre part, différentes races « humaines inférieures» d’origine extraterrestre. Ces divers extraterrestres auraient inspiré la civilisation sumérienne). Ce seraient ces « hommes-dieu » qui auraient inspiré aux nazis et aux membres du Vril, « l‘idée la plus fantastique jamais conçue par l’homme: la construction de la machine vers l’au-delà ! ».

Jusqu’à preuve du contraire, comme l’affirme Roeder dans son interview, rien n’indique que ce groupe soit vraiment à l’origine des principes de base de l’antigravitation car on n’a jamais mis la main sur les dessins, croquis et textes inspirés sans doute par écriture automatique à ces deux voyantes et qui contiendraient les dites informations.

Il n’aurait alors fallu que trois ans selon Van Helsing pour que le premier projet soit mis en place et que le Dr W.O.Schumann, membre des sociétés Thulé et Vril expose à Munich devant la Faculté des Sciences les premiers principes de la propulsion par implosion (par opposition au moteur à explosion étant considéré comme «satanique»).

Emblème de la société Thulé

Emblème de la société Thulé

Selon la «légende» rapportée par Van Helsing dans son livre sur les sociétés secrètes, une histoire par conséquent totalement fabriquée selon les sceptiques ; c’est en juin 1934 que le premier Ovni nazi aurait vu le jour, un avion circulaire expérimental, le RFZ1 sorti de la fabrique d’avions Arado, doté d’abord d’une hélice puis d’une turbine et aussi d’un réacteur. Les autres modèles du RFZ2 au RFZ7 se succéderont jusqu’à la fin de la guerre. L’un des engins les plus au point était le Haunebu 2 qui se «  déplaçait grâce à l’antigravitation, était opérationnel à la fin 1942 et d’un diamètre, suivant le modèle, allant de 26m à 32m, (de 9 à 11m de hauteur). Il pouvait se propulser à plus de 9000 km/h « . Le nec plus ultra de l’affaire aurait été le Haunebu III de 71m de diamètre qui pouvait transporter, paraît-il, 32 personnes à une vitesse d’au moins 7000 Km/h avec une autonomie de vol de 8 semaines. Le premier «vaisseau mère» en quelque sorte, construit pour des vols spatiaux interplanétaire (et dont la vitesse maxi répertoriée dans les archives de la SS serait de 40.000 km/h, nous précise Van Helsing). L’engin en vol aurait été filmé du côté de la frontière tchèque. Mais de plus en plus d’auteurs remettent en question l’existence des Haunebus qui sont apparus dans les articles et les informations sur le sujet que très tardivement et par des sources finalement toujours très proches des nostalgiques du 3ième Reich, des gens commeZundle ou Van Helsing. La plupart des auteurs semblent d’accord pour attester de l’existence de plusieurs modèles de vaisseaux de type «Vril» mais pas vraiment des Haunebus, de bien plus grande taille. Sans doute aussi parce que de rares témoins, vétérans de la SS et parfois de la Wermacht, ont vu des prototypes «Vril» voler lors de divers essais et se sont exprimés auprès de certains auteurs ces dernières années. Jamais, à ma connaissance ont-ils parlé de Haunebus !

Vril

Vril

Jean-Marc Roeder évoque dans le cadre d’un article rédigé pour le magazine français Top Secret n°9 , à sa manière, l’importance de cette société secrète du «Vril» comme étant une sorte de «Think Tank», un vivier intellectuel et spirituel dont les conceptions moins «orthodoxes» de la physique «classique» aboutirent à la création de modes de propulsion révolutionnaire : nous étions aux débuts de l’antigravitation avec des ingénieurs très imaginatifs et sans aucun à priori scientifique pour mettre un frein à leur élan. Il évoque dans un article intitulé «l’arme ultime du 3ième Reich» cette période clé en ces termes :

–  » En 1922, la Thulé Gesellshaft, un groupe pré-nazi occulte, crée en son sein, un groupe d’étude de l’antigravité, la Vril Gesellshaft. Ils font voler de l’été 1922 à 1924 un démonstrateur antigravitationnel non piloté, baptisé «Jenseitsflugmashine» (JFM) qui signifie «machine volante de l’autre côté». Par la suite, le démonstrateur sera démonté et stocké dans les usines Messerschmitt. Ce système antigravitationnel électromécanique s’inspire largement des travaux de Nicolas Tesla et du physicien allemand Levetow et des théories implosives de Shauberger. Le système comprend deux disques contra-rotatifs (diamètre de 6,5m et 7 m) encadrant un troisième disque fixe (diamètre de 8m). Les trois disques sont percés en leur centre d’un orifice (diamètre 1,8m) occupé par un cylindre surmonté d’un cône contenant le système de mise en rotation et de charge magnétique des disques».

Le système sera plus tard simplifié à un seul disque puis passera vers 1934 de l’état de drone (aéronef sans pilote) à l’état d’appareil piloté par un homme. Ce type de programme d’antigravitation sera complètement cloisonné et strictement placé sous le contrôle de la SS de Himmler. Une section spéciale aurait été créée au sein de la Vril Gesellshaft, nous préciseJean-Marc Roeder : le groupe de développement numéro quatre ou Entvloklungsstelle IV.

Il semble donc, aux yeux de Roeder qu’il ne faille pas exclusivement percevoir le groupe Vril comme une société ésotérique ayant reçu son inspiration d’entités extraterrestres ou interdimensionnelles mais bien comme un groupe créatif d’ingénieurs particulièrement ouverts à des solutions innovantes. Roeder n’écarte pas totalement l’hypothèse que ces techniciens aient pu être «inspirés» ni même que des vaisseaux d’origine extraterrestre aient pu être récupérés même s’il semble plus que sceptique sur ce dernier point. En réalité, «rien ne m’étonnerait dans ce dossier, m’affirma Roeder lors d’une conversation téléphonique : il peut aussi bien y avoir de la désinformation et qu’une grande surprise dans le cadre les sources d’inspiration des nazis sur l’antigravitation».

Quant à Jean Robin, un autre auteur français qui s’est intéressé aux racines ésotériques du nazisme, il parle lui d’un «Ordre du Dragon (ou Ordre du Dragon Vert), émanation de «72 supérieurs inconnus», une société secrète fascinée par les mystères du Tibet, des forces du Vril et de l’Hyperborée, ce continent mythique et perdu d’où seraient issus une race de géants, de «Dieux». (Jean Robin, «Hitler, l’élu du Dragon», Guy Trédaniel Editeur, 1987). Ce groupe serait à la source non seulement des armes secrètes des nazis (et donc, des disques volants) mais aussi de la fuite de cadres et de troupes d’élite de la SS et de leur établissement en Antarctique et en Argentine. Que croire ? Cette multiplication des sources et des informations ne fait que semer plus de troubles et confèrent une aura de mystère à un dossier qui devient plus un mythe à usage révisionniste qu’une série d’éléments de preuves sur l’histoire de l’antigravitation.

Les mines de Wenceslas

Nick Cook, journaliste spécialisé dans l’aéronautique auprès du prestigieux Jane’s Defense Weekly, dans son livre «The Hunt For Zero Point» a mis en évidence l’existence d’un centre de recherche ultra secret et ultra spécialisé enterré profondément dans les mines Wenceslas, en Pologne, près du camp de Nordhausen ainsi que d’une équipe dirigée par le général Hans Kammler dont nous avons déjà longuement parlé (Les sombres menées du SS Kammler). Une des ruines des structures en béton appelée «la Cloche» (opération Kronos) aurait abrité une installation de recherche sur l’antigravité, fondée sans doute sur l’emploi d’un résonateur accélérateur aux vapeurs de mercure. Selon certains témoignages, ceux qui travaillaient sur «la cloche» souffrirent d’intenses problèmes de pertes de connaissances et de manque de sommeils. Cinq des sept ingénieurs décédèrent dans le cadre de ces expériences. Ici, Un court-métrage disponible sur le Web en anglais dresse un résumé fascinant de cet épisode.

Le fait qu’une centrale électrique attenante à la «cloche» était supposée fournir les énormes besoins en énergie pour faire fonctionner l’installation démontre peut-être qu’en dépit des rapport optimistes rédigés par Kammler sur ces travaux, les résultats relatifs à la découverte de l’antigravitation liée à l’énergie libre n’étaient pas encore satisfaisants puisqu’il fallait faire appel à un apport extérieur d’énergie. Il est étrange de constater que les solutions plus «simples» comme les Vrils et les tornades implosives de Shauberger apportant des réponses directes aux problèmes liés aux quantités d’énergie tirée du «vide quantique» pour faire fonctionner l’antigravitation existaient et que d’autres travaux, comme ceux-ci, ne semblaient pas en tenir compte. Sans doute était-ce la conséquence du cloisonnement strict entre les divers projets et équipes qui travaillaient en stricte autarcie pour des raisons de sécurité. A moins que le projet Kronos poursuivait un autre but que l’antigravitation et l’énergie libre.

Explorons maintenant quelques-uns des prototypes plus conventionnels ou à antigravitation que les nazis auraient développés.

Ovnis Nazis»conventionnels» ou à antigravitation : remarques préalables

Henry Stevens distingue deux grandes «familles» de «disques volants» nazis. Les «projets conventionnels de soucoupes volantes» d’une part et les projets de propulsion de champs magnétiques (Magnetic Fields Propulsion projects) d’autre part.

Les premiers sont en fait le prolongement de plusieurs types de technologies qui débouchèrent sur de nouvelles applications : les ailes volantes conçues entre autre chose pour des raisons de furtivité (AS 6 de Sachs), selon certains auteurs, se muèrent en disque volant et la technologie des rotors et des pales rotatives aboutirent au développement de lames ou de pales rotatives orientables qui composent le disque. Disons-le tout de suite : ce concept de «pales rotatives» décrit par Stevensserait une compréhension erronée du mode de fonctionnement de ce genre d’engins, nous a affirmé Roeder dans son interview, les Américains préférant induire en erreur le public sur les véritables propriétés de ces prototypes. Je ne suis pas en mesure de donner raison ou tort à Stevens mais malgré tout, je préfère exposer brièvement mais le plus fidèlement le contenu des recherches de Stevens ; le lecteur averti pourra juger et surtout comprendre pourquoi Jean-Marc Roeder ne croit pas dans la thèse de disques mus par des «pales orientables».

Le développement de l’antigravitation par les ingénieurs allemands aurait suscité l’apparition de prototypes bien plus rapides et fiables que les «projets conventionnels». Il s’agit des fameux «Vrils» et «Haunebus» de Schumann et Kohler dont l’existence a été rudement remise en question par certains auteurs et enquêteurs comme Kevin Mc LureJean-Marc Roeder a lui-même changé d’avis sur l’existence du Haunebu puisque s’il acceptait dans son premier article sur les Ovnis nazis l’hypothèse selon laquelle les Haunebus ont pu exister, ses recherches plus poussées l’inclinent aujourd’hui à être nettement plus réservé sur l’affaire des Haunebus et des clichés que l’on nous exhibent. Jean-Pierre Troadec, journaliste qui s’est longuement intéressé aux sociétés secrètes et aux ordres de chevalerie a effectué une enquête sur le phénomène des Ovnis nazis dans le magazine Top Secret n°24. Il s’est, entre autre chose, focalisé sur les sources de toutes ces informations et des clichés de Vrils et surtout des Haunebus qui sont apparus au cours des années 90. Il estime que ces »révélations» sur les Ovnis nazis sont arrivées après la fin de la guerre froide, ce conflit Est-Ouest au cours duquel l’enjeu des technologies d’origines nazies était encore un secret stratégique primordial pour les deux grandes puissances. Aujourd’hui que le contexte a changé, que l’on a d’autres rapports de force, ces informations peuvent être «révélées» au grand public «homéopatiquement», peut-être pour l’accommoder à de telles réalités, peut-être aussi à des fins de désinformations et de manipulations. Troadec s’étonne en outre et avec raison de l’abondance de clichés plus ou moins médiocres mais de l’inexistence de films montrant des Ovnis nazis arborant les runes de la SS comme l’indiquent certaines légendes. Certes, il existe certains mauvais films où l’on voit des soucoupes de type «Adamski», donc, proches des modèles Haunebus, mais pas un seul court-métrage exhibant un authentique Ovnis nazis en tant que tel.

Haunebu

Haunebu

La tendance générale a même été d’affirmer que les Nazis n’avaient jamais été capables de développer un modèle opérationnel, qu’il soit «conventionnel» ou propulsé par l’antigravité. Ces auteurs «sceptiques» admettent qu’il y a eu des plans et des projets dans des cartons mais rien de concret parce que Hitler lui-même n’y croyait pas et qu’il préférait investir dans la croissance d’armes plus traditionnelles qui avaient fait leurs preuves sur les champs de bataille : une production massive d’artilleries, de chars lourds, d’avions plus puissants que les armes des alliés. Les détracteurs des Ovnis nazis soulignent par exemple que le Führer ne croyait même pas au succès des premiers chasseurs à réaction, raison pour laquelle les premiers Jets Messerschmitt ne furent construits qu’en peu d’exemplaires et à la toute fin du conflit.

Pourtant, un nombre appréciable de journalistes et de chercheurs spécialisés en aéronautique ont mis la main sur des indices et des témoignages au demeurant crédibles indiquant que des groupes de chercheurs très secrets et très bien encadrés et cloisonnés ont construit divers modèles de disques volants aux performances très intéressantes.

Les prototypes nazis «conventionnels» de disques volants

Ainsi, l’auteur Henry Stevens range dans la classification des engins conventionnels plusieurs appareils (au moins 4) aux modes de propulsions déjà révolutionnaires pour l’époque : les projets de Schriever-Habbermohl, celui du couple de chercheurs Miethe-Belluzzo, les Foo Fighters et le projet de «disque de Peenemunde» (nom d’une immense base sise dans la Baltique qui a abrité les usines de construction du V2).

Le projet Miethe-Belluzzo (vue d'artiste)

Le projet Miethe-Belluzzo (vue d’artiste)

Prenons par exemple les prototypes baptisés «Schriever-Habbermohl» décrits par Henry Stevens. Les principales sources de Stevens sur ce sujet seraient Joseph Andreas Epp, un ingénieur qui a servi de consultant aussi bien sur le projet Schriever-Habbermohl que celui de Miethe et Belluzzo ainsi que Rudolph Lusar, également ingénieur qui a travaillé dans le secteur des brevets du Reich. Il y aurait eu près de 15 versions de ces deux types d’appareils. Andreas Epp serait en réalité l’homme qui aurait mis au point les principes de base, précise Stevens.

Synthétiquement, selon les écrits de Stevens, ces types d’engins sont constitués d’un cockpit central entouré de larges «pales» ou ailettes orientables formant une sorte de grosse turbine tournant autour du cockpit central. En ce qui concerne les prototypes de Schriever et Habbermohl, «cela fonctionne sur le même principe que l’hélicoptère» souligne Henry Stevens.»Les ailettes ou pales sont maintenues ensemble par un dispositif spécial d’ajustement situé à la périphérie de ce montage qui forme une sorte de disque… L’angle des pales peut être ajusté de façon à ce que, durant le décollage, une plus grande poussée peut être générée en augmentant leur angle par rapport à une position plus horizontale passant à une position plus verticale. A une certaine altitude, l’angle des pales diminue vers une position horizontale» nous affirme Stevens pour passer en vol horizontal. Ces pales sont mises en rotation par de «petits réacteurs» ou de «petites fusées» situées près des bords extérieurs du disque qui enferme les pales. Une fois que la vitesse de rotation atteint un facteur suffisant, l’appareil décolle. Après avoir atteint l’altitude désirée, les réacteurs ou fusées destinées à la poussée pour le vol horizontal prennent la relève et les petits réacteurs s’éteignent. Ces réacteurs ou fusées sont eux-mêmes orientables pour augmenter la poussée de l’appareil. Le pilote peut faire varier la vitesse de rotation des pales et la poussée de l’engin en donnant plus ou moins de puissance aux réacteurs orientables. En ce qui concerne le type de réacteurs, Stevens retient deux candidats probables : les «Junkers Jumo 004 Jet engines» qui auraient été employés sur l’avion à réaction Messerschmitt 262 d’une part et le «BMW 003» qui serait moins puissant. Pour les fusées employées pour la propulsion de ces disques, Stevens retient le «Walter HWK 109» qui équipait l’appareil d’interception Messerschmitt 163. On a même évoqué le fait que le principe de propulsion du V1 (la fameuse bombe volante qui a ravagé Londres) a été essayé sur ce type de disque volant. Les performances des disques de «Schriever Habbermohl» quoi que modestes par rapport aux modèles antigravitationnels laissent quand même rêveurs pour l’époque puisque l’engin pourrait atteindre des vitesses frôlant Mach 1, soit près de 1200 km/h et grimper à une altitude de 12.400 mètres en 3 minutes. Au delà de Mach 1, le pilote d’essai rapporte avoir été effrayé par les fortes vibrations mais Epp et Lusard attestent tous deux que le prototype aurait dépassé à l’occasion d’un vol d’août 1944, les 2000 km/h. Henry Stevens se pose néanmoins la question de savoir si ces essais à des vitesses aussi élevées ont été réalisés avec un prototype piloté par un être humain ou bien s’il s’agissait d’un drone, c’est-à-dire un vol commandé à distance. Les derniers essais eurent lieu en avril 45 près de Prague et selon Stevens, le dernier prototype fut vraisemblablement embarqué comme butin par les troupes soviétiques. Les ingénieurs tchèques qui avaient travaillé sur le projet auraient pris la fuite en s’emparant des plans et des données techniques.

Le projet «Miethe Belluzzo»

Même si ces projets ressemblent sous certains aspects aux projets précédents, le concept s’avère quelque peu différent. LeDr Heinrich Miethe est un ingénieur allemand tandis que le professeur Guiseppe Belluzzo est un ingénieur italien, sénateur et proche de Mussolini. Selon Stevens et Andreas Epp, l’équipe «Miethe-Belluzzo» a également travaillé en Tchécoslovaquie du côté de Prague (rejoignant ainsi l’équipe de Schriever et Habbermohl) mais aussi dans des installations près de Dresde (Allemagne) et de Breslau (Pologne) sous le patronage de Walter Dornberger, le haut directeur du centre de Peenemünde.

Les prototypes conçus par cette seconde équipe sont également en forme «de soucoupe mais dont la périphérie des pales orientables n’entrent pas en rotation», nous affirme Stevens. Cette équipe aurait travaillé sur au moins trois designs différents. Le premier projet n’avait pas été conçu pour un décollage vertical mais bien pour un décollage par palier en respectant un certain angle comme le ferait un avion. Douze réacteurs sont montés à l’extérieur de l’appareil pour assurer sa propulsion. Le cockpit est placé à l’arrière du disque et un périscope permet au pilote de mieux s’orienter. Un gros gyroscope est installé au centre de l’engin pour assurer sa stabilité. Le diamètre de l’appareil serait de 42 mètres. Il s’agit donc ici d’un autre concept qui ressemble plus à une aile volante en forme de disque. Les données sur les positions des réacteurs (en périphérie ou au centre) et leurs fonctions réelles sont contradictoires et l’on possède moins d’informations techniques fiables sur cet appareil. Une seconde version des disques développés par le couple germano-italien consisterait en un aéronef en forme de disque avec un cockpit central qui se situe au dessus et en dessous du centre de la soucoupe. Quatre réacteurs situés de part et d’autre du cockpit ventral font office de mode de propulsion. Un troisième modèle est supposé avoir été construit par Miethe et Belluzzo, un modèle capable, lui, de faire des décollages verticaux dont la conception serait proche de celle conçue par l’inventeur français René Leduc. Aucune partie rotative n’est visible de l’extérieur car les pales rotatives sont cachées à l’intérieur de l’enveloppe du disque. Il s’agirait selon Stevens «d’un moteur jet à flux radial». Deux séries de pales contrarotatives installées l’une au dessus de l’autre et abritée par l’enveloppe du disque sont fixées en dessous du cockpit central. Un total de 12 réacteurs orientables cachés également à l’intérieur du disque mais situés sur sa périphérie permettrait à l’appareil de tourner et de s’orienter suivant que le pilote donne plus ou moins de puissance à certains des réacteurs orientables.

Les premiers modèles conçus par Miethe et Belluzzo aurait pris leur essor en 1943. En décembre 1944, un essai avec pilote du nom de Hans Joachim Roehlicke aurait eu lieu, un pilote qui appartenait à l’équipe du général SS Hans Kammler, patron des «black projects» allemands (voir l’article sur les Ovnis nazis sur Karmapolis). Les performances des engins conçus par Miethe et Belluzzo ne sont pas vraiment connues.

Stevens évoque dans son enquête l’existence d’autres type de disques volants comme le projet de «soucoupe volante de Peenemunde» ou les Foo Fighters et d’autres prototypes assez exotiques mélangeant une propulsion par réacteurs ou encore via des systèmes mélangeant l’hydrogène et l’oxygène liquide et des systèmes électromagnétiques de servo-moteurs et des gyroscopes pour la stabilité mais nous n’en somme pas encore à l’antigravitation proprement dite.

Les projets non conventionnels nazis : la série des Vril et les appareils à implosion

Les projets de disques volants «non conventionnels» auraient été conçus par deux équipes, nous rapporte Jean-Marc Roeder dans un article consacré aux Ovnis du 3ième Reich publié par le magazine Top Secret n°9. Selon la version de Roeder, les recherches démarrent dès le début des années 20 au sein d’un groupe secret, la Vril Gesellschaft. Une première équipe dirigée par le capitaine de la SS Han Kohler est mise en place par le docteur Walter.O.SchumannHimmleraccorde à cette équipe les moyens techniques et logistiques du constructeur aéronautique Arado à Brandebourg. Une seconde équipe développera des prototypes d’un autre genre sous l’impulsion du célèbre physicien et ingénieur autrichienVictor Shauberger, forte personnalité (doté d’une barbe le faisant ressembler au Roi des belges, Léopold II), passionné par les phénomènes liés à l’hydraulique, aux flux liquides et gazeux et surtout aux vortex. Ce sera l’usine aéronautique Dornierqui abritera les travaux de l’équipe «Shauberger», équipe dans laquelle on retrouve également, selon Roeder, les ingénieursMiethe et Belluzzo ainsi que Schriever et Habermohl (Stevens ne fait pas vraiment mention de ces 4 chercheurs dans la partie de son ouvrage consacré à l’antigravitation. Il souligne leur rôle dans le cadre des projets «conventionnels»). Les deux équipes travaillent sur des concepts différents : Shauberger, totalement dédié aux phénomènes de vortex et autres tourbillons met au point un système de «tornade implosive» qui tire parti des forces colossales qui peuvent être captées à la sortie d’un vortex d’air ou de gaz, c’est-à-dire à la sortie d’un tourbillon correctement canalisé. Grâce à un ingénieux système d’ailettes toroïdales, de rotor ; de compresseur et de canalisation de l’air en forme de vortex, 24 petites tornades d’air à axe horizontal sont conduites par un autre dispositif via un compresseur pour former, une tornade verticale d’une force colossale qui s’échappe d’une tuyère conique. Ce phénomène s’accompagne de fortes différences de températures et de pression entre la partie inférieure et supérieure du générateur mais aussi d’importants dégagements d’énergie thermique et électrique. L’injection d’alcool à brûler enflammé à l’entrée du réacteur fournit une énergie thermique qui entretien la tornade et la rotation du compresseur électrique. La quantité d’alcool consommé est négligeable et comme le souligne bien Jean-Marc Roeder, les réacteurs et générateurs de Shauberger atteignent des rendement de 99% contre 60% pour des moteurs thermiques classiques. Autant dire qu’il s’agit d’un type de propulsion comportant des pertes d’énergie quasi nulle et qui s’auto entretien. La quantité d’énergie mise en place pour démarrer l’engin et pour entretenir le mouvement est égalementnégligeable. C’est un système des plus ingénieux parce que s’inspirant d’un modèle offert par la nature, celui des tourbillons. Selon la légende, Shauberger aurait conçu ses premiers modèles de générateurs d’énergie libre en observant les tourbillons que l’on peut trouver à proximité des cascades, dans les rivières.

Il ne s’agit pas encore d’antigravité puisque la masse et l’inertie de l’engin ne sont pas supprimées mais bien d’un moyen totalement innovant et naturel de tirer de l’énergie par le biais d’un système qui est philosophiquement opposé aux systèmes classiques «d’explosion». En réalité, la rotation du système doit être bien supérieure pour arriver au phénomène antigravitationnel.

Vril 1

Vril 1

Shauberger va par la suite combiner son générateur avec des idées conçues par le Dr Schumann pour arriver au moteur antigravitationnel. A la place de l’air, on utilisera des vapeurs de mercure qui seront confinées dans un système d’enceinte étanche et on remplace le compresseur d’origine par des bobines électromagnétiques qui vont mettre en rotation les vapeurs de mercure et les accélérer à des vitesses formidables. Le système est certes plus complexe car il combine les forces dégagées par les vortex avec l’énergie électromagnétique. « La moins puissante des bobines étant placée au sommet de l’enceinte et la plus puissance près de sa base. La différence de puissance du champ magnétique des bobines introduit une accélération électromagnétique de la tornade plus rapide en bas qu’en haut. D’autre part, l’intérieur de l’enceinte est tapissée d’un empilement d’aimants permanent de forme annulaire dont le pôle positif est tourné vers le centre de l’enceinte, créant ainsi un champ magnétique permanent à l’intérieur de celle-ci » explique Roeder. Et cette même enceinte est contenue dans une enceinte plus grande, servant de résonateur, d’amplificateur (NDR : La troisième partie du dossier, celle des «annexes» théoriques résume en quoi ces enceintes, ces cavités sous vide sont capitales dans l’amplification des forces que l’on veut générer). «Le résonateur étend le champ antigravitationnel afin qu’il inclue l’ensemble des éléments du véhicule entourant le moteur» précise encore Roeder. Par conséquent, le cockpit et de ce fait l’équipage fait partie du champ antigravitationnel, en est solidaire et ne subira pas les désagréments des forces G que les pilotes sont supposés encaisser à haute vitesse, en accélération, décélération, dans des virages serrés etc En modulant la puissance des électroaimants, on donne une autre forme à la tornade, ce qui permet de piloter l’engin dans les sens horizontaux et verticaux.

Selon Roeder5 prototypes de Vril qui ne sont que des variantes du même principe ont été construits. Ce sont tous des engins monoplaces capables d’atteindre des vitesses tout à fait étonnante : 2.900km/h pour le Vril 1 (environ 11 mètre de diamètre) avec une autonomie de 5h (premier vol en automne 1941), le Vril 2 aurait atteint plus de 6000 km/h. Après le Vril 3 et 4 qui ne bénéficient que de légères améliorations, le Vril 5 aurait atteint dès ses premiers vols en 1944 la vitesse de 12.000 km/h tout en pratiquant des vols hors atmosphère. Le Vril 6 ne sera jamais finalisé et le Vril 7 était un projet massif de 120 mètres de diamètre, sorte de premier «mothership» de l’histoire qui restera dans les cartons à projets.

Quant aux fameux  » Haunebu «  qui seraient des variantes plus sophistiquées et surtout plus volumineuses des Vrils capables de transporter plusieurs membres d’équipage, ils n’auraient sans doute jamais existé. Les sources et les documents relatifs à ces prototypes sont bien plus douteux. Paradoxalement, les photos des Haunebus semblent de meilleure qualité et plus nombreuses. Alors, que penser ?

Les principes de l’antigravité

Avant de poursuivre le fil de ce «survol» des disques volants, appareils à antigravitation et autres programmes aéronautiques top secret américains cette fois, il convient d’expliquer très brièvement, intuitivement et de façon la plus concise possible les principes généraux de l’antigravitation. Je vous conseille vivement de lire également la troisième partie de ce dossier qui vous fournira des explications plus orthodoxes et surtout plus pertinentes que ces brèves lignes de vulgarisation maladroite. D’autant plus que pour compliquer les choses, il y a plusieurs méthodes pour générer l’antigravitation, pour pomper de l’énergie quantique du vide, pour tirer de la puissance de ce que Jean-Marc Roeder appelle des «Atomions» (voir annexe). Ce qui m’a surpris, c’est que ces systèmes et méthodes ont été découverts presque «par hasard», par tâtonnements, pendant que des ingénieurs se livraient à diverses expériences alors qu’on pourrait croire que l’antigravitation serait issue, à priori, de calculs et de recherches physiques théoriques. Il n’en fut rien. Les modèles physiques classiques sont bien en peine d’expliquer comment on parvient à tirer de l’énergie libre du «vide quantique». Pour comprendre ces principes, il faut recourir à d’autres concepts très différents de ceux qu’on nous a enseignés à propos, ne fut-ce que des atomes, des théories des quantas et des particules élémentaires. En réalité, la physique a été bien en peine d’expliquer comment fonctionnait l’antigravitation, ce queJean Marc Roeder explique parfaitement dans son interview. Cela fait penser à Albert Hofmann qui a découvert le LSD par hasard alors qu’il était en réalité investi par des recherches d’une toute autre nature sur l’ergot du seigle.

Ces étranges montages d’aimants, d’enceintes électromagnétiques, d’usage des énergies dégagées par des vortex poursuivent un but : dégager une certaine forme d’énergie, dégagée de notre monde physique par des systèmes «catalyseurs», des ondes particulières que l’on appellera «ondes scalaires». Pour Jean-Marc Roeder, ces appareils à antigravité sont en réalité bien moins complexes et sophistiqués que ne le sont les avions en ce qui concerne les montages technologiques mis en œuvre. En termes encore plus clair, les pièces nécessaires pour construire un jet sont plus compliquées à monter que les systèmes permettant d’annuler la masse et l’inertie d’un objet, bref, l’antigravitation. Tout est affaire de longueur d’onde, de résonances, de formes et de proportions de certaines pièces. Ce qui semble abstrait et difficile à appréhender, ce sont les conceptions que l’on doit avoir de la physique pour comprendre «comment cela marche». Mais une fois le principe correctement saisi, tout cela n’est «qu’un jeu d’enfant» pour reprendre les termes de Roeder. Une fois ces principes dégagés, on comprendra donc comment volent certains des autres prototypes américains.

Les explications données ici ne sont que les principes donnés par les théories reposant sur la conviction d’un univers vide peuplé de particules, qui prévaut encore dans la physique « officielle»... Ces explications doivent être mises à jour par celles qui sont contenues dans la troisième partie du dossier dans laquelle on met en évidence les notions d’atomions et d’élastons.

Mais nous partirons dans cette explication d’une autre notion, celle de «graviton». Cette approche est celle de beaucoup de chercheurs actuels en énergie libre et en antigravité. «Toute la matière est en fait contenue dans un espace vide rempli de particules virtuelles appelées gravitons». Telle est l’hypothèse dominante de l’antigravité jusqu’à présent. Si l’on veut aller au cœur même des constituants de notre univers physiques, il faut admettre dans ces théories que tout est fait, par essence, de particules virtuelles, c’est-à-dire que ce ne sont pas des «particules» à proprement parler mais qu’elles en ont le potentiel, étant plus petites que la limite de Planck. Dans le vide, elles n’ont aucune masse apparente ou réelle et par conséquent, ne sont pas une énergie (encore) manifestée. Le graviton se compose d’un photon (ou «particule» élémentaire de lumière) et d’un antiphoton virtuels et liés entre eux. En même temps, cette «particule» de lumière –le graviton- s’avère receler une «énergie» temporelle. Le temps est alors une énergie, au même titre que la lumière.

Le photon est lié à un sens temporel qui va du passé vers l’avenir et l’antiphoton, par conséquent a un sens temporel qui va de l’avenir vers le passé. (ce qui ne signifie pas que l’on peut «renverser» les systèmes de causalité et d’aller de l’avenir vers le passé, de supprimer le lien de cause à effet dans le sens radical du terme). Il y a, dans ce processus, création d’ondes stationnaires. Une image pour saisir ce que sont ces ondes stationnaires serait celle de deux voitures de même puissance luttant l’une contre l’autre, capot contre capot. Toutes deux, tout en dégageant de la force, de l’énergie, feront de ce fait du «sur place». De l’extérieur, tout semble immobile. Il en va de même pour le photon et l’antiphoton qui vont dégager des ondes électromagnétiques stationnaires dans le vide. Ces deux ondes superposées qui forment l’onde stationnaire contiennent donc un potentiel d’énergie ou potentiel scalaire. Ces ondes ont été découvertes en 1904 par le physicien Whittaker. C’est dire si c’est une vieille histoire. «Des couples d’ondes temporellement inverses sont appelées ondes longitudinales scalaires». Ces ondes sont donc «une énergie faite de temps On peut donc dire en simplifiant beaucoup que dans le vide, l’énergie, c’est le temps et dans la matière, c’est de l’espace» affirme le principal théoricien moderne de ce modèle, l’américain Thomas Bearden.

Pour créer de l’énergie scalaire «temporelle», énergie qui va annuler la masse et l’inertie de l’appareil, il existe un moyen : celui de la mise en rotation ultra rapide. Nous avons vu justement que ces appareils comme les Vrils et autres prototypes deShauberger ont pour but de mettre en rotation certaines parties du vaisseaux par divers moyens : électroaimants, champs électromagnétiques, vortex etc… «Pour simplifier à l’extrême la théorie de Bearden» nous dit Jean-Marc Roeder «on peut dire que tout mouvement rotatif rapide transforme l’énergie spatiale en énergie temporelle. Ce qu’il faut mettre en rotation, c’est de la matière ou des champs électromagnétiques ou une combinaison des deux. ( …) Lorsque l’on annule la masse d’un corps, le vide restitue en retour des quantités énormes d’énergie électromagnétique que l’on peut récupérer facilement afin d’alimenter le moteur antigravitationnel». Par conséquent, ce type de système s’auto entretient et il ne faut trouver qu’une certaine quantité d’énergie pour la mise en marche du générateur d’énergie. Les vitesses atteintes sont très importantes puisque le vaisseau se trouve enfermé dans une sorte de bulle anti-gravitationnelle et n’est pas soumis à des pertes d’énergie causées par les frottements de l’air. Au plus l’engin va vite, au plus il produit de l’énergie, au plus il ira vite et ainsi de suite. Le pilote quant à lui ne subit aucun inconfort causé par la gravité et donc par l’augmentation de son propre poids lors des accélérations. L’engin idéal ? Oui. L’arme idéale? Sans doute pas. Car l’engin est isolé dans sa «bulle». De ce fait, il constitue une très mauvaise base de feu, un très mauvais support pour des mitrailleuses, des canons ou des missiles classiques.

Les Black Programs US : l’historique (extrait)

Après la défaite des nazis, il y eut toute une série de marchandages entre les Allemands et les alliés ainsi qu’une compétition entre Russes et Américains pour celui qui mettrait le premier la main sur les usines, les richesses technologiques et les personnalités scientifiques qui avaient travaillé dans divers domaines, allant de l’aéronautique à la psychiatrie, de la chimie aux renseignements. L’exfiltration de ces personnalités scientifiques et militaires qui reçurent une forme d’impunité quasi complète s’il y avait lieu de les poursuivre pour crimes de guerre, prit le nom d’opération «Paperclip» (Trombone ou presse-papiers selon les traducteurs) auprès des services de renseignements US. Et selon certains témoignages, il y a fort à parier que les alliés, surtout les Américains, ont pu mettre la main sur divers prototypes, engins en pièces détachés qui représentaient bien souvent des solutions très originales en matière d’aéronautique ou d’aérospatiale. Mais ont-ils compris la vraie nature de tous les plans, projets, pièces détachées etc. qui leurs sont parvenus est un autre problème et selon certains auteurs, les Américains se sont surtout égarés, peut être par entêtement, à ne pas comprendre les solutions offertes pas l’antigravitation.

On sait par exemple que les divers programmes de fusées des alliés ont bénéficié des travaux sur les V2, de certains engins et ingénieurs qui ont été «exportés» sur le territoire US. Il en alla de même pour les fameuses ailes volantes des frères Horten qui ont du inspirer des programmes comme ceux du B2 ou du F117. Et il est fort probable que les divers disques volants et plans qui firent partie du butin de guerre des forces armées américaines inspirèrent en partie les futurs «blacks programs» de l’Air Force en matière d’engins à la conception non classique. Mais il semble également acquis que les Américains, au contraire des Allemands, mirent un certain temps à percer les secrets de l’antigravité, parce que leur conception «classique» de la physique ne le permettait pas et excluait tout simplement l’existence de tels phénomènes. D’après Roeder, les ingénieurs américains refusaient intellectuellement d’admettre l’existence d’une autre physique que celle de la physique quantique, ce qui les a menés à la construction d’engins antigravitationnels faisant usage de solutions plus compliquées que celles préconisées au début par les ingénieurs qui avaient travaillé sur les projets des Nazis.

Bibliographie conseillée de Karmapolis et de Jean-Marc Roeder
-Magazines Top Secret N° 13 à 19, articles de J-M Roeder (Roch Sauquere, Eden Editions)
-Nexus Magazine, édition française, «Les extraterrestres surveillent nos installations nucléaires», janvier et février 2006
-»Révélations» Tome 1 et 2, Steven M.Greer, Editions Nouvelle Terre, 2005
-Henry Stevens, «Hitler’s Flying Saucer’s, Adventures Unlimited Press, 2003
-Jean Robin, “l’élu du dragon”, Guy Trédaniel Editeur, 1987
-Jim Keith : «Saucers of the Illuminati”, IllumiNett Press, 1999
-Renato Vesco, David Hatcher Childress, “Man Made UFOs, 1944-1994 50 years of suppression”, AUP 1994
-Jim Marrs, “Alien Agenda”, Perennial, 1997
-Nick Pope,”Open Skies, Closed Minds”, Pocket Books, 1996
-Nick Cook : «The Hunt for Zero Point», Century publishing, 2001

http://www.darkgovernment.com/tr3b.html
http://video.google.com/videoplay?docid=8158786628311217291&q=ufo
http://www.think-aboutit.com/aliens/omega_file_txt.htm
http://www.anomalous-images.com/text/omega.html
http://www.quanthomme.com/
http://www.jnaudin.free.fr/
http://www.cheniere.org/misc/index.html
http://www.histoire-evenement.com

-E. T. Whittaker, « On an Expression of the Electromagnetic Field Due to Electrons by Means of Two Scalar Potential Functions », Math. Ann., Vol. I. VII., pp. 333-335,
1903. http://www.cheniere.org/misc/Whittak/ORIw1903.pdf/

-Floyd A. « Sparky » Sweet, « Nothing is Something: the Theory and Operation of a Phase Conjugated Vacuum Triode ». http://www.jnaudin.free.fr/

-Fran De Aquino (Dr), « Quantum Theory of Gravity » (Final Version October 8, 2004), CERN Document Server (Submission # 3155446_27287), CERN-OPEN-2004-028 arXiv,http://www.arXiv.org/abs/physics/0212033/

-C.P. Kouropoulos; the Origin of Gravity, Physics / 0107015.http://www.ovnis.atfreeweb.com/

-B. Haish, A. Rueda & H. Puthoff; “Advances in proposed Electromagnetic Zero- Point Field Theory of Inertia”, Physics / 9807023 (1998).

-A. Sakharov; “Vacuum Quantum Fluctuations in Curved Space and the Theory of Gravitation”, Soviet Physics Doklady Vol 12, No 11 p. 1040 (1968).

-O. Costa de Beauregard; “Electromagnetic Gauge as Integration Condition: Einstein Mass-Energy Equivalence”, Advanced Electrodynamics, T.W. Barett, D. Grimes eds., World Scientific,
pp 77-107 (1995).

-Le défi de l’antigravitation, Marcel PAGES, Editions Chiron, 1974.

-Une nouvelle gravitation rationnelle, Victor Alphonse TURPIN, Kapsos Editions, 1994.http://www.histoire-evenement.com/

Extrait de http://www.karmapolis.be/pipeline/man_made_ufo.html

Autres données sur les engins secrets nazis :

Probablement un appareil de Schauberger avec camouflage d'hiver(région d'Augsbourg en 1939)

Probablement un appareil de Schauberger avec camouflage d’hiver
(région d’Augsbourg en 1939)

«  Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative : le BUREAU D’ETUDE IV DU SOLEIL NOIR = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IVdéveloppa le « mécadsme THULE« , appelé, plus tard, TACHYONATEUR THULE, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.

En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C’était une toupie volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de « HAUNEBU I ». Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux « canons à rayons forts » (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace.

RFZIII

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Fin 1942, le « HAUNEBU III » était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, Propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/hIl était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol.

Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le « HAUNEBU III », exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).

Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, « canon à rayons forts ») qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage.

Le professeur J. J. Hurtak, ufologue et auteur de « Die Schlüssel des Enoch » (« Les clefs d’Hénoch »), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de « système d’armes miracles« . Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant :

1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’espace
2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne.

Oui, mais aussi en Mer du Japon (1943) ?

Oui, mais aussi en Mer du Japon (1943) ?

Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les « FOO-FIGHTERS » (les boules de feu). La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant, un 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de foo-fighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands. Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La « TORTUE VOLANTE «  fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début. On continua, plus tard, à développer cette technique. Quiconque a déjà vu des OVNIs pourra confirmer que cette « coupure de contact », c.-à-d. l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des OVNIs quand ils apparaissent. Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir.

Quant aux bulles de savon désignées souvent comme foo-fighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.

Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’ « APPAREIL ANDROMEDA » (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.

Une réunion importante de la SOCIETE VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum. le sujet pincipal concernait l’ « ENTREPRISE ALDEBARAN ». Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s’y rendre. le 2 janvier 1944, HITLER, HIMMLER, Künkel et Schumann (tous deux de la Société Vril ) se rencontrèrent pour parler de ce « PROJET VRIL ». Ils voulaient se diriger à l’aide d’un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par un canal dimensionnel. D’après Ratthofer, le premier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieul’hiver 1944. L’appareil aurait évité de justesse un désastre : d’après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit « qu’il avait voyagé pendant un siècle« . Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usagé et il était abîmé en maints endroits.

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Le 14 févier 1944, le pilote d’essai Joachim Roehike testa à Peenemünde l’hélicopière supersonique construit parSchriever et Habelmohl sous le nom du projet V-7, qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir carPeenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s’avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu’on ne puisse utiliser les disques volants.

Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda. En mars 1946, leprésident Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donnat la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux USA dans le cadre de l‘opération « PAPERCLIP« . Il s’y trouvait, entre autres, VIKTOR SCHAUBERGER et WERNER VON BRAUN

L’ « APPAREIL ANDROMEDA« , astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l’état de projet.

Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre qui furent tenus secrets

1. Atterrissage près du lac « Mondsee » dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage.
2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la « Forteresse des Alpes » de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalites importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le « NEUSCHWABENLAND«  (explication ci-après) et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre.
3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus.

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Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ?

On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’OVNIs qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser.

Certains disent qu’une partie des engins avait été coulée dans le lac « Mondsee » en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils. On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l’ « expérience Phoenix« , projet précédé par l’ « expérience Philadelphia » de 1943. (Il s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US NAVY qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires. « 

Ce premier aperçu des engins connus pour certains ou supposés pour d’autres d’inspiration nazi a peu de rapport avec l’Antarctique bien sûr, mais la suite va immédiatement nous amener vers le Pôle qui nous intéresse ici, c’est à dire vers le « NEUSCHWABENLAND » :

En 1938 eut lieu une expédition allemande en ANTARCTIQUE menée par le porte-avions Schvabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu’ils baptisèrent « NEUSCHWABENLAND » (Nouvelle Souabe). C’était unerégion sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurentIls étaient équipés entre autres du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction. On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre les soucoupes volantes s’y sont rendues directement.

Cette supposition peut paraître osée à plus d’un mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi.

On peut alors se poser la question : « Pourquoi les Alliés ont-ils ENVAHI L’ANTARCTIOUE sous les ordres de l’AMIRAL E. BYRD, en 1947 ?« . Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de huit mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de huit semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions.

Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement : Qu’arriva-t-il ?

L’amiral Byrd expliqua, plus lard, à la presse : « C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre ». Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure. (84)

Dans son livre « Zeitmaschinen » (Machines à remonter le temps) ou il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit :

«  Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparut, d’abord, sans laisser de traces. (…) Dans ce contexte, il est extrèmement intéressant de savoir que le Haunebau III du Reich allemand, après son 19ème essai en vol, se serait envolé vers Mars pour une expédition spatiale le 20 avril 1945 en décollant du « Neuschwabenland » qui était alors officiellement un immense territoire du Reich allemand en Antarctique de l’est.

En date du 14 décembre 1944 (six mois avant la fin de la Guerre) le très sérieux et important quotidien US, le « New-York Time », publiait pour la première fois, depuis les premières observations dans le monde de « soucoupes volantes » un article étonnant : «  Les ‘soucoupes volantes’ sont des armes secrètes. Une nouvelle arme allemande a fait son apparition sur le front occidental. Les pilotes de l’US Air Force rapportent que des « boules d’argent » survolent l’Allemagne, parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent totalement transparentes « 

Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins? Un retour en arrière est indispensable : Vers les années 1936, dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie s’y préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime. Outre les accords secrets avec des « alliés du Grand Reich » et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base discrète, solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine.

L’histoire commence en fait en 1938, lorsque le transporteur hydravion allemand Schwabenland commandé par Albert Richter, un vétéran des opérations par temps froid navigué à travers l’Atlantique Sud, à destination de Terre de la Reine Maud dans l’Antarctique. Arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent « NEUES SCHWABENLAND » appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND..

Les scientifiques allemands ont découvert de la glace des lacs libre (chauffée par des éléments souterrains volcaniques) et ont pu se poser sur eux.

«  Il est largement admis que l’expédition de NewSchwabenland visait à installé une base secrète des opérations. « 

Une base allemande a été établi dans la Muhlig-Montagnes Hofmann, juste l’intérieur des terres de la côte Princesse Astrid. La zone a été rebaptisé Neuschwabenland (Nouvelle-Souabe) et la base a été connu que comme station 211.

Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers cette « base » y faisant escale et un certain nombre restèrent sur place.. et nul ne les revit.

Les état-major des marines des Alliés, en particulier ceux de la US-Navy et de la Royal-Navy ont estimé, après avoir des mois durant dressé les inventaires de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimé qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparu... ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni saisies, ni arraisonnées par les forces Alliées.. Officiellement et statistiquement, personne ne sait où sont passés ces sous-marins ! Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des « équipages et passagers constitués de techniciens spécialisés », fuyant sur ordres l’occupation alliée en Allemagne après ou très peu de temps avant la défaite, et du matériel sophistiqué furent débarqués à la base du Neu-Schwabenland, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent mis à l’abri

Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée se mit en place pour une opération de plusieurs mois. Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946, pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de NEU SCHWABENLAND.

Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland, disposant d’une telle supériorité technologique inattendue, seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment,

le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais... (malgré la profusion de « rapports officiels » prêtant plus à sourire qu’à être crédibles !).

Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, « El MERCURIO », une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: «  C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre  » Il laissa aussi comprendre :  » Qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure « . Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues ou venant d’ailleurs disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme dès le premiers tiers de notre XX°, d’autres furent également capables de rééditer ces « exploits technologiques » dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement

D’après les « Lectures » d’Edgar CAYCE et les « Planches et « Codex » de Pierre GUILDER, force est d’admettre que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de portée physique des terriens avaient la connaissance et la maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou solaires que les sciences humaines sont encore maintenant loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes (VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à ces informations par « contacts », lesquels ne disposant pas plus que les autres humains d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en oeuvre les techniques permettant de construire des engins et d’élaborer des matériaux aux performances bien supérieures à ce que les industries classiques mettaient au point et d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il y a pour tous un mystère qui n’en est plus un si l’on accepte avec humilité et sagesse, de vouloir bien admettre que certains humains ont reçu des messages et des informations en provenance de sources nous étant inconnues. Il faudrait être complètement obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois physiques universelles sont encore inconnues de l’homme (tout comme l’électricité l’était au Moyen-Âge) et que des «initiés», dotés de sens perdus par l’homme après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques à d’autres milieux successifs, soient capables de recevoir des informations… rejetées par la masse ignorante mais pouvant très bien être exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux intentionnés du monde...

Que les septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins purent être fabriqués et évoluer ainsi., alors que les avions de chasse les plus performants de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise, n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de l’US-Air Force et de la R.A.F.se souviennent encore de ces « bizarres apparitions » durant leurs missions !

Les vagues d’observations de juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du Nordsemblèrent venir narguer et faire toute une série de pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et aux militaires du Pentagone et des Agents de la CIA, placés pour longtemps devant le problème que posait ces manifestations, sans réponse possible quant à la technologie spécifique utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux objets volants à identifier officiellement ! Rien de plus irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé un peu plus loin près d’une falaise, devant les connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne permirent apparemment pas de comprendre le fonctionnement, la propulsion de cet enginpas plus que pouvoir identifier le fameux « métal » dont il était en grande partie composé. Seuls quelques ‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil.. et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents, dessins et épures récupérés après la Guerre par les Alliés, ne constituaient que des informations,certes convaincantes, détenues par les Services Secrets de l’Ordre Noir de la SS et récupérées après-guerre mais étaient techniquement inexploitables. Les plans et les documents technologiques, permettant la construction en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages et de faire procéder aux essais en vol.

Et, compte tenu du caractère ultra-secret de leurs contenus, ayant été évacués à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé par les technologies de pointe de la production allemande du III° Reich. Beaucoup n’ayant pas le caractère « top secret de la SS » des armes secrètes et engins volants, les films de Carl Zeiss furent facilement « saisis » par les troupes US, sous les ordres du Major-Général ANDERSON de la US-Army, parvenues les premières à Jena le 21 Avril 1945 lesquelles, le jeu de la politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour laisser une place « nette et bien propre ».. à leurs alliés soviétiques, après que les ingénieurs, technicien de points et leurs familles avaient été emmenées par autocars entiers vers les bases américaines du Sud de l’Allemagne, pour ensuite gagner les USA.

Or, ce procédé d’archivage et de conservation de documents était utilisé dans toutes les industries « sensibles » de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs un ensemble de technologies pouvant éventuellement être facilement reconstituées en cas de destruction locale et aussi faire face à une issue désastreuse de la guerre pour le III° Reich, que beaucoup avaient envisagé bien des mois avant la chute de Berlin ou encore aussi -pourquoi pas- pour des technologies très avancées pour l’époque- servir plus tard pour la « bonne cause » à une survivance du Nazisme.(Car, depuis l’armistice signé à Berlin le 8 Mai 1945, n’oublions pas qu’aucun Traité de Paix n’a été signé avec l’Allemagne nazie depuis la fin de la Guerre. Si l’Allemagne a reconnu sa défaite, les « éléments nazis«  ne l’ont jamais reconnue!!… Partant de ce « concept » tout est donc possible…) Survivance sous la forme d’ « organisations nazies » réparties dans quelques bases secrètes prévues, organisées et installées de longue date dans certaines contrées, occupées par des milliers d’hommes bien entraînés et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés officiellement du monde des vivants et évacués longtemps avant le 8 Mai 1945 et pour certains grands pontes… durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère, voire intergalactiques (?) Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entre autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique

Précaution supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants d’autres bases, pouvaient travailler activement au remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines-outils et infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité.

L’attention des Alliés du conflit terminé se portait vers d’autres préoccupations politiques et économiques prépondérantes plutôt que continuer, après cette « aventure« , à chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées

Outre le territoire antarctique du Neu Swchabenland il existe d’autres territoires à travers la monde où des colonies perpétueraient la survie du régime nazi, avec d’anciens SS et leur descendance, dans des camps parfaitement organisés dont le plus important est situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés, acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur. Dans un secteur géographique de l’Amérique du Sud, outre le site déjà bien connu en Argentine, il y a au moins une base d’engins volants quelque part dans la Cordillère (la localisation se lit sur certaines planches de Guilder)

Grâce aux structures utilisées ou conservées « en l’état » depuis très longtemps.. Des dizaines et dizaines de siècles peut-être.. (les planches de Guilder ayant été toutes « dictées » par une entité atlante.. pouvant très bien avoir la faculté de « voyager » dans le temps et de décrire aussi certaines « choses » plus contemporaines. Une autre encore et non la moindre, se situerait dans le labyrinthe des hautes vallées perdues de l’Himalaya. Là essayons de comprendre pourquoi les forces chinoises ont tenu à occuper à tout prix le Tibet.. malgré le peu d’importance stratégique de ce territoire sacré!.. Une très importante raison occulte. Là ce n’est encore qu’une hypothèse non vérifiable. Puis encore sous les glaces du Groënland (?) et peut-être aussi en d’autres points invisibles car soigneusement et profondément enterrées dans certaines zones souterraines de notre planète où séjourneraient toujours les membres survivants et leurs descendants du dernier Bataillon. Ce fameux dernier bataillon nazi que Hitler citait dans son discours du 24 février 1945 : «  Je vous prédit aujourd’hui, comme toujours empreint de la foi en notre peuple, la victoire finale du troisième Reich où dans cette guerre il n’y aura ni vainqueur ni vaincu,que des morts et des survivants, mais le dernier bataillon sera allemand !  » (Qui se souvient encore de ce fameux discours? Il est trop « gênant » pour avoir été inscrit dans les Livres d’Histoire à faire lire aux jeunes générations d’écoliers d’après-guerre !)

Et la ronde des OVNIS se poursuit. Ces étranges engins viennent toujours narguer les peuples en poursuivant une activité insoupçonnable, surgissant apparemment de nulle part et disparaissant mystérieusement, mettant depuis des décennies des milliers d’ufologues en émoi.. Lesquels cherchant très loin ce qui se trouve peut-être tout simplement, pour la plus grande majorité, basé dans quelques discrets recoins de notre planète.. Ceci n’est plus de la fiction : Ces engins volants existent bel et bien, conçus et pilotés…Mais quels sont ces équipages ? Certains ont été aperçus lors de rencontres dites du deuxième type : De grands blonds, parfois de très grands de plus de 2 mètres, d’autres plus petits, des nains ou des nabots à drôles de têtes, les avis divergent car il y a une diversité entre les occupants de certains engins avec d’autres. Leurs missions restent pour nous du domaine du mystère. Cette question reste encore sans solution… Source : Karmapolis

l’Operation Highjump

Au début de l’année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schbenland, sur le territoire allemand du même nom, en antarctique existait toujours et des Nazis l’occupait toujours après l’armistice.

Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d’y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succès. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de Neu-Schbenland.

Aussi en 1946, le commandement allié confia la responsabilité d’une nouvelle et colossale opération à l’amiral Richard Byrd, l’homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l’époque. L’Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Richard Byrd prépara l’invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : « l’Operation Highjump ».

Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notament l’étude des pingouins. Le plan d’attaque était d’entrer dans la région opposée de la base de Neu-Schbenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l’objectif final. L’opération militaire combina des forces terrestres et navales de façon massive :

– 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
– 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
– 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
– 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
– 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
– 1 sous-marin : le USS SENNET
– 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
– 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.

Il n’est pas étonnant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l’armée US quand il n’étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non gouvernementales, transformés alors en navire de transports où autres… La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exempleIl est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L’expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officiellement il n’y a pas eu de combats contre les Nazis en antarctique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliés et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le Chili Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que «  la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes ! « 

Aux USA il sera difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de « guerre des pingouins », une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n’y avait uniquement que des pingouins et qu’il n’y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’Operation DeepfreezeLe résultat sera encore plus dévastateur pour l’armée US qui se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre souterraine…

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La guerre secrète britannique

Dans les récits officiels sur les opérations militaires alliées en Antarctique, il est très peu question de la Grande-Bretagne. Pourtant, des documents attestent qu’elle tenta, en 1945, un assaut final contre l’Allemagne nazie sur ce continent. On sait que les Allemands y avaient construit, dès 1938, une base secrète où des rescapés se seraient réfugiés après la défaite du IIIe Reich. Cette base de Neuschwabendland aurait été entièrement détruite par l’armée britannique lors de l’expédition totalement occultée par les livres d’histoire, mais dont témoigne ici le dernier survivant. Une pièce essentielle qui vient éclairer le mystère de la quarantaine de sous-marins allemands disparus à l’issue de la guerre, et relance le « mythe » nazi de l’Antarctique.

Le dernier témoin

Aujourd’hui, presque tous ceux qui ont servi pendant la campagne du Neuschwabenland nous ont quittés. Mais j’ai pu recueillir du dernier survivant le récit que vous pouvez lire ci-dessous. Je précise qu’il m’a raconté son histoire lors de deux entretiens séparés de dix ans, et que je n’ai pu déceler aucune contradiction entre les deux récits.

Le dernier survivant de la mission témoigne

Quand on nous annonça la victoire de l’Europe, mon unité était au repos dans une grotte de l’ex-Yougoslavie.

J’étais content que cette guerre soit finie, mais avec les combats qui continuaient dans le Pacifique et les tensions qui montaient en Palestine, nous savions bien que notre guerre à nous pourrait bien continuer. Grâce au Ciel, je fus dispensé de participer à la guerre contre le Japon, mais hélas, je fus envoyé en Palestine où l’afflux de Juifs, joint à une montée du terrorisme sioniste, angoissait non seulement les Palestiniens, mais aussi les forces britanniques chargées d’endiguer cet afflux et de réprimer les insurrections. On m’avertit que mon affectation en Palestine pouvait durer indéfiniment. Je vis mourir beaucoup de mes compagnons soldats. Heureusement, je reçus au début d’octobre 1945 l’ordre de me présenter à mon officier supérieur, car j’avais été choisi pour une mission secrète à Gibraltar (aucun de mes supérieurs ne connaissait la nature de cette mission). N’ayant reçu aucune explication, j’espérais qu’on me rendrait bientôt à la vie civile. Je me trompais lourdement ! J’allais passer un autre Noël sur le pied de guerre.

Une fois arrivé à Gibraltar, un Major me prit à part et m’informa que je serais muté aux Colonies des Îles Falkland pour instructions complémentaires et que plusieurs autres soldats d’autres corps d’élite britanniques allaient me rejoindre. Le mystère s’épaissit quand on nous envoya tous par avion aux Falklands en nous demandant un complet silence. Nous avions reçu ordre de ne même pas spéculer sur la raison pour laquelle nous avions été choisis et sur le lieu où nous nous rendions.

Un entraînement extrême

En atteignant les Îles Falkland désolées et sévères, nous fûmes présentés à l’officier qui commandait l’expédition et à un Norvégien qui avait servi dans la résistance norvégienne, un expert en combats hivernaux qui allait nous entraîner pour une mission dont nous n’avions pas la moindre idée. Aujourd’hui, on sait que les Falklands, considérées comme le secret le mieux gardé de l’Armée britannique, promettent quelques années difficiles à ceux qui y sont affectés, mais dans les années 40, personne ne les connaissaient et encore moins les soldats comme moi. Pendant un mois, nous fûmes soumis à un éreintant entraînement au combat par temps froid. Plonger dans l’Atlantique glacé, affronter les éléments dans une tente en Géorgie du Sud nous paraissait d’autant plus fou que nous ne savions pas pourquoi nous étions là ! Cependant, après cette préparation, un major et un scientifique nous expliquèrent enfin la nature de notre mission, et là, nous réalisâmes tous qu’il y avait peu de chances pour que nous en sortions vivants, surtout si ce que l’on soupçonnait était exact.

Parés pour la « guerre secrète »

On nous expliqua que nous devions examiner des activités « anormales » dans les environs des Monts Mühlig-Hoffmann à partir de la base britannique de MaudheimL’Antarctique, à ce que l’on nous dit, était « la guerre secrète de la Grande-Bretagne ». On nous informa ensuite des activités britanniques au Pôle Sud pendant la guerre. Nous étions là, assis, intrigués par ce qui allait nous être divulgué ; aucun de nous n’avait rien entendu d’aussi fascinant ni d’aussi effrayant. Très peu de gens savaient que les nazis étaient venus dans l’Antarctique en 1938 et 1939, et plus rares encore étaient ceux qui avaient connaissance du fait que la Grande-Bretagne commençait, en réaction à établir des bases secrètes autour de l’Antarctique. Celle que nous devions’visiter, Maudheim, était la plus importante et la plus clandestine de toutes les bases antarctiques. En effet, elle n’était qu’à 300 kilomètres du lieu présumé de la base nazie.

On nous informa de l’activité allemande dans l’Atlantique Sud, autour de l’Antarctique. Un nombre impossible à estimer de sous-marins allemands étaient manquants et non signalés ; mais, pire, certains de ceux qui avaient fait leur reddition des mois après la fin de la guerre alimentaient encore davantage de spéculations.

L’armée britannique avait capturé trois des plus grands noms du parti nazi Hess, Himmler et Ddnitz – et au moment de leur capture, la Grande-Bretagne avait obtenu des informations qu’elle ne partagea pas avec la Russie ou les États-Unis.

C’est sur la base de ces informations qu’agissait, seule, la Grande-Bretagne, et nous étions à la pointe de cette opération. On nous indiqua sans trop de précision ce que l’on attendait de nous et ce que nous étions susceptibles de trouver sur l’Antarctique. La Grande-Bretagne était convaincue que les Allemands avaient construit une base secrète, et qu’ils avaient fait sortir d’Europe, comme par magie, de nombreux Nazis dont on avait perdu la trace.

Hommes polaires, tunnel et nazis

Des révélations en cascade nous attendaient. L’été précédent, nous dit-on, les scientifiques et commandos d’origine avaient trouvé un « ancien tunnel ». Des militaires envoyés sur place y auraient pénétré, mais seuls deux d’entre eux étaient revenus à leur base avant que l’hiver austral ne soit installé. Ensuite, les deux survivants avaient fait par radio des déclarations absurdes à propos « d’hommes polaires, d’anciens tunnels et des nazis ». Le contact radio avait finalement été perdu en juillet 1945, après un message de très mauvais augure pour nous :

« … les hommes polaires nous ont trouvés ! » Après nous avoir fait écouter cet enregistrement, le Major qui devait commander l’expédition essaya de nous encourager : « Nous allons nous rendre à la base de Maudheim, trouver le tunnel, élucider l’énigme des hommes polaires et des nazis et tout faire pour détruire cette menace. »

Par bonheur, les réponses à nos questions, si nombreuses, furent honnêtes et directes.

On nous apprit que la Grande-Bretagne entendait prendre de vitesse les Américains et les Soviétiques qui préparaient leurs propres expéditions. Elle ne voulait pas prendre le risque que les États-Unis ou l’Union soviétique ne découvrent la base allemande et ne recueillent des technologies nazies. Ces deux pays avaient déjà une avance technologique sur la Grande-Bretagne grâce aux scientifiques et aux équipements récupérés sur les nazis. En outre, considérant l’Antarctique comme étant sous la juridiction de l’Empire britannique, elle entendait bien être la première et la seule à éradiquer la présence nazie sur son sol, refusant ainsi à la fois aux États-Unis et à l’Union Soviétique la gloire d’avoir livré le dernier combat de la Seconde Guerre mondiale.

Parachutés dans la neige

On nous emmena en avion jusqu’au point de largage prévu, situé à 30 kilomètres de la base de Maudheim. Des chasse-neige attendaient notre arrivée. Après le saut en parachute dans la solitude glacée, la peur au ventre, nous rejoignîmes les chasse-neige. A partir de cet instant, nous fûmes sur le pied de guerre. Nous devions opérer sous silence radio total. Nous étions seuls, sans appui ni chance de retraite si nos pires craintes se confirmaient.

Nous approchâmes de la base, sur nos gardes, mais elle nous apparut bientôt dépourvue de toute vie, une ville fantôme. Cela éveilla immédiatement notre méfiance, mais, comme dans toutes les campagnes précédentes, nous avions une mission à accomplir et nos peurs ne devaient pas paralyser notre jugement.

Première victime de l’expédition

Comme nous nous dispersions autour de la base, un fil déclencha une alarme et une sirène retentit, déchirant le silence et nous faisant sursauter. Une voix, impossible à localiser, nous cria de nous identifier. Nous levâmes nos fusils, le major nous présenta, et la voix prit corps.

Elle appartenait à un survivant isolé, et ce qu’il révéla ne fit que nous inquiéter davantage et nous faire regretter de ne pas être plus nombreux. Il nous expliqua que, dans le bunker numéro 1, se trouvait l’autre survivant de « l’expédition dans le tunnel », en compagnie de l’un des mystérieux hommes polaires dont nous avions entendu parler sur l’enregistrement radio.

Malgré les objections du survivant, ordre fut donné d’ouvrir ce bunker. Il essaya de s’y opposer avec une peur panique qui nous gagna instantanément : aucun de nous ne voulait être le premier à entrer dans le bunker.

Heureusement pour moi, je ne fus pas choisi. Cet honneur fut dévolu au plus jeune membre de notre unité désigné à la courte paille. Il entra, hésitant un peu, en se heurtant à la porte.

Une fois à l’intérieur, un silence s’abattit sur la base, suivi par deux coups de fusil. La porte s’ouvrit et l’homme polaire s’échappa en courant, nous prenant tous de cours et nous laissant juste le temps de tirer quelques coups de feu, pour la forme. C’est alors que nous pénétrâmes dans le bunker où gisaient deux cadavres : notre camarade, la gorge tranchée, et, plus atroce, le survivant, déchiqueté jusqu’aux os. Nous étions envahis de colère et d’interrogations après avoir vu mourir un membre de notre unité quelques heures seulement après notre atterrissage, et nous écoutâmes anxieusement les réponses du dernier survivant aux questions du Major. Il lui demanda d’abord ce qui avait bien pu arriver à l’autre survivant,et comment il s’était retrouvé piégé dans le bunker avec cet homme polaire. Mais l’homme préféra commencer par le début, c’est-à-dire le moment où ils avaient découvert le « tunnel ». Le scientifique qui nous accompagnait prenait des notes.

Une immense base souterraine

On apprit que la région où se trouvait le tunnel était l’une de ces vallées sèches particulières à l’Antarctique, ce qui explique la facilité avec laquelle les Britanniques avaient pu le trouver.

Les trente membres de la base de Maudheim avaient l’ordre de découvrir où conduisait le tunnel.

Ils avaient parcouru le tunnel pendant des kilomètres, et finalement, étaient arrivés à une vaste caverne souterraine anormalement tiède ; certains parmi les scientifiques pensèrent qu’elle pouvait être chauffée par géothermie. L’immense grotte comportait des lacs souterrains, mais, beaucoup plus mystérieux, elle était éclairée artificiellement. Devant l’immensité de la grotte, l’expédition s’était divisée pour mieux l’explorer C’est alors qu’ils avaient découvert l’énorme base construite par les nazis, avec des quais pour les sous-marins, dont l’un d’entre eux, semble-t-il, pût être identifié. Mais plus les britanniques avançaient, plus le spectacle était étrange. Le survivant parla notamment « de hangars pour d’étranges avions et de multiples excavations ».

Cependant, leur présence n’était pas passée inaperçue et les deux survivants de la base de Maudheim avaient vu leurs camarades se faire capturer et exécuter un par un. Après avoir été témoins de six exécutions, ils s’étaient enfui par le tunnel, mais trop tard : « les hommes polaires arrivent ! », avait alors hurlé le survivant. Les forces ennemies à leurs trousses, ils n’avaient pas eu d’autre choix que de retourner à leur base pour informer par radio leurs supérieurs de ce qu’ils avaient découvert. Ils avaient réussi à rentrer à la base, mais, comme l’hiver approchait et qu’il y avait peu de chances pour qu’on vienne les secourir, ils avaient décidé de se donner toutes les chances de pouvoir témoigner de leur découverte. Ils s’étaient donc séparé, chacun prenant un poste radio sans fil et attendant dans un bunker différent. L’un des survivants avait servi d’appât et lorsqu’une poignée d’hommes polaires l’avait découvert dans son bunker, ils avaient cru qu’il était le dernier survivant. Le plan avait fonctionné, mais au détriment de sa vie et de la radio, car le brave du bunker numéro un détenait le seul poste radio sans fil opérationnel qui fut détruit dans la bagarre. Le deuxième survivant n’avait plus eu d’autre choix que de s’asseoir, attendre, et essayer de ne pas devenir complètement fou.

Une source d’énergie inconnue

Sans explications satisfaisantes, l’homme nous parla ensuite des hommes polaires comme étant des produits de la science nazie. De la même manière, il tenta de nous expliquer la manière dont les Nazis se fournissaient en énergie : celle-ci provenait, d’après lui, de l’activité volcanique, qui, à travers sa vapeur, leur permettait de produire de l’électricité. Mais il semblerait que les nazis disposaient d’une source d’énergie inconnue, car le survivant déclara :

 » ... d’après ce dont j’ai été témoin, la quantité d’électricité requise est supérieure à ce que pourrait produire, à mon avis, de la vapeur« .

Les scientifiques de l’expédition rejetèrent la plupart des informations livrées par le survivant, lui reprochant même son manque de culture scientifique et objectant que ces données « ne pouvaient en aucun cas être véridiques ». Le major, quant à lui, voulait en savoir plus : en savoir davantage sur l’ennemi que nous avions à affronter et sur ce qu’allait bien pouvoir faire l’homme polaire qui s’était échappé. La réponse ne fut pas pour nous réconforter et poussa le scientifique à annoncer que le survivant était « bon à enfermer ». Il n’y a pas de mots pour exprimer ce que nous ressentîmes en entendant la réponse : « Il va attendre, nous épier en se demandant quel goût nous pouvons bien voir. »

Un paysage saharien

En entendant cela, le Major ordonna qu’un tour de garde fut établi pendant que lui et le scientifique discuteraient, en privé, de la suite de la mission.

Le lendemain matin, on nous ordonna d »‘inspecter le tunnel » et pendant les quarante-huit heures qui suivirent, nous progressâmes régulièrement vers la vallée sèche, lieu du supposé « ancien tunnel ». En arrivant dans la vallée sèche, nous fûmes tous abasourdis, car on nous avait dit que l’Antarctique était totalement entouré de glaces et pourtant, nous étions dans un paysage qui rappelait le Sahara.

Nous avions l’interdiction d’approcher du tunnel avant que le camp de base provisoire n’eût été dressé. Pendant que les hommes construisaient la base, le scientifique et le major inspectaient le tunnel.

Au bout de quelques heures, ils revinrent au camp pour nous faire part de ce qu’ils avaient vu et de notre prochain plan d’action. Le tunnel n’était pas du tout ancien, d’après le scientifique. et le major ajouta que les murs de granit poli semblaient interminables. Nous pourrions le constater nous-mêmes le lendemain, après une bonne nuit.

Juste avant de nous assigner nos tours de garde, on nous confirma qu’il s’agissait de suivre le tunnel jusqu’au bout, « jusqu’au Führer, au besoin ».

Il est difficile de dormir dans l’Antarctique pendant les mois d’été, à cause de la lumière du jour qui brille perpétuellement. Mais cette nuit-là, le sommeil fut encore plus long à venir

Autopsie d’un homme polaire

Et cette nuit-là, l’homme polaire revint, effectivement. Mais cette fois-ci, il n’y eût pas de victime dans notre camp : l’homme polaire s’écroula sous nos balles. Le scientifique, après avoir examiné le cadavre, déclara que l’homme polaire était un « humain », certes plus poilu et mieux armé contre le froid. Après une autopsie rapide, le corps fut mis dans un sac afin d’être conservé jusqu’à un prochain examen plus minutieux.

Le lendemain matin, deux personnes restèrent à l’entrée du tunnel, avec le cadavre, les chasse-neige, l’équipement et, le plus important, la radio. En tête de l’expédition, le major était accompagné du Norvégien et du scientifique. Le survivant, lui aussi, était indispensable au succès de la mission. Nous voulions tous nous joindre à eux.

Je fus choisi avec quatre autres hommes tout joyeux : nous allions entreprendre l’une des expéditions les plus passionnantes, et peut-être les plus importantes, de l’histoire de l’humanité. Bien que leur rôle fût tout aussi essentiel pour le succès de la mission, les deux compagnons qui restaient à l’entrée du tunnel étaient déçus.

Une véritable ruche technologique

En nous préparant tous les neuf à entrer dans le tunnel, nous nous assurâmes que nous avions emporté suffisamment de munitions et d’explosifs pour mener un affrontement et peut-être détruire la base dans son intégralité, car telle était notre mission : non pas sauver, mais détruire. Nous marchâmes longtemps dans l’obscurité et, au bout de quatre heures,nous commençâmes à percevoir de la lumière au loin, à environ une heure de marche, une heure interminable, la tête pleine de questions. Finalement, nous arrivâmes dans la vaste caverne éclairée artificiellement. On se dirigea ensuite à l’endroit d’où les survivants avaient été témoins des exécutions. En observant d’en haut les galeries de la caverne, nous fûmes ébahis par le nombre d’ouvriers qui s’activaient ici et là, comme des fourmis.

Mais ce qui était le plus impressionnant, c’était l’énormité des constructions en cours. Tout semblait indiquer que les nazis étaient dans l’Antarctique depuis longtemps. Le scientifique notait tout ce qu’il pouvait, dessinait des diagrammes, prenait des échantillons de roche, et des photos. Le major, de son côté, s’intéressait davantage à la manière de détruire la base sans être pris par les nazis.

Au bout de deux jours de reconnaissance attentive, le scientifique et le major décidèrent des cibles pour les mines. Elles allaient devoir être placées tout autour du toit de la caverne.

D’autres cibles étaient également prévues, comme par exemple le générateur et les cuves d’essence ainsi que, si possible, les dépôts de munitions.

Trois survivants seulement

Pendant toute la journée, nous posâmes des mines et primes des photos de cette technologie très avancée ; nous prîmes aussi un otage, un « homme polaire ».

Une fois les mines posées et les preuves substantielles de l’existence de la base rassemblées, nous nous dirigeâmes vers le tunnel.

C’est alors que nous fûmes découverts et poursuivis par des hommes polaires et des nazis.

En atteignant le tunnel, nous plaçâmes un obstacle sur le passage de sorte à ralentir nos ennemis assez longtemps pour que les mines explosent. Certaines mines avaient été placées à l’entrée du tunnel, et quand nous entendîmes les explosions, nous espérâmes que nos poursuivants avaient été atteints. Il n’en était rien.

Les mines avaient bien obstrué le tunnel, mais les nazis et les hommes polaires nous poursuivaient. Seulement trois d’entre nous en réchappèrent : le Norvégien, le scientifique et moi-même. Quand nous atteignîmes la vallée sèche, suffisamment de mines avaient été posées pour fermer le tunnel à jamais. Après que les mines eussent explosé, il ne subsista aucune trace de tunnel. Curieusement, il resta très peu de preuves de la mission. Qu’elles aient été perdues accidentellement ou à dessein importait peu, car le scientifique était déjà parvenu à ses conclusions et la mission avait été accomplie.

Retour aux Îles Falkland

Le camp fut démonté et nous rentrâmes à la base de Maudheim d’où l’on nous évacua. On nous transporta par avion jusqu’aux Colonies des Îles Falkland. En atteignant la Géorgie du Sud, on nous distribua une directive nous interdisant de révéler ce que nous avions vu, entendu, et rencontré. Le tunnel fut expliqué comme n’étant rien de plus qu’un accident naturel, « une érosion glaciaire ». Les hommes polaires n’étaient autres que « des soldats débraillés devenus fous ». La présence d’Allemands n’a jamais été mentionné dans le rapport, et toute idée de rendre publique la mission fut fermement rejetée.

La mission ne serait jamais rendue officielle, bien que certains éléments de celle-ci aient déjà fait l’objet de fuites vers les Russes et les Américains.

Aucune reconnaissance

Ainsi mon dernier Noël de la Seconde Guerre mondiale se passa-t-il sur le continent Antarctique en 1945, à combattre les mêmes nazis que j’avais combattu tous les Noëls depuis 1940.

Le pire, c’est le fait que l’expédition n’ait jamais reçu aucune reconnaissance ni les survivants aucun honneur.

Au contraire, les survivants britanniques furent démobilisés, le rapport du scientifique disparut. Cette mission n’a jamais figuré dans les livres d’histoire, alors que s’y trouve la mission de 1950, menée par une expédition conjointe de Britanniques, de Suédois et de Norvégiens, et qui dura jusqu’en janvier 1952. Elle avait pour but de vérifier et d’enquêter sur certaines découvertes des expéditions nazies de 1938-1939 au Neuschwabenland.

Neuschwabendland revisité ensuite

Cinq ans après notre mission, Maudheim et Neuschwabenland furent revisités, et cette expédition avait tout à voir avec la campagne du Neuschwabenland, mais, plus important, avec ce que nous avions détruit. Pendant les années qui s’écoulèrent entre les deux missions, la Royal Air Force ne cessa de survoler le Neuschwabenland.

La raison officielle invoquée par la RAF pour ces vols intensifs était la recherche de lieux propices pour établir des camps de base. Toutefois, on ne peut s’empêcher de se poser des questions. »

(NDLR : ici finit le récit de l’officier du SAS). Source : James Robert

http://ufotopsecret.over-blog.com/pages/OVNI_nazis_La_base_secrete_allemande_en_Antartique-4190539.html

Nous avons lu que les soviétiques avaient bien sûr également de leur côté récupéré des données concernant ces engins nazis, mais aussi la base de l’Antarctique... un documentaire russe très intéressant sur le sujet est paru en 2006, voici très récemment les sous-titres en anglais ajoutés :

 » En 1947. La nouvelle expédition du légendaire explorateur polaire américain Richard Byrd est allé vers les côtes de l’Antarctique. Contrairement aux trois premières, ellel est entièrement financée par la Marine et l’armée américaine a un nom Opération « High Jump«  (« Le saut en hauteur »). Tout se passe selon le plan : pour la première semaine a été fait des dizaines de milliers de photographies aériennes. Et puis il y a quelque chose de mystérieux : l’expédition, conçu pour six mois, et rapidement déployée, deux mois plus tard quitte la côte de l’Antarctique. Il s’agissait d’un vol réel. Perdu le Destroyer « Murdoch », près de la moitié des avions basés sur le porte-avions et des dizaines de matelots et d’officiers …À son retour, l’amiral Byrd, devant les membres de la Commission d’enquête d’urgence du Congrès des États-Unis, a signalé l’attaque de l’expédition par d’étranges « soucoupes volantes », qui « … sortent de l’eau, se déplacent à grande vitesse, et ont infligé des dommages considérables à l’expédition.«  Qui obligé la flotte américaine à la fuite ? Est-il vrai que les nazis ont créé une base top-secrète en Antarctique ? Lorsque, à la fin de la guerre ont disparu des milliers de spécialistes hautement qualifiés allemands et la production top secret du Troisième Reich ? Est-ce les scientifiques allemands ont été à l’origine du développement en forme de disque avion ? Quel genre de résultats ont-ils effectivement réalisé ? Puis-je faire confiance aux rumeurs selon lesquelles l’Allemagne a créé une machine en forme de disque volant qui peuvent aller dans l’espace extra-atmosphérique ? Ce qui est recherché dans les anciens manuscrits de l’Est et les documents secrets de l’organisation des sociétés secrètes les plus mystérieuses du Troisième Reich  la société « Ahnenerbe » ? Ce qui est vraiment derrière la théorie de la « Terre creuse », qui était si populaire dans le Troisième Reich ? Quel est le véritable but de l’usine électronique puissante HAARP en Alaska ? Pourquoi les employés des stations antarctiques américaines, la majorité sont en rapport direct avec la National Security Agency, la CIA et autres agences de renseignement ? Dans le film, en présence de scientifiques russes, des anciens combattants de l’intelligence témoignent… :

Vidéo youtube

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http://www.anonymousfo.com/documentaries/UFODocs/TheThirdReichOperationUFO.html

Une découverte en Antarctique pourrait changer le monde

antarctique (1)

«  Si c’est quelque chose que l’armée américaine a construit là-bas, alors ils violent le Traité International sur l’Antarctique «  , a déclaré un assistant de Nicole Fontaine, au moment où elle était présidente française du Parlement Européen.

 “ Si non, c’est quelque chose vieux d’au moins 12,000 ans, ce qui est la durée depuis laquelle la glace recouvre l’AntarctiqueCela en ferait la plus ancienne construction faite par l’Homme sur la planète. Le Pentagone doit tenir compte des appels du Congrès et publier ce qu’il cache. « 

L’entrée de la base 211  sur google earth :  Les coordonnées sont : -66.553217, 99.838294

Vidéo Dailymotion

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2 lieux bizarres en Antarctique :

– Le premier est une sorte de trou de forme plus ou moins triangulaire directement dans la montagne. C’est étrange mais peut-être seulement une formation naturelle atypique ? (66°33’07.25″S – 99°50’26.94″E)
– Le deuxième par contre est vraiment intrigant, c’est a nouveau une sorte de cavité, mais là on voit clairement une structure autour de l’orifice. (66°36’12.91″S – 99°43’13.15″E)

(… ) En juin 1992, le magazine français CIEL ET ESPACE, consacra un dossier complet sur « Le vrai visage de la Terre ». En effet, le dossier expliquait :  « De vastes régions du globe sont encore largement inexplorées, en particulier dans l’Antarctique. Surprise : le Groenland et le continent blanc lui-même ont révélé au radar du satellite ERS de grandes différences de relief par rapport à la cartographie traditionnelle. Sur ces images, le relief de la Terre antarctique est reconstitué d’après les données fournies par le satellite européen. Différences d’altitude découvertes par ERS : plus de 500 mètres ! ». Plus loin, on pouvait lire : « ERS a mis en évidence d’importantes inexactitudes dans les actuelles cartes du relief du continent antarctique… ».

Voici les trois images du continent Antarctique‚ rectifiées par le satellite ERS. Comme vous pouvez le constater‚ un trou béant‚ à la limite effrayant‚ perfore le continent blanc. Ce qui est totalement étonnant c’est à la fois sa taille (1/3 et demi par rapport au continent) et son emplacement. Nous avons comparé ces images en trois D avec une carte traditionnelle. La dépression débuterait à l’emplacement de ce qui est habituellement nommé la banquise de Ross‚ précisément devant la mer de Ross. De toute évidence‚ en vue des images de l’ ERS‚ le gigantisme de la dépression dépasse de loin cette simple « banquise ». L’affaissement englobe pratiquement la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud. Vérifiez et comparez‚ vous-même‚ sur une carte.

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L’ Antarctique vue de profil selon les clichés établis par le satellite ERS-1. Le radar digital élevation model (DEM) se termine à 81.5 degrés de latitude sud. Au-delà se trouve sans doute la véritable ouverture.

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L’Antarctique vue de face selon les clichés établis par le satellite ERS en 1992. La banquise de Ross est inexistante et une monumentale dépression perfore le continent blanc.

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L’ Antarctique vue de dos selon les clichés établis par le satellite ERS

Sources : http://area51blog.wordpress.com/2011/05/05/une-decouverte-en-antarctique-pourrait-changer-le-monde/

http://mediathequedelufologie.wordpress.com/2010/12/18/antarctique-un-autre-monde/

Voici le document dans lequel un professeur en géologie parle d’une immense anomalie magnétique dans l’antarctique, en format PDF, je résumerai en français si quelqu’un en ressent le besoin (mais c’est technique) :

2001-02-04.pdf 2001-02-04.pdf

Vidéo youtube

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Autre Étrangeté sur l’Antarctique ? Peut-être bien une ou plusieurs pyramides… :

2 Pyramids right next to a research facility 9/22/2012. Google Earth / 71° 56′ 55.29″ S 23° 20′ 42.94″ E. The terrain at this site is Granite. The facility was built on top of the Granite, next to the pyramid structure, which, Granite was used (not entirely) in their construction by the Ancients.
See Link Here: http://www.antarcticstation.org/station/construction/

Autres sources, pour avoir tous les avis : http://fr.wikipedia.org/wiki/OVNI_du_IIIe_Reich

D’autres images de l’Antarctique, ainsi que des expéditions allemandes et américaines, dont celle de l’Amiral Byrd.

Vidéo Dailymotion

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D’autres recherches sont en cours, mais nulle doute que les légendes de l’Antarctique n’en sont qu’à leurs débuts, à suivre donc

Yves Herbo – SFH 11-2012

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Mise  à jour investigation océanographique et oanis, le :19/02/2013 à : 12h30.

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